Qu’elle était gentille, qu’elle était douce, qu’elle était naïve la petite lycéenne. Il était sur de pouvoir la mener par la baguette ! D’ailleurs, n’était-ce déjà pas le cas, elle plongeait vers l’inconnu sans la moindre hésitation, et cela, juste parce que le CPE lui proposait d’aller s’allonger, et elle, elle faisait confiance aveuglément.
C’est vrai, après tout, il était un des membres du personnel du lycée, il ne pouvait pas penser à mal de la jeune femme, il n’était là que pour son bien et que les lits soient à l’infirmerie en temps normal ne semblait pas la choquer plus que cela. Non, il était normal qu’un lit de camp soit installé ailleurs par un XPE, comme ça, parce qu’il le voulait. C’était là toute la bêtise de la jeune femme.
Prenant sa petite mallette au passage, il lui ouvrit la porte te la conduisit à l’écart des salles de cours habituelles, dans une salle qui ne se trouvait même pas au rez de chaussée mais au sous sol. C’était une ancienne salle de chimie en fait qui avait été fermée lors de l’agrandissement du lycée d’il y avait plusieurs années. Il n’y avait pour toutes fenêtes que de petites vitres en hauteur qui donnaient à raz le sol.
Il ouvrit la porte et pour être sur qu’elle y rentre, l’y poussa à l’aide d’une bonne fessée. Il la regarda s’étaler sur le sol, ayant été poussée, elle n’avait pas eu le temps de s’appuyer sur ses béquilles.
« Charmant comme endroit n’est-ce pas ? »
Il avait tout préparé, du plafond pendaient des menottes pour lui tenir les poignets, et même la soulever un peu du sol s’il le désirait, c’était régléble. Il avait tout préparé avec soin. Il n’y avait pas meubles, juste le placard dans lequel il avait placé ses outils pour s’amuser. Il ferma la porte à clé et commença à tout sortir du placard et de sa mallette pour les déposer sur une paillasse, bien en évidence qu’elle puisse admirer les martinets, cravaches, godes, vibros, pinces, poids, cordes, baillons, etc… tout le parfait petit matériel.
« Tu es vraiment stupide, moi je vais m’amuser et toi tu vas gentiment obéir, ma naïve petite mayumi… »
Il l’aida à se relever en lui mamlaxant une fesse au travers des vêtements.
« Tu crois que j’ignore ce que tu ressens pour moi ? Allons, je ne rêve que de toi, ne penses qu’à toi…. »
Il l’embrassa dans le cou, puis sur la joue.