Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

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Pere_Yves

Humain(e)

Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

lundi 22 juillet 2013, 00:28:12

Bientôt vingt-trois heures. La ville de Seikusu est calme, la plupart des habitants ont rejoint leurs foyers et regardent quelque émission télévisée. Il doit encore rester dans la rue quelques lycéens de Mishima, mais aucune chance qu'ils ne viennent en l'église du Père Yves à cette heure. Oh, il ne se plaindra pas ; la journée a été paisible, quelques habituées, des européennes surtout, épouses de chefs d'entreprises ou personnel de délégation consulaire, sont venues pour un conseil, une prière, voire une confession. Pas de nouveaux adeptes dans la population locale ; pourtant, le Saint-Siège est content de ses résultats, même s'il en obtint de meilleurs lors de ses missions en Afrique.
Mais le Japon a d'autres charmes, qu'il ignorait avant de venir. Il commence seulement à le découvrir, et il n'en est pas encore au bout. Au delà même de la culture locale si différente, le Père Yves est, depuis quelque temps, dans l'expectative quant à une mystérieuse contrée, comme un miroir de la terre, peuplée d'êtres étranges qui interpellent les fondements même de l'humanité, donc de la chrétienté. S'il parvenait à rapporter les preuves au Vatican, nul doute que sa gloire et sa fortune seraient assurées.
Ce soir-là, ses rêves sont un peu distraits par un bruit au bout de la ruelle. Des talons qui claquent sur le trottoir, une marche rapide presque une course. Et même plusieurs séries de pas, plusieurs personnes qui viennent dans sa direction. Et, déboulant sous le réverbère , une femme, dont je distingue la jolie silhouette malgré la lumière blafarde, et aussi deux hommes qui courent derrière elle en ricanant.

« Allez, la terranide, arrête-toi ! Tu es juste bonne à être notre esclave sexuelle, alors arrête-toi, sinon la punition sera terrible ! »

Une terranide ? Il en avait entendu parler, ça a quelque chose à voir avec le monde parallèle. Ca ressemble donc aux humains, du moins de loin.

« Au secours, aidez-moi, ils veulent me violer et m'enfermer ! »

Pour un jeu entre potaches, c'est très réaliste. Trop même, pour n'être qu'un jeu. D'ailleurs, vu la tournure que ça prend, on est dans le sordide fait divers. Les deux individus ont rattrapé la jeune femme, sans même remarquer qu'un homme les observe. La coinçant dans une porte cochère, l'un l'a aussitôt forcée à s'agenouiller tut en baillonnant sa bouche avec la main, tandis que l'autre, derrière, a déjà relevé sa jupe et sorti son sexe. Il n'aura même pas le temps de s'en servir qu'un coup, arrivant sur ses bourses, lui arrache un cri de douleur, coupant net tout désir charnel. Son complice relève la tête, fort à propos d'ailleurs, puisque le même bâton le cueille en plein visage dans un sinistre bruit de craquement ds os du nez.

« Dégagez, les deux guignols, ou je vous achève ! »

Face aux deux mécréants, le Père Yves ne manque pas de cran ! Vu la tournure des événements, il a eu le réflexe de s'emparer de ce fidèle bâton, haut comme un homme, qu'il manipule telle une arme antique. Une arme... qui suffit à faire fuir les deux lâches ! Pourtant, seul dans la rue, avec à es pieds une femme qui s'est évanouie, mieux vaut ne pas traîner là ; un étranger aura toujours tort. Alors, saisissant la légère jeune femme, le Père Yves remonte à son église, la déposant sur l'un des canapés rouges près de l'autel, avant d'aller fermer, barricader même, la lourde porte. Tant pis s'il n'a pas le droit de faire ça, la charité chrétienne lui impose d'aider son prochain...

