Une rencontre allèchante. [Pv Kannan]

Plus le temps passait, plus Lust était exigeante dans ses délires pervers, c'est ainsi quelle avait fait l'acquisition d'une nouvelle esclave, une pauvre fille qui avait eut le malheur de l'avoir bousculée dans la rue. La jeune femme était dans une position particulièrement humiliante, nue, à quatre pattes et tenue en laisse, elle ne semblait pas pouvoir s'arrêter de pleurer, le spectacle était vraiment triste à voir.

La déesse quant à elle riait aux éclats, frappait sa chienne comme bon lui semblait, la forçait à faire ses besoins au milieu de la rue, etc. La foule semblait partagée entre l'excitation due à la jeune fille nue et soumise et la pitié quelle inspirait à pleurer toutes les larmes de son corps. Lust déclara alors, tandis que son esclave écarquillait les yeux :

"Venez donc l'essayer ! Une pièce d'or pour explorer son derrière ! Approchez mesdames et messieurs ! Surtout messieurs ! Deux pièces d'or pour son intimité ! Et cinq pièces d'or pour toute une nuit ! Elle ne vaux pas plus de toute façon !"

Une partie de la foule semblait scandalisée, tandis que d'autres s'avançaient pour payer Lust, certains osant même demander des services spéciaux. Pendant ce temps l'esclave avait été attachée à un banc public, complétement terrorisée, se recroquevillant en position fœtale, le regard vide.

Soudain une voix s'éleva dans le public pour protester, Lust chercha du regard la personne à qui appartenait la voix et dit :

"Je crois que quelqu'un souhaiterait me proposer quelque chose contre la libération de cette petite chienne. C'est assez drôle mais pourquoi pas !"

Depuis son arrivée à Nexus, Kannan avait rencontré moult personnes et eut tout autant d’aventures, même si elles ne furent pas toujours consentantes. Mais, heureusement pour elle, aucune de ces rencontres ne fut avec un esclavagiste, et la jeune Furry se retrouvait donc toujours libre. Elle pouvait donc arpenter les rues tranquillement, aidant par moment une personne âgée ou un enfant dans la mesure de ses capacités.

C’est alors qu’au coin d’une rue, elle vit un rassemblement, beaucoup d’hommes et quelques femmes, ce qui attira la curiosité de la chienne, se demandant ce qui pouvait bien se passer pour que la foule se rassemble. S’est alors que la voix d’une jeune femme, qui au premier abord tentait de vendre sa marchandise se fit entendre. Mais, la Furry déchanta vite quand elle entendit la suite de la proposition. Non, ce n’était pas de la marchandise quelconque qu’elle proposait, mais plutôt les services d’une femme, visiblement d’une esclave. Certes, la pratique était des plus courantes, mais elle n’avait rien de plaisante, et Kannan vit son expression se durcir.

Elle n’était pas seule à apprécier ce comportement, mais beaucoup plus de personnes se fichèrent de ce que s’était réellement, et approchèrent pour payer l’esclavagiste, bien entendu ceux-ci étaient en majorité des hommes. Sans doute ceux qui avaient le moins de succès avec les femmes, et qui ne pouvaient prendre leur pied que de cette façon. Et sans trop qu’elle n’ait eu le temps de réfléchir, elle prît ouvertement la parole.

- Non, mais vous ne pourriez pas être plus respectueuse de votre esclave tout de même. Elle reste un être humain ou vivant, tout de même !

Dit elle assez fort pour être entendu, et cela ne manqua pas de l’être d’ailleurs, puisque la jeune femme vendant sa compagne l’entendit, et lança alors une nouvelle annonce pour voir ce que Kannan, puisque s’était elle, allait proposer pour épargner la jeune femme recroquevillée sur elle-même, et tenue en laisse. Bien entendu la foule s’écarta pour laisser la chienne approcher, ne serait ce que les deux femmes se voient de façon plus aisées. La Furry se demandait alors dans quoi elle s’était aventurée sans avoir réfléchi. Cela n’augurait rien de bon, puisqu’elle ne voyait pas quoi répondre à la jeune rousse.

