Danse torride d'une reine de glace [PV]

Le repas au bar-restaurant fut délicieux. Durant ce temps, Arlan et Priscilla avaient parlé de tout et de rien, échangeant des propos aussi bien banals que divers. Mais chacun sentait que ce n'était que le prélude à quelque chose de plus intense, de plus sauvage. Une sorte de calme avant la tempête. Chacun était assis tranquillement à la table, appréciant le repas à sa juste valeur, devisant paisiblement, flirtant un peu ; mais intérieurement, chacun bouillonnait, attendait avec excitation et frisson le moment où cet aimable intermède allait prendre fin.

Le professeur - dont la matière était les sciences sociales, ce qui ne manquait pas de piquant - proposa à Voodoo d'aller boire un dernier verre chez lui et elle accepta, sachant pertinemment que l'ingestion d'alcool - ou de toute autre boisson - n'était pas spécialement à l'ordre du jour. Durant le trajet, elle avait senti le contact de la main d'Arlan sur sa cuisse et elle n'avait fait aucun geste pour l'en dissuader, ni pour l'encourager ; elle n'avait prononcé aucune parole à ce moment là mais son regard, rivé sur la route, parlait pour lui-même...

A un moment donné, il lui parla :

- Nous sommes bientôt arrivés, j'espère que l'on pourra tenir jusque là... Ou plutôt que JE puisse tenir jusque là. On n'en a pas parlé jusque là car nous étions dans un jeu de séduction, mais est-ce que tu as des choses que tu préfères et d'autres dont tu ne veux pas entendre parler ?
- Hum, eh bien, je ne suis pas fan de tout ce qui est sado-maso, scato, etc. : je laisse ça aux personnes dérangées. Je suis plutôt dans la fantaisie et aime bien improviser de temps à autre... répondit-elle avec un petit sourire.
 
Ils entrèrent enfin dans l'appartement du jeune homme qui était propre et bien rangé. Voodoo, tout en parcourant du regard l'endroit, se demanda si d'autres femmes étaient déjà venues ici. Probablement que oui. C'est alors que ses yeux tombèrent sur quelque chose qui amena un large sourire sur ses lèvres : mise sur un cintre, une superbe veste militaire d'apparat (elle n'aurait su dire de quelle arme ni de quel pays), de celle réservée aux officiers, décorait un coin du mur du salon ; un képi du même acabit couronnait le tout.

- Ouah, j'adore ! fit-elle en s'emparant du vêtement et du couvre-chef sans plus de cérémonie, avant de filer dans la salle de bains où elle s'y enferma. Au bout de cinq minutes, elle en sortit, offrant au professeur une vision que l'on pourrait qualifier sans peine "de rêve" : si l'on exceptait la veste, le képi et un string de couleur noire, elle était entièrement nue. La veste était ouverte, laissant voir la moitié des ses seins lourds qui tressautaient à chaque mouvement.

- Soldat, j'ai une mission à te confier ! clama-t-elle d'une voix mi-martiale mi-coquine, les mains sur les hanches. Ton but est de t'emparer d'une profonde vallée encaissée. Mais avant il te faudra gravir de hautes montagnes et parcourir une vaste plaine ! Te sens-tu de taille soldat ?

Il ne fallait pas être sorti d'une école militaire, comme Westpoint ou Saint-Cyr, pour comprendre à quoi elle faisait allusion en ce qui concernait les références géographiques...

Après un début de soirée déjà endiablé entre la danse sur scène qui avait émoustillé tout un public entier, poussant même certaines personnes à jouir sur place. En plus de la danse privée qui avait encore plus chauffé l'enseignant et leurs échanges dans la voiture et au restaurant, la délicieuse Voodoo n'avait pas perdu de temps en se dirigeant directement dans la chambre de son futur amant pour chercher de quoi épicer cette nuit torride... comme si elle en avait vraiment besoin.

