Vilaine policière, oui vilaine ! [Gabriel Valmy]

COPS

_{« Putain ! Sale salope ! Catin ! Pute ! Pétasse ! Tu as bien failli nous faire repérer ! »}

Stocking s'écroulait au sol, impuissante, effrayer par les cris de son aînée. Elle tremblait de tous ses membres après s'être fait gifler par cette grande blonde. La violette balbutiait des excuses piteuses et hésitantes envers sa sœur . Il faisait nuit dehors, une bonne chance qu'elles étaient à l'intérieur ! Panty donnait un coup de pied à sa sœur, contre son ventre : ce qui la fit crier, pleurnichant qu'elle ne le ferait plus. Oui la blonde était bien violente avec sa sœur quelquefois. Mais c'était pour lui montrer qu'il ne fallait plus jamais le refaire après ! Refaire cette stupide erreur qui avait failli leur couter leur fausses plaques d'identité policières. Essoufflé après quelques coups de pied, Panty en fit un dernier contre la jambe de Stocking qui criait encore.

La sonnette retentit, Panty prit la chevelure de Stocking ce qui fit tomber le chapeau de policière que portait celle-ci.

_{« Tu bouges pas, tu parles pas ! Suis-je bien comprise petite pute ?! »}

_{«O-ok ...»}

Panty blasphémait en ouvrant la porte, un homme de grande carrure se tenait devant leur porte de Condo. Il montrait, souriant, une plaque de policier. Ce devait être surement les voisins, peureux, qui avaient entendu les cris et avait appelé la police ! Mais soudain, Panty eut une brillante idée. Pourquoi ne pas remettre Stocking à sa place, avec l'aide d'un VRAI policier ?

_{« Vous êtes un policier ? Chouette ! Amènes-toi le connard ! »}

Sans le laisser répondre, elle le pris par la manche et le forçait à entrer fermant et barrant à double-tours leur porte d'entré. Elle l'amenait dans le salon la blonde. Lui montrant de l'index Stocking, qui était, tête baissé, agenouillé dans le salon toujours tremblante. Trace de botte contre son petit corp pâle et frêle.

_{« J'ai du mal à dresser cette chienne qui a ENCORE gaffé ...»}

_{«Écoute Panty ... je ... »}

_{« TOI TU TE LA FERMES STOCKING ! Bon, reprenons, tu m'aides à la remettre cette petite salope à la bonne place ?! »}

Panty, d'une démarche décidée allait vers sa sœur, poussant de sa botte l'autre jeune femme au sol pour déposer son pied entre ses deux seins opulents qui rebondissait sous l'impact de son pied contre son petit corp. Elle souriait, la réaction de sa petite sœur était si mignonne ! Petits yeux clos, bouches exprimant de petit mécontentement ... Ah ! Qu'elle adorait torturé sa petite sœur !

 

Gabriel en avait raz le bol de faire le boulot qui n’ »tait pas pour lui, on n’envoyait pas un inspecteur – un lieutenant si vous préférez – sur une simple histoire de tapage, qu’il soit nocturne pou pas importait peu, ne confondez pas les torchons et les serviettes !  C’étaiut la piétaille, les sans grades, les inintéressants qui faisaient ce taff d’habitude ! Et c’était la raison qui lui faisait manquer de bonne volonté, ik trainait les pieds en montant les escaliers.

Il finit par arriver devant la porte et sonna. Il entendit des bruits, apparemment des ordres d’une voix féminine à quelqu’un d’autre et quelques cris… Il comprit alors qu’en arrivant, il allait bien les faire chier… il souriait en montrant sa plaque quand on lui ouvrit. Làà, confusion totale, il ne comprit pas grand-chose à ce qui se passait. Y avait deux fliquettes dans l’appart, une par terre et l’autre, la blonde (il aimait bien les blondes) était celle qui lui avait ouvert…

Limite si la blonde ne lui avait pas sauté dessus pour le faire entrer…. Mais waddafak ? L’aider à dresser une chienne ? Dresser cette fille qui était par terre ? Bah fondamentalement il n’était pas contre, bien évidemment/…. Mais c’étaient qui ces filles ? Et depuis quand il recevait des trucs semblables à des ordres d’une fliquette qui était aussi fausse que la plaque qu’elle portait ? Il soupira et repousssa d’un mouvement ferme mais sans violence la main de la blonde.

« Attends une minute, c’est qui ? Et c’est qui, elle ? Et il se passe quoi ici nom de dieu ? »

Il attendit quelques instants avant de balancer, en plus, su le tas, quelque chose qui aurait pu ressembler à une menace mais qui n’en était pas une… dommage pour elle sans doute, ou tant mioeux, qqui sait, là, il n’en savait rien, et au fond, il s’en foutait.

« Et la prochaine fois que je prends un ordre de toi, blondie, c’est toi qui finit par terren, et tu supplieras autant que ta copine semble mécontente de son sort… »

Puis il se pencha vers la fille au sol et lui posa une simple question.