- Qui a dit que j’avais quelque chose à proposer ? Et qu’y aurait il de drôle à se préoccuper de quelqu’un plutôt que de le maltraiter ?

Demanda t elle assez froidement, lançant un regard méchant, enfin ce qu’elle espérait être méchant, vu qu’elle ne montre que rarement son mécontentement. D’ailleurs que pouvait-elle réellement proposer, puisqu’elle ne se voyait pas non plus prendre la place de la demoiselle pour se faire violer par tous ces hommes, qui la regardaient pourtant avec envie. Un comportement bien égoïste au final, comme beaucoup de mondes qui en voulant aider les autres n’étaient cependant pas prêt à sacrifier certaines choses auxquels ils pouvaient tenir.

- Que diriez-vous de vous satisfaire vous. Mas uniquement vous, et non cette foule d’hommes pas capables de se trouver une femme par eux-mêmes ?

Fut ce qu’elle proposa avec un ton qui ne laissait penser que son interlocutrice n’aurait pas à négocier. Elle n’accepterait que cela et s’est tout. Elle se montrait ferme, peut être arrogante, mais, elle savait qu’elle ne pouvait pas se permettre de se montrer douce ou hésitante dans le ton de sa voix. Même si elle était plus que morte de trouille ou inquiète réellement.

Lust avait déjà faillit rire à la première intervention de la furry, mais trop préoccupée à la chercher dans la foule elle s'était retenue. Mais la seconde intervention de la jeune fille lui arracha quelques rires assez malsains, de son point de vue ce que venait de dire la jeune fille était particulièrement drôle. Lust l'imita alors en se fichant d'elle :

"Mais c'est méchant de maltraiter les gens, moi je suis pas d'accord hein ! Ne me fait pas rire ! Cette pauvre créature n'était qu'une merde avant de me rencontrer et c'est toujours le cas. La seule différence c'est qu'elle est devenue une merde utile ... Pas vrai ma belle?"

Elle avait prononcée la dernière phrase en mettant une claque sur le sommet du crâne de la jeune esclave qui pleurait toujours. Peu après Lust eut un nouveau fou rire, encore pire que le précédent et articula péniblement :

"T-tu te propose pour me satisfaire moi toute seule? En gros tu propose de prendre sa place à mes côtés c'est bien ça? Et bien ... Je ne saurais refuser une offre si généreuse, j'accepte volontiers."

La laisse de l'esclave disparut alors pour se retrouver sur Kannan et tenue par Lust qui regardait sa nouvelle acquisition avec un sourire pervers. L'autre esclave se dépêcha de s'en aller sans même porter un regard sur celle qui venait de la sauver d'un viol collectif. Lust eut alors un petit sourire en disant :

"Quel manque de gratitude de sa part ... Bon alors tu dois savoir plusieurs choses avant de commencer dans ton nouveau rôle. D'une c'est un rôle à vie, tu ne pourras jamais m'échapper, toute tentative de fuite est vaine. De deux je risque de profondément changer tes habitudes de jeune fille normale, sachant que tu es tout juste digne d'être mon animal de compagnie. Et de trois dorénavant tu m'appelleras maîtresse Lust, ni plus, ni moins. Je suppose que tu te doute de ce que je te réserve donc je suppose que nous allions à l'hôtel pour commencer ton dressage, à moins que tu n'ai une meilleure idée?"

La déesse ne lui avait pas laissé le temps de protester quelle tirait déjà sur la laisse pour l'emmener à l'hôtel. Elle commençait d'ailleurs à réfléchir aux supplices qu'elle pourrait bien lui infliger lors de son dressage qui s'annonçait éprouvant. En chemin vers l'hôtel elles passèrent par le parc et lust eu tout à coup une idée et lui exposa de la façon suivante :

"Hum, je viens de penser à quelque chose ... La première chose qu'une chienne doit apprendre ... Marcher aux pieds de sa maîtresse. Met toi à quatre pattes chienne, tu peux me lécher les pieds pour obtenir quelques bons points si tu as envie d'améliorer ta condition."

Elle avait pensé qu'il était peu probable que l'herbe du parc abime les genoux de la jeune femme aussi était-ce l'endroit idéal pour lui faire débuter sa nouvelle vie.

Kannan venait d’intervenir dans une sorte de vente aux enchères, dont le but n’était autre que s’offrir les services d’une esclave. Ce qui l’avait sans doute le plus contrarié et poussé à agir de façon si téméraire pour une fois, fut la façon dont la demoiselle traita l’autre, en la rabaissant plus bas que terre.  La jeune femme trouva seulement cette intervention drôle, et n’hésita pas à le prouver par ses propos, laissant le regard de la Furry se durcir un peu plus.

Mais, elle sembla finir par accepter la proposition que lui avait faite la chienne, bien que si elle avait pu l’éviter, elle l’aurait bien fait au final. Mais, s’était un peu tard pour revenir en arrière à présent, puisque la laisse qui tenait jusqu’à présent, l’autre esclave, disparut de celle-ci pour venir se placer au tour du cou de la Furry avec un collier.  La jeune humaine en larme s’enfuit, alors, tandis que Kannan ne cillait pas.

Lust, comme elle se dénommait, repartit dans un long monologue, mettant au point les conditions que la jeune femme, de nouveau esclave allait devoir endurer) présent. Elle se montrait d’ailleurs assez presser de l’essayer, puisqu’elle proposa d’aller directement à l’hôtel.

- Et quand est ce que vous avez vu une esclave donner son opinion, « Maîtresse » ?

Répondit alors Kannan, le regard toujours aussi froid, et le ton sec, appuyant bien sur le « maîtresse », laissant ainsi penser qu’elle ne se considérait pas pleinement comme son esclave. D’ailleurs, elle n’avait pas accepté de le devenir, mais simplement de devenir son jouet sexuel, à elle, et à elle seule, pour ce moment là, puisque Lust semblait avoir envie de se faire plaisir dans ce domaine. Enfin cette remarque fut lâchée, alors qu’elle se faisait tirer par la jeune femme en direction de l’hôtel, comme si elle avait voulu refusé de s’y rendre. En tout cas, avec ce traitement, l’envie de résister ne manquait pas.

Mais, en arrivant dans le parc, Lust arrêta de marcher, Kannan fit donc de même, alors que sa « maîtresse » suggérait à celle-ci de se mettre à quatre pattes, et de lui lécher les pieds. Cela n’attendrit pas le visage de la Furry qui répliqua.

- Je ne me souviens d’ailleurs pas avoir accepté de jouer votre esclave, mais votre amante «Mmaîtresse » ?

Continua t elle de dire froidement, concédant seulement à l’appeler « Maîtresse », et non « Maîtresse Lust ». Bien sur, le ton était toujours assez froid et appuyant, comme si elle se moquait de celle-ci en l’appelant de la sorte. Kannan ne se mit donc pas à quatre pattes, bien qu’elle ne cherche pas non plus à se défaire de la laisse. En effet, elle savait qu’elle n’avait pas assez de forces physiques pour cela, et se servait donc des mots comme moyen de protestations.

Lust s'arrêta brusquement, elle lâcha la laisse qui disparu aussitôt et se retourna vers Kannan. Elle prit donc une voix moins autoritaire et lui parle sur le ton de l'excuse.

"Oh, excuse moi, je crois que j'ai mal agit ..."

Elle claqua alors des doigts et les genoux de la furry se plièrent subitement avant qu'une lanière de cuir n'entoure sa jambe afin quelle reste pliée.

"J'ai très mal agit car je te pensais suffisamment intelligente pour ne pas me provoquer ! Je crois que j'aurais du te dresser un peu plus brutalement dès le départ. Avec tes jambes ainsi tu seras bien obligée de marcher à quatre pattes."

Un nouveau collier fit son apparition autour du cou de la furry, une chaine y était attachée, reliée à une sorte de roue un peu plus loin. A coté de la roue une horrible créature noire regardait Kannan en se léchant les babines, elle était presque deux plus grosse qu'elle.

"Je t'explique le jeu. La roue va tirer sur la chaine, si tu arrive à portée du monstre, il te violeras pour te punir et il est loin d'être tendre crois moi. Si tu résiste assez longtemps pour me convaincre de t'épargner je te libérerais, mais il faudra être beaucoup plus obéissante."

La roue se mit alors à tirer, attirant la furry vers l'arrière tandis que Lust ne perdait rien du spectacle, un sourire pervers aux lèvres. Lust s'installa alors sur le dos de Kannan et glissa sa main entre ses jambes, caressant lentement les zones sensibles de l'endroit.

"Je vais t'aider à humidifier tout ça avant que tu n'arrive, je suis gentille n'est ce pas? Au fait, petite mise au point, je suis la réalisatrice et tu n'es qu'actrice, je décide des décors, des costumes, des rôles de chacun et toi tu dois seulement suivre mes ordres. C'est clair?"

Lust écoutait maintenant ce que la jeune femme avait à dire, la roue ne tirait pas très fort pour l'instant donc elles avaient le temps.

Alors que la jeune rousse présentait des excuses auxquelles Kannan ne prenait pas pour argent content. En effet, que se soit le ton employé ou les actes de la jeune femme, celle-ci était loin d’être crédible. Et le pire s’est qu’elle devait le savoir. En effet, la jeune Furry se retrouva bien vite à quatre pattes, des liens autour de ses jambes, l’empêchant de se relever. Chose que la demoiselle ne tenterait pas de toute façon, car elle avait beau protester et répondre plus ou moins méchamment à sa tortionnaire, celle-ci n’en conservait pas moins une attitude plus ou moins soumise.

- Pffft, comme si vous étiez sincère !

Répondit-elle, tentant un regard méchant, alors qu’un collier lui était apparu autour du coup. Ce dernier fut attaché à une chaine, dont elle suivit le cour pour voir une roue, qui commença à la rapprocher d’un monstre assez imposant et visiblement excitée par l’idée de se faire la chienne.  Kannan frissonna de peur, bien que se fût plus la vue du monstre que réellement l’idée de se faire empaler sur son chibre. Bon pas qu’elle aimait spécialement se faire prendre, et qu’elle était une nymphomane, mais, elle n’était plus vierge et de temps en temps, passer à l’acte pouvait être plaisant. De plus, elle avait connu quelqu’un d’aussi bien membré que le monstre, alors la taille ne lui faisait pas spécialement peur. Si bien qu’elle se contenta d’écouter les propos de sa « maîtresse »

- Je doute que quoi que je fasse vous soyez plus clémente, je me trompe ? Vos promesses sonnent faux, et sentent le mensonge à plein nez.

Continua t elle de rétorquer en se laissant tirer, n’ayant de toute façon pas la force suffisante pour tenter de contrer les mouvements de la roue la rapprochant du monstre. S’est alors que Kannan se cambra sous le poids, ou du moins la vitesse à laquelle cela fut fait, de la jeune femme, qui vint se placer sur son dos. Celle-ci commença d’ailleurs à caresser ses orifices génitaux, et anaux, sans discriminations.  La Furry ne put d’ailleurs pas s’empêcher d’émettre un gémissement de plaisir à ce contact, alors que la demoiselle prenait la parole une nouvelle fois, et que pour appuyer ses dires, de la cyprine commençait à s’écouler des lèvres secrètes de Kannan.

- De toute façon que voulez vous que je fasse dans cette position….hmmmm…

Elle n’avait pu laisser entendre son plaisir dans sa remarque. Et même si celle-ci se voulait méchante ou réactionnaire, le ton de sa voix n’avait pu être aussi froid qu’elle l’aurait voulu.  Elle ne pourrait ainsi nier qu’elle prenait du plaisir aux attouchements de la demoiselle, qui ne manquerait surement pas de lui signaler ce fait.