Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

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Kabraxis, le voleur d'Espoir

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Les efforts pour l’exciter semblaient marcher car Elise était désormais bien mouillée et lui s’en était vite rendu compte, malgré son envie de résister elle rester une femme appréciant qu’on s’occupe d’elle et qu’on la touche à certains endroits sensible. La volonté de la belle semblait se fragiliser et l’envie de s’abandonner à un plaisir pervers finirait sans doute par la traverser, c’était là une torture particulièrement humiliante pour les demoiselles qui avait du mal à admettre qu’on pouvait les faire couiner tout en abusant d’elles.

Quand elle finit par tourner la tête et lui parler, le démon vit qu’elle était sur le point de céder et qu’il s’agissait d’une tentative masquée pour le dissuader de la sodomiser. Une pratique humiliante qui avait l’air de l’effrayer et qu’elle essayait de lui rappeler qu’il avait accepté de lui épargner la honte de se faire tringler devant son cocu impuissant. Cette petite ne manquait pas de cran pour ainsi le défier juste pour lui prouver qu’elle aussi pouvait avoir de la répartie bien qu’elle ne soit qu’une dinde de bourgeoise qui allait se faire violer. Cela amusa un peu le démon qui décida de ne pas la faire taire en la frappant, ça aurait été une réaction primaire et un quasi aveux de faiblesse face à son ironie.

« Surement sinon je t’aurais prise devant ton mari ma jolie mais ça avait l’air de te gêner que je te câline pas vrai ?  » répliqua t’il sur un ton moqueur.

Joueur le démon retourna la jeune femme sur le dos pour la serrer dans ses bras musclés et l’embrasser chaudement à pleine bouche puis dans le cou tout en s’amusant à tripoter ses tétons durcis par l’envie. Faisant courir ses mains sur les beaux seins de madame Landevin pour la taquiner et la faire frissonner, il voulait lui montrer combien sa résistance était vaine et qu’elle aurait mieux fait d’accepter qu’il soit attentionné avec elle. Sans doute que sa fierté de femme mariée lui empêchait de se laisser aller mais il saurait bien la pousser à le faire, après tous les humains n’était fidèles que par fausse morale et ignorance des joies du libertinage …

D’un air charmeur et coquin il lui sourit et lui lança « Arrêtes de faire la mijaurée, ta chatte parle pour toi, t’es trempée … »

C’était la une de ses répliques préférées car elle mettait ses victimes devant le fait accomplis qu’elles prenaient du plaisir à la situation et qu’il serait vide de sens de continuer de nier leur envie montante de se faire prendre et le désir de se soumettre à un démon habile qui savait bien s’y prendre pour les faire crier.

Tel un prédateur sentant sa proie vulnérable Kabraxis repris sa petite torture en caressant sensuellement l’entrecuisse de la pouliche humaine et en y introduisant deux doigts par moment, le tout sans cesser de guetter les réactions de la blonde. Il fallait qu'elle lâche prise et se mette à couiner, couchée sur le dos il lui serait plus difficile de mordre un coussin pour étouffer ses gémissements et de nier le plaisir qui finirait par la prendre, la victoire était proche car il la sentait mouiller davantage. La donzelle serait bientôt inondées et impatiente de se faire prendre, il y veillerait.

Poussant plus loin son avantage le démon finit par retirer sa main de l’inimitée trempée d’Elise pour venir fièrement porter ses doigts gluants aux lèvres de sa captive pour l’inviter à gouter à sa propre cyprine pour bien l’humilier et lui montrer qu’elle n’était qu’une femelle destinée à calmer ses ardeurs démoniaque.

« Aller coquine, lèches mes doigts plein de mouille puis vient me montrer comment tu suces un homme à moins que tu ne préféres te parjurer haha » Ordonna t’il sur un air amusé, il savait qu’avec la promesse qu’elle lui avait faite il détenait un beau moyen de la pousser à obéir et donc de l’humilier en la poussant à agir comme une délurée.
« Modifié: mardi 13 août 2013, 10:44:12 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Humain(e)

« Surement sinon je t’aurais prise devant ton mari ma jolie mais ça avait l’air de te gêner que je te câline pas vrai ?  »

Cette réponse lui cloue le bec, lui rappelant qu'elle est tout de même dépendante de la bonne volonté du démon, qui pourrait très bien la ramener devant son mari pour les humilier tous les deux. De plus, il ne semble pas tomber à nouveau dans le piège et décide de persévérer dans ses actes de douceur ; il la fait rouler sur le dos et se jette sur elle comme un amant passionné. Elle se force à desserrer les lèvres sous le baiser de son violeur, malgré sa répulsion ; après tout, elle a promis d'obéir. Celui-ci descend ensuite vers son cou et elle le laisse faire, agrippant à nouveau les couvertures pour se forcer à rester immobile alors qu'elle ne pense qu'à se dégager de cette étreinte humide. Il caressa à nous ses seins ; ceux-ci avaient choisi leur camp et brandissaient avec impudeur leurs mamelons gonflés.

« Arrêtes de faire la mijaurée, ta chatte parle pour toi, t’es trempée … »


Elle pince les lèvres, sans rien dire ; ça n'est pas de sa faute si son corps réagit ainsi, cela ne change rien au fait que tout ça la dégoute et qu'elle ne s'y plie que sous la contrainte. Cet argument aurait sonné faux si elle l'avait prononcé, mais elle sait qu'il est juste. Elle ne desserre pas les commissures de la bouche alors qu'il commence à la masturber. Elle ne veut surtout pas montrer le moindre trouble, la moindre expression ambiguë. Son visage reste fermé et ses sourcils froncés, même si sa respiration accélère inexorablement ; contre sa volonté, ces attouchement lui procurent des sensations agréables et font monter son excitation.

Lorsque les caressent la même expression est restée plaquée sur son visage, bien que ses joues aient commencé à rougir. L'homme lui tend ses doigts recouverts de cyprine ;

« Aller coquine, lèches mes doigts plein de mouille puis vient me montrer comment tu suces un homme à moins que tu ne préféres te parjurer haha »


A contre cœur, elle ouvre la bouche et engloutit des doigts et passe sa langue autour d'eux pour les débarrasser de la substance qui les enduit. C'est répugnant, elle en aurait presque un haut le cœur. Mais ce n'est que le début puisqu'il lui a également ordonné de le sucer. Elle s'encourage en pensant que meilleure sera cette fellation, plus vite cette humiliation se terminera. Elle se redresse en poussant un grognement, sa cuisse et son postérieur la faisant souffrir dans son mouvement. Elle n'aime pas vraiment l'idée de laisser se sexe s'introduire dans sa bouche, mais ça n'est pas comme si elle avait le choix... elle se penche vers le pénis turgescent et le laisse glisser à l'intérieur de sa cavité buccale, la caressant avec ses lèvres. Elle la saisit à la base d'une main, pour mieux la diriger, et commence de lents va et vient avec sa tête, frôlant la verge avec ses lèvres, cajolant le dessous de gland avec sa langue. Ayant déjà pratiqué cette activité avec son mari de nombreuses fois, elle n'est pas totalement démunie, malgré son manque de volonté, et elle espère bien amener le chevalier à la jouissance assez rapidement.

