Magikya fut stupéfaite en voyant, d'une part, Daenya emmenée de force vers les sombres cachots, et, d'autre part, une espionne de son camp, capturée et traînée à ses pieds, menottées. Sa petite poitrine se soulevait lentement, calmement, son regard aux yeux marrons ne semblait pas trahir une quelconque panique ou peur. C'était une soldat d'élite, peu apte à craquer aussi facilement.
Lorsque le Duc Dayereth Amra lui demanda son nom, elle ne répondit pas, le fixant droit dans les yeux, comme un défi à son autorité. Elle ne cillait pas, malgré le regard froid et menaçant de cette Jahnae, une elfe noir, sensible au Duc, mais au Duc seul probablement.
Magikya croisa les, jambes, silencieuse dans cet atmosphère oppressant, où la tension est palpable. Elle avait pourtant crue voir sur le visage du Duc une certaine faiblesse à un moment, lorsqu'il prononçait son "chatiment" vis à vis de Daenya et de sa résistance. Mais le Duc n'était pas un faible, mais un homme de pouvoir, si il était toujours là, ce n'était pas par sa bonté ou sa générosité.
Le Duc regardait l'espionne, sans impatience sur son visage, qu'un sourire. Cela donnait à Magikya l'impression d'être entrée dans un jeu, mental entre les protagonistes. Elle prit une gorgée du verre placé devant elle. Ce liquide fort et réchauffant la rassura.
- Je ne la connais pas...La jeune femme avait ainsi décidé de s'écarter de cette suspicion, d'aggraver le cas de son camp. Toutefois, il lui parut que sa voix était faible, tremblante. La magicienne détourna le regard de l'espionne qui continuait de fixer le Duc.
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Les deux soldats entouraient fermement Daenya, l'observant dans sa calme apparence. C'était ces deux mêmes hommes qui avaient eu le droit à la vision du décolleté largement ouvert de la belle lorsque celle-ci s'était maladroitement baissée. Ils scrutaient ainsi les formes de son corps, chaque mouvement qu'elle faisait, presque déçu de ne pas avoir été en cellule pour profiter de sa beauté.
Au bout d'un moment qui parut incroyablement long pour Daenya, elle franchit une première grille, les gardes furent surpris de la voir ainsi arriver. Cette première grille franchie, on pouvait entendre les cris et agitations des divers prisonniers.
-Attends, dit l'un des deux soldats à l'autre alors qu'ils continuaient de progresser dans ces bas-fonds, c'est une prisonnière, du moins pour cette nuit, il faut la tenue qui convienne.
-Mais, le Duc...
-Il s'en fout lui, et puis on va juste la ramener au niveau de nos prisonniers, pas de hiérarchies dûe au grade dans les prisons, il se mit alors à sourire, un sourire partagé par le second soldat.
Ils entrèrent alors dans une pièce où se trouvaient les armures et armes des soldats. Ils lui tendirent une tunique et un pantalon, fais en un tissu usé et déchiré.
-Habille-toi.Le ton brusque utilisé par le soldat ne permettait pas à Daenya de le remettre en question, d'autant qu'elle se sentait en sentiment d'infériorité. Elle se déshabilla ainsi avec une extrême agilité, cachant son intimité et ses seins du mieux qu'elle pouvait du regard plus qu'intéressé des soldats. Puis elle s'habilla de cette nouvelle tenue.
Plusieurs gardes entrèrent alors, avertis de cette nouvelle et si spéciale venue. Quelques uns se mirent à rire en voyant cette idée de leurs frères d'armes de la vêtir ainsi, tout en la regardant scrupuleusement. Parmi ses huit soldats observant la scène, l'un d'eux, un meneur, eu une autre idée.
Il s'approcha de Daenya qui n'osait bouger, la reniflant doucement, lui passant la main sur le ventre. Et lorsqu'il fut derrière elle, il déchira brutalement sa tunique, dévoilant le torse nue de Daenya qui porta rapidement ses bras au niveau de ses seins pour les cacher de leur vue.
-Allons ma belle, si tu n'enlèves pas tes mains de là, c'est ton pantalon que je serais obligé de déchirer avant de t'envoyer en cellule...C'est ainsi torse nue, mais ses cheveux blancs disposés sur ses seins et particulièrement ses tétons, que Daenya fut enfermée sous les regards ébahis de ceux qui furent ses soldats et qui n'osaient croire ce qu'ils voyaient. Cette cellule était grande et ainsi constituée d'une quinzaine de prisonniers.
Rapidement, trois prirent la défense de la jeune femme qui se plaça dans l'un des coins. Les autres néanmoins, étaient forts, deux d'entre eux pouvaient facilement éclater la tête d'un individu, et ne tiendraient pas longtemps face à ce corps féminin qu'ils n'avaient pas eu à leur diposition depuis trop longtemps.
Les soldats du Duc étaient devant cette cellule, pariant entre eux, se demandant au bout de combien de temps les prisonniers finiraient par jouer avec elle.
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Calstea, à l'inverse, sans totalement aimer ne désapréciait pas pour autant cette attention qui lui était accordée. Elle remuait le bassin avec énergie, ses tétons se mettaient enfin à pointer et elle se mettait, lentement, à mouiller, répandant ce liquide sur le membre durci par l'excitation qui la parcourait de l'intérieur.
Son corps brillait avec l'alcool dégoulinant sur elle et ses fesses remuaient avec une telle hardeur que jamais elle n'avais été aussi belle. Le jeune soldat agrippa un de ses seins qui se balançait d'une main, et de l'autre le dos qui se cambrait. Le plus jeune ne mit donc pas longtemps avant de remplir l'intérieur de Calstea qui se mit à sourire, satisfaite d'en avoir déja fait jouir un, plus que deux.