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Absolution divine [Père_Yves]

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Shani Stevens

Dieu

Absolution divine [Père_Yves]

jeudi 25 juillet 2013, 12:44:50

Elle avait encore couché avec un élève... Dans le secrétariat, sans pouvoir se retenir. Une pulsion tout simplement irrésistible, ce qui la chagrinait un peu. Shani luttait contre des pulsions contre lesquelles elle ne pouvait rien. Elle avait déjà suivi une thérapie avec un psy’ et avec une psy’, en pensant naïvement que le sexe changerait quelque chose. Elle avait fini par coucher avec les deux, et avait même été faire une cure dans un centre, où elle avait couché avec le docteur en charge de son éducation. Shani était partie à Seikusu en suivant des conseils, sans savoir, à chaque fois, qu’elle était manipulée par son père, Éros. Éros s’amusait de voir sa fille ainsi, et avait déjà couché avec elle, entretenant ses pulsions sexuelles.

Shani avait encore couché avec un élève, et avait aimé ça. Elle avait aimé que l’élève la traite de salope, et qu’elle éparpille toutes les feuilles dans le bureau. Elle avait honte d’elle-même. Shani n’était pas une pute, mais, avec son corps magnifique, et ses pulsions sexuelles qui survenaient sans qu’elle puisse les repousser, il allait de soi que la secrétaire avait bien du mal à se calmer. Elle avait donc décidé de se rendre dans un endroit où elle espérait recevoir des réponses : l’église de Seikusu. Shani n’était pas vraiment croyante. Elle se définirait plutôt comme une déiste. Shani pensait, sans pouvoir se l’expliquer, qu’il existait des êtres tout-puissants veillant sur eux, des divinités omniscientes, sans trouver aucune raison logique. Elle le croyait, tout simplement... Y avait-il une raison logique derrière les croyances ? Elle avait choisi de se rendre à l’église, car le christianisme, en tant qu’Occidentale, était une religion qu’elle connaissait bien.

C’était le soir, et l’église était relativement vide. Elle était également assez petite, n’ayant rien à voir avec la cathédrale de Notre-Dame, où Shani avait fait une partie à trois avec deux étudiants. Si Dieu existait, elle avait toutes les chances de finir une succube dans l’autre monde... Et cette situation, en réalité, l’attristait. De manière très paradoxale, Shani craignait que, là-haut, son père n’ait honte d’elle... Alors que, son père était très amusé par sa petite Shani, dans laquelle il influait une part de sa passion. Éros, après tout, était le Dieu de l’amour et de la puissance créatrice... Et c’était précisément ce qu’il avait fait avec Shani, sans même le vouloir. Elle était sa fille, et était donc un appel au désir, à l’érotisme le plus fort et le plus passionnel. Shani s’avançait vers la petite boîte du confessionnal. Cette église vide l’effrayait un peu, tout comme la croix avec le Christ au fond de l’autel, et toutes les bougies. Shani avait toujours adoré les chants grégoriens, des musiques extrêmement apaisantes et entraînantes.

Elle se glissa dans le confessionnal, et soupira, résistant à l’envie de partir en courant. Elle n’avait rien à faire ici, elle n’était même pas baptisée ! Et elle avait couché dans une cathédrale, elle avait joui dans le bénitier ! Qu’espérait-elle trouver ici ? Que cherchait-elle ? La rédemption ? Qu’est-ce que ça lui importait ?

*J’en ai juste marre, marre de ces pulsions qui m’assaillent...*

Shani ferma les yeux, avant d’entendre du bruit à côté, la faisant sursauter. Le prêtre était là. Elle déglutit, respira lentement, et lâcha la célèbre litanie, la formule de circonstance :

« Pardonnez-moi, mon Père, parce que j’ai péché... »
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 1 vendredi 26 juillet 2013, 06:32:17

Parfois, je me demande ce qui m'a fait demander une mutation au Japon, au point que ma force de persuasion fut telle que le Saint Siège ne put refuser. Il me revient souvent en mémoire mes années d'évangélisation en Afrique, où, si l'argent était bien rare, il y avait une solidarité, et surtout une omniprésence. Alors que, dans ma modeste église de Seikusu, je ne puis parler de foule, y compris à la messe du dimanche, et s'occuper à nettoyer les cuivres pour passer le temps est une occupation dont je me lasse.
Mais je n'ai pas tout perdu ! Je ne sais si toutes les japonaises ont le feu là où je pense, mais certaines élèves du lycée Mishima ont volontiers souhaité des cours particuliers, et la sacristie est vite devenue plus qu'un simple lieu de prières. Oui, je sais, j'ai pratiqué le péché de chair interdit par mes vœux, j'ai même pratiqué le péché de sodomie honni par les saintes écritures, mais je puis jurer à Dieu que j'ai fait cela par amour de ma prochaine.
D'ailleurs, cela n'a jamais nui à mon ministère ; j'ai toujours reçu les fidèles (dont certaines même mariées voulaient un très profond réconfort), j'ai toujours assuré les services religieux et servi l'image de l'Eglise. Dieu reconnaîtra les siens, paraît-il ; je n'ai fait que le bien et, quand certaines criaient alors que je les baisais, elles n'avaient pas l'air de se plaindre.
J'aime parler de tout ça avec le Christ, tandis que je nettoie chaque jour la belle croix tout en chêne qui surplombe l'autel. Il fut mortel, il me comprend. Je ne l'embête pas avec quelque état d'âme, je lui parle plutôt de mes bons coups. Tiens, à propos de ça, j'entends des talons claquer sur la pierre du sol, à la petite porte d'entrée. A cette heure, ce doit être Madame Doustrebecq qui vient encore me dire qu'elle a fauté d'avoir accidentellement écrasé une araignée. Je suis encore bon pour une heure de confession, où elle va me raconter les galipettes de sa voisine avec un autre homme que son mari. Pauvre bigote, qui ne sait pas que l'autre, c'est moi !
Tiens, le siège du confessionnal qui grince, le siège de gauche j'en reconnais le bruit. Qu'est-ce que j'avais dit ? Allez, va pour une heure de prêchi prêcha, et elle repartira avec trois avé et deux pater jusqu'à demain. Le confessionnal est dans la partie un peu sombre de l'église, au moins offre-t-il quelque intimité, même s'il faut faire attention en marchant. Même pas envie de savoir si la vieille bique a encore mis sa sempiternelle longe robe à fleurs aujourd'hui, j'ouvre ma porte et je rentre dans ce lieu étroit. Zut, j'ai encore oublié de mettre de quoi surmonter certaines odeurs relevant plus de la luxure que de la prière !

« Pardonnez-moi, mon Père, parce que j'ai péché... »

La voix me saisit, non qu'elle soit désagréable et même bien au contraire tant elle est suave, mais parce que ce n'est pas la voix de la vieille saoulante. Pas davantage la voix d'une lycéenne de Mishima, qui verrait un tout usage au confessionnal, comme ce fut déjà le cas je l'avoue. Non, là, ce serait plutôt une voix européenne, une femme à la trentaine à mon avis. Eh oui, la confession est d'abord un jeu de devinettes, amusant parfois, décevant souvent ; il m'arriva de me caresser au seul son d'une voix, pour découvrir, effaré, que celle qui partit à la fin de la confession n'avait vraiment rien pour elle ! Mais revenons à notre brebis égarée...