« Bon, t’as fais quoi pour mériter ça ? »

La réponse mettait du temps à venir, alors pour l’inciter à parler plus vite, il la gifla.

Confusion, vive la confusion ! Panty aimait que les gens soient confus à leurs égards. Ça rajoutait du piquant à la place de leur sauter au cou de suite comme un chien sauterait sur une gâterie et qui se frotterait contre la cuisse de la visite. Le vrai policier regardait à tour de rôle Panty et Stocking. La grande blonde et la petite violette. La dominante et la petite soumise. Bon c'était assez pour lui, il repoussait d'un coup sec mais non violant la main de Panty qui souriait toujours écrasant le poids de sa botte contre l'entre-poitrine de la petite soumise qui pleurnichait tentant de retirer la semelle de Panty sans succès.

<sub>« Attends une minute, c’est qui ? Et c’est qui, elle ? Et il se passe quoi ici Nom de dieu ? »

« Bon, va falloir que je te fasse un dessin ... »

« Mais Panty ... il demande seulement nos ...»

« Je blaguais ! Et je t'avais dit de ne pas ouvrir ta petite bouche de suceuse ! »</sub>

Stocking se tut, obéissant à ses ordres, Panty retirait sa botte faisant face au véritable policier, le regardant de haut posant une main sur sa propre poitrine.

_{« Je m'appelle Panty Anarchy (elle pointe sa sœur) et elle sait ma sœur : Stocking Anarchy ! »}

L'homme, hochait la tête se dirigeant vers Stocking qui était toujours au sol. Le policier prenait son bras, la forçant à se mettre droite devant lui. La violette ne le regardait pas, elle fixait plutôt le sol marbré de leur condo luxueux. Il lui posait une simple question, elle ne lui répondait pas, elle bégayait des excuses pitoyables comme elle l'était. Il la giflait ce qui la fit couiner. Panty regardait cette scène, bras croisé. C'était une si belle scène pour elle qu'elle avait envie de mettre tout cela sur vidéo !

_{« J'ai ... je n'ai rien fait de si grave ! J'ai seulement prêté ma fausse plaque à quelqu'un pour qu'il l'examine ... »}

Panty ne disait rien, découragé de Stocking. Anyway, le vrai policier avait surement déjà remarqué que leurs plaques étaient fausses.

Elle finit par répondre, drôle de noms quand même…. Mais bon, il ne discuterait pas là-dessus, il avait bien envie de s’amuser, même s’il trouvait dommage que ce soit la petite que l’on doive dresser et pas la blonde, il aurait adoré se faire lécher les orteils en se faisant appeler maitre ou monsieur. Mais bon, ce serait l’autre… quoique… il verrait plus tard !

Il sourit en écoutant bien, ainsi, c’était bien, comme il l’avait pensé de fausses fliquettes, c’était évident pour un vrai policier. Et elle avait prêté la fausse plaque à quelqu’un pour qu’il l’eamoine et puisse possiblement découvrir que c’était une fausse plaque… une véritable nouille, une idiote… Il soupira avant de lui envoyer un nouvel aller-retour de gifles, histoire de lui faire bien comprendre qu’elle était en faute.

« Tu sais qu’à cause de ta bêtise ta sœur et toi avez manqué de peu la prison, petite idiote ! »

Il regarda à nouveau la blonde et lui sourit et lui fit un clin d’œil avant de remettre une paire de gifle à l’autre. Ces paires de gifle à répétition lui dfaisait un bien fou, ça lui servait d’exutoire, un exutoire des plus plaisants ! Il finit par lui demander.

« Dis, tu m’obéirais si c’est pour punir ta petite pétasse de sœur ? »

Ce faisant il prit la miss aux cheveu sombres par les cheveux et lui fit relever la tête en même temps qu’elle se relevait alors qu’il venait lui mordre la lèvre inférieure avec violece, la trace des dents resta, mais il n’avait pas mordu assez fort pour faire saigner. Puis, il lui détacha les bretelles pour s’en sercir d’une manière bien moins agréable. Les jolies bretelles fines de la demoiselle allaient être un sacré martinet ! Il arma le bras et la cingla d’un premier coup sur la joue, pas assez fort pour laisser des traces, mais assez pour faire mal.

« Vas lui maintenir les bras dans le dos et force la à se cambrer un peu plus, que je loupe pas sa poitrine de putain ! »

Il frappa, d’abord de la main, puis avec les bretelles, sur la poitrine opulente de la jeune femme, à travers le vêtement. Il donna une dizaine de coups avant de la aisair par le menton pour la regarder dans les yeux. Puis il lui cracha sur la figure.

