Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Cambriolage [Illunia]

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Michael De Santa

Humain(e)

Cambriolage [Illunia]

mardi 13 novembre 2018, 01:09:30

Michaël n’aimait pas ça. Clairement pas.
 
« C’est un coup facile, lui assura encore Hitoshi, sans aucun risque. Cette vieille maison est abandonnée.
 -  Pourquoi vouloir la voler, alors ? »
 
Hitoshi secoua doucement la tête, visiblement agacé par la lenteur d’esprit de son comparse. Son plan était imparable. Du moins, c’est ce qu’il estimait. L’homme avait une connaissance dans un cabinet d’avocat, une secrétaire juridique qui lui avait parlé d’un dossier particulier. Une indivision successorale qui traînait depuis des années suite au décès d’une femme. Les héritiers, qui vivaient tous à l’étranger, se battaient pour l’acquisition de cette mission. L’une des branches de la fratrie faisait volontairement durer la procédure, afin que le bien perde de sa valeur, mais, faute d’accord entre les héritiers, aucun partage n’avait eu lieu. D’après les informations d’Hitoshi, le manoir abritait encore des biens d’une bonne valeur marchande, la femme décédée ayant jadis été une collectionneuse assez riche.
 
Ce plan ne disait trop rien à Michaël, qui avait été abordé dans le bar où il avait l’habitude de traîner. Depuis qu’il avait quitté les États-Unis, l’homme avait raccroché, mis fin à sa vie de forban, de criminel endurci. Mais les factures continuaient à affluer. Sa fille lui coûtait une fortune, tout comme sa femme, qui enchaînait les professeurs particuliers, sans parler de son fils, qui réclamait sans cesse un équipement high tech de pointe… Tous ces évènements avaient amené Michaël à accepter cette mission, avec la promesse de toucher une part des bénéfices. Il avait fait preuve de ses talents au bar lors d’une rixe imprévue, quand des membres d’un clan rival à celui d’Hitoshi avaient attaqué le bar en voulant s’en prendre à Hitoshi. Depuis lors, Hitoshi avait compris que Michaël était un individu particulier, et lui avait donc proposé de travailler pour lui.
 
Ils se trouvaient donc là, tous les deux, dans une fourgonnette à l’orée de la ville. La nuit s’était abattue sur le Nippon, et le manoir ne tarda pas à apparaître. Un grillage antique l’entourait, et la végétation était abondante, légèrement en friches.
 
« C’est parfait, je te dis !  Il n’y a même plus de courant, rien ! La baraque est à l’état d’abandon ! Des montagnes d’or qui croupissent sous nos pieds !
 -  Que tu dis » objecta-t-il lentement.
 
Hitoshi soupira lentement, un sourire confiant sur les lèvres.
 
« Ne sois pas si défaitiste, mon ami. C’est toi qui viens du pays des opportunités, non ? »
 
Ils sortirent du véhicule, enfilant des cagoules et des gants. Débrouillard, Hitoshi avait ses rossignols, qu’il utilisa pour ouvrir le portail principal. Michaël regarda nerveusement autour de lui. Le coin était plutôt isolé, et aucune voiture ne passa par là.
 
« Allez, bébé, allez… Et, et… Là ! »
 
Dans un grincement ancestral, la grille s’ouvrit lentement, et le duo s’aventura dans le jardin, rejoignant la porte d’entrée.
 
« Bon… On trouve les bibelots, on les embarque dans le fourgon, et on se taille, okay ?
 -  Mmmhm… »
 
Cette situation ne lui plaisait toujours pas, tant elle était risquée.
 
« Finissons vite, et foutons le camp d’ici.
 -  Ouais, ouais… Cool, sérieux ! »
 
Hitoshi avait un look particulier. Il était rasé sur les côtés, et les cheveux restants sur son corps formaient de longues tresses filant au milieu de son dos. Enfin, des tatouages ornaient le haut de son crâne, dessinant de curieuses arabesques. Un look atypique, tandis qu’il crocheta la porte d’entrée.
 
Les deux hommes s’infiltrèrent ainsi dans la maison…

DC d’Alice Korvander.

