Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le dragon qui tue le chevalier pour sauver la princesse [Armand]

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Mea

Créature

Certaines régions de Nexus ressentent l'influence de l'Ordre. Trimali, cette petite ville en bordure des contrées du Chaos autrefois païenne, était devenue en quelques décennies un véritable carrefour religieux pour les croisades contre les démons des contrées du Chaos.

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Trimali ne connait pas l'oppression de l'Ordre, ni les guerres de territoires, en tant que pseudo-quartier général des croisades de l'Ordre, Ashnard ne se risquerait pas à attaquer cette petite ville.

Chaque année, depuis plus d'un demi-siècle, les habitants de la ville célèbre une fête religieuse en brûlant vif un vampire, celui-ci sera capturé par des chevaliers ou chasseurs qui recevront une généreuse récompense. Cette festivité est en hommage à un paladin qui aurait combattu et tuer un vampire millénaire qui harcelait la ville jadis, cette soirée est assez célèbre auprès des croyants, bien que toute l'histoire ne soit qu'un tissu de mensonges de l'Ordre, comme d'habitude.

Dans ma soif de sang, j'avais omis que le jour de cette célébration était demain. Me trouvant dans la région, je n'allais pas tarder à rencontrer des chevaliers et autres chasseurs de vampires.
Il n'était pas rare que les fanatiques religieux confondent une pauvre vieille femme isolée à une sorcière, alors vous imaginez, une femme comme moi, seule en forêt, éclairer par la seule lueur de la lune, au cou d'un jeune homme sans vie.

Deux hommes m'avaient surpris en plein diner, un chevalier en armure et un chasseur. Je m'étais mis en tête qu'il serait facile de m'en débarrasser, mais avant même que je n'ai le temps de me lever, un filet tomba des arbres et me prit dans ses mailles en une fraction de seconde. Un alliage en métal, je ne pourrais pas m'en débarrasser avec mes crocs ou mes griffes, de plus, la douleur des brûlures que m'infligeait le filet démontrait qu'il avait été béni avant.


« Alors salope, comment tu trouve notre filet ?! »

Plus je me débattais, plus le filet se resserrait sur moi, me faisant crier de douleur sous l'intensité des brûlures. Les deux hommes en armure sous leurs longs manteaux à capuche noires, se rapprochèrent de moi pour sceller le filet, afin d'être certain que je ne puisse plus m'échapper.

« Si je sors..Aaah.. je vous arracherais la tête.. »

Cela les amusaient, mes deux bourreaux semblaient prendre plaisir à me voir souffrir, je ne pouvais pas leur reprocher ce pécher que nous avions en commun, mais cela n'en faisaient pas moins des saloperies de fanatiques. J'essayais tant bien que mal d'en saisir un au bras ou à la jambe pour le leurs arracher, mais ils étaient trop loin. Ils répondirent quand même à ma tentative par de grands coups de pied.

« Jamais tu sortiras de ce filet tant qu'on sera vivant, petite pute ! »


Tout en continuant à me battre, ils ricanaient de façon saccader. Je n'allais pas les laisser continuer, mais impossible de bouger, ces sales cafards n'avaient pas à me toucher. Malgré la situation, je pouvais sentir qu'une autre personne observait la scène..

Armand Saint-André

Créature

Trimali, une petite ville sans grand intérêt. Ah, si, il y avait quelque chose qui était mieux qu’à Nexus : ici, il sentait moins mauvais et cela lui agressait donc moins les narines, ce qui était quelque chose qui valait en soi quelque chose de non négligeable. Il avait donc décidé de savourer un café bien noir à la terrasse d’une auberge. Il avait déjà fini sa bière et ici, elle ne sentait pas la sueur, au moins.

Ce soir, une célébration était organisée. Il s’agissait d’un envoi en mission par l’ordre de nombreux chasseurs de vampires et d’autres monstres du même genre. Il ne fallait pas s’étonner don si l’ambiance était à la fête. Il y avait  des feux de joue, des cercueils servaient pour brûler, les cercueils étaient fermés par des chaines et il ne fallait certainement pas s’étonner si des gens étaient dedans.