La jeune femme, visiblement très excitée après les embrassades et caresses qu'elle venait d'échanger dans le parking et l'ascenseur, jeta son dévolu sur un costume militaire officiel qu'Arlan avait obtenu par son clan pour s'infiltrer dans le siège d'une société écran qui sert à financer une partie des opérations de son ennemie juré. Il s'agissait de la tenue officielle provenant d'une armée privée, ce qui avait rendue son obtention des plus compliquée. Elle ne lui demanda d'ailleurs pas son avis avant de se saisir d'une partie de celui-ci avant de filer se changer dans la salle de bain accessible depuis la chambre à coucher.

Arlan était assis sur son lit en train de s'imaginer ce que cette belle déesse à la peau caramel lui réserverait. L'enseignait se voyait déjà profiter de sa poitrine massive de façon peu recommandables qu'il ne partagerait probablement pas en classe. Déjà bien remonté, surtout au niveau de son pantalon, où sa demie bosse exprimait clairement son envie de consommer cette relation éphémère. Pour le moment...

Heureusement, la surprise fut de taille lorsque sa partenaire du soir quitta la salle d'eau pour le rejoindre dans la chambre à coucher. Tout juste vêtue d'un string noir, de la veste de l'uniforme ouverte qui masquait difficilement ses obus et un képi qui renforçait étrangement son sex-appeal. L'attirance provoquée par l'uniforme est un fétichisme unisexe après tout. Celle-ci lui donna alors une mission d'un ton mêlant taquinerie et sérieux. Une mission clairement risquée vu le terrain sur lequel va devoir se lancer le professeur.

Il quitta alors le lit sur lequel il était assis pour rejoindre Voodoo et déposa l'index de sa main droite sur le nombril de la plantureuse femme avant de remonter celui-ci jusqu'à toucher légèrement le dessous de sa poitrine sans tenter d'aller plus loin ou forcer le passage entre ces deux imposants et savoureux globes de chair qui lui faisaient envie depuis plusieurs heures.

« A vos ordres, mon capitaine ! Je crains cependant de devoir d'abord passer mon inspection afin de vérifier si on matériel et mon véhicule sont adéquat pour cette longue et périlleuse mission ! Pouvez-vous m'aider dans cette démarche ? »

Dire que la vision de Voodoo en "tenue militaire" plut à Arlan était un euphémisme : il dévorait littéralement des yeux la jeune femme, son regard s'attardant particulièrement sur la poitrine à demi-découverte par la veste d'uniforme. L'enseignant se leva du lit sur lequel il était assis et alla rejoindre sa compagne, posant un index sur son nombril avant de remonter vers le dessous de ses seins, les effleurant à peine. Ce simple contact la fit frémir et elle sentit ses tétons durcir un peu.

- A vos ordres, mon capitaine ! Je crains cependant de devoir d'abord passer mon inspection afin de vérifier si mon matériel et mon véhicule sont adéquats pour cette longue et périlleuse mission ! Pouvez-vous m'aider dans cette démarche ?
- Remarque judicieuse ! Un bon soldat se doit de veiller au bon entretien de son équipement ! Le plus important étant son armement...

Elle avait prononcé cette dernière phrase d'une voix trainante tandis que son regard s'était abaissé vers le pantalon d'Arlan qui avait une belle bosse vers le haut. Elle posa une main fine sur l'entrejambe, sentant la grosse protubérance à travers les couches de tissu.
Doucement, elle força son compagnon à se coucher sur le lit avant de s'agenouiller sur la moquette. Lentement, elle défit la ceinture, déboutonna le pantalon et palpa de nouveau la grosse bosse qui semblait pulser à travers le sous-vêtement. Elle rabattit brutalement ce dernier, découvrant le pénis en érection du jeune homme.

- Voila du bon gros calibre ! ronronna-t-elle, empoignant la hampe de chair d'une main tandis que de l'autre elle tâtait les bourses qui devaient être pleines à craquer. Côté munitions, ça m'a l'air impeccable ! Bien entendu, il faut veiller à ce que l'arme soit bien opérationnelle, de manière à ce qu'elle ne fasse pas défaut au moment crucial... Commençons par l'astiquer...