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 1 mercredi 24 juillet 2013, 20:04:15

C’est en préparant le vin de messe dans la sacristie, que j’entends un appel. Ah non, ça ne va pas recommencer ! Les deux guignols ne sont pas venus foutre la pagaille dans mon église ? Furieux, je déboule juste derrière l’autel, saisissant de peur la jeune femme qui s’est désormais assise sur le canapé. Mais un regard circulaire me rassure aussitôt. Elle est seule, et pas en danger.

« Ne vous inquiétez pas, Mademoiselle ; ici, vous devriez être tranquille. »

C’est alors que je finis ma phrase que mes yeux se fixent sur deux aspérités, deux simili oreilles de chat, que sa coiffure révèle à présent ? Les autres parlaient de terranide ; ce serait donc un de leurs attributs, comme j’en avais déjà entendu parler. Je me souviens que certains m’avaient aussi dit que les terranides ont une queue de chat ; ça ne doit pas être pratique dans certaines positions amoureuses. Voyons, Père Yves, tu es un prêtre, arrête de penser à ça !
En fait, quand je l’ai soulevée après qu’elle se soit évanouie, il faisait très sombre dans la rue, et mon église avait aussi peu de lumière pour me révéler des détails anatomiques. Tout juste avais-je été étonné par sa légèreté, surtout que mes yeux n’avaient pu s’empêcher de deviner une poitrine généreuse sous le chemisier blanc, alors que la main la portant sous les fesses avait aussi apprécié un galbe agréable. Mais fi de tout ça !

« Ils ne vous ont rien fait, hormis une sacrée frousse. Ici, vous êtes sous la protection de Dieu, et ils n’oseront pas entrer. Voulez-vous boire quelque chose, ou alors venir vous étendre un peu dans la sacristie ?"

C’est amusant de voir de tels reflets dans ses yeux, on dirait qu’il y a des lueurs orangées. Oh, pas comme les flammes de l’Enfer auxquelles certains m’ont promis pour avoir pratiqué le péché de chair, mais des miroirs qui, en ce moment, reflètent quelque chose entre crainte et méfiance.
Laissant mon regard descendre, s’attardant malgré lui sur le galbe des seins qui se dessine sous le chemisier, glissant sur la courbe de ses jambes esquissée par la jupe plissée, je réalise alors que sa cheville est enflée. La pauvre ! Elle a mal, mais n’ose pas me le dire.

« Votre cheville a l’air mal en point. Je dois avoir une pommade apaisante, si vous voulez vous soulager, à moins que vous ne préfériez que je vous masse avec. »

J’ai dit ça sans réfléchir, comme si ça semblait naturel. Moi, un homme d’Eglise, masser la cheville d’une jeune femme, ça peut déjà prêter à confusion. Mais moi, un homme d’Eglise, agenouillé devant une jeune femme en jupe, quand on sait que certaines lycéennes de Mishima se sont retrouvées dans mon lit, ça ne laisse pus guère de doute.

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 2 mercredi 24 juillet 2013, 23:42:03

Je suis heureux de la savoir rassurée, même si je sais qu'une telle agression laisse des traces. Mais je ne comprends pas pourquoi les deux ordures parlaient d'esclave sexuelle. J'avais déjà entendu que, dans l'autre monde, de telles créatures étaient ainsi exploitées. Quelle horreur ! C'est vrai que sa silhouette est avenante, mais rien ne s'obtient par la violence. D'ailleurs, si j'ai eu quelques écarts avec certaines lycéennes de Mishima, elles étaient toujours consentantes, et peu farouches aussi.

« Je vais vous masser, puis vous vous reposerez. »

La jeune femme que je viens de secourir ne le semble pas trop car, à moins que ce ne soit mon statut  qui la rassure, elle me tend sa jambe avec une ingénuité surprenante. Une jambe longiligne et divinement galbée, une allure féline et élancée. Un peu gêné, je prends une noisette de pommade dans la paume de main, et, doucement, de mes deux mains, je commence à masser sa jambe. La cheville bien sûr, enflée mais pas cassée, même si le contact de mes mains lui arrache une grimace.