« Bonjour, ma sœur, le Seigneur vous accueille en ces lieux et, par mon ministère, est prêt à vous écouter. Parlez sans crainte, il n'est pas là pour vous juger, et je vous donnerai son pardon. »

Je ne sais pas encore pourquoi elle est là mais autant aire du clientélisme pour la fidéliser ; si le reste est à l'avenant de sa voix, je veux bien devenir son con-fesseur attitré.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 2 dimanche 28 juillet 2013, 12:33:43

« Bonjour, ma sœur, le Seigneur vous accueille en ces lieux et, par mon ministère, est prêt à vous écouter. Parlez sans crainte, il n'est pas là pour vous juger, et je vous donnerai son pardon. »

Il avait une voix mâture, ferme, agréable. Shani se sentit en confiance, et ferma les yeux. Faisait-elle bien de dire à un prêtre qu’elle avait commis le péché de luxure ? Shani n’avait jamais fait de catéchisme, mais elle savait que l’Église ne rigolait pas avec ça. À quoi s’attendait-elle ? À un sermon ? Elle l’ignorait... Peut-être à ce qu’il lui dise quoi faire, que son sermon évoque des solutions... Diable, elle ne devait pas être la seule nymphomane à se confesser ! Mais, près du lycée Mishima, Shani avait bien compris que les mœurs sexuelles n’étaient pas les mêmes. Elle était partie au Japon pour profiter de sa réputation de rigorisme moral, pensant qu’un pays aussi sérieux puisse l’aider à lutter contre ses pulsions sexuelles... Et elle avait débarqué au lycée Mishima, où elle avait couché avec la directrice, sans savoir qu’Éros s’était débrouillé pour que seule Aphrodite daigne accepter sa candidature. Sa nymphomanie était autant liée à ses gènes semi-divines qu’à l’éducation discrète menée par son père divin.

Elle inspira lentement, tortillant ses doigts entre eux, dans sa belle tenue de secrétaire, incluant sa cravate, une chemise blanche à manches longues, qu’elle avait légèrement recourbé. Il y avait, sous la chemise blanche, une sorte de corset noir en toile, et elle portait une minijupe pouvant s’ouvrir, mais qui était fermée, permettant de voir une partie de ses jambes. Rien d’offensant sur n’importe quelle femme, mais, sur elle, elle ressemblait à une chaudasse ne demandant qu’à se faire péter le cul. C’est ainsi qu’un voisin lui avait défoncé les fesses alors qu’elle rentrait chez elle, le soir. Il portait une cagoule, et l’avait plaqué contre la porte, en défonçant sauvagement son derrière. Elle avait poussé de petits hurlements, avant de jouir contre sa porte, puis de lui faire une fellation. Et elle avait adoré ça, mais n’avait pas voulu savoir son identité. Se faire prendre par de mystérieux voisins, c’était bien plus excitant que par des individus qu’on connaissait.

« Je... J’ai commis le péché de luxure, mon Père... » avoua Shani en fermant les yeux, les doigts moites.

La secrétaire émit un nouveau soupir, avant de reprendre :

« Je... Il y avait cette fille... Au lycée... Elle était venue pour... Pour obtenir son relevé de notes, et... Je... Je n’ai pas pu résister à son petit air timide, à ce corps en formation... Et... Encore aujourd’hui, il y a eu... Ce garçon au secrétariat... »

La voix de Shani mourut dans sa gorge. Elle baissa timidement les yeux, sans rien ajouter, glissant ses mains entre ses cuisses. Devrait-elle avoir honte ? Quand elle repensait à ces scènes, elle ne ressentait qu’une sourde excitation, une chaleur qui remontait à hauteur de son bas-ventre, la titillant... Elle était incapable de penser à autre chose. La beauté l’attirait de manière incontrôlable.

« Je... J’ai déjà essayé... Des traitements, des soins, mais rien n’y fait... Le vice est en moi, mon Père, et j’ignore comment me soigner, comment me guérir... »

Shani n’osait pas regarder par la petite fenêtre grillagée, mais, en regardant à travers ce panneau, on pouvait voir une série de longs cheveux soyeux, ainsi qu’une silhouette permettant de voir une belle jeune femme... Qui confessait, dans le fond, être une véritable salope.
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 3 dimanche 28 juillet 2013, 15:49:02

« Je... J’ai commis le péché de luxure, mon Père... »
Eh ben, si je m’attendais à ça ! pour de la franchise, ç’en est. C’est vrai que, depuis que j’enseigne au lycée Mishima, je me suis rendu compte que les mœurs de la nouvelle génération japonaise sont plus débridées que celles de leurs ancêtres, mais de là à s’auto-attribuer ce péché, il y a un pas à franchir. Pourtant, au petit accent de cet aveu spontané, je ne suis pas certain que j’aie affaire à une femme du cru. Je vois plutôt une européenne, pas encore la trentaine, avec une voix à damner un saint. Expression ô combien bienvenue, même si elle peut paraître incongrue en ces lieux. Mais, si elle se confesse tout du long avec la même voix, je risque d’avoir très chaud, quand nous en viendrons aux détails.
Tiens, ce sera l’occasion de tester le système que j’ai installé, la semaine dernière. Avec les micro-maméras en wi-fi, je devrais voir sa partie de confessionnal sur ma tablette ; mais il faudra vraiment que je fasse attention à ce que, au travers de la grille, elle ne détecte pas quelque luminosité malvenue.
« (…) Il y avait cette fille. (…) ce corps en formation. (…) Ce garçon au secrétariat... »
Oh, je commence à comprendre. Allez, Yves, ce n’est pas pour toi ; celle-là, elle fait dans la jeune génération ; tu peux déjà bander sous ton pantalon noir, ce ne sera pas pour toi. Allez, ouvre ta veste histoire d’aérer ton torse. Mais, là non plus, n’espère pas qu’elle glissera ses mains sous ta chemise blanche.
« Je vois, ma sœur, que votre appétit est énorme, et que la chair jeune et fraîche vous attire. »
Reste un espoir qu’elle aime quand même les hommes à la cinquantaine. Au moins ça te fera encore espérer.
«  Vous savez que Dieu est en désaccord sur les liens charnels entre deux jeune femmes ? ».
Oui, Yves, bien sûr, et évite de lui dire que c’est ton fantasme. Tiens, si elle t »invite à assister, tu ne refuseras pas !
« Mais là, ma sœur, si ces élèves étaient libres de toute attache, tout comme vous j’espère, vous n’avez fait qu’exprimer l’amour. Car, bien entendu, je ne conçois vos actes que comme des actes d’amour, naturellement. »
Mais je me rends compte que l’image de cette femme avec la jeune élève dans son bureau me met sens dessus dessous, et me fait même perdre le fil de mes mots. Comment étaient-elles vêtues ? Comment l’a-t-elle convaincue ? L’a-t-elle déshabillée ? Se sont-elles juste caressées, ou ont-elles utilisé des godemichés ?
« Je veux.. ; Euh, vous pouvez me raconter… Enfin, si vous voulez. »
Oh oui, j’ai envie des moindres détails ; ça ne va rien arranger à la bosse que je caresse doucement à travers mon pantalon. Mais peu importe. D’ailleurs, si j’essaie de ne pas faire le mindre bruit pour qu’elle ne perçoive pas ce léger va et vient sur le tissu, il me semble aussi percevoir, de son côté, de égers mouvements, et même un tissu que crisse un doigt. Elle n’est pas en train de se caresser, alors qu’elle se confie à moi ?
« Vous n’avez pas le vice en vous, ma sœur, rassurez-vous. Le vice est bien plus grave que ça. S’il ne s’agit que de deux élèves, le Seigneur vous pardonnera… à moins que vous ne m’ayez pas tout dit. Je suis là pour vous écouter, pas pour vous juger. Et la démarche que vous faites montre que vous souhaitez suivre la voie divine. »
Mais, quitte à me caresser, autant que je voie à qui j’ai affaire. Doucement, j’allume la tablette, léger sifflement, puis connection aux caméras. Eh ben, si je m’attendais à une telle apparition ! Elle est belle, ô mon Dieu, qu’elle est belle. Enfin, elle est belle, euh, pas que son adorable visage ou sa superbe chevelure, mais d’abord ses yeux où se lit la perdition de l’homme. Mais cette tenue ! La caméra haute zoom sans bruit, jusqu’à me confirmer que c’est bien un corset noir qui cache ses seins sous le chemisier. Et sa cravate. Hum… ne lui laisser que sa cravate, et la promener en la tenant ainsi. Voyons, Yves, tu dérailles ! Cesse immédiatement tes délires, c’est le Diable qui te les inspire. Quoique, pas besoin du Diable pour admirer la minijupe qui pourrait aussi bien s’ouvrir face à elle, que se trousser derrière elle. Yves, resaisis-toi. Et sans regarder ses mains qui frôlent ses jambes, comme si elles voulaient faire monter le plaisir au fur et à mesure de la confession. Oh, tu sais, ce n’est pas pire que ta main gauche qui a déjà défait ta braguette.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 4 mardi 30 juillet 2013, 14:51:47

Mains croisées entre les jambes, Shani écoutait le prêtre lui répondre. Une voix dans sa tête continuait à lui marteler que c’était une mauvaise idée, mais son attention se portait sur les propos du prêtre. Ce dernier la rassurait, lui disait qu’elle n’avait pas commis de péché... Tout en lui demandant de détailler. Shani tiqua. Détailler ? Était-ce quelque chose de courant quand on se confessait ? Shani devait bien avouer que c’était la première fois qu’elle pénétrait dans un confessionnal. L’endroit était petit, étroit, sombre, assez intimidant. Elle regardait à droite et à gauche, se disant que cet endroit n’était pas requis pour les claustrophobes. C’était comme être encerclée face à sa conscience, les murs noirs formant des toiles qui permettaient de voir ses démons et ses cauchemars. Ainsi donc, elle n’avait pas fauté ? Mais pourquoi se sentait-elle si coupable, alors ? Ses doigts remuaient entre sa minijupe, alors qu’elle ne voyait évidemment pas l’objectif de la caméra. Elle soupira, tête baissée. Peut-être que décrire lui ferait du bien, après tout. Oui, ce n’était pas impossible.

