Cosplay de blouse blanche [Pv Leila]

Des rideaux d'un blanc immaculé, des lits d'une clarté inhabituelle, et d'une propreté exemplaire, des bruits de pas résonnaient dans le couloir, alors qu'un garçon mit sa main sur son front, aussi chaud que de la lave en érudition. Un mal de tète, le sentiment de se faire transpercer la tète par des milliers d'épines qui se dirigent vers son cerveau. Les vertiges le firent tomber plus d'une fois, alors qu'il réussit enfin à atteindre la poignée de la porte, ornée d'une croix rouge signalant que le local était une infirmerie.

" J'ai un mal de crane horrible, il faut absolument que je puisse avoir un doliprane pour calmer cette douleur."

La porte s'ouvrit, quand il entendit des ricanements sortir d'une couette, alors qu'il allait de plus en plus mal, sa fièvre montait de plus en plus vite, prenant plus d'intensité qui le ferait monter à 40 en quelques minutes, si l'infirmière ne lui donnait pas de médicament, il tomba par terre, puis se fit avancer en rampant avec ses bras et jambes pour ôter la couverture...

Leïla était d'humeur quelque peu joueuse. En réalité, elle se préparait pour une soirée costumée et n'avait pas trouvé de meilleure idée de déguisement que...celui d'infirmière.

Heureusement, la dangereuse doctoresse n'étant pas là, elle avait pu fouiner directement dans l'infirmerie pour toruver des tenues plus qu'agréables pour sa soirée... une belle petite tunique blanche boutonnée à l'avant, s'arrêtant au dessus des genoux, une blouse blanche descendant en dessous des genoux, et une adorable petite coiffe blanche ornée d'une petite croix rouge bien connu.

Soudain, alors qu'elle avait totalement relaché son attention, un garçon déboula dans la pièce, tombant pratiquement à terre, terrassé par quelque chose de bien douloureux: une migraine...

Mais, Leïla n'était pas infirmière du tout!

Elle ne savait pas quoi faire, mais déjà, il fallait l'aider à s'allonger. Elle le guida comme elle le put, se mit à chercher affolée, dans les placards.

"Je n'ai jamais été malade moi....il a dit "Doli-quelque chose" ...Doli...doli..."

Elle se mit à fouiller une armoire, et ramassa une dizaine de boîtes commençant par "Doli". Elle les jeta alors sur la table de chevet près de "son patient", totalement perdue.

"Je...je ne sais pas quoi vous donner...c'est quoi que vous voulez? Dolibunzène? Doliprane? Dolipargane?...Aidez-moi!"

La jolie infirmière aux yeux de rubis n'était décidément pas compétente dans le domaine médical...

Sur que l'idée du déguisement en infirmière était assez subtile, mais le lycéen, ne cherchait pas à savoir si elle l'était vraiment ou pas, tant que ce fichu doliprane ne se faisait pas attendre. l'infirmière sur le tas, ne semblait pas très habituée à répondre à ce genre de demande, car elle mit un temps fou à trouver enfin le bon nom du médicament qu'il convoitait.

 Pas très expérimentée, Leïla put allonger le garçon, alors que sa migraine se faisait de plus en plus insistante. Alors que Akira regarda sans vergogne, les formes de la jeune femme, il put remarquer qu'elle n'avait pratiquement aucune poitrine, mais des assez jolies fesses. Akira se saisit d'un verre en plastique, puis y glissa son cachet, avant de le tendre vers la fausse infirmière, pour qu'elle le replisse du liquide aquatique.

" Vous ne semblez pas très professionnelle, vous êtes nouvelle non ?"

Le garçon, remit ses lunettes en place, puis fixa avec un regard furtif, les boutons de la chemise, qu'il aimerait ouvrir avec ses mains avides de plaisir charnel.

[Hj/ t'es le premier à raconter qu'elle n'a presque pas de poitrine.... xD/Hj]

Leïla s'en allait pour remplir le verre sans le casser, ce qu'elle aurait très bien sût faire vu sa maladresse naturelle... mais elle évita la catastrophe et remplit le gobelet sans rien faire tomber du tout...

"C'est qu'en fait je...je ne suis pas une adepte de l'infirmerie..."

Ce qui était tout à fait vrai, puisque si ce n'était aps pour la tenue, elle n'aurait jamis mis les pieds ici.

"Je n'ai jamais attrapée un seul rhume non plus...alors je ne m'y connais pas du tout en médocs..."

Elle redirigea alors une mèche de cheveux qui la gênait derrière son oreille, puis vint s'assoir près du lit en tendant le verre au patient malchanceux.

"Je m'appelle Leïla, et toi?"