« Apparemment tu n’as pas compris la leçon… dis, Panty, t’as pas de la corde ? »

Gifle par-ci et gifle par-là, le vrai policier n'y allait pas de main morte sur la petite Stocking qui s'éraflait la gorge et les cordes vocales simplement en le suppliant d'arrêter, que c'était douloureux, qu'elle avait mal. D'ailleurs, sa petite joue commençait à rougir au fil des claques qu'elle recevait. Après une série de claques, elle s'écroulait au sol, tremblante. Elle devait faire pitié ! Mais pas aux yeux de Panty qui allaient chercher la caméra comme promis et qui la mise en marche sur son trépied.

<sub>« Tu sais qu’à cause de ta bêtise ta sœur et toi avez manqué de peu la prison, petite idiote ! »

 « Mais ... mais pardon ! Je ne savais pas ! »

« Dis, tu m’obéirais si c’est pour punir ta petite pétasse de sœur ? »</sub>

Panty, d'un hochement de tête monotone, acceptait. Pourquoi pas ? Seulement montré ce que c'était de se faire bourrer la chatte et fesser les fesses d'une main d'homme ! Le blondinet prenait sa sœur par ces longs cheveux sombres. Il la relevait pour lui mordre violemment une lèvre qui lui fit une fois de plus couiner. Ce petit couinement était vraiment inoffensif et pitoyable ! Panty riait aux éclats derrière le policier. Il lui demandait de lui tenir les bras à cette chienne. Panty obéissait. Naturellement, elle n'obéissait pas et répliquait des phrases du genre : fait le toi-même ! Elle faisait une grande exception pour cette fois. Elle allait derrière elle, l'obligeant à se cambrer pour qu'elle lui tienne mieux les bras. Stocking, ne l'aidant pas à la tâche, forçait Panty à la prendre de force.

Cela commençais, les cris de Stocking résonnaient dans leurs condo. Panty recouvrait la bouche de celle-ci lui disant de faire moins de bruit, les voisins feraient encore une plainte et il n'avait pas besoin d'un policier de plus. Du revers de la main, il giflait au début les seins de Stocking pour s'emparer par la suite des bretelles de son uniforme vraiment sexy de la violette pour la fouetter. La dizaine de coups que faisait le policier Valmy sur son uniforme au niveau des seins écorchaient le tissu, déchirant quelque endroit dévoilant la moitié d'une des auréoles roses, pointé, de Stocking puis quelques morceaux de peau. Les seins qui pointaient ? Mais elle aimait ça la petite pute ! Des cicatrices rougies par les bretelles donnaient de la couleur à cette grosse poitrine. Panty lâchait d'un coup la bouche de Stocking pour qu'elle puisse respirer et laisser la place au blond qui prenait le menton de la cadette Anarchy entre sa main. Il lui crachait à la figure. Stocking fit un bas gémissement négatif.

<sub>« Apparemment tu n’as pas compris la leçon… dit, Panty, tu n'as pas de la corde ? »

« Mais ... J'ai compris ! J'ai compris je vous le jure ! »

« De la corde ? Bien sûr ! Dans mon placard, je vais la chercher. »</sub>

Comme promis, la blonde revint avec de la corde. Stocking pleurnichait : non pas de la corde ... pitié ! Voilà qu'elle demandait pitié !

Elle soutenait qu’elle avait compris, Gabriel se disait que peut être en effet, elle avait peut être compris, mais que si c’était le cas, le jeu s’arrêtait, alors il prit le parti de croire que non, elle n’avait pas compris et dans ce cas, elle était une menteuse, une grosse menteuse qui ne méritait qu’être davantage punie. Il sourit en voyant qu’elle suppliait comme si elle n’avait déjà plus aucune diginité… Il eut un rictus de dégout devant cela  et lui envoya un coup de pied avant de se saisir de la corde. Elle était relativement fine, à peine un demi centimètre d’épaisseur, mais résistante. Il se tourna à nouveau vers la blonde et lui demanda :

« Apporte moi donc aussi des poids et des pinces pour les pis de la vachette. »

Il sourit et déchira le reste de son haute avant de lui enserrer chacun des obus dans une prison de corde l’enserrant et le serrant, pas assez, pour couper la circulation sanguine, mais bien assez pour lui faire mal, il laissa un peu de marge niveau corde, pour tirer dessus et faire bouger les seins comme les rênes guidant un attelage puis, la forçant à s’agenouiller comme il fait lui liant ensuite le poignety gauche à la cheville droite et vis versa, la forçant à rester cambrée autant que possible, cuisses écartées.

Il approcha et plaça sur chaque téton une pince crocodile métallique avec des poids conséquents dessus, et envoya une décharge électrique dedans, du bout des doigts, histoire de lui faire mal.  Puis, saisissant la corde qui lui attachait kes seins, il les fit bouger dans tous les sens pour agiter les poids.

Doucement, sous le nez de la saucissonnée, il attira à lui l’autre juen femme, la blonde et l’embrassa, dresser à deux était terriblement excitant il trouvait… puis, non sans une caresse sur ses fesses, il retourna à la punition de l’autre. Il la regarda de haut et lui donna un coup de pied dans le bas ventre.