Kabraxis, le voleur d'Espoir

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Les répliques du démon avaient finalement remis en place la captive qui commença à se laisser faire en se taisant par peur de la punition. Elise semblait vaincue et soumise vu qu’elle se contentait désormais de taire ses gémissements pour ne pas donner raison à son ravisseur qui lui avait bien fait remarquer qu’elle mouillait et qu’elle n’osait pas s’avouer qu’elle frissonnait sous ses caresses et ses baiser sucrés. La belle rougissait de honte et de géne mais obéit quand il lui ordonna de gouter à sa cyprine avant de venir le sucer.

Qu’il était plaisant de la voir céder et accepter de jouer les bonnes garces dévergondées dans le but d’amadouer son nouveau maître afin qu’il ne s’en prenne pas à son mari par la suite. Si elle semblait jamais avoir pratiqué la sodomie, la blonde savait visiblement s’y prendre pour sucer et devait probablement se débrouiller en galipettes même si jusqu’alors elle ne mettait pas du vraiment sien pour participer cela commençait à changer. La bourgeoise semblait s’appliquer à bien lui tailler une pipe probablement dans l’espoir qu’il lui épargne les pires sévices, c’était beau de voir une femme céder ainsi à l’appel de la luxure en commençant à jouer avec sa trique pour tenter de calmer sa rage.

Satisfait le démon vient caresser les cheveux soyeux de l’humaine qui le suçait désormais comme une petite étudiante salope et toujours en lui souriant d’un aire coquin il lui dit. « Hum tu suces comme une chienne, c’est bien continues ma belle …. Montres moi comment tu sais jouer les salopes pour éviter de te faire enculer ! »

Il aimait la voir ainsi entre ses jambes à lui nettoyer la verge. Son air énervé était excitant comme si elle était furieuse envers elle-même de n’être qu’une faible femme devant se soumettre au vainqueur, une jument impuissante qui vivait que pour se faire saillir et remplir par des chevaux furieux. Les beaux seins de la blonde étaient bien mit en valeur dans cette position ou elle se penchait en avant pour venir le lécher tandis que lui était assis sur le lit à la regarder sucer.

Sa gorge serrée était un régal et le beau diable saisi la belle par la crinière pour la pousser à lui faire des gorges profondes tandis que lui donnait de légers mais rapide coups de reins pour bien lui baiser sa bouche de petite bourge effarouchée. L’idée de lui remplir la bouche de foutre était vraiment tentante et il serait bête de s’en priver.
 
« Actives toi un peu plus ma jolie, fait de longs va et viens en me caressant les bourses … Fais-moi jouir dans ta bouche et avales le foutre comme une grosse cochonne. » Ordonna-t-il d’une voix sacadée par le plaisir qu’il prenait à se faire pomper, humiliant d’avantage le blondasse qu’il était en train de dresser.

Amusé le démon cessa ses coups de reins pour lui laisser finir de lui dévorer son gros mandrin qui déformait la bouche de la captive de façon plaisante, cette mijaurée était complétement en son pouvoir et il comptait bien profiter de son butin jusqu’à la faire rugir de plaisir comme une vulgaire trainée aimant se faire bourrer par un salaud ne lui faisant aucun cadeau …
« Modifié: mercredi 14 août 2013, 10:46:29 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Humain(e)

« Hum tu suces comme une chienne, c’est bien continues ma belle …. Montres moi comment tu sais jouer les salopes pour éviter de te faire enculer ! »

Élise ne prête plus guère attention aux grossièretés de son ravisseur qui n'ont plus grande importance, vu la situation. Elle veut bien se comporter comme une chienne si cela peut accélérer les choses et permettre au guerrier de jouir rapidement. Ils sont seuls dans cette pièce après tout... elle se cambre légèrement pour mettre en valeur ses fesses tandis qu'elle continue sa fellation qui gagne lentement en intensité. A l'écoute des réactions du chevalier, elle veille à faire monter son excitation du mieux qu'elle peut.

Soudain celui-ci lui saisit la tête pour enfoncer sa verge brutalement dans sa gorge. La pauvre est surprise par cette violence : elle n'a jamais été traitée de la sorte et ne s'attendant tout simplement pas à ce que le mâle qu'elle s'appliquait à satisfaire veuille transformer cette fellation, dont l'intérêt est à son sens la douceur et la sensualité, en une pénétration brutale. Elle commence à étouffer, et chacun des coups de hanches du monstre appuie à l'arrière de sa langue, déclenchant un spasme nauséeux. Elle essaye de se dégager, mais il la maintient contre lui de sa poigne de fer, la verge profondément enfoncée dans sa bouche, le gland cognant contre sa glotte.

« Actives toi un peu plus ma jolie, fait de longs va et viens en me caressant les bourses … Fais-moi jouir dans ta bouche et avales le foutre comme une grosse cochonne. »

Finalement, une contraction de son estomac plus violente que les précédentes expulse un jet de bile hors de sa gorge, celui-ci se répandant sur le sexe et les cuisses du dominateur avant d’aller tacher les draps du lit. La blonde se dégage alors de l'emprise du démon et, pliée en deux, des larmes coulant sur ses joues, elle se met à tousser et à cracher, sur le parquet, les restes de sont renvoie.

L'odeur de son propre vomit la prend à la gorge, et elle manque de se vider une nouvelle fois. Si elle s'attendait à être humiliée, la situation dépasse tout ce qu'elle aurait pu imaginer... la peur, la colère, et le début d'excitation malsaine qu'elle ressentait un instant auparavant ont disparu, laissant place à un vague haut le cœur gluant accompagné de morceaux de honte à demi digérés. Elle se demande un instant si son violeur avait prévu ce qui vient d'arriver, si c'est encore l'une de ses perversions... recroquevillée sur elle-même et tremblante, elle lance un regard en coin au monstre dont le gourdin dégouline de soupe stomacale. Vu son expression, il semblerait qu'il n'ait pas anticipé la chose.