HJ/ ben je constate sur l'avatar moi xd /HJ

Le verre fut assez vite rempli, puis but le médicament aussi vite qu'il fut rempli. L'étudiante l'excita beaucoup dans cette tenue, tandis qu'il remarqua qu'elle s'était enfin rendu à dire qu'elle n'était pas une infirmière, ce qu'Akira pouvait dévoiler au proviseur, pour la faire exclure.

" Je m'appelle Akira Erikawa, je suis en seconde 2. Si tu n'es pas infirmière, et que le proviseur apprenne ce que tu es en train de faire, tu t'exposes à des graves problèmes, mais je ne dis rien que si tu me donne des gâteries."

Erikawa s'approcha de Leïla, puis vit qu'elle se remit une mèche qui tombait sur son front, vers la direction des autres. Elle avait jamais attrapée de rhume, mais elle attraperait peut être autre chose, peut être un sexe masculin. Ses jolies fesses s'assirent sur le lit, ce qui l'excita davantage. Ses mains baladeuses se posèrent sur le dos de la fausse infirmière, puis il la fit s'allonger sur le divan, pour lui faire un massage, donc il avait le secret.

Leïla se laissait faire sans vraiment broncher, découvrant que cet étrange étudiant guérissait bien vite...Cependant, elle ne craignait pas grand chose au niveau des renvois, puisuqe que cela faisait longtemps qu'elle n'était plus étudiante, même si elle en avait toujours l'air... et le directeur avait beaucoup d'affection pour elle aussi.

"Tu es gourmand en demandes, dit-elle d'une voix pleine de miel, mais crois-tu réellement que je crains quoi que ce soit?"

Ses yeux rouges brillaient de curiosité. Son sang de succube ne fit qu'un tour, et le coté de succube de son être, lui, crevait d'envie de connaître le parfum de la peau de ce petit jeune....

"Suis-je ce que tu crois que j'ai l'air?"

Les massages caressèrent le corps dans toute sa longueur, du moindre orteil jusqu'au racine capillaire. Akira enleva assez vite la blouse pour mieux toucher le corps de la jeune femme, alors qu'il déposa des baisers sur le corps de Leïla. Le directeur semblait la connaitre selon ses dires, alors que ses yeux pourpres fixaient le jeune homme avec un regard de curiosité.

" Désolé, mais bon ça vaut mon silence. je n'en sais de ce que tu crains, mais si le principal apprend que tu étais en train de jouer à l'infirmière, tu t'attends à des graves sanctions."

Tout d'un coup, une résistance se fit au niveau de ses tendons, comme si le sang changeait son écoulement de sens, ce qui le surprit aussitôt quand il vit aussi que le visage de la fausse infirmière prit une autre expression, qui semblait assez démoniaque, voir diabolique.

" Comment ça ? Damnation! Serais tu une succube, cet être mythologique qui répand le sexe à travers les contrées terriennes."

Leïle eut un étrange sourire alors qu'il l'accusait déjà d'être une succube.

"Légendaire, légendaire...je ne suis pas une succube, moi...Ma mère, par contre..."

Ses longs cheveux soyeux dégoulinaient de son dos, son corps se tendait tendrement comme à chaque fois que son sang de succube prenait le dessus sur son sang humain.

"Es-tu toujours sûr de ce que tu fais, étudiant?"

Sa mère ? Cela en devait être une demie de cette race tant assoiffée de sexe. Pourquoi pas prendre la fille, et la mère ensuite ? Les longs cheveux de la jeune fille dégageait un étrange liquide semblable a de la sueur.

" Je pensai surtout que les succubes aimaient plus que tout, le plaisir charnel qui se livre entre plusieurs personnes."

Détachant son regard des yeux rubis de la jeune femme, Akira s'assit sur le rebord de son lit pour mettre son pénis entre les fesses de l'infirmière fictive.

" Je ne suis pas sur de ce que je fais, si nous nous mélangeons nos corps, aurai je des risques de mort à mon encontre ?"

Leïla était vraiment curieuse...il n'avait pas l'air effrayée par "la méchante succube dans les les livres" mais aussi, elle n'avait jamais vraiment appréciée non plus ce côté assoifée de sexe qu'elle détenait de sa chère génitrice qu'elle n'avait, bienheureusement, pas connue. Cependant, cela faisait longtemps maintenant qu'elle n'avait rien fait, et se dérouille run peu lui paraissait une excellente idée.

"Mourir...quelle curieuse idée...plusieurs? Décidément, les hommes raffolent de cette idée..."

Comme une illusion, Akira put sentir derrière lui un bref instant le souffle chaud d'une  seconde Leïla dans le creux de son cou, qui disparut aussi vite qu'elle était apparut.

