C'est avec satisfaction, que je sors du campus. Pour moi, tout se passe plutôt bien par ici. Et puis c'est encore mieux, quand je sais que d'autres élèves s'occupent déjà de mater à leurs façons, les pauvres idiots qui constituent ma famille. Qu'ils les baisent, qu'ils les violent et qu'ils les frappent tous, ces couillons ne savent même pas jusqu'à quel point ils me rendent service. En attendant, j'avais pour l'instant d'autres projets dans l'immédiat. J'avais encore une fois envie de baiser. Je voulais m'en faire une et la garder en souvenir, pour qu'elle rejoigne toutes les autres pauvres victimes, que je commence gentiment à collectionner, dans ma liste personnelle. Mine de rien, cet endroit était vraiment le paradis du crime! C'était tellement facile de laisser libre cours à ses pulsions, sans risquer des représailles. Il suffisait juste d'être un minimum prévoyant, comme moi.
Une fois à l'extérieur, je commence sans tarder par faire un premier repérage. Je n'avais pas de critère vraiment défini, mais j'avais tendance à avoir une préférence envers les personnes qui avaient un minimum de répondant. Rien à voir avec ma lâche de mère, cette connasse qui semble prête à donner son cul au premier venu, pour avoir un semblant de tranquillité. C'est alors que je finis par arriver dans le métro. Il serait probablement plus facile pour moi de repérer tranquillement sur les quais, celle qui correspondrait le mieux à mes critères. Et alors que je jette régulièrement des regards autour de moi, j'ai un petit sourire malsain, quand je tombe sur la perle. Mes instincts ne me trompent pas et cette brune sexy avec son look de garce, devait sûrement avoir ce quelque chose que j'aimais. Décision prise sans attendre, ce sera cette fille qui passera à la casserole ce soir. Elle sera ma nouvelle victime et pour fêter ça, j'ai prévu de mettre le paquet, car ce soir j'ai envie de frapper fort. Je veux un souvenir inoubliable. Et en plus de la défoncer, on sera enchanté de pouvoir voir ta petite gueule de pute arrogante se faire bien abimer!
Je m'installe discrètement dans le même compartiment qu'elle et c'est l'esprit tranquille, que je fais route vers l'endroit de mon prochain méfait. Je souris plusieurs fois, lorsque je la sentais nerveuse. Je ne savais pas si elle avait remarqué ma présence, mais je devinais qu'elle était du genre à avoir déjà eu de près ou de loin, ce genre de problèmes. C'est alors qu'un bon moment plus tard, que la chérie finit par sortir. Tout en la suivant, je me retrouve dans un quartier maintenant presque envahit par la nuit. Après plusieurs détours, elle finit par s'engager dans un endroit beaucoup plus isolé. Je la vois ensuite finir par rentrer dans une maison, parfaitement séparée des autres par un petit bois, que j'ai emprunté à distance pendant que je la suivais. Les lumières de la baraque s'allument peu de temps après et je vois par intermittence, la jolie étudiante qui va bientôt faire les frais des mes petits jeux, commencer à se déchausser tranquillement.
Et lorsque je pense avoir suffisamment bien observé ma nouvelle pute, je me glisse à l'intérieur du jardin. La coquine semble avoir vaguement repéré ma présence, mais je ne m'en inquiétais absolument pas. Une fois arrivé devant la porte, je sors de mon sac à dos l'un des objets les plus pratiques que j'avais et qui me servait à forcer très facilement, à peu près n'importe quelle serrure. J'insère alors le petit perforateur dans celle-ci et en moins d'une seconde, dès que la mèche commence à tourner, la serrure de la pauvre petite chérie se retrouve éclatée. Dès qu'elle claque, mes instincts de prédateurs se mettent immédiatement en marche. Je pousse alors doucement la porte. Mes iris se rétrécissent, au moment où je crois voir la fille arriver en haut des escaliers, de ce qui est son salon. Puis j'entends la porte d'en haut claquer précipitamment. Moi qui était habitué à faire ce genre de chasses, c'était suffisant pour que je comprenne qu'elle m'avait remarqué pour de bon. En plus de m'avoir vu arriver dans son jardin, elle avait certainement entendu la serrure se casser. Et tout en retrouvant avec plaisir, ce moment d'adrénaline qui annonce déjà qui est le chasseur et qui sera la proie pour ce soir, je commence tout juste à m'engager à l'intérieur, quand j'entends un bruit sourd provenant de l'extérieur. L'idiote venait de sauter par la fenêtre et elle se croyait assez maligne, pour arriver à me semer. Lorsque je me retourne, bien amusé par sa vaine tentative pour m'échapper, je vois sa silhouette en train de se déplacer maladroitement. Et en plus, cette conne avait raté sa réception... Lorsque je ressors, je la vois en train de de se diriger les bois.
