Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Domination symbiotique [Wonder Woman]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Nathan Joyce

E.S.P.er

Domination symbiotique [Wonder Woman]

mercredi 06 février 2013, 21:47:36

Le fouet s’abattit sur le corps de la femme. En plein milieu du dos. Le coup résonna dans la petite pièce sombre, faiblement éclairée par quelques discrètes bougies dans les coins, donnant à cette pièce une atmosphère ésotérique, presque occulte. Il savoura le contact de sa peau symbiotique sur la peau parfaite et solide de la femme. Son coup de fouet avait été d’une puissance terrifiante, suffisamment pour briser des os, mais il savait qu’elle n’était pas une femme normale. Elle était très endurante, et son coup de fouet laissa donc une simple éraflure au milieu de son dos, entre ses omoplates. Nathan Joyce la contemplait silencieusement, soufflant, son sexe tendu lui faisant mal, envoyant à son propriétaire des ondes de douleur et d’impatience. Il voulait se soulager, mais l’homme, qui n’en était alors plus totalement un, prenait son temps.

Elle était retenue, bras écartés, par deux espèces de tentacules d’ombre très résistants, qui sortaient du plafond. Il aurait pu utiliser les chaînes que les policiers avaient laissé dans la cabane, mais quelque chose lui disait que de simples chaînes ne l’auraient pas retenu. Ses propres tentacules, en résistance, lui avaient permis d’affronter des chars d’assaut. Son symbiote dissimulait une puissante herculéenne, qui lui avait permis de la maîtriser quand elle avait débarqué. Nathan avait du mal à réfléchir, surtout quand il avait bu, et qu’il avait fait une crise.

Le policier ressortait d’une longue enquête, difficile, consistant à résoudre une série de kidnappings portant sur de jeunes étudiantes. L’enquête s’était initialement penchée sur une filiale de la Mafia russe, mais la piste avait été abandonnée, pour finalement être résolue à l’endroit précis où l’homme se tenait : une île isolée, petite, au large de Seikusu. Le Japon, après tout, était un archipel comprenant des centaines d’îles, dont certaines étaient infimes. C’était le cas de celle-ci. Depuis la petite plage, on pouvait voir, au loin, par temps clair, les lumières des hautes tours de Seikusu. C’est ici que l’homme amenait les étudiantes. Il les droguait, les emmenait avec son petit bateau, et les enfermait dans une cave souterraine, une ancienne cache de contrebandiers, remontant à une époque lointaine. Dans cette pièce sombre, il leur faisait subir les pires sévices, avant de, tel un individu regardant trop Dexter, les découper en rondelles pour les balancer au large. Un pêcheur avait un jour retrouvé l’un des cadavres, emballé dans une espèce de sac résistant à l’eau. On avait, à partir des empreintes, du sang, et des morceaux de corps, découvert l’identité de la victime. Dès lors, à ‘laide d’une carte maritime, la police avait fouillé les petites îles, jusqu’à trouver ce musée aux horreurs. Il y avait tellement d’empreintes génétiques qu’aucun avocat, même le plus corrompu du monde, n’aurait pu sauver le coupable. Cependant, ce dernier, plutôt que de se rendre, avait préféré se suicider. Un homme d’affaires. Un individu insoupçonnable, avec une femme, deux gosses. Il s’était fait sauter la cervelle dans son grand bureau quand sa secrétaire lui avait annoncé que la police était là. Il avait échappé au procès. L’enquête s’était terminée avec un goût acre dans la bouche.

Et Nathan se retrouvait là, dans l’antre de l’horreur. Il y avait tout pour se défouler sur une femme : un chevalet, des rangées de fouets, des pinces, un four permettant le marquage au fer rouge, et même une vierge de fer. La police avait mené ses recherches directement sur place, et les objets seraient pris plus tard. En l’état, ils servaient essentiellement de décoration. Son second fouet symbiotique, prolongement de son bras, s’abattit à nouveau sur le dos de la femme. Elle avait beau être forte, il l’était un peu plus, suffisamment pour la dresser.

