Oups, mauvaise idée... [Lucrecia]

Bouh, quelle pluie ! En temps normal, ça ne me dérange pas... Enfin, ça ne me dérange pas quand c'est une petite pluie fine. Là, c'est une grosse averse comme on ne les aime pas. En tout cas, moi je n'aime pas ça. J'ai les cheveux dans la figure, mes vêtements sont trempés c'est vraiment désagréable. En plus, en courant n'importe où pour trouver où m'abriter, j'ai fini par me perdre. Vraiment, je n'aime pas cette pluie.

Finalement, je trouve un bâtiment qui m'a l'air abandonné. Surement une friche quelconque, j'ai déjà eu l'occasion d'en voir. En tout cas, ça tombe à pic ! J'entre dedans comme une bourrasque, trop heureuse de mettre un toit entre cette pluie et ma tête. À l'abri, je fais tomber l'illusion : mes cheveux châtains redeviennent blancs, le pull et la jupe cèdent la place à mon yukata, et mes oreilles et ma queue se pointent. Mais ça ne change rien au fait que je suis trempée.
Du coup, j'enlève mon yukata pour le faire sécher, ainsi que mes chaussettes. Je garde quand même ma culotte, les courants d'air entre les jambes, c'est assez désagréable. Puis je m'ébroue un bon coup, pour enlever le maximum d'eau de mes cheveux et de ma queue. Ensuite, bah... J'attends, j'ai rien d'autre à faire... Attendre que la pluie cesse et que mon yukata sèche...

La pluie s’abattait sur les vitres du sanatorium noircies par le temps, le tonnerre grondait et les éclairs déchiraient le ciel t'elle l'enfant déchirant l'utérus mère.

Ce genre de temps, Lucrezia les affectionnaient beaucoup, il est rare que des gens circulent dans les rues de ce temps la, ce qui laisser place libre à la psychopathe la plus lubrique de seikusu.

Mais ce jour là, Lucrezia avait décidée de rester bien au sec dans son antre lugubre et malsaine.
Elle était tranquillement affalée sur sa table d’opérations, les yeux dans le vide le plus total.

"Aaaaaannnnh qu'est ce que je peut me faire chier ici par moment --'
Comme j'aimerais qu'un bel inconnu vienne me tringler ici et maintenant ! >.< 

Lucrezia fit lascivement descendre ses mains vers le bas de sa tenue d’infirmière, dans un geste gracieux et délicat elle fit glissée le long de ses jambe sa culotte en dentelle blanche.

Elle commença par gentiment exécutée un délicat et sensuel vas et viens à la surface de ses lèvres déjà bien dilatées par les drogues aphrodisiaques qu'elle a si souvent l'habitude de prendre. 
Les vas et viens ce firent de plus en plus intenses. La duchesse poussait de langoureux gémissements de plaisir, gémissements qui s'ajoutaient au bruit du latex de ses gants, glissants sur sa chatte humide à souhait.
Lucrezia en était rendu maintenant à titillée sa douce cerise rosée et gonflée par l’excitation en faisant glisser son index et son majeur dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, elle accentuât la chose en faisant suivre ses hanches à la valse de ses doigts.

Une flaque de cyprine d'une dizaine de centimètres commença alors à ce formée sur la table en inox, tout à coup ! Un grand bruit de porte retenti dans le sanatorium.

Lucrezia ce releva aussi sec !
Elle se pourlécha la mains droite, descendit de la table, remonta sa culotte et partie à la recherche du phénomène qui avait put interrompre ce doux moment d'évasion.
 
Couteau à la main, lucrezia ce mise à arpentée le sanatorium tout en ce parlant à elle même.

"Bordel qui est le sombre connard qui ose venir m'emmerder alors que j'était tranquillement entrain de faire plaisir à ma minette è.é"

Au bout d'un moment Lucrezia aperçue une forme humaine au niveau du hall d'entré, cela avait l'air d'être une jeune femme. Lucrezia esquissa alors un large sourire sadique, en fin de compte peu être que cette après-midi pluvieuse aller être moins monotone que ce qu'elle avait imaginée. 

Lucrezia rengaina silencieusement son immense couteau dans la sacoche qui lui servait de fourreau, elle sortie alors un mouchoir préalablement imbibé de chloroforme et s'approcha lentement de sa proie. La culotte de lucrezia était inondée de sa propre  cyprine qui aller jusqu'à dégouliner sur c'est cuisse blaphardes laissant derrière elle de fine gouttelettes sur le sol, l'excitation de lucrezia était à son paroxysme, elle aller pouvoir abusée d'une jeune fille...seule...sans risquée d'être vue par qui que ce soit.

"Aller viens la ma poulette, viens donc lécher maman ! "

Une voix dans mon dos me fait virevolter sur place. Et je tombe nez-à-nez avec une drôle de dame. On dirait une infirmière, ce qui m'étonne. Elles ne sont pas sensées être dans un hôpital ? En plus, elle à l'air spéciale. Déjà, ses cheveux ont une couleur bizarre, et elle a un regard pas rassurant du tout. Elle me fait penser à un Oni qui s'est trouvé une proie facile.
Puis une odeur parvient à mes narines, une odeur étrange. En sentant bien, je comprends qu'elle vient du tissu qu'elle a à la main. Ça, je connais ! Enfin, je ne connais pas le produit, mais je sais que ce n'est pas bon pour moi, j'en suis sure. Problème : avec mon odorat développé, l'effet du produit se fait déjà sentir, et je sens mon corps s'engourdir. Mes jambes me lâchent, et je tombe à genoux. J'ai juste le temps de la voir s'approcher en ricanant, avant que les vapeurs du produit ne m'assomment complètement...