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Illunia

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Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 1 mercredi 14 novembre 2018, 13:24:43

Beaucoup comparaient ma maison à un genre de... Ruine ? Je ne sais pas, mais en effet elle n'était pas spécialement entretenue à l'extérieur. Pour la simple et bonne raison que je ne voulais pas qu'on vienne toquer chez moi, je voulais pouvoir vivre ma petite vie démoniaque en paix. Et surtout, m'occuper de mes petits protégés sans que personne ne vienne me déranger. C'est vrai, imaginez si j'étais en plein ébat et qu'on toquait à ma porte, cela serait assez préoccupant. Alors j'avais laissé les herbes du jardin pousser, les fleurs mourir, et on pouvait même voir des plantes grimper le long du mur. Pour en rajouter un peu, mon portail principal avait de la rouille, et couinait quand on l'ouvrait. Cela donnait vraiment l'illusion d'une vieille maison abandonnée, d'autant plus qu'elle en avait la réputation. J'avais laissé entendre une rumeur, qui s'était propagée comme une traînée de poudre, en disant qu'il s'agissait d'une vieille maison dont la propriétaire - bien entendu riche - était décédée et que les enfants se disputaient l'héritage. Bon, j'avais aussi laissé sous entendre que les richesses de la maison avaient toutes été emmenées chez les différents enfants, pour être plus tranquille. Et cela avait fonctionné, je n'avais encore jamais eu de visites inappropriées, les gens étaient assez futés pour me foutre la paix, et heureusement pour leur petites fesses. Sinon, croyez-moi que je les aurais volontiers tirés jusqu'à l'Enfer pour avoir osé pénétrer dans ma maison, mon lieu de vie et de luxure. J'étais ainsi, protectrice de ce qui m'appartenait et surtout très maline. Je savais parler pour attiser la curiosité, mais aussi pour éloigner les gens de chez moi. Et jusqu'à aujourd'hui, tout avait fonctionné comme sur des roulettes. J'avais laissé une partie de mon harem sur Terra, leur confiant la "maison", et je profitais de la Terre quelques jours.

Mon manoir dans l'autre monde était bien plus richement décoré, et sentait la luxure à plein nez rien qu'en voyant à quel point la maison était bien entretenue. Mais ici, j'avais simplement emmenés les choses qui avaient la plus grande valeur à mes yeux, au niveau du prix. Je les avais toujours avec moi, au cas où. En dehors de ça, la décoration générale de la maison était plutôt sobre. De la tapisserie représentant des armoiries assez luxueuses, des meubles fait en bois précieux dont le vernis était encore présent, et sans aucune égratignure, c'était simple mais digne d'une femme riche. Les objets eux-mêmes prouvaient que la maison était à une riche femme, comme les statuettes en forme de lion disposées à certains endroits de la bâtisse, ou même les lampes avec leurs abat-jours fleuris. Comme si cela appartenait à une autre époque, tout était fait pour berner les humains. Mais personne n'était venu depuis que je m'y étais installée, cela prouvait que mon stratagème avait marché. J'étais aujourd'hui venue avec quelques créatures de mon harem, pour prendre du temps pour elles. Il y avait Luna, ma Neko qui cachait bien son petit jeu derrière une apparence de lycéenne sage et disciplinée, mais aussi Mikky mon angelot qui avait la capacité de prendre taille humaine et j'avais aussi emmenée avec moi la jeune Yuna qui, pour sa part, était une ESPer qui adorait faire l'amour en musique. Et nous n'étions que quatre, certes, mais cela me permettait de prendre du bon temps avec chacun d'eux, de leur offrir du plaisir à n'en plus finir, tant et si bien qu'ils terminaient souvent la journée avec plus de fatigue que s'ils avaient couru toute la journée. J'étais douée dans mon domaine, et je les connaissais assez pour tous savoir ce qui les faisait basculer dans la jouissance ultime.