Mais ce n’étaient sans doute que des goules, le ou la vampire restait à capturer. Il fallait donc que le dragon fasse attention à ne pas être confondu avec ça, sinon, il serait sur le bucher, et même si en soi, il ne risquait à rien à se faire bruler vif, étant ignifugé lui-même, puisqu’il pouvait vomir des torrents de flammes…

Finalement, il préféra quitter la ville, il était à cheval, sa casque rouge et noire parfaitement repassés, fin et racé, l’animal alezan était aussi beau que son maitre, les cheveux du jeune homme étaient attachés en queue de cheval lâche sur sa nuque et étaient parfaitement accordés avec le crin de sa monture. Il avait fière allure. Son chapeau était orné d’un magnifique plumet composé d’une plume rouge et d’une plume blanche entremêlées.

Son ouïe extrêmement développée lui permettait d’entendre des sons très loin de manière très distincte et parfaitement audible. Il talonna l’animal qui supportait son poids sans broncher. Paisible et d’une force tranquille, la jument avait la douceur nécessaire pour permettre à son maitre d’agir en selle comme sur terre. Elle partit au petit trot dans la direction du bruit, les sabots ferrés claquant sur les pavés alors qu’il rejoignait un triste spectacle. Plusieurs hommes étaient autour s’un filet qu’ils rouaient de coups…

L’ancien soldat du cardinal, intrigué, se permit de s’approcher, assez pour entendre des paroles quelques peu obscènes à l’égard d’une femme. Il en fut quelque peu atteint, il trouvait juste que cette manière de se comporter était détestable et il n’hésita pas un seul instant se dirigea vers la scène, sautant à bas de sa monture, posant sa main sur la garde de sa rapière.

« Messieurs, que se passe-t-il ici ? »

Quelqu’un se retourna, et lui lança avec une politesse digne des plus grands poètes :

« Ta gueule connard. Dégage et laisse-nous avec cette infante du démon ! Elle sera brûlée vive et si tu refuses… et bien je te marave la gueule à coup de bottes ferrées, comme on est en train de lui faire… »

Ni une, ni deux, Armand lâcha son arme et sortit ses pistolets un coup, il en avait deux , et il tira dans deux des cibles. Il y eut des claquements, pas énormément de bruit, mais beaucoup de fumée. Il en abattit deux sans le moindre remord, ‘était un peu sa manière d’agir.

« Maintenant allez vous en. »

C’était dit sans menace, juste un bon conseil et apparemment, les autres ne se firent pas prier et s’en furent sans demander leue reste. Il sourit et ne se lança pas à al poursuite, non, il se baissa pour démêler les mailles du filet avec une dague. Puis, il aida la jeune femme à se relever avec douceur et courtoisie.

« Bien le bonsoir madame. Je doute que vous me reprochiez mon audace si je ne me présente pas, mais je pense que nous devrions nous en aller d’ici au plus vite, ma dame. Une fois hors de la ville, je vous emmènerai au bout du monde si vous le désirez. Mais quittons vote les lieux. »

Il se dirigea vers sa monture et lui tendit la main pour la faire monter sur la selle en amazone, puis monter derrière pour vite quitter la ville, cela devenait urgent. Des bruits sur les pavés montraoient qu’un certain nombre de personnes approchaient…

Mea

Créature

Un nouveau personnage faisait son apparition dans la scène, encore un homme, allait-il lui aussi profiter de ma mauvaise position. Ceci dit, même s'il avait l'allure d'un homme, je pouvais sentir qu'il n'en était pas un, quelque chose de plus puissant, comme si ma situation n'est pas déjà délicate.

Descendant de son cheval, il s'approcha de mes tortionnaires qui ne l'avait pas encore remarqué. Ce rouquin à l'allure svelte et élégante les interrompis, la main à son arme.