Et sans crier gare, elle enfourna le phallus dans sa bouche, gobant d'abord le gland, le léchant, le mordillant même, avant de descendre plus profondément... Durant de longues minutes, la tête de Voodoo se mit à effectuer des mouvements de bas-en-haut tantôt frénétiques, tantôt lents.

Le jeu de séduction était sans sa dernière ligne droite et Voodoo n'avait aucune raison de ne pas y jouer étant donné qu'elle en était l'instigatrice. Et ça, Arlan comptait bien en profiter un maximum car la jeune femme l'avait chauffé sans vergogne toute la soirée. Prête à prendre sur elle pour vérifier l'état de son équipement, son regard se posa directement sur le pantalon de l'homme qui était prêt à tout ce qu'on pourrait lui proposer. On dit souvent qu'un coup de feu peut partir à la moindre maladresse, c'est probablement pour éviter un accident que sa partenaire déposa sa main délicate sur la bosse pour jauger la situation. Caressant avec soin la masse volumineuse à travers le tissu qui la protégeait.

Sauf que Voodoo aime prendre le dessus, contrôler la situation sans pour autant virer dans la domination brute. Même si Arlan se tenait toujours devant elle à la caresser avec son doigt qui vagabondait sur son ventre quand il ne remontait pas pour dessiner le contour de sa poitrine, ce dernier fut renvoyé sur le lit. Reculant lentement pendant que la danseuse s'approchait de lui, il tomba d'abord sur les fesses avant d'être poussé à s'allonger par la main droite de la jeune femme qui était sur sa poitrine pour aider le mouvement.

« Oups ! Vous aimez vraiment prendre les choses en main, capitaine. Loin de moi l'idée de vous déranger après tout. »

Arlan allongé, il ne vit pas sa partenaire s'agenouiller devant lui car elle se trouvait déjà à genoux quand il eu l'occasion de relever la tête pour voir la situation. Inutile d'être un génie pour connaître la suite des évènements. C'est pour il décida de ne pas la regarder sur le moment, préférant fermer les yeux pour savourer l'instant. Seuls dans cette grande pièce, les sons étaient plus clairs, comme celui de sa ceinture qui était en train de se faire retirer. Les petits cliquetis de métal donnaient la température, avant de céder à la sensation du déboutonnage et le dernier bruit caractéristique de l'ouverture de braguette. Un son si simple mais qui peut devenir si coquin dans certaines situations. Elle ne lui retira cependant pas son pantalon, pas tout de suite... Sa main entra de nouveau en contact avec la verge qui tremblait de désir sous sa prison. Après quelques mouvements réguliers d'avant en arrière sur cette bite qui pulsait de plus fort à l'idée d'obtenir bien plus. Un souhait exaucé car elle fut libérée d'un coup sec par la plantureuse femme qui évita une bifle de quelque centimètre car la queue était si dure qu'elle se figa a quelque millimètres de ses lèvres pulpeuses.

Un léger commentaire coquin accompagné d'un sourire accompagnaient sa main qui venait saisir avec poigne une partie de cette longue et épaisse tige pendant que la seconde soulevait les couilles qui sont comprises dans le lot.

« Et encore, il est en mode veille, mon capitaine. »

Elle poursuivit alors ses vérifications en massant les couilles lourdes et pleines dans sa main. La production de sperme d'Arlan étant considérablement plus élevée que la normale, il ne risquait pas d'être à court de balles ce soir.

« Il faut régulièrement lubrifier son arme après tout. Puis je ne risque pas de manquer de munition si vous voulez faire un essai de tir avant de lancer la mission. »

Sa bite ne resta pas à l'air très longtemps car la main qui le branlait bloqua cette longue masse en place pour que sa bouche s'abatte dessus sans prévenir. Le gland de l'homme fut le premier à subir ses assauts. Une langue douce et chaude se posa délicatement dessus alors qu'il était prisonnier de ses lèvres. La salive s'accumula sur cette partie délicate de sa queue queue avant que des dents ne viennent entrer en contact sur sa peau. Quand elles ne glissaient pas dessus pour mimer des tentatives de morsure. Son gland eu droit à tous les traitement possibles et imaginables durant près d'une bonne minute ou deux.