Ils profitaient d'une petite pause, que je leur avais gentiment offerte après deux heures de baise intensive. Après tout, j'étais endurante mais eux moins, donc ils avaient besoin de souffler un peu. Luna était allongée sur le canapé, les cuisses écartées et respirant fortement. Elle avait pris très cher avec Mikki, et elle se remettait doucement de ses émotions. Je faisais en sorte de les forcer à se découvrir entre eux, et cela fonctionnait très bien. Elle était donc allongée, la maison était plongée dans le silence, quand je l'entendis lancer une phrase. Je ne compris pas ce qu'elle voulait dire, mais rapidement elle se précipita vers moi. Elle était encore nue, la cyprine dégoulinant sur ses jambes, mais il y avait dans son regard quelque chose. Elle avait peur, je ne savais pas de quoi mais elle me l'apprit très vite. Des humains venaient de se garer devant la maison. Alors je lui sommais d'aller se cacher, et de prévenir les autres. J'entendis quelques froissements de vêtements, puis ils furent si bien dissimulés que je ne les aurais même pas trouvés moi-même. Quant à moi, je portais sur moi mon habituelle ensemble, mon corset et ma jupe blanche, sans oublier mes longues bottes roses et mes gants en latex. Les humains venaient de crocheter la serrure, et je devinais sans peine qu'ils avaient l'habitude de faire ce genre de choses. Ils venaient donc cambrioler ma maison, pour y voler mes objets de valeur ? Oh, ça n'allait pas se passer comme ça. J'étais cachée dans le salon, enfin... Assise comme une Reine dans un fauteuil, mes yeux vairons attendant patiemment qu'ils fassent le premier pas dans la maison. Cela allait être amusant. Quand j'entendis le premier pas dans l'entrée, je me levais avec une prestance digne d'une Sexy Queen. Ce que j'étais, il ne faut pas le cacher non plus.

Alors je m'approchais de l'entrée, ma queue caudale bougeant lentement de gauche à droite dans mon dos. Longue, fine, elle semblait parfois inoffensive. Mais croyez-moi, quand elle venait s'enrouler autour d'une cuisse et qu'elle se resserrait jusqu'à couper la circulation sanguine, on se rendait compte qu'elle était loin d'être inutile. Mes doigts se posèrent sur le contour de la porte, qui était grande ouverte, alors que je me tenais droite devant eux. Un léger déhanché pris alors place, me donnant un air aguicheur. J'esquissais un petit sourire, calme, avant de prendre la parole :

Bonjour, Messieurs. Si j'avais eu vent de votre venue, je vous aurais sans doute servi un verre, malheureusement je n'ai rien de tout cela ici.

Je faisais maîtresse de maison, attisant ainsi leurs yeux. Il faut dire, j'avais un corps généreusement formé que la Nature m'avait offert. Alors je m'en servais sans gêne, montrant un décolleté à en rendre fou un homme. Mais pendant ce temps, mes trois compagnons s'impatientaient. J'entendais alors, à l'étage, un miaulement. Mais rien d'inquiétant, c'était un miaulement... D'envie ? Je levais les yeux au ciel, avant de m'excuser auprès des humains :

Excusez Luna, elle fait du bruit quand elle n'est pas bâillonnée... Ne vous en faîtes pas, elle ne se fait pas torturer, juste baiser.

J'étais crue, cash, mais cela correspondait à mon attitude depuis leur arrivée. Tentatrice, aguicheuse, mais bel et bien méfiante.

Michael De Santa

Humain(e)

Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 2 lundi 19 novembre 2018, 00:47:52

Michaël n’aimait pas ça, tant sur le principe que sur les modalités d’exécution. Il n’avait aucune arme à feu ! Un grand changement par rapport aux États-Unis, où il n’aurait jamais envisagé une telle opération sans sentir un pistolet contre sa cuisse. Seulement, les armes à feu étaient bien plus régulées au Japon qu’aux États-Unis. Il était extrêmement difficile de s’en procurer à Seikusu, sauf à se rapprocher de certains gros groupes, comme les Yakuzas ou la Mafia russe. Très peu pour Michaël, qui espérait que cette opération serait un coup sans lendemain. Hitoshi ouvrit donc la porte, et le duo pénétra dans une antichambre, un vestibule donnant directement sur un salon... Où Michaël écarquilla les yeux en voyant de la lumière, un fauteuil... Et une femme assise dessus.

*Merde ! Merde, merde, merde !*

C’était quoi ce bordel ?!

