Ma jouissance est au bord de l'explosion, quand je sent sa langue et ses dents revenir sur un de mes seins, je ne tiens plus, le surplus de plaisir explose en moi, mon corps entier se contracte dans un hurlement à la fois de plaisirs et de rage pour avoir cédé sous ces attouchements forcés.
NNNNOOOOONNN...AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh...
Mon dos s'arque, mes cuisses s'écarte d'elle même, la tête en arrière je sent mes membranes internes enserrer fortement ces doigts, une décharge électrique envahie mon corps, une douce chaleur irradiante prend possession de moi alors que mon corps se relâche enfin dans des spasme incontrôlés.
Je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle qu'il empoigne fermement ma chevelure qui me fait lâcher un petit cris de douleur entre deux souffle, alors qu'il viens lécher d'un grand coup de langue ma joue, je fait une grimace de dégout.
Eurgg... C'est dégoutant... Arrêté...
-tu peu dire ce que tu veux, mais ton corps ne peu me mentir.
Alors que je le vois se relever, il me tire vers lui alors qu'il me tiens toujours par la cheveux, je lâche un autre cris de douleur alors que je me retrouve assise par terre, il tire un peut plus vers lui et je me retrouve le visage plaquer sur son entre jambe sentant la froideur de sa fermeture éclair sur ma joue.
Encore dans les vapes de ma jouissance, des images de notre première rencontre me reviennent en tête, quand il y à un ans il m'avais tiré par la cheveux dans cette ruelle sombre, je le vois défaire son pantalon et il me présente son sexe bandé avant de me le plaquer sur la joue.
Ce sexe je m'en rappelle, le premier membre humain que j'ai vue de ma vie, il n'a pas changer, lui non plus d'ailleurs.
Mais j'en est vécu des choses depuis, et je ne me laisserais pas faire cette fois.
-tu sais ce que j’attends de toi, donne moi du plaisir petite salope. mais gaffe, si ça me plait pas je te le ferais payer.
Du revers de la main, je détourne l'attention de sa queue sur ma joue alors que de mon autre main, je viens caresser son torse tout en le regardant dans les yeux faisant mine d'aller m'occuper de ces bourses avec ma bouche, quand sans hésiter, je plante mes ongles dans son pectoraux et je le griffe violemment descendant ma main jusqu'à sa cuisse.
Ceci fait je tente de me reculer, mais il se pourrait avoir oublier qu'il me tenais pas les cheveux l'espace d'un instant..