A l'écouter, la succube peut prendre plusieurs formes pour ses jeux pervers et déviants en fonction de ses envies du moment. Le genre de compétence qui peut sembler stupide mais qui peut avoir ses avantages pour enchaîner les costumes lors de soirées endiablées si l'envie sen fait sentir.
En tout cas elle ne lésinait pas sur le langage crue et graveleux dès que l'occasion se présentait à elle. Il n'a fait que lui poser une question sur ses pouvoirs et la suite des évènements qu'elle en profita pour laisser entendre qu'elle attendait de se faire baiser par Arlan comme une brute devant tout un public constitué de clients et employés de son bordel. Et, à peine debout, elle voulu aider son futur partenaire à rester en forme en posant directement sa main sous ses habits pour le branler un peu pendant qu'ils attendaient que d'autres personnes viennent les rejoindre. Une attente de courte durée car les deux jeunes femmes furent rapidement de retour dans cette grande pièce en compagnie d'au moins douze personnes.
Toujours aussi crue dans ses gestes et ses paroles, Vierna présenta brièvement le défi qui allait l'opposé à ce simple être humain qui faisait figure d'intrus au milieu de toutes ces créatures. Pas de part sa nature humaine mais plus sur sa provenance car la Terre est un monde différent, aux mœurs et à la technologie qui est diamétralement opposée à ce qu'on peut voir sur Terra.
Sans perdre une seconde, Vierna s'approcha de l'enseignant pour se frotter contre lui tout en poursuivant sa masturbation délicate dans le boxer. Sa grosse poitrine se frottait contre son torse ou ses bras, très lentement, lors de mouvements circulaires et verticaux pour varier les plaisirs. Rejointes par ses deux amies nymphomanes, les trois coquines se mirent à genoux devant lui de façon lente et sensuelle en laissant trainer leurs mains sur son corps pour le remotiver à finir ce qu'elles avaient entamé plus tôt. Une fois la verge et ses deux boules à l'air, les cochonnes se mirent à l’œuvre en commençant par ses couilles par l'intermédiaire de Vierna et la blonde sous les regards avides du public qui aimait ce qu'il voyait.
Elles se partageaient la tâche entre sa bite et ses couilles que chacune venaient lécher et sucer à tour de rôle quand elle ne se mettaient pas toutes les trois ensemble sur son gland pour le chauffer autant que possible. Le marché était d'éjaculer une première fois sur leur visage afin de conserver un certain contrôle sur la situation. Quand le tour tour de Vierna vint de le sucer, il profita alors de l'occasion pour y aller à fond car il savait que l'éjaculation était proche.
« Tu m'as promis quelque chose et je compte bien l'obtenir. Toi, bouffe mes couilles comme la pute que tu es, compris ? Et toi, commence à frotter tes doigts sur la chatte de la patronne pendant que je vais m'occuper de son cas. »
Alors que l'une des femme jouait et suçait les couilles d'Arlan, la seconde caressait la chatte humide de la propriétaire des lieux à la demande de l'homme. Clairement motivé par l'idée de jouir après cette triple fellation improvisée dont il aurait pu profiter encore plus longtemps en temps normal, il se saisit de la tignasses de la succube pour imposer son rythme. Sa bite était grosse et la créature avait du mal à l'avaler entièrement sur le moment même si elle avait forcément avalé des triques plus imposantes avant celle-ci.
L'envie de jouir était aussi forte que la soif de vengeance pour ce qu'elle lui a fait plus tôt dans son esprit. Pendant que le public votait pour un 69, l'humain s'enfonçait de plus en plus brutalement dans la gorge de la succube en grognant comme un animal. Sa partenaire, elle s'étouffait légèrement sur cette bite gonflée qui tardait à lâcher la sauce. Focalisant son attention sur ses hanches et ses mains, il baisait la gorge de Vierna sans pitié.
« Toi qui veux tant te faire baiser, ça doit te plaire. Urrrrgh ! Ouais, ça vient ! Avale ! Urrrrgh ! »
Dans un ultime râle, son sperme explosa avec une telle force dans la bouche de Vierna qu'une partie s'évacua par les narines de la créature alors qu'une autre s'échappait des bordures de ses lèvres pulpeuses. Mais ce n'était pas assez pour lui. Il lâcha prise et se retira des deux femmes pour finir de jouir sur leur visage vu que sa copine lui massait toujours les testicules avec sa langue. Après plusieurs secondes et une massive quantité de sperme qui les recouvrait, la troisième vint les embrasser toutes les deux pour goûter à la crème épaisse qui lui faisait envie.
« Je te laisse te débarbouiller ou tu veux entamer les hostilités tout de suite ? » lui lança t-il sur un ton provoquant en la regardant le visage en grand partie couvert de gélatine blanche dont elle avait du mal à se débarrasser tant elle lui collait à la peau.