« Hein ?
 -  Hitoshi, putain... Tu t’es foutu de ma gueule ! »

Le Japonais semblait aussi surpris que Michaël. Ils s’étaient attendus à une maison poussiéreuse, voire éventuellement à tomber sur des squatteurs... Au lieu de ça, la maison semblait particulièrement propre, mais ce ne fut pas ça le pire. Michaël vit devant lui la femme se relever. Ne semblant nullement surprise de les voir, elle se redressa. Il haussa doucement les sourcils en voyant une sorte de queue caudale rouge glisser dans le dos de la femme, sans être davantage surpris. Au Japon, il existait quantité d’accessoires particuliers, des gadgets futuristes. Les Japonais adoraient ça, et il se disait donc que ce n’était qu’un gadget.

La femme était en revanche... Très bizarre. Un tel aplomb signifiait qu’elle n’avait pas spécialement peur de ce duo imprévu. Michaël regarda encore Hitoshi, persuadé que ce dernier lui avait joué une entourloupe... Mais le Japonais semblait aussi étonné que lui. Michaël regarda encore la femme. Elle était indéniablement très bien foutue, avec un look atypique qui ne le laissait pas indifférent. Puis l’homme entendit alors du bruit venant d’en haut, comme des espèces de hurlements diffus, et regarda encore la femme, qui leur avoua sans ombrages qu’une femme était en train de se faire « baiser ».

*Mais c’est quoi ce bordel ?*

Décontenancé, il l’observa encore, ressentant progressivement une sorte d’inexplicable attrait pour elle. Pour son malheur, il ne faisait pas l’amour aussi longtemps qu’il le voudrait. L’homme cligna donc des yeux à plusieurs reprises, faisant preuve d’un meilleur caractère qu’Hitoshi, qui était en train de succomber aux formes voluptueuses de cette femme.

« Merde... Vous êtes qui, bordel ?! » s’exclama-t-il, essayant autant que possible de ne pas croiser le regard de cette femme, au vu des pulsions qu’elle était en train de lui inspirer.

Ce cambriolage était en train de tourner au vrai désastre...

DC d’Alice Korvander.

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Illunia

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Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 3 lundi 19 novembre 2018, 11:35:25

Je voulais les attirer dans mon lit, leur montrer ce qu'il y avait de mieux ici. Car après tout, le sexe était bien meilleur qu'un cambriolage. Oui, j'avais bien compris qu'ils étaient venus ici pour me cambrioler, me voler le peu de richesses que j'avais. Et je ne comptais pas les laisser faire, d'autant plus que ces fameuses richesses étaient dans un endroit assez bien caché. Je savais que mes amis ne laisseraient personne s'approcher du lieu, et ils étaient assez forts pour les en empêcher. Ils sauraient défendre mes intérêts, parce qu'ils savaient qu'ils auraient une bonne récompense en échange. J'avais donc parlé, avec sensualité, en prenant une pose sensuelle et tentatrice. Je saurais aussi satisfaire leurs envies, du moins je l'espérais. Je savais que cela les avait surpris de voir quelqu'un. Après tout, il y avait cette rumeur, ils devaient s'attendre à tomber sur une vieille maison dans un état pitoyable, avec des toiles d'araignée partout et de la poussière. Mais non, au lieu de ça tout était en ordre, bien rangé et propre. Celui qui ressemblait à un Américain se tourna vers son comparse en l'accusant de s'être foutu de lui. Pourtant, je ne connaissais pas cet homme, et je savais pertinemment que c'était un idiot qui avait cru à la rumeur, comme tant d'autres. Le dénommé Hitoshi était lui aussi très étonné, mais je n'avais d'yeux que pour l'autre homme. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais quelque chose me disait que j'allais pouvoir bien m'amuser avec tout ce qu'il croyait. J'étais sur Terre, ils ignoraient sans doute que les créatures de contes existaient, et que bien entendu j'en étais une. Cela me donnait envie de jouer avec eux, de les pousser dans leurs retranchements jusqu'à ce qu'ils deviennent fous de moi. Enfin, surtout l'Américain, en fait, l'autre ne m'intéressait pas.

