Ce n’était pas parce qu’on était scientifique, une profession très cartésienne et rigoriste, qu’on ne ressentait aucune pulsion sexuelle... A fortiori quand on était une scientifique tekhane. Tekhos était bien connue pour abriter son lot de perverses, de femmes frustrées, qui cherchaient à compenser l’absence de sexe masculin en développant quantité de méthodes sexuelles alternatives, quantité de manières de pouvoir ressentir les effets jouissifs d’un pénis, sans que ce dernier ne soit tenu par un homme. L’hermaphrodisme médical avait connu à Tekhos un boom significatif, et bien des étrangers venaient à Tekhos pour bénéficier de cet implant, la technologie tekhane étant suffisamment évoluée pour permettre bien des modifications génétiques. La Baronne ne s’était pas rajeunie, et donné un aussi beau corps, simplement pour le plaisir de le voir dans le miroir. Tekhos était une tyrannie de la beauté, tant la chirurgie esthétique s’était développée. Un mal pour un bien ; la technologie existait pour parfaire la Nature, pour l’améliorer. Allongée sur l’herbe, quasiment nue, la Baronne attendait l’approche de Yuyi. La « dryade » ne tarda pas à venir, et commença par lécher ses orifices, se mettant à quatre pattes. Milwën se mit à soupirer de plaisir, heureuse et excitée. Elles faisaient l’amour au milieu d’une île paradisiaque, sous un soleil magnifique et une chaleur qui donnait envie de vous déshabiller, ou de vous enfermer près d’un ventilateur. Yuyi léchait les orifices de la Baronne, qui la laissait faire, s’attaquant aussi bien à son intimité qu’à son anus, ayant ainsi compris que, l’un comme l’autre, rien ne dérangeait vraiment la Baronne. C’était, sur ce point, une femme très ouverte, et, tandis que Yuyi s’activait sur son corps, elle ôta la pièce d’armure qui recouvrait les seins de Milwën. Elle achevait ainsi de la déshabiller, et la Baronne sentit les mains voraces de Yuyi se poser sur eux, afin de la combler de bonheur.
« Haaaa... » faisait cette dernière, l’intimité humide.
Le traitement de Yuyi se termina rapidement par une seconde phase, et elle pénétra la Baronne avec passion, enfonçant sa grosse queue en elle. Milwën serra les dents, et ferma les yeux, sentant une vague de plaisir la submerger. Yeux clos, elle se laissa aller, en oubliant totalement, pour le coup, sa raison initiale. Les tests attendraient. Pour l’heure, rien d’autre ne comptait que le plaisir puissant qu’elle recevait, Yuyi la baisant avec passion. Ce n’était pas surprenant : les Terranides de Novac appréciaient généralement énormément la Baronne, qui était la grande gardienne de Novac, et donc une femme qui leur permettait de vivre en paix, sans craindre la guerre, la famine, l’esclavage, et tous les maux qui pullulaient sur Terra. Il était donc naturel qu’on apprécie Milwën à sa juste valeur.
Yuyi la pénétra donc, et Milwën soupira, s’écrasant sur l’herbe, embrassant cette dernière, se blottissant contre elle, sa queue s’enfonçant en elle, avec ce même mouvement en deux temps qui existait depuis l’aube des temps. S’enfoncer. Se retirer. S’enfoncer. Se retirer. A chaque fois que les baisers cessaient, Milwën entendait Yuyi répéter inlassablement le même mot : « Baronne ». Ce choix était significatif. Yuyi ne faisait pas l’amour qu’à Milwën Novac, scientifique qui avait réussi à terminer les recherches sur les nanomachines « Gen », mais aussi à la Baronne de Novac, la responsable des lieux, une femme forte, qui semblait clairement au-dessus des Terranides. Lui faire l’amour était donc autant un délice qu’un honneur, et Milwën le sentait dans la manière dont Yuyi la prenait, en la défonçant fort. Elle retenait son orgasme, tandis que Milwën en contracta un pendant cette longue pénétration, où elle soupirait et gémissait, avant de sentir Yuyi s’abandonner en elle. Milwën l’attrapa alors, se blottissant contre elle, sentant la « Dryade » répandre son foutre en elle, son sperme chaud, crachant de nombreuses giclées. Le sperme gicla ainsi hors de la fente de Milwën. Yuyi jouit donc longuement, mais son sexe était toujours aussi dur, témoignant qu’elle était toujours excitée. Elle prit alors les devants, plaça Milwën en position de lévrette,e t défonça la Baronne par l’arrière.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! » hurla cette dernière, poussant un long cri guttural en sentant ce gros sexe s’enfoncer en elle.
C’était douloureux, car le sexe était gros, mais terriblement excitant. Ses mains serraient l’herbe sur le sol, et elle sentit les autres Terranides se rapprocher. Kara, l’elfe basanée, s’occupa de Yuyi, se mettant à genoux derrière elle pour lécher son bassin, enfonçant un doigt dans son intimité, sous sa verge, lui mordillant le cul. Nalia, la Taiga, se glissa sous le corps de la Baronne, rampant sur le sol en commençant par sa tête, présentant ainsi son intimité ouverte et suintante à cette dernière, relevant sa tête pour lécher celle de Milwën. Quant à Arïne, l’Ange aux ailes noires et aux lourds seins, elle se plaça devant Milwën, son sexe se rapprochant de celui de Nalia. En somme, elle avait pour elle trois Terranides, et se mit à soupirer, serrant les dents sous la présence du piston dans ses fesses. Milwën posa ses mains sur les cuisses d’Arïne, et se rapprocha, les léchant, avant de sentir les mains d’Arïne la prendre par la tête, afin de la rapprocher de son sexe. La Baronne se mit à lécher, fermant les yeux, tout en sentant quelque chose lui pilonner le cul. La langue de Nalia lui provoqua assez rapidement un nouvel orgasme, tandis que Kara, dans le dos de Yuyi, vint lui doigter le cul, se relevant pour enfoncer un doigt entre ses fesses, tout en l’embrassant sur les lèvres.
« C’est bon, hein ? De défoncer le cul de la Baronne... Baise-là, Yuyi, baise-là fort... » murmurait Nalia dans son oreille.
Avec son autre main, elle caressait le rebord de sa verge, l’extrémité près de la peau, grattant cette dernière.