« Ecoute moi bien, tu te démerdes, mais tu vas me lécher les orteils, et puisque tu as une bouche de suceuse, tu avs aussi les sucer, tu te démerdes pour m’enlever la pompe et la chaussette ! »

Il se remit à faire bouger sur un rythme infernal les seins de la putain du jour et de l’autre main, il reprenait les bretelles, visant, cinglant, frappant chaque parcelle de sa peau mise à nue lorsqu’il lui avait arraché le haut !

Non, l'homme faisait non de la tête. Un rictus de dégout aux lèvres. Stocking n'en croyait pas ses yeux, lorsqu'il lui fit un autre coup de pied, elle sentit un filet de sang sortir de cette bouche fine. Le sang tombait sur la moquette blanche. Panty fronçait les sourcils se dirigeant vers Stocking pour lui faire un autre coup de pied qui la fit égosiller. Lorsqu'elle tentait de se relever, tremblant de ses bras, Panty lui assenait un dernier coup dans le ventre qui la fit tomber raide, au sol. Stocking griffait le plancher.

<sub>« Apporte-moi donc aussi des poids et des pinces pour les pis de la vachette. »

« Parfait. »</sub>

Elle ne dit aucun autre mot la blondinette et partis dans sa chambre. Il y avait un petit coffre, elle le prit dans ses mains aux ongles vernis de rouge. Un rouge tel était la couleur du sexe. De quoi attirer les yeux quoi ! Elle revenait au salon, montrant la boîte au vrai policier qui ne semblait pas comprendre. Lorsqu'elle l'ouvrit, il y avait deux pinces crocodiles tel que demandé mais ce qui était encore mieux, c'est qu'il n'y avait pas seulement qu'un poids accrocher aux pinces : tu pouvais aussi en rajouter d'autre ! Le corps frêle de Stocking gisait sur le plancher. On aurait dit qu'elle ne pleurnichait plus, comme si elle était morte. Mais non, elle bougeait encore donc Panty se dirigeait vers sa sœur, la relevant et lui susurrant à l'oreille.

_{« Tu ferais mieux de te lever, on en a pas fini avec toi ! »}

Panty s'éloignait tandis que Valmy s'approchait, pinces et cordes en main. En premier lieu, il attachait les deux seins de Stocking avec cette petite et mince corde. Il laissait de l'espace à une corde pour pouvoir le tiré tant qu'il le souhaitait. Il attachait son poignet gauche avec sa cheville droite et l'autre pareillement. De quoi créer un bel X ! Stocking ne relevait pas la tête jusqu'à temps qu'elles ressentent les pinces crocodiles aux bouts de ses seins, il envoyait une décharge dans ceux-ci. Elle hurlait, on ne pouvait pas savoir si c'était du plaisir ou autres choses. Le policier remuait la main d'où était la corde, de quoi faire bouger sa poitrine emprisonnée par cette corde mince mais tout de même résistante. Panty fit attirer vers le blond aux iris glacés, ils s'embrassèrent tels deux déchainées. Panty souriait, jouant avec la langue du policier qui retournait vers la chienne par terre une minute après, il recommençait une fois de plus à faire bouger la corde entre ses mains, faisant une fois de plus bouger ses poids et ses gros orbes de chair.

_{« Stop ! Merde ... Ça brûle ! »}

L'officier Gabriel Valmy la regardait et lui donnait un coup de pied dans le bas-ventre. Les yeux de Stocking firent deux cercles. Deux orbes bombés aux iris verts.

<sub>« Écoute-moi bien, tu te démerdes, mais tu vas me lécher les orteils, et puisque tu as une bouche de suceuse, tu vas aussi les sucer, tu te démerdes pour m’enlever la pompe et la chaussette ! »

 « Mais c'est impossible ... »

 « Stocking ... tu écoutes le policier, sinon tu sais ce que je vais entrer dans ton petit anus étroit, et tu sais que tu le détestes ! »</sub>

Par mauvaise expérience, Stocking n'avait pas envie de se refaire entrer d'autre chose dans cet orifice une fois de plus. Elle se dirigeait, se mettant assise, vers les souliers de Valmy pour les retirer de ses mains, la gardant bien cambré contre elle-même. Elle réussit à retirer ses bottes, avec misère bien entendu ! Le policier fit un autre geste de la main la faisant s'écrouler au sol, devant ses pieds. Lui laissant aucun autre choix que de retirer ses bas avec ses dents. Encore un long temps plus tard, elle réussit. Panty, bien heureuse qu'elle est réussie se dirigeait vers le derrière de Stocking, la poussant vers les orteils de son compagnon du soir pour qu'elle les suces et les lèches. Elle obéissait. Après tout, si elle obéissait aux ordres, plus vite cette petite partie serait fini non . Elle se trompait mais malgré ce fait, elle suçotait habilement les orteils du policier.