Je me savais tentatrice, assez bien formée pour faire naître dans leurs esprits des envies farfelues. Et dans leurs pantalons, des envies plu concrètes. Alors je me décidais à tranquillement m'avancer, sans que mes bottes ne fassent de bruit sur le sol. En restant à un mètre d'eux, je pris alors tout doucement la parole en élevant un peu la voix :

Yuna, viens ma chérie.

La jeune femme descendit rapidement les escaliers, très peu vêtue. Elle ne portait qu'un haut, assez long pour cacher en partie son derrière. Elle s'approcha alors, je glissais ma main dans ses cheveux et ma queue caudale tout doucement contre son intimité en lui demandant d'emmener le Japonais en haut pour s'occuper de lui. Heureuse d'avoir un nouveau compagnon à découvrir, elle l'attrapa par la main et l'entraîna dans les escaliers, sans lui laisser le temps de réaliser. Pendant ce temps, j'étais toujours face à l'homme qui venait d'entrer par effraction chez moi. Il semblait assez impressionné, ou surpris. Après tout, on ne croisait pas de démone tous les jours. Je savais que je pourrais faire tourner ce cambriolage en luxure, mais je devais d'abord me le mettre dans la poche. Ce ne serait probablement pas simple, d'autant qu'il avait moins l'air de succomber à mes charmes que son compagnon, que Yuna avait emmené. Il ne s'était pas vraiment débattu, probablement parce qu'il avait les yeux trop concentrés à s'imaginer me déshabiller et me prendre là, dans l'entrée. Cette pensée me fit doucement sourire, alors que je continuais d'observer l'homme face à moi. Il était assez attirant, musclé et plutôt beau. Je mordais doucement ma lèvre en pensant que je pourrais en faire mon goûter, et peut-être aussi mon dessert. Mais avant cela, il me posa une question assez logique. Il se renseignait sur mon identité, avec un beau juron qui semblait trahir sa surprise. Grrr, je commençais à avoir vraiment envie d'en faire mon jouet. Alors je brisais le dernier mètre, passant doucement dans son dos. Il n'avait rien à craindre de moi, je n'étais pas méchante. Je passais doucement une main sur son torse, sous son bras, l'autre caressant sa joue. Ma queue caudale s'enroula autour de ses hanches pour le maintenir contre moi avec force :

Je suis celle qui va te faire basculer dans mon canapé...

Mes dents vinrent tout doucement attraper le lobe de son oreille, ma main glissant très lentement sur son torse en direction de son pantalon, avant que je ne reprenne :

Mais tu peux m'appeler Illunia... Et toi, qui es-tu ?

Je continuais à descendre ma main, l'arrêtant juste au dessus de son pantalon, et venant remonter sous son haut. Sa peau était douce, ferme, et il était effectivement assez musclé. J'allais pouvoir profiter d'un corps pareil, c'était une chance. En haut, les gémissements du Japonais et de la Neko, qui étaient les deux proies de l'angelot et de l'Esper, se faisaient un peu plus intense. Allait-il succomber, lui aussi ?

Michael De Santa

Humain(e)

Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 4 lundi 26 novembre 2018, 00:41:54

Michaël n’en menait vraiment pas large. Cette étrange fille aux yeux vairons continuait à le troubler. Il avait la gorge sèche, et des frissons partout, ainsi qu’une étonnante et désagréable sensation... Une sensation qui lui rappelait la première fois qu’il avait vraiment été conquis par une femme, la première fois qu’il avait vraiment bandé. C’était la fois où il avait rencontré Amanda, à une autre époque, et à d’autres lieux. À cette époque, Michaël faisait affaire avec Trevor et d’autres membres de leur gang, comme Lester Crest ou Bradley Snider. Ils écumaient alors les différents États du pays en commettant des rapts et des vols. Ils s’étaient reposés à un club de strip-tease merdique avec un bordel au premier étage, et Michaël, une bouteille à la main, avait vu le show d’Amanda. Elle était alors déguisée en une superbe call girl, avec un short rouge moulant et brillant, qui lui donnait l’impression d’une rivière de perles. Tandis qu’elle faisait son show en dansant sur les notes de Boys Don’t Cry, psalmodiant de ses lèvres brillantes « I Wanna Be A Cow-Boy », il l’avait regardé danser, et avait bandé comme un taureau... Encore pire que l’époque où il était quaterback et où il s’était envoyé en l’air dans les vestiaires du gymnase avec Sherry, une pom-pom girl trop belle pour être honnête.