« Capitaine, vous allez finir par endommager mon canon si vous le malmenez autant. »

Sur cette simple remarque, la militaire d'un soir changea littéralement son fusil d'épaule pour se lancer dans un autre examen. Tentant de gober autant que possible l'arme de son soldat qui faisait de la résistance. Même avec toute l'envie dont elle faisait preuve, engloutir intégralement la bite d'Arlan lui était impossible de quelques centimètres seulement. Seule sa bouche était à l’œuvre, sa main se contentant de maintenir l'outil aussi immobile que possible.

De son côté, l'enseignant profitait de l'instant en restant allongé sur le dos dans son lit. En plus du jeu de rôle improvisé qui ajoutait du piment à ce rapport inattendu, le fait de ne pas regarder lui permettait de ressentir un plaisir plus intense. Le changement de rythme était parfait pour exacerber son envie d'aller plus loin car Voodoo parvenait à réduire la cadence dès qu'il s'excitait un peu trop.

Frustré de la voir jouer avec lui plus que de vouloir le faire éjaculer, il se redressa alors pour la regarder enfin dans les yeux pendant qu'elle s'affairait entre ses jambes.

« Vous avez une maîtrise parfaite de mon arme. Ce n'est pas la première fois que vous en tenez une je présume.
Par contre, je préfère vous prévenir... La mienne a la fâcheuse habitude de laisser beaucoup de résidus quand elle fait feu. »

Sa manière de la prévenir n'était pas subtil pour deux sous. Surtout que... il aimait souiller ses partenaires avec son sperme quand cette dernière n'avait rien contre. Il lui était même arrivé, avec une mère d'élève et sa fille, de les souiller toutes les deux en éjaculant plusieurs fois de suite sur leurs visages à leur demande. C'est probablement là qu'il prit goût à cette pratique.

« Sans vouloir vous donner d'ordre, vous ne devriez pas vous concentrer un peu sur le chargeur pendant que vous maintenez mon canon en main pour vous assurer que tout va bien ? Il ne faudrait pas qu'une balle reste coincée dedans. »

Il avança alors sa main vers le visage de Voodoo pour l'aider à replacer ses mèches qui venaient se mettre entre sa bouche et la bite qu'elle suçait pour les replacer derrière ses oreilles qu'il caressa tendrement quelques secondes. Comme un bon soldat, suivre les ordres était de rigueur. Alors hors de question de guider sa tête ou appuyer dessus pour lui imposer son rythme comme il aurait pu le faire avec une autre femme. Tout ce qu'il attendait désormais était de pouvoir lui éjaculer dessus avant de partir en mission de conquête dont le premier objectif serait ces deux tours jumelles.

La "capitaine" pensa que son "soldat" parlait un peu de trop : et que je te dise de faire attention à mon canon, et que je te recommande de vérifier le chargeur... La jeune femme s'arrêta dans sa besogne et regarda Arlan les sourcils légèrement froncés. Pendant un moment, elle fut tentée de lui lancer un "tu peux pas fermer ta gueule, non ?" bien cinglant ; au lieu de cela, elle se contenta de lui dire d'une voix douce, accompagné d'un joli sourire :

- Laisse-moi faire soldat : je sais ce que je fais ! Concentre-toi sur la mission...

Puis elle revint à ses attentions buccales, s'acharnant sur le pénis qui avait pris une teinte cramoisie, léchant le gland, mordillant la hampe, l'enfournant complètement...

Quand elle sentit qu'il était à point, elle se releva et, tout en lançant un regard coquin à son partenaire, commença à enlever sa culotte qu'elle balança d'un geste négligent sur le lit. Puis elle s'assit à califourchon sur le jeune homme et commença à insérer lentement le phallus dressé dans son intimité.