« Oh, j'espère que je ne vous ai pas fait mal ; je veux prendre soin, j'essaie de ne pas trop appuyer. Dites-moi si je vous fais mal, car ce sera vraiment malgré moi. »

Elle a une peau si douce, incroyablement douce... et je marque soudain un temps d'arrêt, stupéfait de voir une queue de chat. Mes yeux restent fixés sur cet appendice caudal incongru. Certes j'en avais déjà entendu parler, mais de là à ce que ce soit une réalité, il y a un gouffre. Que vais-je encore avoir comme surprise ? Ni crocs acérés ni griffes pointues, ce serait dommage pour faire une caresse ou... Zut, redeviens sérieux, arrête de fantasmer ! Si tu l'as sauvée, ce n'est pas pour lui sauter dessus.
Et, d'ailleurs, un autre sujet captive mon regard, tandis que mes mains reprennent leur doux massage. Sa jupe, pourtant élégante, a doucement remonté avec la pose et, à la vision d'une cuisse qui se dessine, je sens mon sexe gonfler. Pourvu qu'elle ne s'en rende pas compte, elle va me prendre pour un pervers, et s'enfuir en courant pour la deuxième fois de la soirée.

« Détendez-vous, laissez-vous aller ; vous n'avez rien à craindre, vous pouvez même vous étendre davantage, si vous voulez. »

Je sens mon érection monter encore. Sa petite culotte ! Adorable et légère. A travers le frêle tissu tapi dans l'ombre, je devine un sexe qui la rapproche plus de la femme que de la chatte. Je souris à ce jeu de mots. Pourvu qu'elle ne capte pas mon regard, ce serait dommage de me priver de ce spectacle !

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 3 jeudi 25 juillet 2013, 23:04:26

Eh bien, elle semble vite à l'aise, la demoiselle ! C'est rassurant par rapport au choc psychologique qu'elle a subi, mais il est rare qu'une paroissienne, si l'on peut dire ainsi, me tutoie si vite. A vrai dire, je ne me souviens pas davantage d'avoir ainsi massé une paroissienne, avec la vision d'une queue de chat !

« Ca va je te fais pas trop peur avec mes attributs d’animaux (…) »


Elle a intercepté mon regard, enfin pas vraiment tout ce qui l'attire. Car il n'y a pas que sa queue de chat que j'ai remarqué !

« Oui, vous... Enfin, tu me surprends ; j'avoue que j'avais entendu parler de cela, enfin tout à l'heure l'un des hommes a parlé de terranide. Mais je n'en sais pas plus, et j'ai aussi remarqué, je m'en excuse, de petites oreilles bien différentes des miennes. Je dirais que cela vous donne un charme félin. »

Stupide jeu sur les mots, me dis-je, mais trop tard. Je commence à être de plus en plus à l'aise avec cette invitée surprise, qui me voit comme son sauveur. Elle a un sourire délicieux et une voix toute douce, ses yeux sont deux jolis miroirs et sa poitrine est d'agréables rondeurs, et elle n'est pas trop farouche vu le spectacle qu'elle m'offre sur ses jambes.
Heureusement qu'elle s'allonge davantage ; comme ça, elle ne pourra remarquer la bosse qui commence à déformer mon pantalon. Car, une fois passée la queue de chat, elle a un physique très féminin. Et, même homme d'Eglise, je ne peux rester indifférent quand une jeune femme séduisante ouvre devant moi le compas de ses jambes.
Dieu, ne me soumets pas à la tentation ! Mais celle qui s'appelle Koya me perturbe de plus en plus.