Des bruits de pas amenèrent Michaël à sortir de ses pensées. Revenant à la réalité, il vit une étrange femmeavec de longs cheveux bleus noués en de longues tresses descendre les marches. Elle portait un haut blanc fin, presque transparent, mettant en valeur sa superbe poitrine, et se rapprocha d’Hitsuko. Comme un automate, celui-ci la suivit

« Merde, mais c’est quoi ce merdier ? »

Semblant comme statufié, Michaël avait une respiration lourde et profonde, tandis que la femme se mit à lui tourner autour. Quand elle se glissa dans son dos, il frémit en sentant l’ourlet de ses seins contre son dos, et ses mains glissant sur son torse. Elle souleva d’une main son vêtement, et sentit son corps, musclé, poilu, mais avec un peu trop de graisse. Michaël ne s’entretenait plus comme avant, lui qui passait son temps à boire et à s’avachir dans son salon en regardant des films d’action.

Elle lui parla encore, et Michaël frémit à nouveau, avant de tourner la tête vers elle. Il avait beau avoir 45 ans, et cette gamine avait beau avoir l’âge de sa fille, elle l’excitait furieusement. D’une main, elle glissait sous son vêtement, remontant ainsi, et, de l’autre, se rapprochait de son sexe, qui devenait très serré dans son pantalon. Michaël grommela à nouveau, le souffle court, et réussit à la regarder de nouveau, capté par ses seins et par la forme pulpeuse et agréable de ses lèvres. Les sons s’échappant de sa bouche étaient onctueux, un véritable délice, continuant à perturber Michaël, qui sentait également sa queue caudale glisser sur ses cuisses.

Fugacement, il repensait à toutes ces histoires folkloriques circulant sur cette ville, et dont il n’avait jamais cru.

« Tu... Tu es une sorcière ou quoi... ?! »

Il entendait des soupirs venant d’en-haut, là où Hitoshi était parti. Michaël hésitait alors. Au fond de lui, une voix avait peur, lui soufflant que rien de tout cela n’était normal... Mais, dans son âme, une voix plus forte lui glissait de se laisser aller, de succomber à la tentation...

...Et de baiser cette nana !

DC d’Alice Korvander.

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Illunia

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Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 5 mardi 27 novembre 2018, 08:11:06

Le pauvre homme n'en menait pas large. Il y avait d'abord la découverte d'une splendide femme, une belle succube aux charmes indéniables - moi - et ensuite, ma belle Yuna emmenait son ami. En effet, la belle ESPer venait d'attraper le comparse de cet intrus, l'entraînant dans les escaliers en se dandinant légèrement devant son regard. Ma demoiselle savait se faire désirer, agiter ainsi son popotin devant le regard captivé du dénommé Hitsuko, je ne doutais pas une seule seconde de la suite des évènements pour lui. D'autant plus, il ne faut pas l'oublier, qu'il y avait encore deux autres individus en haut qui allaient bien s'occuper de lui. Je n'ignorais pas que la situation devait lui paraître plus qu'étrange, rien de tout cela ne correspondait à tout ce qu'il connaissait. Je le devinais quand il jura, en demandant ce qu'il se passait. Enfin, le terme exact qu'il avait employé pour désigner la situation actuelle, c'était "merdier". Je ne voyais pas en quoi c'était un "merdier", au contraire. Je tournais doucement autour de lui, comme une douce et dangereuse prédatrice, alors que ma queue caudale s'amusait. Mes mains se baladaient sur son torse, lorsque je m'étais positionnée dans son dos. J'avais, volontairement, laissé mon buste se coller à lui, entièrement, sensuellement, tout en jouant avec son corps. Je le sentais, cette excitation grandissante qui avait fait naître sous son pantalon une belle tension. Et cette tension, sous mes yeux, allait bientôt être servie. Il était venu, apparemment, dans l'espoir de voler des objets de valeur. Mais il ne repartirait avec rien, si ce n'est la possibilité de se soulager un bon coup avec une femme ouverte d'esprit... Et pas que. Je descendais mes mains à hauteur de sa ceinture, sans jamais passer dessous, comme pour le tester, le mettre à l'épreuve.

