Une rencontre végétale. [Finit]

La bougresse tentait tant bien que mal de se sortir de l'étreinte des lianes, et ce malgré le plaisir qui l'assaillait. Il fallait passer un cran au dessus pour qu'elle cesse, car après tout, la magnifique plante ne voulait pas blesser la fille le moins du monde.

Une voix se fit entendre très clairement depuis l'intérieur du cocon de pétales malgré le tintamarre que faisaient les terranides tombé dans le stupre le plus total. Une orgie où tout les mâles se mettaient dans le premier trou qui venait, que ce soit un vagin, une bouche ou un anus, d'une femelle ou d'un autre mâle, peut importait. Le reste était occupé par des dizaines de mains s'agitant frénétiquement.

« -Tu ne m'as rien fait, je te fais juste découvrir les bienfaits de la déesse qui m'a créée et que nous vénérons avec ardeur: Lust, la grande déesse des plaisirs charnels.
Laisse-toi faire, tu vas connaître un nouveau monde d'exaltation. Une nouvelle forme de plaisir que tu ne t'imaginais même pas rencontrer un jour! »

Elle se doutait cependant que les mots n'auraient aucun effet et décida d'employer une méthode un peu plus forte.

Un nouveau tentacule verdoyant, trois fois plus épais que les autres surgit, avec à son extrémité la tête de la reine plante dans sa forme originelle. Elle se dirigea droit sur Massabielle, et, à la grande surprise de celle-ci, l'embrassa à pleine bouche. Elle pouvait bien essayer de mordre, ça n'y changerait rien.
Le nectar s'écoula abondamment dans la bouche ainsi que dans la gorge de l'humaine, et l'effet fut quasiment immédiat. La quantité ingérée de force suffisait à ce que le moindre courant d'air lui procurerait un plaisir presque insoutenable. En intensifiant encore un peu les caresses, elle ne serait bientôt plus en état de penser à autre chose et en redemanderai certainement.
Il n'y avait pas d'aphrodisiaque plus puissant sur la planète, hormis peut-être celui de la Corrompue, qui devait être du même niveau, à peu de chose près.

La fille n'était pas avare en morsures, mais cela n'avait aucun effet, les végétaux ne sentent pas la douleur et sont trop résistants pour des dents humaines.

Pendant que les lianes continuaient leur besogne sur chaque centimètre carré de la peau  de leur prisonnière désormais totalement nue, prenant soin de la stimuler un maximum, la tête passa entre ses cuisses ouvertes.
Elle commença par des baisers exagérément lents et d'une sensualité incomparable sur les lèvres, autour, puis sur le clitoris qui ne tarda pas à commencer à gonfler. Un léchage en règle survient ensuite, déposant le fameux nectar qui faisait office de salive sur le minou excité, afin de le rendre encore plus sensible que les autres zones de son corps.
Elle comprendrait ainsi la véritable signification du mot plaisir.
La langue, épaisse, humide et chaude vint pénétrer l'intimité petit à petit, sortant de temps à autre pour retourner taquiner le clito en manque. L'appendice buccal s'allongeait progressivement, rentrant de plus en plus profond à chaque aller-retour, jusqu'à ce qu'il rencontre une résistance.

Un hymen? Tout juste comme le pensait la maitresse des lieux: la jeune fille était vierge.

Elle ne le força pas, s'appliquant sur les parois accessibles du vagin et le petit bout rose en dehors qui demandait toujours plus d'attention. Elle l'honorerait en prenant sa virginité avec quelque-chose de bien meilleur...
Elle en profita pour goûter les premiers échantillons de la cyprine qui commençait à sérieusement abonder dans ce bas-ventre des délices.




Un petit goût frais de primeur comme seules les jeunes vierges en possèdent un.

Massabielle ne put rien faire quand les tentacules retirèrent sa tenue, la dénudant complètement, elle avait beau crier contre les lianes de récupérer sa tenue, elle se doutait bien que cela n'aurait pas l'effet voulut.