_{« Bravo Stocking ... Maintenant, essais d'étouffer tes gémissements, tu pourrais alerter tout le quartier ! »}

La blonde sexy se penchait vers le short de Stocking et sortit un couteau de sa poche. Lorsqu'elle sentit un objet pointu contre son entrejambe couvert de bout de tissu. Elle s'affolait. Elle allait bien lui faire mal putain ! Valmy lui répétait de se calmer et comme de fait, Panty déchirait le short de sa sœur ne dévoilant qu'une petite minette sans aucun poil pubien. Panty souriait, approchant son visage de l'entrejambe de celle-ci pour frôler sa langue contre les lèvres intime de celle qui gémissait à présent d'un pur plaisir. La blondinette, après quelques coups de langue, se dirigeait vers son clitoris pour le mordiller tout en entrant son index dans son orifice vaginal. Stocking arrêtait subitement son travail lorsque sa sœur lui tirait les cheveux vers l'arrière, lui démontrant son index mouillé de cyprine.

_{« Tu mouilles déjà comme une pute ! Regarde ! »}

La violette était vraiment embarrassée.

Ça brulait et ça faisait mal ? Oh, la pauvre petite… tant mieux ! Elle n’avait qu’à être mieux dressée et plus docile… il sourit et la regarda  au sol, continuant de la frapper. Elle jugeait cela impossible, qu’elle se taise et qu’elle le fasse ou alors elle serait punie… et il adorait la punir, en fait, il ne faisait ça que dans un seul objectif :  la punir, il aimait donner des tâches trop dures pour elle afin de la punir ! Mais ce ne fut pas le cas. En effet, par il ne savait quel miracle, elle avait réussi à lui retirer sa pompe avec les mains, mais fort heureusement, elle tomba et ne put pas continuer.

La voir retirer la chaussette avec les dents était particulièrement amusant ! Le jeune homme sourit et lança  en sentant les lèvres et la langue de la jeune femme sur ses orteils. C’était agréable, surtout qu’il n’avait pas eu le temps de se doucher depuis la veille ! Alors elle n’avait pas du apprécier le gout, ou même, dans une moindre mesure, l’odeur !

Le jeune homme souriait en la regardant faire, observant aussi la blonde particulièrement amusé par ce qu’elle faisait. Il la voyait sortir un couteau, non sans une menace à la jeune femme concernant quelque chose à mettre dans son anus…. Il était particulièrement curieux de ce qu’elle parlait d’y introduire, chose qu’apparemment la soumise ne voulait pas ! Mais lui, il voyuliait jyustement. Il la repoussa de son autre pied.

« Dis moi Panty, c’est quoi que cette petite putain ne veut pas dans son anus ? Parce que ça me donne qu’une envie :  que tu le lui mette bien profond, et bien sur sans préparation… sans vaseline, au mieux, lui cracher sur le cul… »

Il sourit et lui lança une nouvelle paire de coup avec les bretelles, au visage cette fois. Il lui sourit et lui caressa doucement la joue. Avant de lui mettre une nouvelle gifle.

« Maintenant, je veux que, sauf quand je donne un ordre, tu attendes en te tenant à genoux, cambrée, cuisses bien écartées. C’est compris, petite putain qui mouille dès qu’on s’approche d’elle ! Oui, tu es une telle salope que tant qu’on te touche, même pour bte frapper tu mouilles comme une nympho qui espère se faire troncher tant elle est en manque ! »

Il glissa la main entre les cuisses de la fille aux cheveux violets, lui griffant l’intimité au passage avec un sourire sadique sur les lèvres avant de la gifler avec les digts plein de cyprine.

« Parce que tu crois que j’ai envie de sauter une putain, une petiite suceuse qui n’obéit ni assez bien, ni assez vite à mon gout ? Ecoute moi bien, la seule chose que j’enfoncerait en toi par derrière, ce seront mes deux poings dans ton cul en même temps… et je n’irai pas doucement. »

Il sourit et recommença à maltraiter sa poitrine et son abdomen, volant un nouveau baiser passionné à sa sœur.

« Tu vois, Stocking, ta sœur est tellement plus belle et plus attirante que toi…. Tu es du purin en comparaison ! Allez, vas-y, dis le ! »

Il se jouait littéralement et définitivement de la petite Stocking, qui elle, n'en pouvait plus de ses coups de bretelles partout sur le corps qui lui donnait des rougeurs, des cicatrices. Même que quelques fois le sang giclait ! Lorsqu'elle devait lécher ses orteils c'était pire ! Ça ne sentait pas la rose en fait, il devait avoir passé une journée dans des bas et des baskets bien sales ou autre chose. Mais Stocking ne préférait pas savoir, elle s'attaquait à ses orteils, ne s'appliquant pas à cent pour cent, simplement car cela la dégoutait à un point indescriptible ! Il repoussait Stocking après que la blonde lui est tirée les cheveux vers l'arrière pour lui montrer son index trempé de ce liquide, de la cyprine, de la mouille, du foutre de petite salope quoi !