Shani soupira donc, replongeant dans ses souvenirs... Des souvenirs qui étaient loin de la laisser indifférentes.

« Elle... Elle s’appelle... »

Shani ne dit rien, récupérant son petit sac à main, triturant à l’intérieur pour en sortir la photo de la concernée. Une belle petite lycéenne. Elle s’appelait Naoko, et Shani raconta au prêtre cette histoire. Naoko était une lycéenne très douée, notamment en Histoire. Elle adorait le Japon, mais venait de déménager, et l’administration, du fait du nombre d’élèves, n’avait pas pu lui transmettre son relevé. Par conséquent, elle était venue au secrétariat. Il faisait chaud, et le ventilateur tournait sur le bureau de Shani, en mode stationnaire, atteignant le corps de Naoko, relevant légèrement sa jupe de lycéenne.

« Elle... Elle est tellement belle... Je me suis relevée pour fouiller dans les casiers, tout en profitant pour bomber légèrement mon fessier, comme... Comme j’ai l’habitude de le faire quand... Quand quelqu’un me plaît. »

Le prêtre croyait qu’elle n’avait couché qu’avec deux élèves, mais pouvait-elle lui dire que son palmarès comprenait bien trois chiffres ? Elle déglutit encore, sa langue passant sur ses lèvres, et poursuivit, en enroulant un doigt dans ses mèches de cheveux. Elle avait rejoint Naoko, en tenant le papier, et, sous l’effet du ventilateur, ce dernier était malencontreusement tombé. Le scénario était digne d’un mauvais film pornographique, mais, à Mishima, c’était entièrement suffisant. En le ramassant, Shani s’était rapprochée de Nako, si près que, en relevant la tête, leurs souffles s’étaient croisés. À partir de là, Shani l’avait embrassé. Un baiser sec et tendre, bref.

Elles s’étaient regardées ensuite, interdites, surprises, la main de Shani sur la nuque de Naoko, qui y avait répondu, en se blottissant contre elle, gémissant de plaisir, ses jambes se frottant contre son bassin. Shani racontait la scène avec précision, tout en basculant sa tête en arrière, la faisant poser contre sa tête, écartant légèrement les jambes, approchant l’une de ses mains de son intimité. Rappeler ce spectacle l’émoustillait.

« J’ai posé une main sur ses fesses..., dit-elle, sur un ton plus déterminé. Si vous saviez, mon père... De belles petites fesses douces et tendres, rondes et moelleuses. J’y ai glissé mon doigt, sentant son shorty se serrer, et je l’ai étalé sur mon bureau, renversant mes papiers, en dégrafant sa chemise... Ses seins étaient comme deux belles pointes se dressant joyeusement devant moi, alors que je lui suçais ses tétons, sous les bonnets de son soutien-gorge. Haaa, elle gémissait de plaisir en se tortillant, les joues rouges, et moi, j’avais peur qu’un autre élève n’entre... Ou que ce soit le directeur-adjoint, Sushira-san. »

Elle avait eu peur, tout en étant étrangement excitée à cette idée.

« Sushira-san se fait passer pour quelqu’un de respectable, venant en costume et tout... Mais il mate des magazines pornos en cachette dans son bureau, et se masturbe sur les photos de classe des élèves... Je l’ai vu en allant dans son bureau de manière inopinée... Il avait un sexe énorme, une vraie matraque... Il a eu peur que je le dénonce, il s’est énervé, m’a giflé. Je suis tombée contre son bureau, et il m’a prise comme ça... En plein dans le cul, j’en ai mal pendant une semaine, à soupirer en posant mes fesses sur n’importe quelle siège. Oh, c’était si bon, mon père... Je jouissais comme une petite catin, et je l’ai baisé sur son fauteuil, toute nue, en me masturbant avec des papiers administratifs... »

Et, tout en parlant, Shani se caressait. C’était plus fort qu’elle... Quand elle disait qu’elle était une nymphomane !
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 5 mercredi 31 juillet 2013, 06:53:28

« Elle... Elle s'appelle... »

Hum, voilà, oui ma chérie, détends-toi. Allons, Yves, concentre-toi, ce dot être la meilleure succube envoyée par Satan pour te pervertir pour de bon ! Tu n'aurais pas du défaire ta ceinture ; avec la braguette ouverte en sus, imagine qu'on te voie, quelle honte ça te ferait !

« Vous pouvez tout me dire, la confession est un acte volontaire et confidentiel. Et même si vous me donnez votre nom, ou simplement votre prénom, il demeurera secret. »

Hum, et si je sais de qui tu parles, je sens que je vais en profiter, pour peu qu'elle assiste à mes cours de théologie. Toi et elle et moi, mon fantasme !
La photo, la caméra basse zoome et, malgré une définition moindre, quel délice, quelle douce vision ; oui, il me semble qu'elle était à mes cours, Naoko il me semble. Ainsi, cette frêle élève n'avait donc pas froid aux yeux. Sait-on jamais, si j'ai l'opportunité ?
Mais une expression me renvoie à la réalité, « bomber légèrement on fessier ». Avec une minijupe pareille, ça doit être... divin. Pardon, Dieu, mais, là, c'est vraiment le mot, et je n'ai pas encore tout vu pour te le confirmer.
Je sens mon sexe de plus en plus pousser sur mon caleçon ; cette femme est un incendie à elle seule, et il me faudra faire quelque chose avant de sortir moi-même du confessionnal ! Rien que de voir, sur l'écran, sa main se perdre dans une mèche de cheveux, et j'imagine les miennes guidant sa tête tandis qu'elle me suce. Il faut déjà que je parvienne à contrôler ma respiration, sinon elle va s'inquiéter. Mais on dirait que je ne suis pas le seul dans cet état ; je vois sur la caméra inférieure sa main qui se promène, dommage que l'intérieur de sa jupe soit encore dans l'ombre.
« Si vous saviez mon père (…) ». Hum, cette description... Ces fesses et ce petit trou qui résiste... Ses tétons, sucés par une femme... Je vois la scène, j'y suis... Non, Satan, arrête et reprends ta succube !
« Oui, ma sœur, c'est bien, décrivez-tout pour libérer votre corps du tourment ». « (…) peur qu'un autre élève entre ». Oh, comme j'aurais aimé entrer et, la trouvant penchée sur le bureau, la tête sur la poitrine de Naoko, juste lui relever cette minijupe et la prendre sauvagement !
« (…) Ou que ce soit (…) Sushira-san ». Le coup m'a abasourdi par sa soudaineté et sa violence. Que vient faire cet être abject ? Je le connais, ce pourri ; c'est le directeur adjoint du Lycée Mishima. J'ai eu droit à deux ou trois de ses visites dans mes cours de théologie, et je déteste son regard vicieux. J'ai même cru entendre qu'il avait forcé certaines lycéennes ; mais, comme aucune n'osera porter plainte, il est tranquille. Et, si je m'en mêle, il me fera virer, en me coupant ainsi de ces adorables élèves !
Et, cette femme, ce serait donc la secrétaire, Mademoiselle Shani je crois. Ce serait elle, dont j'avais deviné en interceptant un SMS de Sajikuro, qui l'aurait dépucelé. Et elle aussi, dont parlaient Maruka et Tinsha à leurs copines, en évoquant un plan à trois. Allons, Yves, reprends-toi, tu ne peux avoir une telle bombe dans le confessionnal.
Sushira-san, cette ordure, c'est bien lui, et il a osé la violer ! Enfin, vu comme elle le décris, je ne dirais peut-être pas ça. Il m'écoeure, ce gros porc !
« Ce n'est pas bien, ma sœur ; vous savez que les préceptes de l'Eglise interdisent d'utiliser le vase inadéquat ».
En fait, Shani, je suis sûr que je peux te défoncer le cul, à ce que tu ne puisses même plus t'asseoir pendant un mois. De toutes façons, tu n'attendrais même pas un mois, et tu viendrais me supplier de recommencer. Tiens, oui, me supplier à genoux comme une priante à qui j'offre mon sexe pour une fellation, avant de te sodomiser sur le banc de velours rouge du déambulatoire. Si le seul nom de Sushira-san m'avait fait débander, imaginer cette scène me redonne une trique d'enfer. Allons, Yves, fais attention à ton vocabulaire !
« Mais ce n'est pas de votre faute ; il vous a forcée, enfin au début, et vous avez été victime du péché de luxure malgré vous. Vous avez cédé au péché de luxure, mais vous n'êtes pas une catin comme vous dites. Dieu vous comprend et, par mon intermédiaire, il saura soulager votre âme et les tourments de votre corps. »
Ouais, tu parles, Yves, tu n'as pas vraiment envie de soulager ça par la prière... Regarde comme tu bandes, regarde ta main gauche qui caresse cette bosse, regarde les images sur les deux caméras, et ose dire que tu vas la renvoyer avec deux pater et trois avé !