« Messieurs, que se passe-t-il ici ? »

Deux possibilités d'évolution de la situation s'offraient à moi. Numéro une, il apprend que je suis une "créature démoniaque" et participe à cette joyeuse partie de pinata ou numéro deux, il décide de sauver la "pauvre femme en détresse" que je suis.. Pour dire vrai, je préférerais aucune de ces deux possibilités.

« Ta gueule connard. Dégage et laisse-nous avec cette infante du démon ! Elle sera brûlée vive et si tu refuses… et bien je te marave la gueule à coup de bottes ferrées, comme on est en train de lui faire… »

Et voilà, tout de suite les insultes et les menaces, typique des mortels ou plutôt des humains. Sérieusement, une "infante du démon" et puis quoi encore.. Je me demande comment vont évoluer les choses. Et à cet instant, à la vitesse de l'éclair, le nouveau personnage venait de descendre par balle deux des acteurs de cette triste scène. Sans sourciller et toujours un sourire poli aux lèvres, il s'adressa au dernier de mes bourreaux.

« Maintenant allez vous en. »

Pas besoin de lui demander deux fois, l'homme en armure encapuchonné prit les jambes à son cou en direction de la grande route, laissant les corps de ses deux camardes derrière lui.

Le "héros" du soir, s'approcha de moi, sortant une lame de son fourreau, il se mit à genoux pour couper les liens de corde en haut du filet. Il n'était ni un homme, ni un vampire, mais au moins je savais qu'il n'avait pas d'intention hostile, c'était amplement suffisant et il fit preuve de réel galanterie et respect envers ma personne en m'offrant sa main pour me relever, cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un être du sexe masculin si.. Courtois.


« Bien le bonsoir madame. Je doute que vous me reprochiez mon audace si je ne me présente pas, mais je pense que nous devrions nous en aller d’ici au plus vite, ma dame. Une fois hors de la ville, je vous emmènerai au bout du monde si vous le désirez. Mais quittons vote les lieux. »

Sans dire un mot, je me mis à le regarder s'éloigner et remonter sur son cheval. Il avait fier allure et son ton de voix neutre à l'élocution noble lui donnez un certain charme, ainsi que son cache-oeil droit qui lui donnait par la même occasion un aire de baroudeur vétéran, cela me plaisait assez je dois dire.

Je pouvais voir à travers les feuillages, la lueur de nombreuses torches et sans cela, rien que les cris et les bruits de course de nombreux hommes arrivant vers nous m'aurait fait comprendre qu'il était stupide de rester ici. J’acceptai donc la main de l'homme qui venait de m'aider et à cheval, nous quittâmes le bois en direction opposée à la ville.

Après un quart d'heure de chevauchée rapide, sans un bruit si ce n'est celui du galop, nous arrivâmes près de vielles ruines, éloignées de toutes civilisations. D'un geste de la main, léger mais clair, je fis comprendre à mon cavalier de s'arrêter ici. Me laissant glisser de ce superbe Alezan pour descendre, je vis que ces ruines délabrées étaient en réalité un ancien lieu saint à l'abandon, une petite église de l'ordre peut-être, amusant..

Même s'il faisait nuit, la lueur de la lune traversait les feuillages des arbres, se frayant un chemin à travers les passages laissés par la nature, afin d'éclaircir nos deux visages, à lui et à moi. J'avais perdu mon éventail durant ma mésaventure, ce n'était pas un soucis, j'en aurais acheté un autre plus tard, c'est surtout que je n'aimais pas m'adresser à quelqu'un d'inconnu sans lui.

M'approchant lentement avec la grâce qu'il me sied, je me trouvais à peine un mètre de cette personne que je ne connaissais pas encore et de mon sourire le plus noble et sincère, lui posa une question.