Kabraxis, le voleur d'Espoir

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Kabraxis, prince démon des enfers était abasourdi et dégouté. Cette blondasse avait osé lui vomir dessus alors qu’il lui avait juste baisé la gorge pendant une petite minute, pourquoi avait-il fallu qu’il tombe sur une telle cruche lit ? Comment avaient-ils pu en arriver là alors qu’il avait forcé des filles à le sucer des dizaines de fois sans qu’elles en viennent à faire quelque chose d’aussi dégueulasse. Ce genre de faucheux accident ne lui était plus arrivé depuis un siècle et il dû faire des efforts pour ne pas s’énerver et rester digne en allant chercher un linge dans l’armoire pour s’essuyer les parties.

Le démon était fâché contre Elise mais aussi contre lui-même, il n’aurait pas dû s’amuser à la forcer à avaler entièrement sa verge d’étalon d’emblée sans l’avoir préparée. Mais cela il n’allait évidement jamais l’avouer à la femme qu’il violait, ça ne l’aurait vraiment pas fait qu’il se ridiculise en s’excusant envers celle qui allait devenir son esclave.

Il aurait perdu toute son autorité sur elle alors il se contenta du lancer un regard lourd de reproches à sa victime avant de déclarer. « Tu ne pouvais pas te retenir pauvre cruche ? Regarde dans quel état tu nous as mis … On va devoir aller à la salle de bain se laver avant de reprendre les réjouissances pour le coup ! »

Le démon dévisagea la pauvre Elise qui avait aussi vomis sur le parquet, décidément elle avait l’air pitoyable dans cette posture peu ragoutante et ils feraient bien d’aller la laver de toute ses souillures afin qu’elle soit de nouveau attirante et bonne à baiser dans sa nudité. Le monstre finit de s’essuyer puis lancer un autre linge à la captive pour qu’elle se nettoie et cache sa honte d’être à poil, puis il la prit par le bras et il sortirent dans le couloir et le démon en profita pour lancer un regard moqueur au mari cocu et attaché en passant devant la porte de la chambre des tourtereaux resté entrouverte.

« Alors cocu, on s’ennuie tous seul dans son coin  ? Elle est bonne ta femme, une vraie pouliche en chaleur Haha ! » lança-t-il au pauvre marchand attaché pour l’humilier puis Elise et lui descendirent doucement les escaliers pour aller se nettoyer dans la salle de bain. Il s’agissait d’une vieille salle de toilette médiévale avec des baquets et un pompe à eau froide qu’il fallait faire ensuite chauffer. Qu’importe, l’eau glacée ne faisait qu’endurcir les guerriers et exciter les filles, lesquelles aimaient généralement qu’on les réchauffe en les baisant après avoir eut un peu froid.

Le démon fit doucement entrer la blonde dans le grand baquet puis lui versa plusieurs seaux d’eau froide sur la tête pour la faire frissonner et aussi la punir de lui avoir vomis dessus, puis il entra à son tour dans la baignoire médiévale de manière à être placée dans le dos de la donzelle dont il caressa à nouveau les jolis seins pour la taquiner avant de déclarer. « Alors ma jolie on n’est pas bien ici tous les deux ? Tu t’es déjà amusée à te faire sauter dans l’eau ? »
« Modifié: jeudi 15 août 2013, 12:26:33 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Humain(e)

« Tu ne pouvais pas te retenir pauvre cruche ? Regarde dans quel état tu nous as mis … On va devoir aller à la salle de bain se laver avant de reprendre les réjouissances pour le coup ! »

Et voilà que l'énergumène se torche le gourdin dans le linge propre. Même maintenant, elle ne peut s'empêcher de trouver ça culotté. On voit bien que c'est pas lui qui fait la lessive... bon, lorsqu'il lui envoie à elle un drap, elle ne se prive pas non plus pour s'essuyer les lèvres, parce qu'elle se sent vraiment sale... elle s'enroule ensuite à l'intérieur, bien qu'au fond, ça ne soit pas d'une grande utilité. Le démon l'entraine ensuite dans le couloir avant d'aller parader devant l'époux ligoté.

« Alors cocu, on s’ennuie tous seul dans son coin  ? Elle est bonne ta femme, une vraie pouliche en chaleur Haha ! »


Il existe deux types de personnes : celles qui ont de l'humour et les autres. Élise appartient sans nul doute à la première catégorie. L'humour, c'est la petite étincelle qui vient vous dérider à peu près n'importe quand, c'est le grain de folie qui fait pouffer les soldats au fond de leur tranchée, au milieu des cadavres. Alors que la pauvre femme suit son ravisseur, légèrement boitillante et voutée, vers une autre pièce dans laquelle elle sera certainement violée brutalement, elle ne peut empêcher son visage de se déformer dans un rictus sincèrement rigolard. Les paroles du chevalier contrastent tellement avec les faits ( car pour le moment, avouons le, il n'a pas beaucoup profité du corps de sa soumise et s'est montré un amant exécrable ) que s'en est, pour elle, complétement ridicule. Passant à son tour devant l'ouverture, elle fait tanguer sa main horizontalement, par l’entrebâillement, dans un geste pouvant signifier, dans le contexte, quelque chose comme "bof bof". Elle n'a pas le temps de communiquer plus amplement sa manière de penser à son mari qu'elle est déjà entrainée par le bras. Elle a la présence d'esprit de garder son rire silencieux alors qu'elle marche derrière lui. Elle n'imagine pas la raclée qu'il serait capable de lui mettre s'il s'apercevait qu'elle se paie sa tête, surtout après ce qui vient d'arriver.

Elle le suit jusqu'à la salle de bain et entre sans broncher dans le baquet ; elle ferme les yeux et se crispe avant que le premier seau d'eau froide ne se déverse sur elle. Pour le coup, elle n'a plus tellement envie de rire, c'est franchement désagréable. Décidément, ce "viol" a le don de la faire passer d'une émotion à une autre sans préavis. Elle grelotte dans l'eau froide, assise au fond du bac, quand son tortionnaire se décide à la rejoindre, passant dans son dos pour la tripoter à nouveau. Les caresses du démon ont assez peu d'effet, sa victime étant surtout obnubilée par la température de l'eau.