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 6 jeudi 01 août 2013, 01:23:28

« Ce n'est pas bien, ma sœur ; vous savez que les préceptes de l'Eglise interdisent d'utiliser le vase inadéquat. »

Le « vase inadéquat »... Il fallait croire que ce religieux était un peu poète ; quelle élégante manière de décrire une sodomie ! Un vase... L’image, dans le fond, n’était pas totalement fausse, mais Shani, en réalité, se moquait bien que l’Église interdise la sodomie. Elle savait qu’il avait existé, jusqu’en 2003, des États américains interdisant la sodomie. L’Église avait du mal à admettre ce qui se passait entre les fesses, ce que Shani avait du mal à comprendre. Si elle adorait se faire prendre par son vagin, elle devait bien admettre qu’une sodomie ajoutait une brutalité tout simplement exquise dans les rapports sexuels. Shani adorait qu’on lui déchire les fesses, qu’on enfonce un gros pieu de chair en elle, qu’elle se sente écartelée, avec cette douleur qui explosait dans son corps, remontant le long de son être, comme si de l’acide brûlait son estomac en remontant le long de son échine. C’était intense, et merveilleux.

Yeux clos, la secrétaire de Mishima avait bien du mal à se retenir, peinant à se contrôler. Elle avait en tête sa séance avec le directeur-adjoint. La rumeur disait que Sushira-san avait été viré d’un lycée à Tokyo pour un scandale sexuel. Un procès avait eu lieu, mais il avait réussi à le gagner, faute de preuves pour l’incriminer. Il avait été poursuivi par les parents d’une fille que Sushira aurait violé. Sushira avait des pulsions incontrôlables, et avait bien failli être radié de l’éducation nationale... Si la directrice de Mishima n’avait pas estimé opportun de le reprendre, parvenant à convaincre l’académie de lui offrir une seconde chance.

« Mais ce n'est pas de votre faute, reprit l’homme. Il vous a forcée, enfin au début, et vous avez été victime du péché de luxure malgré vous. Vous avez cédé au péché de luxure, mais vous n'êtes pas une catin comme vous dites. Dieu vous comprend et, par mon intermédiaire, il saura soulager votre âme et les tourments de votre corps. »

Elle sourit. Elle aurait pu s’en tenir là, et partir. Visiblement, son innocence était préservée... Mais elle ne pouvait pas mentir, pas devant un prêtre. Shani sentait sa culotte s’humidifier, et soupira légèrement, en rouvrant les yeux.

« Ce... C’était la première fois que Sushira-san me prenait... Mais pas la dernière. »

Shani ferma à nouveau les yeux, et parla. Se confesser, ça faisait du bien, et elle sentait effectivement le poids de sa conscience s’amenuiser, au profit d’une sensation familière et agréable entre les cuisses.

« Je... Je l’ai surpris dans une salle, une fois... Il... Il faisait l’amour avec une lycéenne... Et... Je les ai rejoints... Nous avons fait l’amour pendant plus d’une heure, tous les trois, c’était si bon... Et, même au-delà de Sushira-san, je me suis déjà fait prendre par deux lycéens en même temps dans les toilettes... Un devant... Et un derrière... Prendre plaisir à la sodomie, est-ce un péché, mon Père ? Car, si c’est le cas, alors, je suis coupable... »

Rien qu’à y repenser, elle en mouillait encore. Irrécupérable traînée, Shani ne pouvait s’empêcher d’apprécier le sexe, qu’il soit forcé ou non. Éros l’avait éduqué ainsi, en faisant une nymphomane pure souche. C’était presque une forme de dédoublement de la personnalité. Si Shani pouvait être très calme et normale, quand ses pulsions la prenaient, elle était incapable d’y résister. Elle ferma les yeux, en se touchant, glissant ses doigts sous la culotte, et ne put retenir un gémissement, alors que son autre main venait s’agripper à la grille.

« Il... Il fait si chaud, ici... Comment faites-vous pour ne pas suer, mon Père, dans un endroit... Aussi étroit ? »
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 7 jeudi 01 août 2013, 23:53:38

Je ne pensais pas que Sushira-San me poursuivrait jusqu'ici. Cet homme est un non-sens pour l'éducation des jeunes filles, mais pas que d'elles ; je suis même sûr qu'il a couché avec la directrice pour qu'elle le reprenne. Il méprise mes cours de théologie mais moi, au moins je ne prends pas les femmes pour de vulgaires bouts de chair.

« (…) pas la dernière. »

Ce salaud harcèle donc ses victimes. Cette pauvre jeune femme pourrait en témoigner, enfin si elle songe à légèrement modifier ses termes. Car, vu ce que ma caméra basse renvoie sur l'écran du I-Pad, je ne pense pas qu'elle regrette vraiment ce qui s'est passé. Vu comme ses jambes ont tendance à s'ouvrir, et comme ses mains s'insinuent sous sa jupe, elle est dans un état d'excitation certain, en racontant ses exploits.

« (…) plus d'une heure, tous les trois (…) deux en même temps (...) ».

Jamais les lycéennes ou autres rombières, entendues en confession, ne m'avaient raconté de telles prouesses. Arrête de te voiler la face, Yves ! Elle n'est pas si prude que ça, elle est même conforme à sa réputation. Rappelle-toi la première fois dont tu en as entendu parler, tu rêvais de la rencontrer. As-tu oublié que, le soir même, dans ton lit, tu te masturbais, sans même la connaître ? Alors, maintenant qu'elle est tout près, tu ne vas pas la laisser partir !

« (…) Prendre plaisir à la sodomie, est-ce un péché, mon Père ? Car, si c'est le cas, alors, je suis coupable... »

Oh Dieu, combien de fois m'as-tu dit que c'était mal ? Mais as-tu vu comment cette jeune femme en a tiré un plaisir certain ? Ne crois-tu pas que je pourrais l'aider ?

« Un péché, oui, et il suffit de lire la Bible pour s'en convaincre. Mais, euh... enfin... Vous, ce n'est pas pareil. Vous ne... enfin, c'est comme si... En fait, c'est malgré vous, donc Dieu ne peut vous en tenir grief. »

Je suis en train de basculer, je ne sais pas où. « (…) un endroit... aussi étroit ». L'expression me balance une décharge violente dans le bas-ventre. Avec tout ce qu'elle vient de me dire, c'est un autre endroit étroit qui s'impose à mon imagination ! Ses fesses, oui ses fesses, comme il doit être bon de les voir cambrées, comme il doit être bon de les sentir s'ouvrir, comme il doit être bon de s'y enfoncer. Ca me met dans un état second ; jamais l'une de celles qui vint dans ce confessionnal ne m'a mis comme ça ! Mon sexe me fait mal, retenu par le caleçon, et ma main sent même une goutte perler à travers le tissu.

Sa voix douce et sensuelle, sa main qui s'agrippe à la grille, ses doigts longs et fins que je verrais bien glisser tout au long de mon sexe... « Oui, vous avez raison ; il fait très chaud ici ». Et je me demande si elle peut en ignorer la raison. « Si vous avez trop chaud, mettez-vous à l'aise ; nul ne pourra vous voir derrière le rideau. Enfin, j'espère que vous l'avez bien tiré. ».
Ses doigts, oh, ils me... Je me penche, juste un baiser sur leurs bouts, un baiser bien chaste eu égard au feu qui brûle en moi. « N'ayez nulle crainte, ceci est juste l'expression de la présence de Dieu à vos côtés, si vous souhaitez libérer tout ce qui pèse sur votre conscience. ».
Arrête, Yves ! C'est  n'importe quoi... Tu n'oses même pas lui avouer que, plus elle en raconte, plus ça t'excite.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 8 lundi 12 août 2013, 12:34:21

Si Shani avait été moins excitée, moins... Moins plongée dans son joyeux passé, plus réactive, elle aurait sans doute senti qu’il y avait quelque chose qui ne collait pas avec ce prêtre. Elle aurait senti le cafouillage de ce dernier, elle aurait vu son hésitation, et aurait compris de quoi il s’agissait. Cependant, quand on avait en tête les pénétrations intenses de Sushira, il était difficile de se contrôler, de penser à autre chose. Le sexe avait pour lui de réussir à monopoliser à la perfection votre attention, à tel point que penser à autre chose était excessivement difficile. Shani était retombée dans cette tornade rose et sensuelle devant laquelle elle avait bien du mal à se détacher, à se libérer. Seulement... Et bien, même excitée, elle n’était pas totalement idiote, et, quand le prêtre l’embrassa sur le bout des doigts, elle tourna la tête, clignant des yeux. C’était... Assez inattendu de la part d’un homme de foi. Shani retira ses doigts, essayant de comprendre la signification de ce baiser... Tout en le comprenant très bien. Toute son éducation avait été marquée par des hommes qui auraient du ne pas être attirés sexuellement par elle, et qui lui avaient pourtant fait l’amour : professeur, psychiatre, docteur... Alors, un homme de foi ? Était-ce si surprenant ?

Elle repensa à ce qu’elle lui disait. Il lui conseillait de « se mettre à l’aise »

« N'ayez nulle crainte, ceci est juste l'expression de la présence de Dieu à vos côtés, si vous souhaitez libérer tout ce qui pèse sur votre conscience. »

Son mensonge aurait peut-être marché devant une jeune fille baignant dans le catéchisme, mais, devant Shani, ça ressemblait surtout à ce que c’était : une excuse rapidement sortie pour justifier son comportement, en espérant que Shani ne fuirait pas rapidement. C’était, en théorie, ce qu’elle devrait faire. Mais, en théorie, il y avait beaucoup de choses que Shani devait faire, et qu’elle ne faisait nullement. Elle était attirée par ça, et elle sentait très bien que le prêtre était excité par elle. Un pervers à Seikusu, si près de Mishima ? Ce serait surprenant ! Shani se mit donc à sourire, légèrement, et se mit donc à l’aise, remuant un peu sur son siège, remuant ses cheveux, lentement, de manière sensuelle. Oh, elle ignorait que le père pouvait la voir, mais ce n’était pas grave. Elle se disait qu’il pouvait imaginer.

« Pour être tout à fait honnête... C’est la première fois que je suis dans un confessionnal, et... Et bien, je ne sais pas trop si le rideau est... S’il est vraiment fermé ou non... »

C’était une ficelle grosse, mais, dans le sexe, plus c’était gros, et plus ça marchait.

« Vous... Vous ne voudriez pas aller vérifier ? Ainsi... Je me sentirais plus... Plus proche de Dieu... »

Elle savait, si elle ne se trompait pas, qu’il aurait du mal à ne pas regarder à travers. Shani se mettait subitement à fantasmer sur l’idée de lui sucer la queue en confession, pendant qu’une autre ouaille venait se confesser. La petite secrétaire était décidément incorrigible.
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 9 mardi 13 août 2013, 05:48:51

Yves, qu’as-tu fait ? Un tel baiser, que va-t-elle penser ? Instinctivement, je regarde l’écran du I-Pad. De mieux en mieux, sa main est sous sa jupe, et la caméra inférieure me fait comprendre que son doigt est posé sur sa culotte. Ses jambes sont écartées, en toute impudeur ; j’espère qu’elle n’a pas réalisé que deux caméras me permettent de voir son image. Dieu, tu vas réussir à me damner ! D’ailleurs, ma main gauche est toujours active, et aimerait ouvrir ma braguette. C’est vraiment la première fois que je fais ça dans le confessionnal ; il faut dire que la pécheresse n’est pas une Sainte-Nitouche et que, ne sachant pas a priori que je l’observe, elle est de plus en plus à l’aise, elle laisse ses cheveux aller, elle ondule à ne plus savoir où j’en suis.

« (…) C’est la première fois que je suis dans un confessionnal (…) ». Ca, je m’en serais douté ; un tel ouragan chez quelque confrère que ce soit, j’en aurais entendu parler ! Mais, pour le moment, c’est à moi que s’offre ce plaisir, et je ne le laisserai à nul autre.

« C’est bien d’avoir eu cette démarche, vous vous sentirez mieux après. » Ouais, Yves, c’est ça ; et, pendant que tu y es, continue ta phrase ! Toi aussi, tu te sentiras mieux après. Allez, tu as le choix : soit parce que tu vas courir te masturber dans la sacristie, soit parce que tu vas faire avec elle comme avec des lycéennes de Mishima.

Mais de là à s’inquiéter pour le rideau, c’est tout aussi nouveau. Certes, il est sûr que, si une vieille bigote venait à l’église, et voyait une jeune femme se trémousser dans le confessionnal en se caressant. Mais je ne suis pas en état d’aller vérifier, ou la bigote va tomber dans les pommes en voyant comme mon pantalon est déformé !

« (…) aller vérifier (…) ». Vraiment pas de chance, elle y a pensé. Je ne peux pas me défiler, mais je ne peux pas y aller comme ça. Et, si elle continue à me mettre dans cet état, je vais finir par ne plus répondre de rien. « (…) Plus proche de Dieu (…) ». Voilà l’argument massue, que je n’attendais pas, et qui m’interdit de me défausser. Il faut que je reprenne le contrôle de la situation, mais, dans la pose qu’elle offre à mes caméras, ça va être difficile de faire comme si de rien n’était.

« Oui, vous avez raison ; il faut prendre toutes les précautions, pour mieux être en con-fession. »
Je ne maîtrise plus rien, ou quoi ? Voilà bien le jeu sur les mots le plus ringard, mais surtout le plus osé que j’aie fait ici. Allez, Yves, il faut y aller ! Elle t’a demandé de vérifier le rideau…
Mon pantalon est distendu, mon caleçon ne demande qu’à s’abaisser ; il faut que je parvienne à sortir du confessionnal sans rien révéler. La porte grince, elle va savoir que je viens vérifier.

« Je sors, ne vous inquiétez pas ; je ne vais pas au loin, juste plus près de vous ».
Oui, ça y est ; tu as vraiment craqué ! Continue sur les sous-entendus, et ne t’étonne pas de ce qui arrivera. Et je continue, main gauche toujours sur mon sexe, comme pour dissimuler sa tension. Un rapide coup d’œil circulaire, l’église semble déserte heureusement. Le rideau, enfin, soigneusement tiré. Juste en me penchant, ses jambes, juste le bas de ses jambes, plus belles encore que sur mon I-Pad, des jambes qui se sont écartées quand elle s'est fait baiser par ce salaud de Sushira-San, et aussi quand des lycéennes lui ont bouffé la chatte. Si ça se trouve, ce sont les mêmes qui m'ont sucé le sexe aussi ! Rien que l'image, et ma main gauche sent mon sexe tendre le tissu plus encore. Allons, Yves, reprends-toi ; il y a peut-être une vieille bigote agenouillée devant l'autel, qui prie. Eh bien, qu'elle prie encore...
« C’est bien fermé, n’ayez aucune crainte ».
Ma main a vérifié, passant sous le bas du tissu, mais avec une folle envie d’écarter ce rideau, plutôt que de le fermer à tous les regards, y compris au mien. Allez, Yves ; juste une fois, juste pour voir en vrai, juste pour la voir vraiment la main entre les cuisses. Hum, et si je lui proposais de remplacer son doigt par ma langue ? Là, derrière le rideau, m'agenouiller et lécher son sexe qui doit être brûlant. Je ne serais pas le premier, et peut-être même serait-ce un acte de charité chrétienne que de la soulager de ses tourments. Non, ça ne se fait pas ; on pourrait nous voir, à moins que ce ne soit elle qui vienne dans mon confessionnal. Yves, c'est interdit, voyons ! Allez, juste pour voir, sans rien de plus. Dieu ne l'interdit pas. Après, promis, enfin j'essaierai, je retournerai à ma place.
Je repose ma main sur le rideau, je tremble un peu, je ne sais quel motif je vais lui donner.

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 10 jeudi 15 août 2013, 02:15:55

Peut-être que c’était la manière normale dont les choses devaient se dérouler, en définitive... Quand on y réfléchit, pourquoi le sexe devrait être considéré comme un péché ? C’était la seule manière de reproduction qui existe au monde, la seule manière dont l’espèce humaine pouvait continuer à exister. C’était la procréation, et, si la procréation était un péché, alors tout était péché. Shani voulait bien admettre que le sexe forcé était condamnable, mais pourquoi condamner le sexe librement consenti ? Shani n’avait jamais été violée, même quand on la forçait. Le sexe était central pour elle, c’était l’expression physique et matérielle du sentiment amoureux, c’était la plus grande joie qu’un être humain pouvait ressentir en ce bas-monde. Il n’y avait de rien de comparable à cette extase foudroyante qu’elle ressentait quand elle jouissait. Elle avait déjà eu des centaines d’orgasmes, et autant d’amants, mais elle prenait toujours autant son pied en faisant l’amour.

« Oui, vous avez raison ; il faut prendre toutes les précautions, pour mieux être en con-fession. »

Elle sourit, comprenant l’allusion. Peut-être que cette interdiction liée au sexe n’avait que comme but de mieux stimuler encore l’excitation ? Shani s’était toujours posée cette question. Pourquoi vouloir brimer ce qui était délicieux ? Était-ce pour dissuader les gens de faire l’amour, ou, tout simplement, pour rendre cette scène encore plus délicieuse ? Faire l’amour dans un lieu interdit, dans un endroit où le sexe était défendu, rendait la scène encore plus excitante, encore plus chaude, encore plus délicieuse. C’était encore meilleur, tout simplement. Il y avait, en effet, outre le sentiment de plaisir, la sensation grisante d’être libre, en enfreignant les règles. Il n’y avait pas à dire, c’était encore mieux. Un vrai délice ! Shani se trémoussait sur place, en entendant le prêtre se lever, et faire le tour, lourdement, pesamment.

Avait-il la trique ? Pourquoi avait-il fallu que l’Église catholique n’autorise que les hommes à être prêtres ? C’était d’une stupidité sans nom, ils étaient beaucoup plus enclins à la tentation que les femmes, dans la mesure où il était bien plus facile de voir s’ils étaient excités ou non. L’excitation sexuelle, une femme talentueuse pouvait réussir à la dissimuler, et il fallait vraiment s’y connaître, et l’observer, pour le voir. Inversement, quand un homme bandait, la déformation était assez facile à voir. Elle le sentit derrière le rideau, l’imaginant tremblant de désir, en sueur. Il faisait très chaud dans ce confessionnal.

*Je suis venue en victime demandant l’absolution, et je me retrouve en succube tentatrice...*

Elle aurait pu éclater de rire devant l’ironie de l’histoire, mais parler de ses fresques sexuelles avait réveillé sa libido débridée. Shani était vraiment incorrigible. Elle sentait le prêtre s’activer derrière le rideau, se doutant qu’il ne voulait qu’une chose : tirer le rideau, et baiser fermement l’insolente secrétaire, qui l’avait tenté. Elle savait qu’il ne souhaitait que ça, mais qu’il était en lutte. Ce ne serait pas très chrétien, devait-il se dire. Dans la maison de Dieu, qui plus est... Mais Shani l’avait déjà fait, sous le regard du Christ en personne. Une chose qu’elle n’avait jamais compris : comment l’Église pouvait-elle prêcher l’amour et la tolérance en vénérant une image de torture ? Shani n’était pas très religieuse, ce qui était aussi liée à ses origines divines. Les Olympiens et les Dieux anciens n’aimaient que fort peu les Chrétiens, qui s’étaient acharnés à rendre les cultes anciens païens et sataniques.

« C’est bien fermé, finit-il par dire, n’ayez aucune crainte »

Pour autant, le prêtre restait là, et elle voyait sa main s’aventurer. En souriant, Shani comprit qu’il avait du mal à résister. Elle allait donc devoir l’aider dans ce choix. Peut-être bien que la Bible avait raison, en disant que la femme était le sexe tentateur, après tout. Elle réfléchit rapidement, se mordillant les lèvres.

« Merci, mon Père... »

Elle lâcha le dernier mot sur un ton sensuel, légèrement exagéré, sachant que, quand un homme était en proie à l’excitation, un tel comportement pouvait l’exciter facilement. Elle réfléchit donc, puis entreprit de se redresser, de s’avancer légèrement. Le confessionnal était vraiment petit, et elle avança donc son pied, après avoir ôté sa chaussure et sa chaussette. Son pied alla sous les doigts du prêtre, filant ensuite sous le rideau, remuant ce dernier, l’extrémité de ses doigts de pied apparaissant de l’autre côté du confessionnal.

« Puisque vous estimez nécessaire de rester derrière le rideau, mon Père, aidez la pauvre ouaille que je suis à se détendre... J’ai mal au pied, et il a besoin de toute votre attention. »
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 11 jeudi 15 août 2013, 12:26:07

La première grenouille de bénitier qui me dit qu'il fait froid dans l'église, je lui fais ingurgiter toute la barrique de vin de messe ! J'ai des bouffées de chaleur comme celles de ces vieilles bigotes, mais c'est parce que j'ai une de ces triques. Si l'église était fermée, je crois que je culbuterais cette pénitente sur tous les autels et à chaque étape du chemin de croix ! Mon sexe me fait presque mal tant il regrette d'être emprisonné dans son enveloppe de tissu ; je me demande même si j'ai déjà désiré une femme à ce point. Bon, on enlève la première que je n'ai jamais eue, et toutes mes années de chasteté forcée ; mais, depuis que j'ai découvert les lycéennes de Mishima, je ne crois pas avoir éprouvé un tel désir, presque sauvage, et même si Sushira-San m'a précédé. Il paraît que ce salaud a été bien doté par la nature, mais il ne faut pas oublier que je le battrais à plate couture sur la durée, tant -allez, autant l'avouer, les années d'onanisme m'ont appris l'endurance et le nombre- je saurais bander encore quand lui serait tout mou !

« Merci, mon Père », il n'y a même plus la grille entre nous, et le rideau donne à sa voix une tonalité chaude. Ah ouais, Yves, tu crois vraiment ça ? Soit tu as perdu la tête, soit elle commence à perdre la sienne à force de se caresser dans ce confessionnal ! Et après ? Je m'en moque, seul compte ce que j'ai envie de faire. Oh Dieu, ne me juge pas ; tu sais que je ne suis que l'instrument qui épand ton amour, et que je ne fais jamais rien de mal. Allez, je te promets d'être sage si elle cesse de me troubler -oui, tu sais comme moi que je ne pourrais pas m'empêcher, si elle arrêtait, de courir m'enfermer dans la sacristie pour me soulager, mais c'est humain ça- ou plutôt j'essaierai de me contenir.