Sentant alors Akira collé à elle dans son dos, elle se cambra légèrement, sa poitrine se mettant nettement plus en valeur.

"C'est comme...une pochette surprise...Tu ne sais pas ce qu'il y a en dessous tant que tu n'as ouvert..."

Ses doigts dansaient sur les boutons qu'elle n'ouvraient cependant pas, soumettant le jeune homme à la tentation.

Son envie folle de se faire prendre étonna fortement le garçon qui n'était pas impressionné par cette race, qui ne pouvait que donner du plaisir dans l'ivresse la plus totale. Son envie de se dérouiller, renforça le désir de la prendre tout de suite, tandis qu'elle voulait le faire languir d'impatience.

Elle sembla compréhensive à ses paroles, ça ne devait pas être le premier a lui avoir posé cette question. Akira semblait perdre la boule, en un instant, il sentit une deuxième personne derrière lui, qui souffla d'un air chaud, son cou. Son sexe était levé comme un étendard, qui rentrer un petit peu dans les fesses de la jeune femme, alors que les doigts d'Erikawa caressèrent les mains de Leïla.

 La demi-succube tapota légèrement les boutons, qui retenait les deux bouts de sa blouse d'un blanc immaculé. Elle se cambra pour mieux mettre sa poitrine en valeur, tandis que les mains douces du jeune homme malaxèrent la petite poitrine, alors qu'un bouton fut décrocher, afin d'y mettre sa main et caresser cette partie du corps.

" Me tarde de voir la surprise, et d'y mettre mon nez dedans."

"La fougue de la jeunesse..."

Leïla leva alors une de ses mains vers le visage d'Akira, lui souriant avec amusement, puis pencha la tête vers lui tendrement. Elle s'approca si près de son visage, comme pour l'embrasser...mais ses lèvres frôlèrent à peine celle du jeune homme, juste le coin de sa bouche, encore une fois pour le taquiner...

Elle se retourna alors vers lui, et encore une fois, une fausse Leïla passa une main sur sa joue alors que la vraie Leïla avait les deux mains posés sur son torse avant de disparaitre.

Un sourire amusé se dessina sur le visage de la succube, pour lui glisser du bout des lèvres, un baiser éphémère du coin de la bouche, pour s'amuser sexuellement. Son buste fut retournée vers son regard, pour lui montrer de quoi était capable son corps tout excité. Une autre once de folie se fit percevoir,  mais cette fois-ci c'était sa joue qui se fit caresser d'une main imaginaire.

" J'ai l'impression de devenir fou, je sens une deuxième personne dans la pièce qui disparait à volonté."

Les deux mains posées sur son torse servait certainement de réponse, aux caresses qu'il adressait à la poitrine de la femme aux yeux rubis. S'approchant d'elle, il la fit basculer, puis l'embrassa fougueusement à nouveau, avant de caresser ses jambes, en remontant vers son sexe de plus en plus lentement.

Leïla se laissait faire, son sang de succube appréciait vraiment beaucoup tant de fougue de la part d'un jeune homme...Leïla avait refoulé ses instincts pendant longtemps...

"Une deuxième personne..."

Elle lui sourit, caressant sa joue avec douceur, puis éclatant de rire.

"Tu rêves...Tout ce qui se passe ici n'est qu'un rêve, Akira..."

Se collant à lui, elle l'embrassa langoureusement, ses seins se durcissant petit à petit contre le torse du jeune homme. Elle lui mordilla l'oreille alors, et ses baisers se mirent à déscendre le long du cou du jeune homme.

"De quoi rêves-tu, Akira?"

Sa partenaire semblait aimer ça, vu qu'elle se laissa basculer sans contrainte, Leïla semblait être devenue une autre personne. Des caresses de ses doigts si fins rencontrèrent sa joue avec virtuosité, alors qu'elle sourit pour éclater de rire rigolant de ses propos. Son imagination devait surement lui jouer des tours, à moins que ce ne soit les pouvoirs de succube qui soient à l'éveil.

Un rêve ? il aimerait bien que ce en soit un, en effet, et espérait de ne plus jamais se réveiller. Son torse contre le sien, Erikawa sentit les tétons se frotter à lui, alors que des baisers rencontrèrent sa peau toute douce.

" Je rêve que ce rapport... ne se finisse jamais..."

Le garçon ôta la deuxième bouton de la blouse, afin qu'il plonge sa tête dans le décolleté affriolant de sa partenaire, avant de les caresser, il adorait être dans cette situation qu'il voulait éternelle. Ses longs doigts se glissèrent dans la culotte de la succube, pour y caresser le vagin, qu'il prit à pleine main, en titillant l'entrée.