Tu... Tu es une sorcière ou quoi... ?!

J'esquissais un sourire à ce mot. Il pensait que j'allais lui faire du mal ? Certes, la façon dont ma jolie queue caudale s'enroulait autour de sa cuisse, comme un boa autour d'une proie, cela pouvait effrayer. Mais non, ma queue se montrait caressante, venant de temps en temps glisser contre le pantalon de l'homme avec une envie grandissante. Et puis, la façon dont mes mains découvraient son corps, musclé avec un peu de gras, n'avait rien à voir avec une quelconque envie de lui faire du mal. Les succubes n'étaient pas l'espèce parfaite pour profiter de la luxure sans se lasser ? J'étais très endurante, et cet individu avait attisé en moi une envie de le découvrir entièrement. Alors mes mains, peu à peu, se montraient un peu plus audacieuses. De caresses sur son torse, elles commençaient à glisser sur son pantalon, caressant la belle bosse qui s'y trouvait. Les soupirs de plaisir venant de l'étage semblaient être comme une invitation, celle de s'abandonner au plaisir que je lui proposais, et visiblement son corps n'attendait que ça. Mes mains appuyaient légèrement sur sa bosse, comme pour la tâter, la flatter, la faire patienter avant d'être découverte. Mais chaque chose en son temps, le jeune homme m'avait posé une question. Repassant face à lui, mon corps toujours proche du sien malgré un petit pas en arrière, je secouais la tête. Puis, d'une voix suave et sensuelle, je murmurais :

Non... Les sorcières ne sont pas comme moi. Moi, je suis une succube...

Mes lèvres frôlèrent les siennes, toujours aussi tentatrice. Mes mains continuaient de le caresser au dessus de son pantalon, mais plus pour longtemps...

Michael De Santa

Humain(e)

Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 6 lundi 03 décembre 2018, 01:04:24

Très clairement, Michaël n’en menait pas large. Cette femme était redoutable, et sa présence continuait à le perturber, à le troubler. Qu’est-ce qui se passait ici ? Michaël avait souvent entendu des rumeurs folles sur cette ville, notamment sur le lycée Mishima, qu’on accusait de quantité de choses délirantes. Et là, il avait chaud. Ses vêtements le serraient, et il grommelait doucement sur place, sa queue l’élançant douloureusement. Michaël buvait pour oublier sa frustration, pour accuser le fait qu’il n’arrivait plus à bander avec sa femme. Comme un vieux radeau à la dérive, il se faisait souvent l’esprit d’un individu à la dérive. Et cette femme, cette étrange créature avec sa queue caudale qui s’enroulait autour de sa cuisse... Elle continuait à se déplacer autour de lui, ses mains palpant son corps, descendant de plus en plus, jusqu’à aller sous le nombril. Des doigts fins et gracieux, qui caressaient sa peau, et qui heurtaient la boucle de sa ceinture, s’apprêtant à passer dessous.

« Dieu... » murmura-t-il.

Il avait la gorge sèche, totalement asséchée, et la femme lui indiqua alors qu’elle n’était pas une sorcière, mais une succube. Michaël frémit doucement, persuadé d’avoir été drogué, et prit cela au second degré. Elle s’était postée devant lui, ses seins frottaient son torse, il sentait le souffle de ses lèvres sucrées sur les siennes, un délicieux et irrésistible appel. Michaël trembla encore, frémissant sur place, son regard captant celui de la femme.

« Une succube... »

Diable, elle l’avait l’âge de sa fille ! Mais elle le faisait clairement bander comme un putain de taureau ! Michaël déglutit encore, et se pencha alors vers elle. Ses mains se posèrent presque instinctivement sur le corps de la femme, et ils cella ses lèvres aux siennes, partageant avec elle un délicieux baiser. Son membre en érection l’élançait très douloureusement, et les coups sourds et les gémissements qu’il entendait de cette maison de plaisir ne l’aidaient clairement pas à conserver son calme. Au lieu de ça, il sombrait tout doucement.

Les lèvres de cette femme étaient magnifiques, et chaque seconde passée à l’embrasser était comme un pas supplémentaire dans cette tornade rose de désir qui s’emparait de tout son corps.