« Alors ma jolie on n’est pas bien ici tous les deux ? Tu t’es déjà amusée à te faire sauter dans l’eau ? »


Ce qu'il est lourdeau... il lui ferait presque penser aux séducteurs ivres des fêtes de village, s'il n'était pas aussi cruel et s'il ne la tenait pas à sa merci... elle lève les yeux au ciel, profitant encore une fois qu'il ne peut voir son visage pour exprimer son mépris au mur d'en face. On a les revanches qu'on peut. Elle n'a pas envie de répondre à la moindre de ses remarques, et pourtant il le lui faut bien, se taire pouvant passer à juste titre pour une marque de mépris. Elle lâche donc d'une voix neutre :

« Oui... mais dans l'eau chaude. »

Kabraxis, le voleur d'Espoir

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Cette petite dinde d’Elise était décidément amusante, elle était si ignorante et tellement habituée à sa vie tranquille et son confort de bourgeoise avec un mari lopette qui devait sans doute lui offrir tous ce qu’elle voulait pour qu’elle devienne à ce point douillette quand il lui versa de l’eau froide dessus. A vrai dire elle représentait le genre de personne que le démon méprisait, les riches stupides et suffisants qui n’avaient jamais connus rien d’autre qu’une vie dorée et oisive. Des courtisans bouffons qui étaient si facile à faire tomber de haut en leur collant une bonne humiliation.

La blondasse semblait bien habituée à son confort et eut le culot de déclarer qu’elle aimait se faire trousser dans un bain chaud et pourquoi pas un jacuzzi tant qu’on y était ? S’il y avait une chose que le démon ne pouvait pas supporter chez les femmes c’était bien les capricieuses suffisantes qui s’imaginer pouvoir mener leurs hommes par le bout de la queue pour qu’ils fassent tout ce qu’elles voulaient comme de minables soumis.

Agacé Kabraxis ne tarda pas à remettre en place cette pimbéche superficielle qui n’avait pas encore l’air de réaliser qu’il était ce qui pouvait lui arriver de pire et qu’elle allait bientôt devenir son esclave, une pauvre chienne qui dormira plus souvent par terre que dans un lit. Fortune avait bien besoin qu’on lui rappelle que rien n’était dû en ce monde et qu’avec lui elle allait devoir souvent se remuer les fesses si elle ne voulait pas être traitée pire qu’une soubrette …

« Mais c’est que madame la bourgeoise est habituée à son petit confort et aurait voulu que je lui coule un bain. Hélas je ne suis pas un pauvre soumis te passant tous tes petits caprices comme ton crétin de mari. Il va falloir sortir de ta petite vie tranquille et dorée pour affronter la réalité, pendant qu’ici tu ne manques de rien des milliers gens crèvent de faim mais ça n’a pas l’air de t’inquiéter. Oh mais j’oubliais, tu es une gourdasse de catégorie A qui n’a jamais voyagé ou ouvert un livre, une bécasse qui serait incapable de se débrouiller si je l’abandonnait la nuit en pleine forêt. » Lança le démon d’un ton railleur en sortant du bain pour se sécher avant d’ordonner à la captive de faire de même.

Lui qui était intelligent savait pertinemment que les mots matait souvent les gens bien plus que les coups et frappait souvent là où ça faisait mal. Les gens n’appréciaient pas quand on leur rappelait leurs faiblesses et leur stupidité. Le prince démon allait faire s’effondrer la petite ville tranquille de sa victime, laquelle ferait vite moins la maline quand il l’emmènerait dans des endroits nettement moins sympathiques que Natalis. Des lieux où elle ne serait qu’une pauvre esclave parmi d’autres devant ramper et supplier comme une petite chienne pour que son maitre ne la punisse pas en la faisant dormir dans un cachot sordide.

« Je crois qu’une petite leçon d’humilité te fera le plus grand bien, je m’en vais te baiser sur la table de ta cuisine comme une vulgaire servante forcée d’écarter les cuisses devant son seigneur ! » Annonça-t-il d’un ton sec avant t’entrainer Elise jusqu’à la dite cuisine ou il la fit s’allonger sur le dos sur la table dure avant de lui écarter les cuisses pour commencer à lui caresser l’entrejambe en ricanant. Si cette bêcheuse voulait qu’il la viole durement en la traitant comme une catin plutôt que cela se passe en douceur avec des caresses. Hé bien elle allait être servie !
« Modifié: vendredi 16 août 2013, 11:43:45 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Humain(e)

« Mais c’est que madame la bourgeoise est habituée à son petit confort et aurait voulu que je lui coule un bain. Hélas je ne suis pas un pauvre soumis te passant tous tes petits caprices comme ton crétin de mari. Il va falloir sortir de ta petite vie tranquille et dorée pour affronter la réalité, pendant qu’ici tu ne manques de rien des milliers gens crèvent de faim mais ça n’a pas l’air de t’inquiéter. Oh mais j’oubliais, tu es une gourdasse de catégorie A qui n’a jamais voyagé ou ouvert un livre, une bécasse qui serait incapable de se débrouiller si je l’abandonnait la nuit en pleine forêt. »
 
Intérieurement, elle commence à bouillir de ne pas pouvoir lui répondre. Non seulement il ne sait rien sur elle, mais en plus il se permet de lui faire la morale, comme si lui se souciait du sort des miséreux. Son mari a fait fortune honnêtement, et elle doute que ça soit le cas de cet envoyé des enfers. En plus il se permet de l'insulter. Lui qui n'est finalement qu'un voyou sans envergure et sans intelligence...

« Je crois qu’une petite leçon d’humilité te fera le plus grand bien, je m’en vais te baiser sur la table de ta cuisine comme une vulgaire servante forcée d’écarter les cuisses devant son seigneur !
- Q-quoi ?!  »


Il ne peut pas faire ça ! Tout le monde va les voir par la fenêtre grande ouverte ! Elle sait qu'elle devrait obéir, mais la panique la saisit et c'est plus fort qu'elle, elle résiste de toute ses forces, se débattant comme une furie, projetant de l'eau partout autour du bac, avant que celui-ci ne se renverse et qu'elle ne glisse, impuissante, sur le sol de pierre, trainée sans effort apparent par le démon  qui l'amène, implacable, jusque devant le plan de travail de la cuisine. Ses battements de jambes paniqués ne servent à brasser de l'air ; elle pousse des petits gémissements suppliants à peine audibles, bridée par la peur que quelqu'un dans la rue l'entende et ne regarde à l'intérieur...