C'est alors qu'elle tomba des nus en entendant ce que la créature dit, elle allait goûter au plaisir charnel, mais elle ne vouait pas, pas dans ses conditions, une chose la fit peur à ce moment, la perte de sa virginité, elle ne voulait pas la perdre avec cette créature végétale, non elle voulait avoir un petit copain, comme toute les filles de son âge. Elle ne voulait pas de ce plaisir qui allait lui être donné sans son consentement.

La demoiselle lutta pour garder sa bouche fermé quand l'aphrodisiaque réussit malgré tout à passer son œsophage et atterrir dans son estomac, laissant le liquide traverser son corps et atteindre le cerveau.

L'effet fut saisissant, d'un coups elle se cambra, recevant décharge sur décharge, mais elle ne perdit pas pour autant la raison, elle luttait de toute ses forces pour ne pas succomber, devant puiser la moindre énergie pour rester elle-même et ne pas devenir comme un de ces terranides.

Elle poussa quelques gémissement en sentant la créature s'attaquer à son bas-ventre qui brulait d'excitation. La demoiselle se cambra une nouvelle fois en sentant la langue s'amuser à lécher l'entrée de son intimité, elle ne fut pas au bout de ses surprise.

Quand elle sentit la langue s'insérer en elle, elle bascula sa tête en arrière, la bouche grande ouverte, comme ses yeux. Ces derniers faisant couler quelques larme, sous la puissance des décharge, mais aussi la peur de la petite.

Elle tenta de reprendre le dessus, mais n'y arriva qu'à moitié, elle se mit à geindre.

-Arrêtez !  Pas là ! Tous sauf là !

Elle sentait ses forces décroitre, son corps tremblait de plaisir mais aussi de peur, elle ne pouvait croire que c'était vrai, oui ce ne pouvait être qu'un simple cauchemar.

Les choses sérieuses allaient enfin pouvoir commencer.
La fleur géante s'ouvrit, laissant apparaître la fille qu'elle abritait. La transformation était terminée.
Alraunya avait repris son apparence originelle, celle d'une jeune femme d'à peine 20 ans aux formes généreuses et appétissantes.

A un détail près.

Une verge en érection se défilait sous son abdomen. Elle l'avait créée par rapport à son examen lingual de la cavité de la fillette, afin qu'il aille parfaitement dans celle-ci. Trop petite, le plaisir ne serait pas à son maximum et trop grosse, ce serait douloureux. C'est pourquoi elle l'avait adaptée à sa partenaire pour qu'elle lui corresponde idéalement. En revanche, elle n'avait pas de testicules, mais le vagin était présent et dégoulinant d'excitation.

Lentement, elle se dirigea vers sa nouvelle conquête, le pénis palpitant se balançant au rythme des pas gracieux de son porteur végétal.
Lorsqu'elle arriva sur Missabielle, elle la prit dans ses bras, retirant d'un coup toutes les lianes. Elle l'allongea, ce qui ne fut pas bien dur vu qu'elle ne tenait plus debout. Se mettant sur elle, sa main commença à pétrir le sein gauche, titillant le téton et l'étirant tour à tour.
Elle écarta ensuite les cuisses et pressa sa bite chaude et dure comme du bois contre les lèvres humides de sa petite victime. Celle-ci voulait visiblement s'y opposer, mais elle n'en avait plus la force, et se cambra d'une façon spectaculaire quand le contact eu lieu. Elle était souple, cela lui serait profitable lorsqu'elle aurait plus d'expérience.
La fille-plante s'allongea sur l'humaine, poitrine contre poitrine, et commença doucement à la pénétrer. Allant de plus en plus profondément, elle finit par arriver à l'hymen.
Cette fois-ci elle le brisa sans état-d'âme, mais s'arrêta un moment, pour laisser sa compagne d'un jour oublier la douleur. Elle continua sa progression, toujours avec autant de délicatesse, jusqu'à ce que son gland vienne embrasser le col de l'utérus.