Ce soir, il avait bu, mais l’alcool lui avait tourné à la tête. Il s’était rendu dans un bar, et on l’avait attaqué. Enfin... Plus ou moins. Il buvait, et avait vu des loubards harceler de jeunes femmes. Une histoire de cul, apparemment. L’un des mecs voulait vérifier son portable pour s’assurer qu’elle ne s’était pas « tapée Kenji », ou une connerie comme ça. Le ton s’était envenimé, la fille s’était reçue une gifle, et Nathan était intervenu. Tout était flou dans sa tête, mais il se rappelait clairement avoir envoyé l’un des types par la vitre du bar, cette dernière se brisant, alors qu’il s’écrasait sur une voiture. Sous le mélange de l’alcool et de la colère, il avait senti la Bête en lui, le Symbiote, se réveiller, lui ordonnant de les tuer. Il avait préféré fuir, et était parti sur cette île. Il pensait y être en paix, mais il fallait croire qu’on l’avait suivi, car cette femme lui était tombée dessus. Le combat avait été relativement court. Attaqué, Nathan avait réagi avec rage, et l’avait assommé.

Elle se réveillait maintenant, sous les coups de fouet qui heurtaient lourdement son dos. Il l’avait traîné dans la cave, louchant sur son corps magnifique. Le symbiote enveloppait son corps, formant des tâches noirâtres ici et là, mais l’intérêt du symbiote, pour l’heure, était surtout de constituer des excroissances de son propre corps, afin de lui permettre de frapper la femme sans difficulté.

« Réveille-toi, intima-t-il d’une voix assez forte. RÉVEILLE-TOI ! »

Elle portait toujours sa tenue courte. Elle lui allait si bien !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Wonder Woman

Humain(e)

Re : Domination symbiotique [Wonder Woman]

Réponse 1 vendredi 08 février 2013, 18:17:02

Diana commença doucement à émerger. Elle ne comprenait pas exactement ce qu'il s'était passé. Tout était encore tellement flou dans l'esprit de l'amazone... Elle avait entendu parler d'une horrible menace, d'un être doté d'une force telle qu'il était capable de projeter violemment des hommes sur des voitures. En bonne héroïne, elle avait senti qu'elle devait agir pour mettre un terme à un tel danger. Elle avait donc cherché cette menace, bien déterminée à neutraliser cette vicieuse abomination, et l'avait trouvée sur une île. N'écoutant que son courage et son sens du devoir, elle n'avait pas hésité à l'affronter, mais elle avait visiblement sous-estimé le danger. Diana avait beau être dotée de capacités surhumaines, un célèbre adage disait que l'on pouvait toujours trouver plus gros que soi et il s'était vérifié. C'était une douloureuse expérience qu'elle ne souhaitait à personne. Elle avait à peine eu le temps de réagir que le monstre l'avait assommée. Elle n'avait jamais été vaincue aussi simplement. Ce fut un choc pour elle, mais elle n'avait guère eu le temps d'y songer avant de sombrer dans l'inconscience.

Désormais à la merci de la bête, celle-ci avait entrepris de la fouetter. Sa poitrine généreuse se balançait, toujours maintenue par sa tenue, comme des invitations à des caresses pour l'unique spectateur. Il fallait de grandes mains pour pleinement profiter de ses reins ronds et fermes. L'esprit encore embrumé par le redoutable coup qu'elle avait reçu en essayant de combattre son terrible adversaire, elle se réveilla finalement. Ce ne furent pas tant les coups que les hurlements de celui qui les donnait avec tant de rage qui la tirèrent de sa torpeur. Un nouveau coup vint frapper son dos et un cri sensuel s'échappa de sa gorge comme seule réponse à la morsure du "fouet" de cet étrange ennemi. Certes, cela ne laissait que peu de marques sur son corps résistant, mais ça n'en restait pas moins douloureux pour elle, endurance surhumaine ou non, d'autant que l'individu était lui-même doté d'une grande force. Il n'aurait jamais pu l'assommer si ça n'avait pas été le cas...