La réponse vient d'elle-même, quand un adorable pied féminin apparaît sous ce rideau, objet de toutes mes hésitations. Un pied comme sculpté par ces artistes dont je vis les oeuvres au Vatican, la perfection faite femme, et des orteils si adorables et si menus, avec des ongles vernis d'une attention soutenue.
Cachant toujours la bosse de mon pantalon sous ma main gauche, comme si l'illusion était encore permise, comme si quelque bigote intruse penserait plutôt que je suis en train de me masturber, j'avance timidement la main droite, frôlant ce peton menu à la peau si douce, songeant qu'il fut sans doute gainé d'un bas noir ou cambré sur un escarpin en d'autres circonstances. Un contact exquis et troublant, que je n'avais jamais connu. Jetant un rapide coup d'oeil alentour, pour m'assurer d'une parfaite quiétude, je commence à dessiner de mon index les contours de cette cheville délicate, les arrondis de ces orteils si menus, le nacré de ces ongles si joliment dessinés.

« Vous avez le pied d'une déesse, et la charité chrétienne me demande de ne pas laisser dans la souffrance une si belle réalisation du Seigneur ».

Allez, Yves, continue de te bercer de faux semblants, et de jouer sur les mots ! Tu perds ton sang-froid, peut-être au pied d'une succube. J'avoue que ça ne me retient plus vraiment... et, après un nouveau coup d'oeil alentour, je m'agenouille sur le sol froid et, inclinant mon visage, je pose la pointe de ma langue sur le pouce. Qui pourrait y voir à mal ? Même la Bible évoque le soin que chacun prend envers les pieds de son voisin. Où donc ferais-je le mal, à ainsi soulager une ouaille qui souffre de son pied ? Ma langue savoure cette découverte, ce geste anodin enfin presque, ces sauts d'un orteil à l'autre, tandis que ma main droite masse la cheville en de lentes circonvolutions. J'interromps juste un instant, pour la rassurer.

« J'espère que je parviens à soulager votre souffrance. J'ai fait vœu d'aider mon prochain, et je dois tout faire pour vous aider à retrouver la sérénité. »

Et c'est pour cela que je me penche de nouveau, goûtant de ma langue la douceur de sa peau. Un prêtre au pied d'une succube ? Voyons, il n'y a que dans les images qu'on voit ça...

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 12 vendredi 16 août 2013, 02:27:13

Elle avait retiré son bas du pied que le prêtre était en train de caresser, frissonnant de désir. Shani était aussi une fétichiste, pour parfaire son tableau de petite traînée. Combien de fois ses amants avaient-ils léché ses pieds, les mordillant et les suçotant ? Sur ce point, elle devait avouer qu’elle préférait faire ça avec une autre femme, sans trop pouvoir se l’expliquer... Mais, après tout, pouvait-on vraiment expliquer le fait de vouloir baiser des pieds, et d’y trouver un plaisir sensuel ? Les doigts du prêtre glissaient sur sa peau, la caressant, la titillant, avant qu’il ne les remplace par sa bouche. Elle le sentit s’abaisser, l’imaginant dans son froc, qui devait tout d’un coup être très lourd, et très chaud. Quand elle sentit sa langue sur son pouce, un frisson la parcourut, alors qu’elle se mit à serrer de ses doigts trempés la grille, se crispant dessus, alors que son bas-ventre commençait à sincèrement la démanger.

Sa langue se mit à glisser le long de ses orteils, et elle se mit à remuer lentement ses doigts de pied, savourant ce contact. Yeux clos, elle revoyait dans sa tête défiler ce moment où elle avait été chez une amie, au lycée... Elle soupirait, se crispant sur la croix, et se mit à gémir.

« Haaa... Haaaa, mon Père, hummmm... »

Des gémissements pouvaient sans aucun doute paraître exagérés pour de simples lèchements du pied, mais Shani n’était pas comme n’importe qui... Yeux toujours clos, elle remuait légèrement sa jambe, tout en utilisant son autre main, celle qui ne se crispait pas à la grille, pour se soulager, la fourrant dans sa culotte pour titiller son intimité brûlante, pour attiser le désir qui explosait en elle.

« J'espère que je parviens à soulager votre souffrance. J'ai fait vœu d'aider mon prochain, et je dois tout faire pour vous aider à retrouver la sérénité.
 -  Hum... Vous êtes douée, mon... Mon Père... »

Cette fois, son ton était clairement sensuel, mais la redoutable secrétaire n’avait pas encore fini de perturber le pauvre prêtre. Oh non, il n’était qu’au début ! En lui léchant le pied, il lui rappelait un heureux souvenir, qu’elle s’empressa de communiquer, pour soulager le poids de sa conscience... Ou tout simplement pour troubler encore plus cet homme d’Église qui n’arrivait pas à se contrôler, et qui était face à une femme dont les pulsions le dominaient.

« Vous... Vous ai-je parlé de... De Marie, mon Père ? C’est... Ou c’était... Hum... Continuez, mon Père, là, plus bas... Marie... Elle m’avait roulé une pelle dans les vestiaires, après la fin des cours de sport... Nous étions toutes seules, et elle m’avait plaqué contre le casier, en m’embrassant... Le soir, nous avons fait l’amour toute la nuit, chez elle... Et on se léchait les pieds... Je crois que c’est à cause d’elle, mon Père, que... »

Shani se tut, se mordillant les lèvres. Oui, elle avait clairement cette scène dans sa tête. Marie et elle, dans le grand lit de son frère aîné, qui n’était pas là, se faisant l’amour après avoir vu un film porno de la collection « privée » de son frère. Elles avaient fait l’amour sur son lit, et Marie avait commencé en lui titillant les pieds, avec sa langue joueuse, déposant des baisers dessus, remontant ensuite jusqu’à sa culotte...

« J’ai mal, mon Père... Au bout de ma jambe... Un feu qui me démange... Soulagez la pauvre âme en peine que je suis... »

Elle était en train de mouiller, à force de se toucher, et lécha ses propres doigts, avalant sa cyprine, sans la moindre forme de gêne. Il était très difficile de faire rougir Shani sur ce genre de choses.
DC d’Alice Korvander.

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Pere_Yves

Humain(e)

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 13 samedi 17 août 2013, 07:01:32