« J'aimerai vous remercier, mais on m'a apprit à ne pas parler aux étrangers  » Cachant mon gloussement avec le dos de la main, je continua «  Alors, brave chevalier servent, avez-vous un nom ? »

Bien sûr, il devait également avoir remarqué que je n'étais pas humaine, quelqu'un aussi fort que lui devait avoir senti ça, sans aucun doutes. Il n'était pas un ennemi, mais l'idée que je lui dise qui je suis réellement, ne m'enchantait guère.

« Au cas où vous ne l'auriez pas encore remarquer, je ne suis pas humaine, mais ne vous inquiétez pas, je n'ai pas l'intention de faire du mal à mon.. héros.  » Séduction, la meilleur des armes, d'un regard doux et franc, je le fixais tout en imitant à la perfection une timidité qui sied aux dames tombé sous l'influence de leur preux chevalier.

Me penchant en avant vers l'homme, je fis mine de souffler un secret à voix basse..


« Si vous avez remarquer que je ne suis pas humaine, j'ai également remarquer la même chose pour vous »

Mes yeux le dévisageant langoureusement et mon sourire sincère de jeune fille amoureuse, j'attendais sa réponse avec impatience, j'aimerais croire qu'il me serait utile.
« Modifié: mardi 27 janvier 2015, 23:05:27 par Mea »

Armand Saint-André

Créature

Re : Le dragon qui tue le chevalier pour sauver la princesse [Armand]

Réponse 3 vendredi 30 janvier 2015, 22:03:05

Fuir la ville était la chose la plus sage à faire après ce coup d'éclat, d'autant plus qu'il entendait des personnes approcher et des cris de rage ou de personne prêtes à en découdre… il préférait ne pas rester dans les environs pour être poursuivi comme un monstre, non, comme le monstre qu'il était… oui, il était un monstre, un de ces dragons européens qui étaient cachés sous une apparence humaine...il changeait à volonté, mais il restait de toute manière un dragon, au fond de son âme… et même si en terme d'âge, il était loin d'être le plus vieux, il n'en restait pas moins dangereux… les animaux le sentaient, c'était pour ça qu'il ne disposaitg que d'un seul cheval, il avait fallu le conditionner durant des mois pour qu'il puisse monter ce lourd destrier aux membres puissants. Et si son galop était lent, porter deux à trois personnes sur son dos ne lui posait pas le moindre problème, bien au contraire… il était puissante avait l'occasion de le montrer…

Il fallut un bon petit quart d'heure à un rythme assez bon pour qu'ils arrivent à de petites ruines où elle lui fit comprendre qu'il seriat bon de s'arrêter. Il tira sur les rênes, le cheval s'arrêta aussi promptement qu'il le pouvait et il descendit, laissant la jeune femme glisser avec « légence au sol… il lui sourit et regarda la jeune femme alors qu'elle  était célairée par la lune, elle était plutôt jolie… il ne la dévora pas plus que cela des yeux, surtout qu'il se méfiait, il sentait l'odeur de bestioles non humaine sur elle, comme si elle en était une ou avait été souillée plus d'une fois par une créature non-humaine.

Il eut un petit reniflement avant de se décider à prendre la parole, mais elle le fit avant lui, sur un ton qui montrait une timidité que le côté direct de la question venait tout briser… il sourit et cjoua le jeu, faisant une petite révérence après son murmure au creux de son oreille… il eut un sourire entendu pour elle avant de finalement se présenter, sur un ton un rien Guindé.

« Je suis Armand Saint-André, pour vous servir, milady… et je me doutais que vous n'étiez pas plus huamine que moi, j'en ai maintenant la confirmation... »

Il eut un sourire à son égard avant de finalement se redresser et lui sourire, rassurant avant de lui dire, sur un ton fort posé et aimable.

« Pourrai-je avoir l'honneur de connaître votre nom ? Mieux encore, aurai-je le plaisir de savoir pourquoi j'ai sauvé une aussi belle jeune femme que vous ? »

Charmeur ? Oui, un peu malgré lui…

« Et si je vous dis ce que je suis, puis-je espérer une réciproque de votre part ? »


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