Dylan avait gémis tout le long où Jad l'avait pénétré, rendant la chose encore plus excitante. S'il y avait bien une chose qui excitait le jeune homme plus que la vision de la femme à moitié nue, c'était l'entendre gémir sous ses coups de reins. Tenant une des cuisses de la demoiselle relevé, il la pénétrait profondément, son sexe aspiré par l'intimité lubrifié. Ses mouvements de vas-et-viens était d'abord doux, lent, et profond. Petit à petit, il accéléra, rendant ceux-ci moins profond, mais plus rapide. Son excitation était à son paroxysme, alors que son autre main tenait la fesse de la demoiselle qu'il malaxait doucement.
Puis, après un instant de pause où il reprit sa respiration, il lâcha la cuisse de Dylan pour attraper ses hanches, avant de donner de puissant coups de reins soudains, remontant jusqu'au plus profond de son amante. Fermant les yeux pour profiter de la sensation unique que cela lui offrait, il semblait savourer dans un léger sourire les gémissements de Dylan et l'impression de l'empaler complètement.
Cela fait, il arrêta ses coups de reins et se pencha en avant pour prendre Dylan dans le dos, avant de la soulever, la gardant empaler sur son membre qui s'enfonça en elle plus profondément qu'avant, plus soudainement aussi. Même s'il n'avait pas une impressionnante musculature, Jad avait les meilleurs appuis du monde, et pouvait tenir aisement la jeune femme dans cette position. Plaçant ses mains sous ses fesses, il la faisait monter le long de son sexe par de légers coups de rein, avant de la laisser retomber dessus de tout son long. Il enchaînait ainsi avec une certaine facilité, et c'est dans un sourire qu'il lui dit, avec une voix saccadée par ses mouvements :
« C'est... incroyable Dylan... je n'ai jamais rien ressentis de tel. Ton sexe est brûlant, j'ai l'impression que le mien est en train de fondre. »
Il continua ainsi un moment, son visage plaqué contre la poitrine de Dylan qui montait et descendait à chaque coup de rein. Il léchait doucement chaque parcelle de peau qui tombait sous sa langue et sous ses lèvres, savourant le corps comme s'il s'agissait de miel.
Cependant, avec la sueur qui coulait de leur corps, Jad ne pus éviter l'inévitable : glissant sur la moiteur de ses pieds, il bascula en arrière, mais tombant fort heureusement dans le siège de la psy. Il se retrouva ainsi, son amante à califourchon sur lui, la surplombant complètement, à sa merci. D'un léger sourire, la respiration haletante, il lui proposa :
« Que dirais-tu de prendre les rennes, cette fois ? Je suis à ta merci. »