De sa position debout, Eva se retrouva rapidement à même le sol, en position de chienne, la queue de Samara remuant en elle avec un plaisir évident. Une petite sodomie, ça faisait toujours du bien, surtout dans des fesses aussi attirantes. La queue de Samara, à son extrémité, s’arrondissait, afin de ressembler à une verge, une grosse verge assoiffée qui la prenait avec force. Eva semblait endurante, à même de le supporter, et les fibres de plaisir qui s’échappaient de son corps inspiraient Samara.
« Maîtresse, j'espère que mon cul de petite catin vous plait... soupira Eva. Car votre nouvelle petite catin adore plus que tout qu'on joue avec... »
Samara répondit en se rapprochant, commençant à envisager de nouvelles possibilités. Elle était toute nue, et se concentra lentement. Entre ses cuisses, quelque chose se mit à pousser. Utilisant sa magie, Samara fit pousser un sexe masculin, déformant légèrement son intimité. De manière générale, elle n’aimait pas trop se doter de cet appendice, fort peu féminin, mais, parfois la situation l’exigeait... Et traiter cette « petite catin », comme elle-même le disait si bien en reprenant les propos de sa Maîtresse, faisait partie des circonstances justifiant cet usage. Samara retira donc sa queue caudale, et se rapprocha. Ses mains griffues se posèrent sur les hanches d’Eva, et son membre s’enfonça en elle, retournant dans ses fesses.
« Aaaah... Voilà qui est mieux, ma salope ! »
Samara continuait à la prendre, et sa queue caudale retourna à l’assaut, s’enfonçant cette fois-ci dans son vagin. La démone s’évertuait toutefois à solidement pénétrer Eva, allant aussi loin qu’il lui était permis, perforant volontiers son fondement, en donnant des coups de bassins de plus en plus féroces, réveillant ses pulsions d’agressivité démoniaque. Ses griffes vinrent ainsi se planter dans la chair tendre et moelleuse de l’humaine, prise comme une chienne, prise comme il convenait de prendre n’importe quelle humaine, ces créatures inférieures dont le seul intérêt était de servir et d’obéir. Une philosophie qu’Eva appliquait à la perfection.
Les minutes défilèrent pendant cette longue double pénétration. Samara haletait et gémissait, giflant le postérieur de son esclave, cette belle esclave sexuelle aux pouvoirs magiques, qui serait digne d’être sienne. Pour apaiser les pulsions sexuelles de Samara, il fallait en effet être particulièrement talentueux, car la démone était du genre à être toujours en soif de sexe. Elle donnait des gifles violentes sur les fesses d’Eva, la rythmant, la réveillant, tout en l’insultant entre plusieurs soupirs :
« Hum... Haaaan, haaan ! Salope, aaaah... Tu... Tu aimes ça, hein, hein, petite pute ? Que je te baise comme une chienne, que je te défonce le cul comme la pire des salopes ? Ohhhh c’est si bon, aaaaaah, sale pute... »
Et elle continuait. Sa queue caudale cracha du sperme à plusieurs reprises, mais poursuivait son office, labourant le corps d’Eva, remontant dans son être. La queue s’allongeait bien loin dans son corps, perforant son clitoris. Samara prit ainsi Eva pendant une bonne demi-heure, avant de finalement jouir dans son fondement. Un bel orgasme, où elle haleta, gémissant pendant une bonne minute, jouissant sans continu, lâchant des giclées de sperme intenses pendant des dizaines de secondes, sentant une douleur dans son estomac disparaître, comme si un nœud se décrispait au fur et à mesure qu’elle jouissait.
Samara finit par relâcher le corps d’Eva, sa queue se retirant en glissant le long de ses jambes, laissant sur sa peau blanche une fine traînée dégoulinante de sperme et de mouille.
« Ne te repose pas, ma chérie... Je vais te motiver... »
Samara utilisa sa magie, et une forme physique se matérialisa à côté d’Eva. C’était tout simplement un clone d’Eva, toute nue, qui sourit devant la version d’origine, puis s’approcha du sexe masculin de Samara. Le sexe était long, gros, et dur, et le clone d’Eva entreprit de le lécher, se mettant sur le côté pour le caresser, glissant ses lèvres près des testicules qui étaient apparus.
« Rejoins ton clone, Eva, et occupe-toi de mon membre... Allez, dépêche-toi... »