_{« Dis-moi Panty, c’est quoi que cette petite putain ne veut pas dans son anus ? Parce que e me donne qu’une envie : que tu le lui mettes bien profond, et bien sur sans préparation… sans vaseline, au mieux, lui cracher sur le cul… »}

_{« Je vais le chercher de suite tu sais ? »}

Stocking elle, s'affolait tandis que Panty semblait s'amuser.

_{« N-non ... Je veux plus de ça ! »}

Justement, elle revint avec ce truc que Stocking détestait plus que tout. Oui, Valmy du se dire : mais ce qu'elle est sensible pour paniquée pour un truc comme ceci ! Évidemment, la petite violette était très très sensible à sa zone anale. Pendant un instant, Stocking eut un brin d'espoir lorsque Gabriel caressait sa joue, doucement, tendrement. Elle rougissait, elle se sentait aimée pour deux ou bien trois secondes, mais le cauchemar recommençait lorsqu'il la giflait de nouveau. Il approchait sa main de son intimité, la griffant. Elle ? Bien sûr elle n'avait rien d'autre à faire que de cambrer le dos, crier, supplier.

Valmy prit le bras de Panty, lui volant à nouveau un baiser passionné sous le regard de la petite maltraitée. Panty gémit, caressant le torse de celui-ci qui tenait encore Stocking, accroupit, les jambes écartées, en laisse.

<sub>« Tu vois, Stocking, ta sœur est tellement plus belle et plus attirante que toi… Tu es du purin en comparaison ! Allez, vas-y, dis-le ! »

 « N-non ! C'est ... c'est horrible ... je ne suis pas hideuse ... »

 « Stocking ... tu désobéis ? Je comprends ce que tu veux ... Gabriel, tu me l'emprunte un instant .! Je voudrais bien punir cette petite pute qui refuse tes ordres ! »</sub>

Valmy hochait la tête et Panty approchait de Stocking -qui elle- reculait lorsqu'elle vit de nouveau le sex-toy anal que sa sœur ainée tenait. Elle reculait, disait non, mais Panty prit furieusement son bras, l'agenouillait au sol et la poussait pour qu'elle couche son avant-corps au sol. Elle se débattait, Panty lui assenait une gifle aux fesses pour qu'elle lui entre, d'un coup, tout le jouet. Stocking hurlait, sentant son petit anus se dilater lorsque Panty jouait avec le jouet, faisant des vas et viens sous les yeux du policier qui s'amusait follement du spectacle.

Au moins, elle comprenait peu à peu qu’obéir était sa seule option, et que même comme ça, elle n’avait que peu de chances  de ne pas être punie par pur plaisir sadique… son corps joliment rougi par les coups avait gagné en attrait de son point de vue et il ne se plaignait pas de la vue qu’elle lui offrait donc ainsi…

Il souriait alors qu’elle s’occupait de ses orteils avec une application qui était plus que discutable… l’objet qu’avait mentionné Panty l’intriguait, il se demandait s’il était gros, long, épais, piquant, il se demandait aussi si elle le lui enfoncerait comme il lui en avait parlé ou si elle lui laisserait ce plaisir… elle ne voulais pas ou plus de cela, mais à ses yeux, cela ne faisait aucune réelle différence, il s’agissait juste du fait qu’elle ne l’aimait pas, renforçant l’idée même que c’était ce qu’il devait faire !

Mais c’était pasce qui avait de quoi faire peur, elle était soit très douillette, soit ça avait une fonction cachée… mais pour si peu…. Tout de même, ce n’était pas comme si elle recevait un gode hérissé de piquants, non, c’était très léger, rien de bien impressionnant. Il avait le regard amusé et se contentait de regarder la jeune femme s’amuser sur le corps de celle aux cheveux vuiolets. La jolie blonde l’avait toute la journée, toute la semaine, tout le temps… elle en avait de la chance…

Panty devait faire avec une récalcitrante, soit, mais il voyait clairement qu’elle voyait autant de plaisir en la maltraitance anale de la soumise que lui. Il la regarda commencer à introduire légèrement avec douceur et finir brutalement d’une bonne gifle, voilà, ça, c’était la bonne méthode !

Il ferma les yeux, savourant les cris de la jeune femme, jusqu’à ce qu’un autre bruit se fasse entendre. On toquait violemment à la porte. Gabriel soupira. C’était quelque peu pénible… ils allaient être interrompu, d’autant que la personne ne semblait pas s’en aller, tambourinant à la porte.

Il sourit et attira dans ses bras Panty et déposa un baiser dans son cou, mordillant la veine à cet endroit-là avec douceur et un certain air mutin. ¨Puis, il lui murmura dans le creux de l’oreille quelques mots, juste une idée alors qu’une voix masculine se faisait entendre ebn plus des coups sur la porte.