- Alors comme ça tu veux jouer?
Tout en riant, je laisse mon petit lièvre visiblement blessé, commencer à partir. Mais le loup que je suis maintenant, a largement les moyens pour la rattraper, même en la perdant de vue... Je sors au bout de plusieurs secondes encore de mon sac à dos, un autre objet. Il s'agissait cette fois-ci d'une paire de lunettes thermiques, qui me permettaient non seulement de voir parfaitement dans le noir, mais de pouvoir aussi repérer les sources de chaleurs. Et comme mon petit lièvre devait certainement être la seule source de chaleur, dans cette soirée un peu trop fraiche pour elle, je n'ai donc plus qu'à suivre tranquillement sa piste. Alors que l'environnement devient vert luminescent, je perçois devant moi de grandes effluves rouges et orangées. Sans perdre d'avantage de temps, car il était hors de question que je la laisse partir et rejoindre le quartier d'à côté, je me mets à courir. Grâce à ma souplesse et à mes entrainements, je n'ai en plus aucun mal à la rattraper, puisque je n'ai qu'à suivre la ligne colorée, que la pauvre idiote dessine elle-même pour moi. Lorsque j'arrive à sa portée, je n'ai alors plus qu'à la pousser. La salope tombe par terre et avant même qu'elle ne réagisse, je lui envoie un coup de pied en plein dans les côtes.
- Bouge pas salope!
Lorsqu'elle crie de douleur, je m'accroupis ensuite à côté de mon petit lièvre blessé, tout en lui mettant la main sur la bouche.
- Alors tu voulais t'enfuir? Tu espérais faire quoi? Appeler quelqu'un pour pour t'aider et dire qu'il y a un vilain petit garçon, qui se promène autour de ta maison et qui essaie de t'attraper pour jouer avec toi? Ou peut-être que c'est juste un jeu qui t'excite, parce que t'as l'air d'être du genre à aimer te prendre de bites?
Je lui fous une claque dans la gueule et lorsque je me relève, je lui renvoie un autre coup bien placé encore en plein dans les côtes.
- Ca c'est pour avoir été vilaine!
Sans m'occuper du reste, je sors de ma poche mon katana rétractable. Lorsque j'appuie sur le bouton, la lame qui est pliée en plusieurs partie se déplie et s'aligne impeccablement. Tout en la menaçant avec le bout pointu, je lui ordonne dans la seconde, de se déshabiller.
- Allez déshabille-toi maintenant. Tu te fous à poil tout de suite ou je te jure que je vais te faire sentir cette lame! J'ai juste envie de baiser et j'ai décidé que tu serais ma chienne pour cette soirée! Donc je te conseil d'obéir, si tu ne veux pas avoir à souffrir! C'est clair pour toi comme ça, chérie?
Mon sourire est remplacé par une expression beaucoup plus dure. Bien qu'elle ne pouvait pas voir mes yeux, qui étaient remplacés par les deux points lumineux, visibles par la monture que je portais toujours, la tonalité de ma voix suffisait déjà largement, pour lui faire comprendre que je n'étais pas du genre à rire très longtemps.