A peine lucrezia eu commencée à s'approchait que la jeune fille ce sentait déjà défaillir, tombant aux genoux de la duchesse.
Mais cette petite proie avait quelque chose de très étrange : une queue et des oreille de renard, voila un jouet bien particulier.
 
ooooooooooh toi je te promet que je mettrais ton utérus dans un jolie bocal, mais avant je vais bien prendre le temps de t'ausculter sous toutes les coutures dit elle sur un ton crade et bien lugubre.

Elle prit alors la jeune fille dans ses bras pour ensuite la conduire dans son "air de jeu" en chantant une petit chansons que lui chanter sa mère.

Ring around the rosie
 Pocket full of posies
 Ashes, ashes
 We all fall down

 Ring around the rosie
 What do you suppose we
 can do to fight the darkness
 in which we drown?

 Ring around the rosie
 This evil thing, it knows me
 Lost ghosts surround me
 I can't fall down

 (http://www.youtube.com/watch?v=gl7O8_kWeOc)


Lucrezia installa la jeune kitsune sur sa table en inox, la sangla solidement toute en vaillant à lui écarter les jambes
lui laissant ainsi le champ libre.

Elle prépara consciencieusement ses ustensiles : seringues, bistouri, speculum, compresses, scie à os, poches de sang, pince et enfin sont énorme paires de ciseaux maculé de sang !

D'un geste calme et le sourire aux lèvres elle enfila son masque chirurgicale et sa grandes paires de gants en latex qui lui couvrant les avant bras, tous ceci en continuant de chanter l'horrible contine de sa voie la plus sinistre.

La grosse lampe d'Opération rendue défectueuse par le temps clignotée sans cesse, mais lucrezia s'en foutait royalement, cela lui suffisait bien.
Lucrezia ce dirigea alors vers une grande étagère pleine de bocaux dans les quels flottaient nombres d'organes, des utérus en grandes majorités.

Elle en prit un vide qu'elle déposa à coté de la jeune fille encore dans les vapes, lui caressant la joue au passage, attendant patiemment qu'elle se réveille de sa torpeur.

réveille toi...mon petit jouet...
   

Ouh... Je ne sais pas ce qu'il y avait sur ce chiffon, mais ça m'a complètement assommée. Et maintenant, j'ai mal à la tête... C'est ça que les humains appellent "une gueule de bois" ? Pas chouette du tout, comme sensation. Et une raison de plus de pas abuser du saké.
J'essaye de me lever, mais je n'y arrive pas. En tournant la tête, je comprends pourquoi : je suis attachée sur une table ! C'est quoi ce délire ?! J'ai les mains au dessus de la tête, et les pieds écartés. En plus, la table est en métal froid, ça me fait des frissons dans tout le corps. Je suis où, là, c'est quoi la blague ?

En bougeant la tête dans tout les sens, je finis par remarquer la présence de l'infirmière de tout à l'heure. Déjà que la dernière fois, elle ne m'inspirait pas confiance, là elle ressemble carrément à la méchante du film d'horreur que j'avais vu chez un humain ! Elle me veut quoi ?

" Eyh ! C'est toi qui m'a fait ça ? Qu'est-ce que tu veux ? "

La douce jeune fille venait de se réveiller vraisemblablement encore étourdie par le chloroforme.
 Elle regarda tout au tour d'elle ne voyant qu'une vaste pièce recouverte de Fayence blanche et couverte de multitude de traces de sang coagulé.

Eyh ! C'est toi qui m'a fait ça ? Qu'est-ce que tu veux ? "dit elle sur un ton mélangeant la peur et la colère.

 Lucrezia baissa son masque chirurgicale pour enfin parler à la petite kitsune.
 Ce que je veux ?, Je veux te soigner ! je le voit bien que tu à mal, regarde où tu à mal ! dit elle en frappant un grand coup au niveau de son bas-ventre.

 Tu vois, je t'avais bien dit que tu avais mal quelque par, nan ? Heureusement pour toi j'ai un très bon moyen de faire passer cette douleur atroce.

 La duchesse pris alors une énorme seringue emplie d'un de ses mélanges favori :
 -du prozac
 - de la kétamine
 - un puissant aphrodisiaque
 et une pincer d'héroïne hautement purifier

 Cette drogue avait pour effet de rendre la victime insensible à la douleur, mais particulièrement réceptive au plaisir charnel tous ceci additionné à un état proche de celui d'une esclave.

 Lucrezia était particulièrement horrible, psychologiquement parlant, elle avait tuée de manière atroce une trentaines de jeunes filles depuis son évasion.
 Leurs réservant toujours la même issus, celle de finir éventrer et affreusement mutiler.

la duchesse injecta alors à sa petite victime son horrible sérum pour ensuite lui faire un léger bisou sur la joue, comme le signe funeste d'un calme avant la tempête.