« Et si on laissait Stocking calmer notre importun ? Si c’est une vraie suceuse elle saura le calmer…. Qu’en penses-tu ? »

Tenant toujours la blonde contre lui, main posée sur la hanche, la caressant doucement il regarda le plug anal qui sortait du derrière de Stocking, et l’y renfonça d’un coup de pied, du talon plus précisément. Ce faisant, sa main glissait vers l’intérieur de la cuisse de Panty…

« Tellement plus belle et plus saxy…. Tu aimes, toi, l’anal ? »

Ce connard à tête blonde semblait vraiment apprécier ce petit massage d'orteil grâce à l'agile langue de la cadette Anarchy qui elle, n'aimait pas du tout cela puisque ça ne sentait pas bon du tout et que ça avait un goût de salé.

*Putain, mais ça existe le savon espèce de taré !* Pensait-elle, fronçant les sourcils continuant le travail jusqu'à temps qu'elle se fasse repousser pour que Panty lui attrape sa longue chevelure de centaines de centimètres. Elle hoqueta lorsqu'elle le fit, bien sûr, ce n'est pas très agréable lorsque l'on se fait agripper par les cheveux et tirer vers l'arrière ce qui tire nos racines et nous fait extrêmement mal ! Mais sincèrement, Panty en prenait un plaisir fou ! Voir sa sœur gémir, geindre, pleurer après une faute comme celle-ci, c'était de la vraie crème chantilly quoi ! Mais elle était vraiment une petite catin celle-là ! Simplement après quelques coups de langue, elle mouillait déjà ? Pourquoi ne pas lui montrer après tout ? D'ailleurs, elle n'allait pas juste montrer ! Elle entrait son doigt dans sa gorge ce qui lui provoqua un haut-le-coeur.

« Tient, ça t'apprendra petite pute ... Mouiller de la sorte ... Non mais franchement ! »

Panty en profitait pour filer un clin d'œil à l'officier Valmy qui était un sacré morceau ! Elle se mordillait la lèvre inspectant son corps. Torse bombé, grande carrure, large épaule. De quoi faire une sacrée bonne partie de sexe quoi! Mais elle se résignait. Non, pas maintenant, avant, il fallait en finir avec la petite pute qui était sa sœur. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle se grouillait pour enfoncer ce sex-toy bien profondément dans son petit cul de chienne en chaleur. D'ailleurs, elle remuait le derrière lorsqu'elle lui fit des vas et viens ! Wow, quel spectacle franchement ! Ce n'était pas tous les jours que Stocking aimait faire cette pratique de BDSM !

« Je rêve ou tu commences déjà à apprécier ce que l'on te fait ! »

« Tu dois rêver ça alors ! Je n'ai-n'aime ... Pas ça ! HMPH ! AAAH ! » Gémit-elle lorsque Valmy lui mit un coup de pied au cul, entrant le jouet bien profond dans son orifice excréteur.

Ils n'étaient vraiment pas gênés ! D'ailleurs, Stocking eut bien la peur de sa vie lorsqu'elle entendue toquer à la porte. Non, pas la peur de sa vie ... Un grand espoir envahit ses yeux, Panty le vut et déposait son pied contre la joue de sa sœur cadette lui lançant un regard voulant dire : "' N'y pense même pas, sinon, tu le paierais " . Et ce fut bien effectif ! La bouche que Stocking avait ouverte pour appelé à l'aide fut aussitôt fermée de peur qu'elle subisse encore plus de supplice infligé par ces deux malades.

Panty fut attiré vers le joli policier qui lui arrachait un baiser sensuel mais violent et vraiment agréable. Enfin, c'est-ce que pensait Panty ! La blondinette lui tirait la lèvre inférieure, rigolant. C'était vraiment bon pour elle et pour lui, peut-être lui offrirait-elle une pipe aussi ? Elle aimait bien la fellation aussi, quoiqu'elle n'en fît pas souvent ! Stocking était la meilleure dans cela. Mais bon, l'idée que lui avait sifflé Valmy lui plaisait bien ! Elle hochait la tête. Apportant Stocking par les cheveux vers la porte de leur condo ou un monsieur n'arrêtait pas de crier plainte.

« Tu sais Stocking, je t'ai déjà appris à être aimable avec les visiteurs n'est-ce pas . Alors, sois bien chaleureuse avec celui-ci et inflige lui une fellation qu'il n'oubliera pas de sitôt ! Allez, merde ! »

Elle ouvrait la porte ou elle vut l'étranger qui était surpris, ou bien émerveillé par le spectacle qu'il voyait sous ses yeux. Une jeune femme attaché, nue et une grande sœur dominante. Panty l'attirait vers l'intérieur pour lui dézipper son pantalon et en sortir sa queue qui commençait à pointer vers le nez de Stocking qui était assise au sol. Stocking semblait émerveillé par ce qu'elle voyait. Une queue ! Oh mais qu'elle était perverse sa petite sœur ! Ça lui plaisait bien mais entre-temps, elle s'adressait au monsieur.