Mais la pauvre demoiselle n'était pas encore au bout de ses surprises. Le phallus aspira tous ses fluides corporels en un instant, les remplaçant par le nectar aphrodisiaque qui ferait très bien office de lubrifiant. Les aller-retour commencèrent, la plante se gavant de cyprine au fur et à mesure que celle-ci était sécrétée. Ils se faisaient de plus en plus rapides et de plus en plus violent, tout comme les caresses que donnait la reine à son clito qui ne demandait que ça.



Mais ce qui est pratique quand on est de nature végétale, c'est que l'on éjacule sur commande, pouvant ainsi faire durer le plaisir très très longtemps.

Miriame se mit à frémir de peur en voyant la créature sortir de son cocon végétale sus une apparence qui était belle, à condition de ne pas regarder ce qu'elle avait entre les jambes. L'humaine vit très bien l'excitation de la créature, on ne pouvait pas louper le liquide qui perlait le long de ses jambes.

La pauvre ne put rien faire, elle tenta malgré tout de se défendre, mais la lutte contre les tentacules avait eut raison de sa force, si elle avait sut ce qui se serait passé, elle aurait gardé des forces pour mettre un coups de boule à Alraunya, elle voulait combattre, se sortir de cette situation, elle voulait fuir cette créature abominable qui ne voulait pas respecter les choix de l'humaines.

Elle réussit à légèrement bouger son bassin pour tenter d'éviter la pénétration de la chose tant redouté par la demoiselle, mais n’y parvint pas, c'est en sentant ce membre s'enfoncer en elle doucement qu'elle se cambra pour essayer de fuir se membre qui semblait tellement gros pour Massabielle. Mais elle frémit de peur en sentant la verge s'arrêter devant son hymen, le visage de la demoiselle ne montrait aucun plaisir, juste de la peur de ce qui allait arriver.

Quand l'hymen elle poussa un crie, versant de nouveau des larmes, c'était la fin pour elle, prendre sa virginité  était comme un coup de poignard, mais elle n'eut pas le temps de s'appesantir sur son sort que la membre bougea de nouveau.

Si les gémissements se firent entendre, on entendait aussi des sanglots, la demoiselle usa de tout ses dernière force pour essayer de frapper la créature à la joue, mais elle se fit intercepter, Miriame se mit à crier entre deux sanglot.

- Espèce de monstre ! Démon ! Je te haïs !

Elle continua à déverser sa colère sur la créature, Miriame lui en voulait à mort d'avoir prit par la force sa virginité, mais aussi une part d'elle qu'elle ne pourras sans doute plus retrouver.

Le plaisir se mêlait au désespoir.

Avec la dose d'aphrodisiaque qu'elle avait reçu, le frêle corps de l'humaine était maintenant si sensible que chaque aller-retour de la grosse verge gonflée à l'intérieur d'elle menaçait de déclencher un orgasme foudroyant. Et la fleur pénétrante était décidée à continuer jusqu'à ce qu'elle en ai vu un nombre suffisamment conséquent pour que le petit bout de femme en oublie la perte de sa virginité volée.

Elle changea plusieurs fois de position, constamment insérée dans le vagin, lui relevant l'arrière-train pour la prendre à la verticale, lui levant une jambe pour la mettre sur le côté, en levrette...
Et à chaque fois, elle passait par plusieurs rythmes. Tantôt lent et doux, tantôt saccadé et brutal, puis rapide à l'extrême. Cela avait pour but de varier les plaisirs, et cela avait l'air de bien marcher, depuis les dizaines de minutes que la fille avait la bite toujours bien chaude et droite comme une trique en elle.

Pour voir le fruit de son travail acharné, la plante roula sur le dos, faisant passer Massabielle au-dessus d'elle, mettant ses mains sur ses hanches. Ce fut une agréable surprise quand la petite bougea ses hanches d'elle même comme un automatisme, maintenant habituée à se faire pilonner bien profondément, jouissant de plus belle en s'empalant sur le pic de chair végétal.
Alraunya ne put s'empêcher de sourire.

