Les coups de butoirs donnés par Akita sont violents. Écrasant littéralement les fesses de sa prisonnière avec son bassin, elle enfonce aussi profondément qu’elle peut son long et épais membre vert. Ce dernier enfle à chaque mouvement de reins, dilatant un peu plus l’orifice étoilée de l’être de chair. Les vrilles de la dame-plante forcent le corps de l’humaine à se cambrer, forçant celui-ci à ressentir plus intensément les coups de reins exercés par un être végétal très en colère. Le sexe végétal change et prend la forme d’un alignement de sphères, prenant de plus en plus de volume en arrivant vers la base du membre. Des vrilles viennent s’enrouler autour des cuisses et des seins de la proie de la femme-végétale. Tel un lierre grimpant sur un mur, elles progressent et forment un étrange tissage, un canevas de vrilles formant un entrelacement semblable à un shibari. Le shibari végétal est fait de telle façon qu’il rehausse les seins, pointant leur tétons vers le ciel. Il met en avant les lèvres intimes, tout les écartant, exposant l’intérieur du vagin. Il écarte les fesses exposant leur orifice étoilé, subissant de violents assauts.
Assauts qui se concluent par une jouissance, Akita plaque violemment la jeune femme contre elle. Sa semence jaillit au creux de ses fesses, se répandant profondément. Ses coups de butoir ne s’arrêtent pas pour autant. Elle continue de malmener la croupe de sa proie, jusqu’à ce que la dernière goutte de sa semence se soit perdue dans l’orifice. Le membre annelé se retire lentement de l’orifice étoilé, le laissant inonder de semence, tout comme le deviennent lentement ses cuisses et ses fesses. Ces dernières sont violemment claquées, laissant une marque écarlate en forme de main sur chacune d’elle.
Elle tourne autour de l’humaine et glisse trois de ses doigts dans son sexe, sans douceur. Elle les remue à l’intérieur. Après les avoir ressorti complètement souillés, ils sont glissés dans la bouche humaine, la forçant à goûté à son propre fluide.
"-Akita va remplir ton corps, jusqu’à ce qu’il déborde. Tu vas être le jouet d’Akita
Les vrilles changent la position de leur proie, présentant les jambes écartées, exposant la vulve et le vagin. L’humaine se trouve désormais, jambes, fesses et sexe écartés, suspendue au-dessus du sol. Malgré sa colère, Akita s’assure que ses vrilles ne lui causent aucune douleur. Elle veut la soumettre au plaisir, mais pas à la souffrance. Le membre change de forme, prenant une forme plus compacte. Il est si large et si long que lorsqu’il pénètre le sexe féminin, ce dernier est dilaté au maximum, la verge atteint l’entrée de l’utérus et le pénètre même. Il prend la forme du vagin, ne laissant aucune parcelle des parois intimes sans contact. La vessie est comprimée par le membre humainement trop volumineux. Les mouvements de reins recommencent, brutaux, puissants, mais lents. Ils produisent des bruits de succion ne laissant aucun doute sur leur origine. Les yeux de l’être végétal sont fixés sur ceux de sa proie et ils n’expriment que de la colère. Ses vertes mains agrippent ses tétons et tirent dessus sans douceur, avant des les relâcher. Elle joue ensuite avec le clitoris, une vrille creuse vient l’aspirer et le masser avec des mini-vrilles internes.