« Yves, mais appelle-moi Père Yves. Détends-toi, et tu peux même t'assoupir, ou bien passer la nuit ici, si ça peut te rassurer. »

D'un petit bâillement j'en déduis que mon offre a été reçue cinq sur cinq. Et, tandis que la jolie nekko s'enfonce dans une somnolence, je continue mes massages, mais cette fois plus haut, le genou, le bas des cuisses même. Jamais, je n'avais encore massé les lycéennes de Mishima que j'avais attirées dans la sacristie. Mais là, c'est comme si ce spectacle me fascinait et m'attirait.

« Laisse-toi aller ; je vais te décontracter, afin que tu puisses te reposer. »

Seul alibi trouvé, au cas où elle s'étonnerait que mes mains sont si haut sur ses jambes, avec une furieuse envie de remonter plus haut encore.

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 4 samedi 27 juillet 2013, 06:59:34

« C'est pour te remercier de tout ce que tu fais pour moi, Père Yves. »

Oh Dieu, ne me soumets pas à la tentation, même d'un simple bisou ! Tu le sais bien, la chair est faillible, et la mienne tout particulièrement. Tu m'as envoyé une créature d'un monde que je ne connaissais pas ; même quand je me suis plongé dans les dix-sept tomes de l'histoire de la chrétienté dans la bibliothèque de l'abbaye de Pfaffenheimer, je n'ai jamais lu qu'il existait comme un monde parallèle... et avec de si troublantes créatures. Ce ne peut être l'oeuvre du Diable car, si je n'étais pas intervenu, ce sont précisément des sbires de Satan qui l'auraient malmenée.
Mais là, donne-moi la volonté de juste l'aider, sans profiter de sa faiblesse, de la soigner pour qu'elle puisse repartir heureuse et soulagée, sans que je faillisse encore à mon vœu de chasteté. Ah non, je ne peux pas ! Elle m'a dit : « les deux hommes de tout à l'heure doivent attendre mon retour ». Tu vois que je dois la garder ici, au moins la nuit, pour sa propre sécurité. C'est là faire œuvre de charité. Si je l'oblige à partir, une fois qu'elle sera soulagée, je serai un mauvais chrétien indigne de toi.

« Vous... Tu pourras rester ici le temps que tu désires. Il en va de ta sécurité, et l'Eglise sait accueillir et protéger les faibles que le Diable menace. »

Tu vois, Dieu, je ne lui ai pas parlé de mon it, ni même de ma chambre. Et ce n'est pas parce que mes mains adorent masser sa, ou plutôt ses jambes, que je suis, moi, menaçant pour elle. D'ailleurs, elle ne peut pas voir mon érection, dans ma position accroupie !

« Est-ce qu'il est possible, ici, de se laver ? »

La question me surprend comme je ne m'y attendais pas du tout. D'ailleurs, Dieu, je te ferais remarquer que ce n'est pas moi qui en ai parlé ! Et, si elle me dit qu'elle a très chaud, elle précise bien que c'est à cause de la course poursuite de tout à l'heure, et pas de mes massages strictement à caractère de soulagement. Allons, Yves, garde ta raison, même si ce petit rond humide sur la culotte de cette neko fait gamberger ton imagination. Calme-toi, sinon tu vas avoir du mal à contrôler ton érection !

« Mais oui, Koya, si tu le souhaites, j'ai une petite salle d'eau, juste à côté de la sacristie. Tu sais, c'est ici que je vis ; alors, si la sacristie est le lieu « officiel » où je travaille, j'ai ma partie privée juste derrière, avec une cuisine, et bien sûr ma chambre. »

Non, Dieu, je te jure, enfin je te dis que je n'ai eu aucune idée malveillante, en lui parlant de ma chambre. Tu m'as enseigné d'être à l'écoute de mon prochain, et c'est ce que je fais, être attentif à ses moindres souhaits.

« Mais je vis modestement ; ce n'est pas un jacuzzi, mais une baignoire à l'ancienne, avec de jolis pieds sculptés, et qui se remplit à la main. C'est tout simple, mais j'aime m'y détendre le soir. »

Je ne vais pas lui dire qu'il m'arrive de m'y détendre au point de songer à quelque lycéenne récemment déflorée, et que mes mains alors...