Je n’aurais jamais imaginé que des pieds puissent être aussi délectables. Certes, tout de la pénitente, qui était derrière ce rideau, devait être délectable. Mais, de là à penser que mon érection monterait encore rien qu’en parcourant de ma langue un adorable orteil, je n’y aurais pas pensé. Au moins Dieu ne peut-il pas me reprocher de transgresser ses lois, car ceci n’a jamais été interdit ! Que ces caresses me mettent dans un état second est autre chose…
Mais il n’y a pas qu’à moi que cela semble plaire, car cette ouaille ne semble pas que dans le regret lié à la confession, mais dans un émoi et une transe tout autres. D’ailleurs, vu comme je sens sa jambe remuer, même presque imperceptiblement, et vu que sa chaise grince par moments, je me doute que ce que j’ai vu sur I-Pad doit continuer. « (…) Vous êtes doué (…) » me confirme que sa voix a changé, et que son état de trouble est manifeste. Et tout ça pour simplement lui caresser les pieds ! Qu’est-ce que ça doit être quand elle se fait prendre ? Les murs et les voisins doivent en profiter.
« Marie (…) nous avons fait l’amour toute la nuit (…) », elle va me rendre fou. Voilà bien une chose que j’aimerais réaliser avec deux lycéennes de Mishima, participer à leurs ébats. Et cette pénitente me parle de ça comme de quelque chose qui… me fait bander plus encore. J’ai une de ces envies de me caresser, mais non, pas ici. Et pas que de me caresser ! Cette femme est pire que les succubes que l’Eglise m’invite à combattre ; elle a l’image d’une femme du monde au vu de ce que les caméras m’ont transmis, mais elle a le feu en elle comme jamais je ne lr vis, et je ne sais comment la situation va évoluer, ni même si j’ai envie d’en sortir.
Il faut que je fasse diversion, que je reprenne mon self control ! J'interromps, malgré moi je l'avoue, la caresse de ma langue, pour la rassurer.
« Ah oui, vous avez, en effet, goûté à bien des plaisirs de la chair. Mais, à chaque fois, il n’y avait qu’amour. Alors Dieu ne peut vous en condamner, si vous savez lui rendre grâce. ».
En fait, c’est plutôt à toi qu’elle va porter un coup de grâce, si elle continue. Regarde-toi, mon pauvre Yves, toi qui es fier d’avoir accroché à ton tableau de chasse quelques pucelages des lycéennes de Mishima, te voilà dépendant d’une femme qui fait de toi ce qu’elle veut en te demandant de lui lécher les pieds, et qui te fait bander comme un âne en pleine église. Elle te demanderait de baisser ton pantalon en pleine église, ou de ramper entre ses jambes, que tu le ferais sans même penser à la situation !
« (…) Au bout de ma jambe… Un feu qui me démange …) ». Et voilà la suite ; tu auras été prévenu, Yves ! Oui, elle a mal à son peton, elle a sans doute dû se tordre la cheville sur la dalle décalée, juste à l'entrée.
« Oui, je le sens ; votre pied a une légère raideur.  ».
Et, bien sûr, Yves, tu ne penses pas à l'autre raideur, celle qui tend ton pantalon !
« Il faudra que je remette d'aplomb la dalle à l'entrée ; comme ça, quand vous reviendrez me voir, vous ne vous ferez plus mal. »
Oh toi, Yves, tu as des idées derrière la tête. Mais concentre-toi sur l'instant présent !
« Je vais vous masser un peu plus haut, pour vous soulager ».
Ben tiens, tu viens de comprendre où est le feu qui la démange.
« Je veux que votre âme puisse s'apaiser. »
Tiens donc, Yves, tu vois son âme entre ses cuisses, toi ! Allez, ne joue pas sur les mots...
Un peu hésitante, ma main droite s'aventure un peu plus haut, la cheville puis le mollet, encore cachés par le rideau. Sa peau est si douce, je ne pensais pas que Dieu ait pu mettre sur la terre des créatures aussi parfaites. Et quand bien même ce serait Satan qui m'aurait envoyé sa plus exquise succube, je n'ai pas envie de l'asperger d'eau bénite. Ce serait même un autre liquide que je ferais volontiers jaillir ! Allons, Yves, tes années d'abstinence forcée t'ont appris le self control ; tu dois maîtriser tes émotions, cesser de caresser ton sexe avec ta main gauche à travers le tissu, et la mettre ta main gauche avec l'autre sur sa cheville souffrante.
Ainsi jointes, mes deux mains relèvent juste un peu le rideau, au gré des massages qu'elles prodiguent entre cheville et mollet, sans toutefois révéler ce qui se cache encore dans la pénombre du confessionnal. « (…) Au bout de ma jambe (…) » t'a-t-elle dit, Yves ! N'as-tu pas envie ? Elle a ôté chaussure et chaussette, elle n'a plus que la jupe entrouverte qui te faisait fantasmer derrière ton écran, elle a sans doute encore le doigt que tu devinais posé sur sa culotte, alors... ne sens-tu pas comme il fait chaud derrière ce rideau ?

Shani Stevens

Dieu

Re : Absolution divine [Père_Yves]

Réponse 14 samedi 17 août 2013, 21:42:01

« Ah oui, vous avez, en effet, goûté à bien des plaisirs de la chair. Mais, à chaque fois, il n’y avait qu’amour. Alors Dieu ne peut vous en condamner, si vous savez lui rendre grâce.. »

Bien des plaisirs de la chair... Amour... Oh ça oui ! Shani avait goûté à beaucoup de choses, et avec délice, et avec bien des amants. Quant à rendre grâce à Dieu... Et bien, il fallait espérer que Dieu, malgré son grand âge, apprécie les jolies minettes, et les jolis culs. Autrement, elle ne voyait pas trop comment Il la pardonnerait. Pour autant, elle n’avait pas peur de Son doigt vengeur. Pourquoi était-elle venue dans cet église ? Était-ce vraiment pour se repentir ? Shani ne le savait pas trop, embrumée par l’effet du désir, par le plaisir sexuel qui pulsait en elle. Elle ne le savait plus, et une voix vicieuse était en train de lui murmurer, dans sa tête, qu’elle était tout simplement venue pour parfaire son expérience, et se faire joyeusement prendre dans un confessionnal, pour se persuader que seul le sexe la dominait, et devait la dominer. Tout le monde naissait avec un talent particulier, un talent qui, parfois, ne s’exprimait pas, et qui, parfois, s’épanouissait. Celui de Shani n’était que le sexe, il n’y avait rien d’autre qui l’inspirait. Le sexe, dans un sens noble et généreux. Hors-de-question de devenir une prostituée, ou d’enchaîner les amants sans savoir avec qui elle couchait ; elle se souvenait toujours de ses amants. Il y avait ses copines, qui avaient toutes, sans exception, couché avec elle, et, parmi les hommes, Shani avait eu de tout. Elle avait eu droit au traditionnel beau mec bronzé, le dragueur sur la plage, qui roulait des mécaniques, se prenant pour la star du camping, ayant toujours une anecdote sans intérêt à vous raconter, qu’il étirait volontairement, en profitant pour se trémousser dans tous les sens, elle avait eu droit au camarade de classe timide, luttant contre ses érections quand il voyait sa camarade aller vers le tableau, le petit geek qui se soulageait dans son lit après avoir regardé des sites érotiques sur Internet en espérant que ses parents ne le surprendraient pas. Si elle en avait gommé certains, elle continuait, de temps en temps, à en voir d’autres, comme Antoine, le geek. Elle lui faisait des strip-teases sur MSN quand elle était lycéenne, tandis que lui se masturbait vigoureusement en tremblant.

Le plaisir qu’elle ressentait sous les mains chaudes et fermes du prêtre lui rappelaient tout ça, toute sa folle jeunesse, qui était encore loin d’être terminée. À Mishima, elle avait encore l’occasion de longuement pratiquer, essentiellement avec les élèves et ses collègues. Le prêtre était quelque chose d’autre, car, mis à part coucher dans Notre-Dame, elle n’avait eu aucun contact sérieux avec la religion. Après tout, les Chrétiens avaient toujours eu du mal avec les femmes, et, étant Française, Shani était imprégnée de la culture religieuse française, qui considérait que le christianisme était la religion par défaut, de référence.

« Je veux que votre âme puisse s'apaiser. »

Diable ! Il ne l’avait toujours pas sauté, ni même ouvert le rideau. Pourquoi être si lent ? Était-il vierge, lui aussi ? Shani avait entendu des rumeurs, de la part de certaines lycéennes, sur des prêtres pervers... Sans compter ces scandales récurrents en Occident sur les prêtres pédophiles. En brimant les pulsions sexuelles, l’Église imposait des lois contre-nature. Shani était étonnée qu’il n’y ait pas plus de pervers que ça au sein de l’Église. Peut-être agissait-il par lâcheté... Ses deux mains caressaient son pied, mais Shani avait besoin de plus.

*L’Église a raison d’avoir peur des femmes... Nous portons la vie, nous savons ce qu’est le sexe bien plus que les hommes, qui sont aveuglés par leur désir...*

C’était quelque chose que Shani avait remarqué à de nombreuses reprises. Sous l’effet du plaisir sexuel, de la libido, de l’érection croissante, un homme devenait bien plus calme, bien plus modéré, même s’il devenait aussi plus dangereux, plus instable. Shani se servait volontiers de ses charmes pour obtenir ce qu’elle voulait, et si, pour obtenir le numéro de la carte bleue de son amant, elle devait le masturber, elle le faisait volontiers, gagnante sur tous les tableaux.

Son autre pied, encore recouvert de son collant, glissa, et atteignit le rideau, formant une bosse. Le prêtre était collé derrière, et elle atteignit son entre-jambes, sentant une belle bosse, ce qui la fit sourire.

« Mon âme..., répéta-t-elle. Ne visez pas si haut, mon Père, mes tourments sont bien plus physiques, je le crains... Et les vôtres me semblent également nécessiter un certain doigté. »

Une femme pouvait masquer son plaisir. Inversement, une érection, ça se remarquait très rapidement.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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