Pendant ce temps, qui sembla être une éternité de jouissance, les terranides s'étaient calmés. Ils étaient affalés en un tas informe sur l'herbe grasse de la clairière, vidés de toute énergie. Les rares arrivant encore à bouger léchaient le sperme sur leur congénères à petits coups d'une langue avide.

Pour chaque pénétration, une violente décharge foudroya le corps de la demoiselle, contractant son vagin sans vraiment le vouloir, ce qui rendait le recule du membre tout aussi plaisant que l'aller. Si au début Massabielle faisait tout pour refuser ce plaisir, son corps lui en voulait plus, elle se mit à avoir encore plus honte en sentant un filet de salive couler sur le côté de ses lèvres.

Quand elle eut la tête à l'envers elle tenta de regarder vers ses fesses et frémit en voyant la plante avec son regard qui n'inspirait qu'une chose, la peur de se faire prendre encore une fois et d'en éprouver tout sauf du dégoût.

La demoiselle tenta de résister jusqu'à la prise en levrette où elle décida d'arrêter de se battre, pour ce faire le moins de mal possible, combattre ne servait plus à rien, sans doute serait-elle plus rapidement libre en faisant ce qu'attend la plante. Elle choisit donc de bouger un peu son corps quand elle fut en position de dominante, mais elle regardait vers le bas et ne croisait pas les yeux de la créature végétale, honteuse mais c'était pour pouvoir être libre par la suite.

Son vagin se contractait par automatisme, faisant un étau de chair brulante qui n'arrêtait pas de générer de la cyprine pour rendre le conduit toujours aussi coulissant. Dans les yeux de Miriame il ne semblait plus y avoir la même flamme que lorsqu'elle résistait. L'humaine profitait de sa position pour mettre une cadence plus lente, même si ses mains tremblait sous le plaisir de cela procurait, elle n'avait plus compté le nombre de fois où elle avait jouit, ce qui la rendait encore plus honteuse, se comparant à l'intérieur comme une simple trainée.

Toujours plus. La plante, éternelle insatisfaite, en voulait encore plus.
Elle se redressa, se mit sur les genoux les jambes écartées. Massabielle toujours au dessus d'elle, avait ses jambes autour de sa taille.
Elle fit légèrement grossir son pénis, dilatant un peu plus les parois du vagin qui le comprimait. Une ronce dont les piquants étaient arrondis vint s'insérer dans l'intimité royale, et une liane épaisse rentra dans son autre orifice, lui faisant un bien fou, jouissant une fois encore, mais n'éjaculant toujours pas.
Ses  bras passèrent autour de la taille de la jeune fille, l'aidant à imprimer un mouvement régulier un peu plus rapide. Sa bouche s'occupait de la poitrine qui se trouvait juste à sa hauteur, mordillant et étirant les tétons bien durs à tour de rôle.
Les deux partenaires jouirent plusieurs fois encore, toujours plus violemment.

La jolie fleur, un air lubrique sur le visage, alla chercher l'oreille de l'humaine et lui susurra entre deux gémissements:

« -Alors, tu vois, ce n'est pas désagréable quand on ne résiste pas. Tu aimes ça, n'est-ce pas? Je devrais peut-être arrêter, à moins que tu ne veuilles que je continue... »

La question était posée juste pour vérifier l'état d'esprit de son diner, bien évidemment. Elle n'allait pas lui laisser choisir quoi que ce soit de toute façon.

La cyprine était de bonne qualité, et elle en avait avalé une quantité considérable durant les heures d'ébats qu'elle venait d'avoir. Aussi, comme elle ne voulait pas totalement dessécher l'humaine, elle songea à contrecœur qu'il faudrait bientôt s'arrêter là.

Massabielle fut légèrement surprise de voir la plante se mettre dans une nouvelle position, mais elle ne pouvait rien dire, son corps perlant de sueur et laissant sur sa peau une fine pellicule d'eau salée. La jeune fille poussa un léger gémissement en sentant le membre en elle grossir, mais ce petit gémissement ne fut rien par rapport à la suite.