« Justement, j'avais fait chauffer de l'eau, et elle doit être à température. Mais, si tu préfères, il y a aussi un lavabo tout simple. Et puis, j'ai fait venir, de France, des savons parfumés. Si ça peut te soulager... »

Soulager ? Voyons, Yves, sa petite culotte est mouillée rien que de tes mains sur ses cuisses, et toi tu bandes, tu ne crois pas qu'il y a d'autres soulagements ? Et puis, réfléchis un peu, essaie de te lever, et elle va remarquer la bosse sous ton pantalon !
Là, c'est vrai que, côté discrétion, ça ne va pas être ce qu'il faut. Si je la mène à la petite salle d'eau, il va falloir que je sois très... discret.

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 5 samedi 17 août 2013, 07:55:09

« Un bon bain me ferait le plus grand bien », j'espère qu'elle a bien compris. Il n'y a pas de chauffe-eau en tant que tel ici, et c'est de l'eau que j'ai fait chauffer grâce à une installation bizarroïde faite de je ne sais quel jeu de résistances. Si elle en veut encore plus, quand elle sera dans la baignoire, il faudra que je vienne en verser sur elle. Allez, Yves, arrête d'y penser ; ça te fait encore plus bander !
Mais mon idée lui a plu, et le serviteur de Dieu doit être content de voir son ouaille enfin se redresser... et c'est même elle qui me tend la main pour m'aider à me relever. Sont-elles toutes aussi adorables et douces ces terranides ? Oh, Dieu, tu devrais présenter ces êtres à l'humanité toute entière ; ça lui apprendrait à retrouver la voie de tes engagements.
Mais il ne faut pas qu'elle voie mon érection ! Je ne veux pas lui faire peur, elle est si différentes des lycéennes de Mishima. Celles-là l'auraient aussitôt remarquée, et plus d'une serait déjà à genoux en train d'ouvrir ma braguette, même ici. Oui, il y en a vraiment de chaudes, et ça ne peut pas me faire regretter d'avoir renoncé au vœu de chasteté. Alors que cette terranide est si réservée... mais presque trop innocente. Comment ne peut-elle pas réaliser que ses seins appuient sur mon bras ? Hum, cette poitrine, autrement plus développée que les œufs au plat des lycéennes. Païzuri, le mot local jaillit dans mon esprit, gonflant encore un peu plus mon pantalon. Allons, Yves, redeviens lucide !
« Voilà, comme ça, Koya ; nous allons marcher doucement. Un bain sera salutaire, et même un peu de repos par la suite, si tu le désires. »
Arrête de masquer ce que tu penses, Yves ! Tu vas la voir nue au bain, tu vas peut-être même la savonner, et tu lui proposes de s'allonger sur ton lit. Et, un fois qu'elle sera dans tes draps, nue et parfumée, tu vas rester à...
Non de Dieu ! Oui, le juron, le blasphème, mais nul n'est parfait. Et moi encore moins. J'avais laissé mon ordinateur en pause... sur un site de lingerie. Oui, je sais, ce n'est pas bien, mais je ne fais rien de mal non plus ; je regarde comment évolue ma vieille Europe à travers ses us vestimentaires. Bon, allez, j'avoue, je me suis déjà dit que ce serait sympa d'en commander un peu, sous pli discret, pour montrer ça à certaines lycéennes de Mishima, qui n'en connaissent encore rien. Mais là, pour le coup, ça risque de passer très mal ; il ne faut pas qu'elle s'en rende compte. Ou il faut vite que je trouve une raison plausible. Bon, ça va, l'écran n'est pas tout à fait tourné vers la porte d'entrée de la sacristie ; j'espère que ça évitera les questions.