« Non !... S'il vous plait ! Pas ça, pitié !  »

Il la décolle du sol et la dépose sur la table, encore recouverte d'épluchures de pommes, avec une aisance effrayante, avant de lui écarter les cuisses de force. et de commencer de nouveaux attouchements, auxquels elle prête à peine attention ; elle ne peux quitter des yeux l'ouverture béante qui donne sur la rue. Elle ne détecte personne à l'extérieur pour l'instant, mais quelqu'un va finir par passer en jetant un œil distrait, c'est une fatalité. A ce moment il la verra, cuisses écartées, offerte comme une pute à un étranger... elle ne pourrait plus regarder personne dans les yeux, son mari serait humilié. Son cœur bat plus fort que jamais et un sanglot de détresse monte de sa gorge, déformant son visage. Elle attrape les poignets du démon dans ses petites mains, tentant de les repousser de toute ses forces, bien que connaissant la futilité de cet affrontement physique, tandis qu'elle le supplie à voix basse avec l'énergie du désespoir, les mots s’échappant de sa bouche dans un flot ininterrompu :

« S'il vous plait arrêtez, je vous en supplie ! Ils vont nous voir, il vont... vous avez gagné ! Je suis à vous, pitié ! Je vous obéirais ! Arrêtez, je serais... je ferais comme désirez ! Pas ça !... »

Kabraxis, le voleur d'Espoir

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Qu’il était plaisant de voir Elise en proie au désespoir et réduite à le supplier, la simple idée qu’un de ses voisins puisse passer devant la fenêtre et la voir en train de se forniquer avec un étranger comme une pauvre trainée trompant son mari lui était totalement intolérable au point de devenir un peu hystérique. La perspective d’être ainsi humilié à se faire violer devant des gens qu’elle connaissait la faisait paniquer et désormais elle l’implorait comme elle l’avait prié de ne pas la trousser devant son mari attaché.

A vrai dire personne dans la rue ne risquait de les voir ou de les entendre batifoler car le démon avait pris la précaution de lancer plusieurs sort d’illusion sur la maison en arrivant, il n’aimait pas être dérangé par des humains stupides lorsqu’il s’amusait à punir un minable l’ayant mérité en troussant sa femme ! Cette dernière semblait désormais tenter de lui résister tellement qu’elle était affolée à l’idée qu’une de ses voisines puisse les voir, c’était franchement marrant vu qu’il avait prévu d’emmener Elise comme butin avec lui et la pauvrette ne remettrait sans doute jamais les pieds ici.

Devait-il la rassurer pour qu’elle se calme ou en revanche en profiter pour la torturer psychologiquement afin qu’elle ne soit plus qu’une pauvre fille matée et résignée ? Il se souvenait vaguement lui avoir avoué qu’il se souciait un peu de la ménager, pas par pitié mais simplement parce qu’il avait envie de la séduire afin qu’elle lui appartienne totalement ...

Lorsqu’elle lui lança qu’il avait gagné et qu’elle ferait tous ce qu’il voudrait il se mit à ricaner, la pauvre croyait vraiment qu’il se contenterait d’une simple petite victoire sur elle ? Une humiliation et un droit de cuissage avant qu’il s’en aille et la laisse en paix comme l’aurait fait un minable démon queutard de bas étage … Ah vrai dire c’était vexant qu’elle le prenne pour un minable alors qu’il était justement ce que les enfers faisait de mieux, un monstre de manipulation qui avait fait trembler les nations. Même ces pleutres d’anges et toutes leurs manigances ne lui arrivait pas à la cheville !

De la pitié ? Alors que tu as toi-même sous-entendu que tu que tu préférais que je te traite comme une trainée plutôt qu’essayer de te plaire ? Je t’ai déjà fait une faveur de ne pas le faire devant ton mari mais toi tu continues de faire la mijaurée me prenant de haut pour ensuite promettre de faire tout ce que je veux, tu ne serais pas en train de te ficher de moi par hasard ?  Lança-t-il d’un ton cassant tout en la maintenant plaquée sur la table tandis qu’elle gigotait.

Dans sa colère le démon lança un sort d’illusion pour faire apparaitre une fausse villageoise à la fenêtre, laquelle pris un air scandalisée et regarda le couple avec mépris pendant de longues secondes qui durent paraitre interminable pour la blonde … Avant de se transformer en petit diablotin faisant des grimaces, se moquant de la pauvre Elise qui venait de se faire piéger par le démon. Puis il disparut quand Kabraxis dissipa le sort en souriant.

« Huhuhu si tu avais vu ta tête ma jolie … Maintenant calmes-toi, j’ai placé des sorts d’illusions sur ta maison pour que tes voisins ne puissent pas nous voir ou nous entendre. Je n’aime pas être interrompu par des bouseux pendant que je m’amuse vois-tu. Et là je vais te baiser ma jument car j’en peux plus d’attendre !  » Déclara le démon tandis qu’il profitait du trouble de la jeune femme pour la pénétrer lentement mais surement, une délicieuse sensation de sentir son membre imposant se frayer un chemin dans sa petite chatte serrée d’humaine tout en s’amusant de la gêne et du trouble qu’il avait causé chez sa victime qui n’en menait plus large.

Kabraxis avait effectivement remporté cette bataille mais il lui restait encore à gagner la guerre en séduisant Elise pour qu’elle devienne sa maitresse aimante, les pauvres esclaves humaines vaincues et soumises c'était pour les amateurs. Lui visait bien plus haut que les simples démons qui se contentaient de trousser des femmes délurées ...
« Modifié: samedi 17 août 2013, 08:07:09 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Humain(e)

« De la pitié ? Alors que tu as toi-même sous-entendu que tu que tu préférais que je te traite comme une trainée plutôt qu’essayer de te plaire ? Je t’ai déjà fait une faveur de ne pas le faire devant ton mari mais toi tu continues de faire la mijaurée me prenant de haut pour ensuite promettre de faire tout ce que je veux, tu ne serais pas en train de te ficher de moi par hasard ?
- Non je vous promet, je... »


Elle se tait soudainement : une femme vient de s'arrêter devant la fenêtre et leur jette un regard assassin. La honte écrase brutalement l'épouse modèle, pour qui le temps semble s'étirer jusqu'à la déchirure, pendant qu'une suée glaciale part de sa nuque pour envahir tout son corps. Elle sait trop bien ce que doit penser cette inconnue, à l'instant. Elle cache son visage derrière sa main et ferme les yeux pour tenter en vain d'échapper à l'humiliation, mais malgré ses efforts elle ne peut cesser d'avoir conscience de sa position ; piégée entre deux présences hostiles qui la jugent, chacune à leur manière.

Mais de quel droit elle reste ici à regarder, l'autre ? Cette connasse, qu'est-ce qui l'autorise à se planter là et à la mépriser ? Élise, rabaissée à moins que rien, voudrait rabrouer cette mégère et la remettre à sa place, mais dans sa position tous les mots qui pourraient sortir de sa bouche lui semblent par avance sonner faux. Le monde entier semble s'être injustement ligué contre elle. Elle leur en veut à tous ; le démon, la voyeuse, son mari à cause de qui tout ça arrive. Dire qu'on se permet de penser du mal d'elle, alors qu'elle a toujours agit du mieux qu'il était possible... elle n'y est pour rien, qu'on la laisse tranquille !