- Matériel impeccable, entretien terminé ! Commençons la mission... fit-elle d'une voix mi-espiègle mi-martiale avant de se pencher sur Arlan, lui offrant une vue imprenable sur ses seins qui pendaient comme des fruits mûrs puis de bouger son bassin. A force de se déhancher sur scène, elle arrivait à faire l'amour dans la position du cowgirl en ondulant simplement des hanches plutôt que de faire des mouvements de va-et-vient avec ton son corps.

La danseuse avait son tempérament et n'aimait clairement pas qu'on lui dise quoi faire. Ni même qu'on le lui suggère de façon subtil si on voulait tenter sa chance de cette façon. En plus de son regard qui était bien plus fermé qu'auparavant quelques micros expressions laissaient présagés qu'insister sur cette voie mettrait rapidement fin à leurs échanges en cas de récidive. L'enseignant se laissa alors faire en se rallongeant quelques instant sur le lit pour profiter de cette pipe énergique.

La belle savait y faire pour exciter un homme et le pousser à bout. A force de maltraiter sa verge sur toute la longueur et la largeur à l'aide de ses lèvres, de sa langue et même de ses dents l'homme allait finir par éjaculer à un moment ou un autre. Il n'était pas contre l'idée de lui jouir dans la bouche ou sur le visage. Excepté que l'incendiaire jeune femme qui avait clairement le dessus sur cette partie de jambe en l'air avant une autre idée en tête.

Libéré de cette fournaise humide qu'était la bouche de Voodoo, Arlan pu respirer quelques secondes à tous les niveaux. Un repos de courte durée cependant. Sa bite était luisante de salive et gardait qelques marques ici et là suite au passage de cette créature sauvage qui n'avait pas été tendre avec lui. Son regard ne lâcha pas celui de l'enseignant alors qu'elle retirait sa culotte d'un simple geste avant de la basarder sans réfléchir. Lui s'était redressé pour ne rien raté de ce bref spectacle avant de se faire repousser une nouvelle fois sur le lit.
Si une chose était clair, le rapport de force ne sera pas remporté par le mâle ce soir. Sauf si il parvient à avoir son capitaine à l'usure... Ce qui est loin d'être gagné.

« Urrrrgggh... »

Un gémissement accompagna ensuite la pénétration qui annonçait le début de la mission qui lui était imposée. Voodoo imposait et maintenait le rythme de leurs corps emboités l'un dans l'autre en se contentant de remuer les hanches avec une facilité déconcertante. En plus, sans aucun véritable appuie il était difficile pour l'enseignant de riposter efficacement. Plusieurs choix s'offraient à lui... Comme la retourner pour la mettre sur le dos et prendre, littéralement, le dessus. Une option vite balayée vu qu'elle lui avait fait comprendre que les rôles seraient fixes jusqu'à nouvel ordre.
Venait ensuite la possibilité de lui agripper son derrière parfaitement fond et ferme des deux mains pour contrôler la direction des mouvements de hanches. Là encore, un soucis de contrôle pourrait poser problème. Et c'est en voyant ses énormes seins se balancer sous ses yeux qu'il décida de jouer avec vu qu'elle le tentait avec sans aucune gêne.

« L'une des règles de base est de tirer profit du terrain, non ? Alors... Sluurrrrrp !»

Ses mains qui se tenaient le long de son corps jusque là agrippèrent les deux mamelles de la danseusse pour les presser avec énergie avant d'aspirer de toutes ses forces sur le téton gauche. Le soldat était dévoué et déterminé à avancer sur le terrain ennemi coûte que coûte en évitant les pièges et autres mines qui pourraient le bloquer dans sa progression. Au bout d'une petite minute à ne faire qu'aspirer et relâcher ce premier sein il attaqua le second. Cette fois-ci en rendant la monnaie de sa pièce à sa capitaine en usant habilement de sa dentition pour lui prouver que lui aussi avait de l'abnégation à revendre.