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 6 mercredi 21 août 2013, 13:30:03

Zut, je lui ai proposé d'aller se reposer, mais il n'y a que mon lit. Et il doit traîner dans ma chambre quelques livres un peu indécents pour un prêtre, sans compter qu'il vaut mieux changer les draps par savoir-vivre. J'irai, pendant qu'elle sera dans son bain, mettre un peu d'ordre et faire une chambre monacale. Moi, je m'assoupirai dans le fauteuil. Mais, surtout, ne pas penser à ses seins, si gros et qui doivent être si sensibles...
Et re-zut, même pas pu évier qu'elle aille vers mon ordinateur. Son petit rire en dit long, elle a vu ce que je matais. Je blêmis, incapable de lui répondre, tandis qu'elle fait aller la souris pour voir plus en détails. Pourvu qu'elle ,e découvre pas le DVD de film X qu'il y a dans le lecteur !
Mais non, sauvé, « (…) Tu as de bons goûts » me rassure. Et j'en profite pour reprendre pied : « C'est un site de lingerie européenne, et c'est dommage qu'il n'y en ait pas ici. ». Elle semble presque étonnée de ma franchise, surtout que j'appuie par « Je suis sûr que des... Des jeunes femmes comme toi les porteraient avec beaucoup d'élégance ». Là, je vois à ses yeux que je suis allé loin, pas trop loin j'espère.
Au moins s'éclipse-t-elle dans la salle de bains, ce qui m'évite de me poser des questions en poursuivant une conversation qui pourrait devenir scabreuse. D'ailleurs, un prêtre qui reçoit en pleine nuit une hybride, lui proposant bain et lit, ça bouscule bien des clichés ! Mais, pas le temps de réfléchir, je file dans ma chambre, je range DVD X et livres de photos osées dans mon armoire derrière la pile de chemises, je remplace les draps par de beaux draps blancs sous une couverture noire et rouge, je mets de l'ordre sur les chevets et un peu de parfum dans l'air. Voilà une pièce où elle aimera se reposer, par charité chrétienne, bien entendu.
Je sors heureux de ma chambre lorsque « Père Yves, j'ai quelques problèmes en fait... » me fait comprendre que tout ne sera pas aussi simple que je le pensais. Etre bon et charitable sous-entend parfois de petites complications, surtout lorsque mon invitée ajoute « J'ai mouillé le sol et mes habits ». Le sol peut se nettoyer, mais j'aurais aimé éviter cette corvée de serpillière. Mais ses habits ? S'il faut les laver ou les faire sécher, ça va prendre du temps ; simplement ça m'oblige à repenser mon organisation avec les sexy lycéennes de Mishima qui viennent parfois me voir ici, et non que sa présence plus longue ici me perturbe. Enfin si, ça me perturbe, mais pas comme ça ! Par la porte entrouverte, j'ai deviné le tee-shirt qu'elle a pris, et juste le haut du tissu sur ses seins. Elle doit avoir la poitrine moulée à me faire oublier toute raison, et j'en ressens plus fort encore une érection tendre mon caleçon.
« Rassure-toi, Koya, je vais me charger de tout ça, enfin de nettoyer la salle de bains. Pour tes habits, euh... »
Je réfléchis vite, mettre ses habits à sécher, avoir en mains un soutien-gorge avec une belle taille, humer sa petite culotte, allons Yves, reste sérieux !
« Euh... Je peux en mettre au sèche-linge qui est dans la salle de bains, ou sur le séchoir. »
Oui, sa petite culotte justement. Le tee-shirt qu'elle a pris est court même pour moi, alors il y a peu de chance qu'il ne masque ses fesses ou son sexe. Hum, voilà mon érection qui grandit encore ! Elle doit être sexy comme ça... Voyons, Yves, tu es dans la maison de Dieu, et pas dans un bar à strip tease, donc reprends-toi !
« Si tu veux, je vais m'en occuper. Je t'ai préparé ma chambre, si tu veux te reposer. Rassure-toi, moi, je dormirai sur le fauteuil ici. »
Ce n'est pas que je ne meure pas d'envie de me glisser dans le lit avec elle, même si elle une Neko, même si Dieu n'en a pas parlé parmi ses créatures. Tiens, c'est vrai, ça... Comment est une Neko nue ? Mais ce n'est pas le moment des questions !
« Dis-moi si tu veux manger un peu. Je peux te faire quelque chose de rapide, à ton choix. »
Yves, n'oublie pas que tu dois être un hôte empreint de charité chrétienne... même si tu ne pourras t'empêcher de te rincer l'oeil, ne serait-ce qu'en la matant assise à table et presque plus affriolante que si elle était entièrement nue.