Miriame se laissa complètement aller, gémissant comme une folle à chaque fois que le membre touchait le fond de son antre, serrant de temps à autre ses jambes qui tremblaient sous l'overdose de plaisir procurée, continuant baver un peu tellement c'était bon. L'humaine avait complètement oublié qu'elle était une victime, essayant de procurer du plaisir à Alraunya en contractant son vagin.

Elle gémit aussi en sentant les dents de la créature martyriser ses tétons qui étaient dure et très sensible, d'un côté à cause de l'aphrodisiaque qui se diffusait dans son corps, de l'autre parce qu'elle entrait dans la période où sa poitrine allait grossir et son corps devenir celui d'une adolescente.

« -Alors, tu vois, ce n'est pas désagréable quand on ne résiste pas. Tu aimes ça, n'est-ce pas? Je devrais peut-être arrêter, à moins que tu ne veuilles que je continue... »

La demoiselle essaya de parler, son corps tremblant de plaisir.

- Continuez ... continuez ...

Cela ressemblait plus à une supplication qu'à une réponse, oui Massabielle ne pouvait plus se passer du plaise et elle ne se doute pas que cela allait entrainer quelques changements.

La plante pouvait voir que l'humaine n'en pouvait plus, c'est à peine si elle pouvait s'amuser encore une demi-heure.

La femme-fleur souriait. Elle avait craqué, parfait! Elle n'en pouvait plus mais en redemandait, et c'est tout à fait ce qu'Alraunya voulait entendre. Mais qui veut voyager loin ménage sa monture dit le dicton, aussi, le résultat étant là, était-il temps d'en finir.

Elle repris les bourrades sans prévenir, plus violemment que jamais, jusqu'à jouir à nouveau. Sentant arriver l'orgasme, elle enfonça la verge au plus profond de la fille, défonçant littéralement son col de l'utérus pour aller s'encastrer dans la paroi qui était derrière. Elle éjacula un liquide brunâtre de même consistance que le sperme, qui servirait à nettoyer le nectar aphrodisiaque qui baignait l'intimité si accueillante.

Elle se retira et allongea la petite sur l'herbe tendre, comme une mère déposerai son bébé dans son berceau. Elle l'embrassa alors langoureusement, déversant en elle un mélange nutritif qui lui permettrait de récupérer, d'éliminer les substances excitantes qu'elle lui avait données et surtout l'endormirai pour un bout de temps avec un somnifère, à base de plantes évidemment.

Ces ébats furent un régal, autant pour le plaisir sexuel, que la cyprine avalée goulument. Mais si l'humaine avait du potentiel, elle n'était pas encore arrivée à maturité, aussi la relâcherait-elle. Elle avait penser à l'accueillir dans la forêt au sein de l'une des tribu de terranides, mais se dit qu'elle aurait des expériences plus variées en dehors. Cela dit, elle avait fait le plus important. Elle lui avait donner goût au sexe, à se plaisir extatique à nul autre pareil et que seule une étreinte charnelle pouvait produire.

Les lianes trouvèrent la faille par laquelle l'humaine était venue en ce monde, et la déposèrent sur la route en travaux, puis les restes récupérés de sa moto à quelques dizaines de mètres. Ne voyant rien de ce qui se passait de l'autre côté, fonctionnant au toucher, Alraunya blessa Massabielle sans le savoir, la mettant sur le ventre sur un débris de verre qui entailla sa chair au niveau du ventre. La blessure saignait assez fortement, mais n'était pas sérieuse.

Tous les membres végétaux retournèrent dans leur monde d'origine, et la reine de la forêt prononça à haute voix:


« -Au revoir ma petite, reviens-moi belle et pleine de souvenirs orgasmiques. »


Car un jour, elle reviendrait. Pour la plante, cela ne faisait aucun doute.
Oui, elle reviendrait, pour ne plus jamais repartir...