Elle leva ses yeux bleus et les darda avec détermination sur l'être qui s'amusait tant à la fouetter, de longues mèches de sa chevelure noire lui tombant en travers du visage. Elle resta totalement silencieuse, guettant la réaction du vainqueur. Elle voyait là un individu enragé et elle ne savait guère quels mots employer pour le calmer. Elle s'attendait presque à un second round et se préparait mentalement au combat.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : Domination symbiotique [Wonder Woman]

Réponse 2 vendredi 08 février 2013, 22:26:15

Son apparence était à mi-chemin entre celle de la Bête, ce grand monstre vêtu de noir, avec une gueule d’amour, et son apparence habituelle, celle d’un ancien flic des troupes d’intervention. Une excroissance noirâtre en mouvement recouvrait ici et là son corps, alors qu’il essayait de se contrôler, de se calmer, tout en sachant la futilité de la chose. La Bête avait pris le contrôle, et il savait que cette dernière ne revenait pas au sommeil très facilement. Il fallait des expériences extrêmes pour qu’elle se calme, et la venue de cette femme avait galvanisé son envie. Quand la Bête prenait le contrôle, les pulsions primitives de Nathan étaient renforcées : son agressivité, son impulsivité, mais aussi son désir sexuel. Et cette femme, avec ses formes solides, sa longue chevelure noire, et sa tenue courte, était, à ses yeux, terriblement excitante. Il la sentit se réveiller, le coup de fouet lui faisant pousser un cri délicieux, un cri qui, à ses yeux, résonna comme une invitation à continuer. Nathan sentit une belle érection. Il ne portait plus aucun vêtement sur son corps, les vêtements restants ayant été déchirés quand la Bête avait totalement pris le contrôle de son corps. Le bas de son corps, notamment son bassin, était recouvert par cette excroissance noire, cette sorte de seconde peau qui le rendait plus impressionnant. On pouvait discerner la forme de son sexe, écrasée sous cette couche, alors qu’il se mit à s’avancer vers la femme, cette dernière essayant de tourner la tête pour le voir, pour identifier son agresseur. Il avança ver selle, difficilement. Quand on était excité, ce petit morceau entre les jambes était lourd, bien pesant.

Les liens la maintenaient toujours, et il se mit devant elle, voyant son beau regard bleu acéré. Une femme forte, solide, déterminée, qui était son jouet. Il la voulait, oui, mais il ne voulait pas simplement la baiser. Il voulait aussi la dominer, la dressser. C’était ce que la Bête voulait. La Bête était un mâle dominant, semblable en ce sens à tous ces prédateurs territoriaux qui voyaient leur domaine comme leur maison, et massacraient les rivaux. Elle, elle était la Femme, l’objet de désir, celle à soumettre, celle qui devait le respecter et l’honorer. C’était une vision sexiste, il le savait, mais il n’arrivait pas à penser autrement. C’était comme si des pensées étrangères et pernicieuses se glissaient en lui, et le dominaient, lui incombant d’agir comme un homme préhistorique. Il lut la détermination, la colère, el défi, dans les yeux de cette femme, et tendit sa main, son bras se recouvrant de noir. Ses doigts griffus et pointus l’attrapèrent au menton, faisant tourner sa tête de droite à gauche, tandis qu’on pouvait voir, tout le long de son membre, des espèces de petites tiges noirâtres qui sortaient de sa peau symbiotique, pour y retourner.

« Je... Je t’ai déjà vu... Wonder Woman... »

Il devait faire un effort de concentration, car, quand on était étranger à son propre corps, faire appel à ses propres souvenirs était difficile. Cette femme l’avait attaqué, croyant à une menace, et la Bête avait parlé, bénéficiant de son avantage, de l’effet de surprise. Il savait qu’elle était forte et fière, mais c’était tout ce qu’il savait d’elle.

« Tu es à moi, femme, enchaîna-t-il. Rebelle-toi, et je te dévorerais. Soumets-toi, et tu vivras. »

Nathan n’avait pas envie de la tuer, et c’est pour ça qu’il faisait cette précision, car il savait que, si le symbiote en lui était énervé, il pourrait devenir furieux, et la déchiqueter. Il relâcha le cou de la femme, et observa sa belle poitrine. Elle était vraiment très belle, et il approcha l’une de ses mains, pressant son sein à travers sa tenue, caressant l’espèce d’aigle dorée qui se trouvait dessus. Il serra assez fort, ses ongles s’enfonçant légèrement dans sa tenue, formant quelques petits trous, avant que les tentacules d’ombres ne la relâchent. La jeune femme tomba au sol, aux pieds de l’homme.

« Baise-moi le pied, femme » ordonna-t-il simplement.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :