Ah comme c'est bon ! elle savait se déhancher. Elle avait clairement sous-estimé ces tarifs, cette petite catin. Sa bouche valait de l’or, ses reins valaient au moins de l’argent. Alors certes, d’aucun auraient pu la trouver un peu plate. Mais j’aimais bien, elle avait un physique harmonieux, et au fond, elle avait quelque chose de bien plus satisfaisant qu’une femme avec des pastèques disproportionnées. Donc forcément que je profitais pour admirer son jeu de bassin, ses jolis seins qui s’érigeaient alors qu’elle semblait se laisser un peu aller. C’était une bonne chose, elle était bien froide depuis le début et je reconnaissais qu’un peu plus d’entrain et de chaleur ne m’aurait pas déplu.
Enfin, dans tous les cas, j’avais dû taper dans le mille, care elle sembla pâlir, devenir un peu crayeuse de teint, comme si elle revenait bel et bien à son état premier. La différence était d’autant plus flagrante que je l’avais vue sourire, presque pimpante…
Et apparemment, la pénétration était clef puisque sitôt qu’elle pâlit, elle se reprit pour revenir s’empaler et je soupirai de nouveau… quel pied, son entrecuisse, à se demander ce que son cul pouvait bien révéler comme magie et elle le comprit semblait-il assez vite. Mon doigt était bien, là où il était…
Un air vicieux et malicieux sur le minois, elle se mit à minauder, m’invitant à tester autre chose, répondant comme il fallait s’y attendre à mon invitation. Mais c’était presque décevant d’avoir l’impression que ça lui était un peu égal…
Il suffisait de voir pour cela qu’elle se déplaçait de façon mécanique, juste faire quelque chose et basta, pas de passer ce fameux bon moment, pas d’impatience de sa part. ? et même… une inquiétude ? Peut être pas, mais ce n’était pas loin.
« Quelles jolies petites fesses que voilà… »
Je leur donnais une nouvelle petite claque alors qu’elle se mettait à quatre pattes, alors qu’elle fouillait la table de chevet pour me filer un tube. Du lubrifiant, très bien… je regardais son ^petit trou bien fermé, son visage un peu…. Disons que je sentais que c’était loin d’être son envie principale quoi…
« Oh t’en fais pas, je donne tout ; enfin, autant que toi… »
Une manière de lui retourner sa petite provocation…
J’aurai pu y aller à la dure, une noisette de vaseline et hop, paf, à la faire hurler. Ce n’était qu’un rêve. Et elle n’aurait même pas mal au cul au réveil. Enfin, peut-être, je ne m’étais jamais trop soucié de ça…
J’avais d’autres projets. Je lui souris, et doucement, je commençais par retirer mon froc et le reste qui était à mi mollet, puis, je venais m’installer contre elle, pas mon bassin contre le sien, non, mais plutôt de sorte à pouvoir faire ça…
Je venais doucement prendre une noisette de vaseline pour commencer à l’étaler sur son anneau flétri que je massais délicatement, sans violence ni impatience, et je commençais ainsi, d’un doigt, jusqu’à le faire entrer doucement, mon autre main lui caressant doucement le cul, mon sexe lui caressant les côtes.
Ma main libre commença alors à glisser pour venir caresser son sexe et la masturber avec application, alors que je continuais à lui préparer le fondement, avec précaution.
« J’aurai pu chercher mon seul plaisir et te péter le cul, mais autant faire les choses bien, non ? »
Je lui demandais sérieusement.
« Toi, t’as la tête de quand je t’ai trouvée. T’as vraiment de te faire salement bourrer pas vrai…. Et tout ça pour devoir me finir à la gueule, si ce n’est pas triste. Faut savoir prendre son temps et savourer… »
Un deuxième doigt commença à essayer de rentrer.
« Je suis généreux. Sio ton cul s’ouvre assez pour me combler, je te jure que je te fais un cuni d’enfer. »