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 7 mercredi 04 septembre 2013, 06:55:09

Je n'aurai pas vu grand chose d'elle, juste imaginé voire fantasmé. Dommage ! Mais sait-on jamais ; elle est chez moi pour la nuit, et tout peut arriver. Pour le moment, deux récipients d'eau à emplir encore. Presque comme un sésame ; je sais que je devrai entrer dans la salle de bains pour lui déposer, peut-être même me proposera-t-elle de les verser sur son dos voire davantage. Mais, Yves, arrête de rêver ; elle ne va pas se laisser regarder nue devant toi et, si tant est que ça arrive, elle va voir que tu bandes tout homme d'Eglise que tu sois, et, en outre, ne vas pas imaginer qu'elle va te demander de te mettre nu aussi !
L'eau chauffe doucement, tandis que je cogite. Je crains d'être dans la totale improvisation. Mais soudain, le déclic, insensé ! Le site, celui qu'elle a vu sur mon ordinateur. Elle voudrait autre chose que mon t-shirt. Pas de souci. Pas question de livraison lingerie express en pleine nuit dans une église ! Mais plutôt le souvenir de Sushimya. Cette adorable voisine qui ne m'avait pas laissé indifférent ; je me rappelle que j'avais commandé de la lingerie pour elle... juste avant qu'elle ne parte car son mari avait été muté. Il faut que je retrouve ça, et vite ! Je suis sûr que, au niveau taille, ça devrait aller. Et puis, ce sera la lingerie coquine ou le t-shirt trop court, à elle de choisir...
Ma chambre, je farfouille dans mon armoire, tout doit encore être neuf et sous emballage. Voilà, je remets la main dessus ; hum, ce soutien-gorge noir si léger avec ces bonnets si bien dessinés, et cette culotte assortie bien échancrée avec ce petit nœud rouge sur l'arrière. Dommage que Sushimya ne l'ait pas portée ! Mais ce n'est pas perdu pour tout le monde. Oh, et cette petite robe noire, je m'en rappelle aussi ; elle ne l'avait portée qu'une fois pour me faire plaisir, si moulante qu'elle n'avait rien dessous et que ses fesses en ressortaient d'autant plus cambrée sur ses talons, ce qui nous avait valu une nuit torride alors que son mari signait un contrat je ne sais où.
Ah, l'eau bout, je l'entends. Je file à la cuisine, les deux récipients n'attendent que ça. Je les porte l'un puis l'autre jusqu'à la porte de la salle de bains, je retourne vite chercher robe et dessous que je pose sur le tabouret juste à côté, accompagnés de deux grandes serviettes blanches. Je gratte à la porte :
« Koya, je suis là. J'ai fait chauffer de l'eau, elle est tout juste tiède, je peux la déposer quand tu le désires. »
Et, prenant une grande inspiration :
« Ah, et puis je t'ai trouvé des habits, enfin je ne sais pas si ça t'ira ni si tu aimeras, mais c'est tout ce que j'ai. »
Mieux vaut éviter de lui dire d'où ça vient :
« C'est une amie de passage qui a oublié ça, lors d'une visite où elle était venue me dire bonjour. »
Il y a quand même quelque chose qui me gêne ; je suis sur que j'avais commandé des bas noirs avec ces dessous, et je me souviens pas de les avoir trouvés dans le sac où ils sont rangés. Pourvu que j'aie bien regardé !