Elle ne peut plus raisonner ; son esprit et son corps en sont réduits à un champ de bataille où la colère et la honte se livrent une bataille sauvage... avant que la honte ne l'emporte finalement, repoussant la colère jusqu'au fond de sa gorge. Elle pleure alors amèrement dans sa paume. Un vrai sanglot d'impuissance, dégueulasse, de ceux qui vous martyrisent les muscles du visage et vous font montrer les dents.

La spectatrice se mue alors en une petite créature humanoïde, écarlate et grotesque. La pauvre bourgeoise pousse un cri de frayeur en protégeant son visage avec ses bras ; le petit monstre s'agite un peu, puis disparait. Tout ceci n'a aucun sens... elle se penserait dans un cauchemar si les douleurs réparties à divers points de son corps ne donnaient pas à cette scène délirante un côté terriblement tangible.

« Huhuhu si tu avais vu ta tête ma jolie … Maintenant calmes-toi, j’ai placé des sorts d’illusions sur ta maison pour que tes voisins ne puissent pas nous voir ou nous entendre. Je n’aime pas être interrompu par des bouseux pendant que je m’amuse vois-tu. Et là je vais te baiser ma jument car j’en peux plus d’attendre !  »


Ce démon... elle le déteste et elle le craint. Il a tout pouvoir sur elle : celui de l'humilier, de la tuer, de la torturer en lui faisant voir ce que bon lui semble... elle pleure de plus belle, comme pour implorer sa pitié. Cela ne le touche pas, et elle ne s'attendait pas vraiment à ce qu'il se radoucisse mais... peut être qu'elle continue de l'espérer, au fond. Son insensibilité est surement ce qui rend ce monstre terriblement effrayant ; il est capable de tout. Pourquoi un être pareil doit-il exister ? Comment une injustice pareille peut-elle arriver ? Ce n'est pas un criminel sans moral qui s'apprête à abuser d'elle, c'est une sorte d'erreur, une bête qui prend plaisir à faire le mal, invincible, qui peut se permettre d'entrer dans les demeures des hommes comme bon lui semble... Contre lui elle ne peut même plus se fier à ce qu'elle voit, alors qu'elle ne disposait de rien d'autre. Et bien qu'il lui ait assuré que l'intérieur de la maison soit invisible pour les passants, elle ne peut s'empêcher de fixer la fenêtre avec inquiétude.

Finalement, comme annoncé, il la pénètre, sans égard pour elle que son passage dans le bain a asséchée, ouvrant dans la douleur le passage à travers le seuil de son intimité, écartant de force son vagin contracté par l'angoisse. Elle pousse un cri étranglé, alors que cette poutre la tiraille un peu plus à chaque centimètre dont elle progresse impitoyablement, puis plante les ongles dans les avants bras de son violeur, cherchant à supporter cette brûlure atroce et à étouffer la peur que quelque chose en elle ne finisse par se déchirer sous ces frottements insupportables. Elle a sans cesse l'impression que ses chairs s'apprêtent à craquer tandis qu'il avance sans se soucier des conséquences pour son corps à elle.

Il n'a encore effectué qu'une seule allée dans son sexe, et c'est déjà plus qu'elle n'en peut subir, ou du moins qu'elle ne croyait pouvoir en subir. Dans un regain de lucidité qui la surprend elle même, elle tente de se détendre pour faciliter les va-et-vients  de la brute. Si elle cherche à se fermer, elle ne peut que se blesser elle même, et toute résistance est de toute façon inutile face à la puissance malsaine de cette créature. La pauvre femme, réduite à l'état d’ustensile sans pouvoir de décision, ne peut que se plier aux désirs de son tortionnaire en espérant qu'à la fin il l'épargne, comme il l'a promis.

Kabraxis, le voleur d'Espoir

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Fortune avait eu tort de prendre le prince démon pour un minable bandit de bas étage, une brute stupide qu’elle pourrait narguer et tenter de ridiculiser en se moquant des efforts qu’il avait fait pour ne pas se montrer trop cruel envers elle. Sans doute avait-elle dû se dire qu’elle pourrait se venger en douce en le snobant et en ne faisant pas vraiment d’efforts pour se montrer coopérative malgré la promesse faite d’être gentille en échange de ne pas être prise devant son mari cocu. Croyant que le démon serait trop idiot pour comprendre ces allusions et qu’elle pourrait le mépriser sans qu’il s’en aperçoive.

Désormais la blonde faisait bien moins la fière, la punition  cruelle qu’il lui avait infligée à l’aide d’illusions semblait avoir eu raison du courage d’Elise qui en était désormais réduite à lutter pour ne pas céder à la panique d’être à la merci d’une créature des enfers plus dangereuse et impitoyable que ce qu’elle aurait pu imaginer dans ses cauchemars. Après avoir tenté brièvement de nier s’être moquée de lui la jeune femme avait semblé mourir de honte en voyant sa crainte d’être vue par une passante se réaliser et l’épreuve avait dû être très éprouvante pour elle.

De chaudes larmes se mirent à couler sur les joues de madame Landevin et son tourmenteur pu constater qu’il lui avait déjà infligé presque plus que ce qu’elle ne pouvait supporter. Au début la bourgeoise avait pu se draper dans sa dignité pour nier le fait qu’elle était totalement à la merci d’un monstre démoniaque s’apprêtant à la violer mais après l’humiliation et la peur qu’il lui avait fait subir la blonde semblait sur le point de céder au désespoir.

La peur faisait se tendre la donzelle et il put sentir en la pénétrant qu’elle était très serrée avant qu’elle ne pousse un gémissement plaintif et lui plante ses ongles dans ses poignets pour lui faire sentir sa détresse. Alors qu’il s’attendait à ce qu’elle cède à ses émotions et se mette à l’insulter ou le supplier de se retirer, la blonde eut la présence d’esprit de commencer à se détendre et de se laisser aller. Abandonnant silencieusement la lutte contre son agresseur, elle s’en remettait à l’espoir qu’il soit un peu apitoyé par ses larmes et qu’il cesse de la punir en se montrant plus doux avec elle.