« Appréciez ... Et faites ce que vous voulez de cette putain ! »

Sur ce, elle prit le menton de Stocking et lui forçait à ouvrir la bouche pour attirer le membre du voisin dans la gueule de sa soeur. Poussant cette queue jusqu'au fond de sa gorge. Elle riait aux éclats lorsqu'elle vit les yeux exorbités et en l'air de la violette. Elle gémit, c'était comme une récompense pour elle, mais honteux tout de même ! Le voisin de condo prit les cheveux de la jeune femme pour la forcer à faire des vont et viens plus rapidement. Il gémissait des "' oh ouais '" ou autres conneries. Pendant que Panty retournait aux côtés de Valmy, un sourire en coin.

« Voilà qui est fait ... Et ... J'aime tout se qui entre mon cher officier !  »

Vous savez, il y a des gens dont on se fout de l’avis et dont on se fout royalement, Stocking en faisait partie : Gabriel n’avait rien à foutre de ses états d’âme, en cet instant, Elle n’était un jeu qui s’offrait à lui , un jouet temporaire qu’il utiliserait jusqu’à la corde avant de s’en débarrasser comme une vieille chaussette ! Mais pour le moment, il continuait à bien s’amuser alors que la situation prenait un côté inattendu.

En effet, il ne s’attendait pas vraiment à ce que quelqu’un vienne se plaindre du  bruit et vienne perturber leur jeu, pas leur jeu à tous les trois, mais le jeu de Gabriel et Panty, il aurait été difficile pour Stocking de trouver dans le fait de se faire martyriser par sa sœur et un étranger une quelconque forme de jeu… bien que malgré elle, cela lui plaisait de manière plus que visible, preuve en était sa mouille qui perlait le long de son intimité, c’était d’autant plus visible que Panty la trainait vers la porte à quatre pattes et donc exposait davantage sa croupe au regard de la flicaille.

Il sourit car il ne faisait pas que mater le cul de celle à quatre pattes, en effet, celui qu’il, la blonde avait derrière qui était loin d’être désagréable à regarder ! Et dans la logique des choses, il la sauterait sans doute plus volontiers que l’autre…  l’autre ce ne serait que de l’humiliation, alors qu’avec Panty… ce serait bien plus…. Si il baisait Stocking ce serait en la rabrouant, la rabaissant et en finissant par gicler sur son corps pour lui rappeler qu’elle ne serait qu’un vide-couilles tout ce qu’il y avait de plus commun…

Panty avait un autre avantage : elle savait parler comme il fallait à cette saleté de putain qu’était Stocking. La proposition fit sensation et d’ailleurs, aussitôt, l’inconnu, apparemment, en avait envie depuis longtemps, car il mit moins d’une trentaine de secondes pour se foutre la queue à l’air sous le nez de la fille aux cheveux sombres. Pnty l’aida à engouffrer celle-ci dans la gorge de la putain de service et commença à la forcer à la prendre bien au fond. De là où il était, il ne pouvait réellement voir à quel point cette salope était ravie de son sort (et sa négation n’en était plus qu’excitante).

Il embrassa une nouvelle fois Panty avant de glisser sa main sous sa jupette. Il laissait courir ses doigts sur sa cuisse, puis sur son fessier, cherchant à aller carrément dans le sous-vêtement pour aller glisser un doigt contre la rosette de la belle blonde qu’il effleura avant de retourner caresser sa croupe délicieusement galbée….

Il lui mordilla l’oreille avant de lui glisser de manière parfaitement audible par toutes les parties en présence dans le lieu (y compris Stocking et le voisin qui s’était mis à lui besogner la bouche à grands coups de reins) :

« Plus le temps passe, plus je me demande si justement, ça peut rentrer… »

Vantardise ? Un peu, mais pas que ça sans doute, et comme pour se faire oublier, ou du moins oublier ce qu’il venait de dire, il préféra se retourner vers Stocking et lui envoya un coup de pied dans le plug anal… et il sourit en entendant un couinement de la part de la fille aux cheveux violets, même si celui-ci était étouffé par le chibre qui lui ramonait la cavité buccale avec violence.

« Mets y plus d’entrain toi…. On a l’impression que tu ne veux pas faire plaisir à ce monsieur… vilaine fille… »

Il lui sourit sadiquement avant d’embrasser de nouveau Panty.

« J’ai envie de t’enculer là, maintenant, tout de suite, contre le mur… »

Ça aussi c’était parfaitement audible. Et plus bas, juste pour Panty, il murmura :

« Et j’ai une idée pour Stocking, qu’elle ne s’ennuie pas…. Avec deux tringles de rideau et de la ficelle elle va en prendre plein le cul comme jamais jusqu’à présent…. »

Il l’embrassa encore et lui mordilla la lèvre.