Pere_Yves

Humain(e)

Re : Il faut aider son prochain (Koya Breathless)

Réponse 8 jeudi 05 septembre 2013, 10:02:41

Fugace ! Bien trop fugace, la vision du corps de Koya, juste son dos à la belle cambrure, juste le profil de sa poitrine qui doit être fort généreuse, juste le début de courbure de ses fesses qui semblent si voluptueuses, et cette queue étrange qui n'empêche pas mon trouble, à m'en demander ce qu'elle en fait quand elle se fait prendre par derrière. Voyons, Yves, arrête de fantasmer, tu en bandes encore plus fort... et sors de la salle de bains !
Juste en laissant la porte entrouverte, comme un collégien qui espère espionner une amie de sa mère, se parant de quelque dessous coquin. Elle me croit parti ; elle a une élégance remarquable pour verser l'eau sur elle, un peu comme ces statues anciennes où la femme a du charme dans le moindre geste. Mais la pièce est si mal conçue que, quand elle se relève, je n'arrive pas à la voir enfin nue. Juste son dos et un peu de ses fesses, mais ça suffit pour que, instinctivement, ma main se porte à mon pantalon, massant doucement la bosse qui prend de plus en plus d'amplitude.
Zut, la bouilloire ! Je l'avais oubliée, et elle se met à siffler ; quittant à regret mon poste d'observation, je retourne à la cuisine. J'ai promis à Koya un peu à dîner, je dois lui faire quelque chose d'appétissant, pour que sa nuit soit... euh disons agréable.
« (…) Je suis prête !! (...) », la phrase, aussi insolite que suggestive, me cueille tandis que je dispose quelque jambon cru sur une assiette, la décorant de feuilles de menthe et de fines tranches de melon. Mais ce n'est rien comparé au choc que je reçois, quand je me tourne vers Koya. Les mannequins des sites de lingerie en deviennent soudain bien fadasses ! Belle n'est pas le qualificatif que j'emploierais pour décrire Koya, je dirais plutôt irrésistible. Elle est au delà de ce qu'un mannequin insipide peut exprimer. La robe moule sublimement sa poitrine, et je devine même ses tétons qui dardent... d'excitation peut-être. Et elle semble même si ajustée qu'elle ne descend pas outre mesure ; mon sexe en devient encore plus à l'étroit dans mon pantalon, à voir cette adorable petite culotte qui cache à peine ainsi que ces bas qui lui vont à ravir. Même Sushimya n'était pas aussi désirable dans cette robe...
« Ne me remercie pas, Koya ; cet ensemble te va à ravir et, quand tu auras décidé de partir, tu pourras l'emporter avec toi. »
Cette phrase me fait mal, car je veux  la garder ici, mais je ne me fais aucune illusion sur la pérennité d'instants partagés entre un homme d'Eglise et une euh terranide.
« Même cette adorable queue de chat est fascinante ; je n'avais jamais vu, et ça te... te donne... te va très bien. »
Voyons, Yves, réagis ; il suffit qu'une créature non issue de Dieu s'habille comme une poule, et voilà que tu en oublies toute la théologie ! Mais même ma conscience a du mal à raisonner au vu du spectacle rien que pour moi. Il faut faire diversion avant de craquer ! Je tire une chaise, « Assieds-toi là ; je manque à tous mes devoirs de chrétien. Au lieu de te ma... te relu... te regarder, je devrais m'occuper de toi. Je t'ai préparé un petit plat rapide avec quelques ingrédients de mon pays ; j'espère que ça te conviendra. Et veux-tu un peu de vin avec, du vin de mon pays aussi ? »


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