Elle avait sans doute bien fait car le démon vient lui caresser doucement la joue avant de poser ses grandes mains sur la poitrine d’Elise qu’il caressa avec tendresse, cherchant à exciter la jeune femme avant de lui parler d’une voix sensuelle. « Laisses-toi aller ma belle, si tu ne luttes pas et que tu y mets du tien, je saurais te récompenser à la hauteur de tes fantasmes les plus fous. Si tu me trouves trop gros, tu as le droit de te caresser pour te faire mouiller beauté, ça va aller.  »

Sur ces paroles le démon saisis doucement une des mains d’Elise pour la poser sur sa petite chatte élargie par son imposant mandrin pour qu’elle se caresse. Puis il se mit à donner de lents coup de bassin en continuant de lui tripoter les tétons, il voulait lui laisser le temps de s’habituer à l’épaisseur de sa verge et au fait qu’il la ménageait en prenant soin d’elle. Avec un peu de chance les deux partenaires pourraient prendre du bon temps ensemble si la blonde y mettait du sien et jouait le jeu de la coquine aimant se faire culbuter par un beau guerrier qui l’avait vaincue. Il y avait des femmes qui prenaient un plaisir pervers à ce genre de situation après tout et peut être que Fortune finirait par en faire partie, s’il la poussait un peu à la luxure ...
« Modifié: lundi 19 août 2013, 19:03:56 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

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Chaque coup de bassin, si lent soit-il et bien qu'elle soit parvenu à se détendre quelque peu, arrache à Élise des grognements de douleur. Son violeur quant à lui semble amusé de la situation. Il finit par amener sa main sur la joue de la victime pour la caresser. Celle-ci, dans une grimace de dégout, secoue la tête comme une enfant devant une vieillard qui voudrait lui pincer le nez ; elle ne veut pas de ces mains sur son visage, encore moins sur sa poitrine ! Elle pousse une sorte de gémissement bestial, venu du fond de la gorge, lorsqu'il commence à titiller ses seins avec douceur. Elle se tortille sans pouvoir s'échapper, retenue par sa promesse et sachant que le démon pourrait la maitriser à son aise, et elle se contracte à nouveau de toutes ses forces, rendant la chevauchée plus pénible que jamais.

« Laisses-toi aller ma belle, si tu ne luttes pas et que tu y mets du tien, je saurais te récompenser à la hauteur de tes fantasmes les plus fous. Si tu me trouves trop gros, tu as le droit de te caresser pour te faire mouiller beauté, ça va aller.  »

Comment peut-il s'imaginer une une chose pareille ? Après qu'il ait déplacé la main de sa captive vers son intimité, la blonde la ramène immédiatement à sa position initiale : fermement agrippée au bord de la table. Hors de question qu'elle tente quoi que ce soit pour prendre du plaisir avec lui. Elle n'a jamais éprouvé un tel dégoût auparavant. Comment peut-il lui parler d'une voix douce et la caresser alors qu'il vient de la torturer une minute plus tôt ? Non ça ne va pas aller. C'est un supplice, c'est injuste et il es le seul à aimer ça. Pauvre con. Elle a simplement envie de lui cracher au visage.

« Je ne veux pas de vos récompenses ! Je vous déteste !! »

Elle crie le tout d'une voix étranglée,  sans même se soucier des conséquences. Elle ne pouvait pas le retenir de tout manière, et puis son tortionnaire devrait déjà avoir envisagé l'idée que son jouet n'apprécie pas d'être supplicié ainsi et lui en veuille personnellement du traitement reçu.

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Malgré sa promesse de se montrer docile et de faire toutes les cochonneries que voudrait le démon, la blonde Elise ne semblait faire aucun effort pour s’adapter à la situation et était visiblement des plus dégoutée que son ravisseur ose lui proposer de prendre du plaisir en sa compagnie. Cette nunuche commença à se tortiller pour s’échapper quand il commença à lui caresser tendrement les seins comme si ses caresses étaient une souillure. Bien qu’elle n’essaie pas vraiment de se dégager pour fuir, cette stupide femelle humaine rendait les choses déplaisantes, du moins pour elle car le démon appréciait de sentir ses lèvres se resserrer autour de sa virilité qui la pourfendait.

La donzelle retira vivement sa main de son bas ventre lorsqu’il l‘invita doucement à se caresser pour rendre les choses moins pénibles pour elle, visiblement cette petite idiote n’avait pas envie qu’il l’épargne. Cette nunuche devait penser que ça serait un comportement de putain que d’écarter tranquillement les jambes devant le vainqueur en cherchant à lui donner du plaisir tout en s’accommodant du fait d’être soumise au droit de cuissage, pour cette idiote un viol se devait surement d’être désagréable. Tant pis pour elle, le démon appréciait aussi quand une femme lui résistait et adorait punir les vilaines filles, cette petite prétendait le détester mais elle n’avait encore rien vu ...

« Je vois que tu n’as pas vraiment envie de faire des efforts pour tenir ta promesse ma belle, si tu préfères avoir mal que d’être gentille avec moi c’est ton problème. Résistes-moi j’adore ça, si tu t’y prends comme il faut je te montrerais qui est le véritable maitre. Punir les vilaines filles m’amuse alors continues comme ça, donnes-moi une raison de vous emmenez en enfer ton mari et toi. Un coin sympa ou vous aurez chacun le loisir de voir l’autre se faire violer par une bande de démons … Je connais des succubes qui seraient contentes que je leur offre un humain comme soumis et là on pourra vraiment dire que tu me détestes ! »

Le démon ricana puis se retira de la petite chatte étroite de l’humaine avant de soulever Elise dans ses bras et d’aller la déposer sur le tapis du salon puis il lui écarta de nouveau les cuisses et commença à lui dévorer l’entrejambe à grands coups de langue, s’attardant sur le clitoris pour la faire couiner. Il voulait pousser cette pimbéche à prendre du plaisir malgré elle pour qu’elle s’habitue à n’être qu’une esclave devant le satisfaire. Tandis qu’il s’appliquait à bien la lécher Kabraxis réfléchissait à ce que pourrait être la suite du programme pour sa nouvelle soumise, il pourrait l’amener chez Carmellia. Son amante louve-garou au Nexus, laquelle avait un côté dominatrice et serait sans doute ravis qu’il partage un autre de ses jouets avec elle.

Quant au mari d’Elise le démon le laisserait tranquille, si la belle tenait sa promesse et se montrait plus docile avec lui pour qu’au moins la blonde se dise qu’il aura tenu parole et que le marchand pourrait reprendre une vie normale après s’être remis de la disparition de sa femme.

Fortune

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« Je vois que tu n’as pas vraiment envie de faire des efforts pour tenir ta promesse ma belle, si tu préfères avoir mal que d’être gentille avec moi c’est ton problème. Résistes-moi j’adore ça, si tu t’y prends comme il faut je te montrerais qui est le véritable maitre. Punir les vilaines filles m’amuse alors continues comme ça, donnes-moi une raison de vous emmenez en enfer ton mari et toi. Un coin sympa ou vous aurez chacun le loisir de voir l’autre se faire violer par une bande de démons … Je connais des succubes qui seraient contentes que je leur offre un humain comme soumis et là on pourra vraiment dire que tu me détestes ! »

Une poussée d'anxiété s'empare d’Élise ; si vraiment ce n'était pas qu'une provocation et qu'il décidait de les enlever tous les deux... elle ne pourrait rien faire pour l'en empêcher. Ce marché pourrait bien n'avoir été qu'un jeu pour cet envoyé des enfers. Après tout il n'a jamais eu besoin du consentement des deux époux pour quoi que ce soit : il a le pouvoir de prendre ce qu'il désire quand il le désire. Cette perspective fait trembler sa voix alors qu'elle lui répond :

« Vous avez promis ! Vous devez nous laisser tranquille ! Je fais tout ce que vous m'ordonnez ! »

Elle pousse malgré tout un faible râle de soulagement après que son violeur se soit retiré ; ce n'est pas fini, bien sur, il va certainement tenter de la conquérir à nouveau, ou bien la frapper encore... elle ne sait exactement lequel de ces cas de figure elle préfère, laquelle de ces deux situations est la pire ; qu'un ennemi vous fasse du mal, ou bien qu'il tente de vous faire du bien alors que vous employez toute votre énergie à le détester ?

Le démon décide alors de changer de pièce à nouveau, et l'emporte jusque sur le tapis du salon ; drôle de manie, que de varier sans cesse l'emplacement... comme si, au final, il ne pouvait se contenter de la baiser simplement. Tout ça sent un peu la mise en scène, mais après tout ce viol n'était à l'origine qu'une démonstration de force à l'intention d'Ozelius Landevin...

Il la dépose sur un tapis et lui écarte les cuisses ; elle ne résiste aucunement, ses jambes n'obéissant de toute façon plus vraiment à se volonté. Il se penche sur elle et elle devine ce qu'il a en tête ; elle ferme les yeux, le visage crispé, espérant peut être être capable d'ignorer la présence de cette langue de serpent entre ses lèvres endolories... peine perdue. Le monstre lui lèche l'entre-jambes avec conviction, laissant ses sillons à l'entrée de sa caverne et sur son mont de Venus. Mme Landevin, elle, ne peut détacher son esprit de son angoisse. Ses dernières forces sont là, focalisées sur la seule chose qui a encore une réelle importance : la créature va-t-elle les épargner, elle et son mari ? Elle essaie à nouveau, à coup d’intonation suppliantes, de lui arracher une promesse, puisque c'est la meilleure garantie qu'elle puisse obtenir.

« Je vous obéis ! Promettez moi que vous nous laisserez ! »

Pendant ce temps, le démon, qui n'a pas cessé ses caresses buccales, cajole avec insistance son clitoris qui commence à gonfler sous ces assauts. Cependant la frimousse de la blonde ne laisse toujours deviner que de la peur et de la gêne. Elle le regarde fixement, appuyée sur ses coudes, le visage trempé de larmes, espérant qu'il daigne interrompre sa baveuse besogne pour lui répondre. Seule sa crainte que le démon ne tienne pas parole la pousse encore à lutter de quelque manière que ce soit. Engourdie par la lassitude et l'impuissance, elle n'a qu'une envie : laisser retomber mollement sa tête sur le tapis et laisser son agresseur faire ce qui lui plait, quoi que ce puisse être.

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La réaction outragée de la blonde face à la perspective que le démon décide de les réduire à l’esclavage son mari et elle fut amusante à voir. La pauvre femme aux foyer humaine lui rappela en tremblant qu’il avait promis de les laisser en paix si elle se laisser trousser par son ravisseur. Sauf que cela était faux et que le démon n’aurait jamais prononcé un serment aussi idiot qui lui gâcherait le plaisir d’emmener Elise avec lui pour la pervertir lentement jusqu’à ce qu’elle devienne une grosse délurée appréciant de se faire ramoner en force le bas ventre par un démon monté comme un étalon et bien plus doué comme amant que tout ce qu’elle avait pu connaitre.

Les humains avaient beau se reproduire comme des lapins, ils n’étaient souvent que des lopettes comparé aux merveilles de la nature qu’étaient les males démons et les splendides succubes qui elles ne vivaient que pour la luxure et la joie de pervertir. Des enfers était née la perfection en matière de débauche et la pauvre Fortune finirait tôt ou tard par s’abandonner entre les bras de son nouveau maitre qui saurait la faire hurler et la remplir comme jamais elle n’aurait imaginé qu’on puisse la baiser même dans ses rêves les plus érotiques. Le démon daigna interrompre ses attaques buccales sur la fente de la pouliche Landevin pour la remettre à sa place.

« Arrêtes de mentir, j’ai juste promis de ne pas te violer devant ton mari en échange de ta coopération. Pour ce qui est du reste je veux bien épargner ce minable pour qu’il vive dans la honte de s’être fait piquer sa jolie femme par un démon qu’il avait été assez idiot pour arnaquer. Je compte bien t’emmener avec moi afin de te faire sortir de ton ignorance. Je veux faire de toi une vraie coquine qui finira par venir me provoquer en se frottant contre moi et qui sera heureuse d’avoir un démon attentionné comme amant. »

Cette prude blonde effarouchée semblait lutter contre les pulsions de son corps mais elle ne pourrait résister longtemps face au plaisirs sans limites que pourrait lui offrir un démon, son tocard de mari ne savait probablement pas s’y prendre avec les femmes. Il fallait les pousser à devenir des soumises un brin perverses aimant la fessée et la sodomie qui étaient des pratiques courantes chez les habitants des enfers ainsi qu’un bon moyen d’amener les salopes à obéir et à ramper nues devant leur maitre. Rien n’était plus beau qu’une trainée réclamant encore et encore de subir les assauts de son amant infernal jusqu’à ce qu’elle s’endorme épuisée, les fesses couvertes de crème.

Joueur le démon caressa la croupe de la blonde avant d’y mettre une petite claque pour la taquiner, il avait envie de continuer à la provoquer jusqu’à ce qu’elle prenne son pied avec lui. Kabraxis fini par s’allonger sur le dos et faire signe à l’humaine de venir s’empaler sur sa flamberge fièrement dressée.

« Je vois que tu n’as pas l’air très motivée à respecter ta part du marché, viens me chevaucher ma petite esclave et saches que si tu y mets vraiment du tiens durant les mois qu’on passera ensemble, je pourrais avoir la bonté de te laisser rentrer chez toi après six mois. »


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