Cette fille... Elle avait beau avoir l’âge de sa fille, elle était d’une beauté incroyable ! La logique commençait à se débrancher dans la tête de Michaël, au profit d’une queue de plus en plus grosse, et particulièrement douloureuse !

DC d’Alice Korvander.

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Illunia

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Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 7 mardi 04 décembre 2018, 10:28:42

Dieu...

Son murmure étira mes lèvres roses, alors que mes doigts prenaient leurs marques sur son pantalon. Il était tendu, je le sentais, et je comptais bien l'aider à se sortir de cette situation tellement compliquée... Je suis gentille, n'est-ce-pas ? Mes doigts caressaient sa bosse par dessus son pantalon, dans un mouvement contrôlé à la perfection, et je faisais de légers appuis sur celle-ci. Mes lèvres étaient tellement proches des siennes que je sentais son souffle sur mon visage, il avait une odeur tentante. Ma main se fit plus perverse encore, venant mimer une branlette douce à travers le pantalon qui, indéniablement, devait serrer avec force son membre. Il devait avoir mal, le pauvre... Et moi, je continuais de m'amuser avec lui, frottant mon corps au sien avec une lueur lubrique dans les yeux. J'avais envie de lui, autant qu'il avait envie de moi, mais plus j'attendrais, plus il serait vif pour la suite. Le fait que je sois une succube semblait l'étonner, mais il continuait d'avoir une trique d'enfer. Ce qui m'arrangeait bien, parce que j'avais envie de me faire déglinguer. Mon buste frottait encore et toujours contre son torse, mes tétons se mettant à pointer sévèrement. Cette situation me plaisait énormément, d'autant plus que les bruits de plaisir qui résonnaient dans ma maison ne faisaient qu'en rajouter à l'excitation présente. Ses lèvres se posèrent sur les miennes avec vivacité, et je répondis à son baiser en appuyant encore plus mes mouvements de main. Je profitais de sa bouche, glissant ma langue contre la sienne avec force. J'allais le faire mien, le rendre totalement dingue, il ne pourrait pas sortir d'ici avant d'avoir les couilles totalement vides. Je fis un léger sourire assez carnassier, contre ses lèvres, tout en continuant de faire tourbillonner nos langues dans un échange buccal fortement plaisant.

Mes doigts vinrent finalement s'attaquer à la boucle de sa ceinture. Je commençais à lui défaire, en prenant mon temps. Il ne semblait pas apprécié que je sois aussi lente, mais rien que mon regard trahissait le fait qu'il n'allait pas regretter d'attendre. La boucle de sa ceinture fut rapidement un lointain souvenir, alors que le pantalon tombait sur ses chevilles. La belle succube que j'étais recula lentement, venant poser mes yeux sur la belle bosse proéminente qui, bientôt, viendrait m'écarter de l'intérieur. Ma main se mit alors à lui offrir des caresses bien plus sensuelles, passant sur son caleçon qui, désormais, n'étais plus qu'une petite couche de vêtement séparant sa queue de ma main. Je savais quoi faire, et je comptais bien le faire. Je décollais ma main de son sous-vêtement, avant de me mettre à quatre pattes devant lui. Il se douterait sûrement de la suite des évènements, mais je le laissais se faire des idées. Ma bouche vint se poser sur le tissu, embrassant avec envie le dureté de mon partenaire. Il était bien monté, il avait - il faut bien le dire - une virilité imposante, et j'étais en train de laisser ma langue se balader dessus. Il sentait le sexe, l'envie, le désir, et j'en avais au moins autant envie que lui. Je donnais des coups de langues sur son membre, avant de venir sucer le tissu avec plaisir. Je le mouillais de ma salive, il commençait à lui coller au corps, et je profitais de la situation comme une chienne en chaleur. Mon nez frottait parfois le long de son membre, alors que je continuais d'apposer ma salive tout le long de sa bite. Mon regard ne quittait pas son visage, alors que je me décollais seulement quelques secondes afin de lui murmurer :

Je ne te laisserais pas partir avant de m'avoir donné tout ce que tu as...

Mes doigts vinrent se joindre à la partie. Ils malaxaient, effleuraient, pressaient, massaient, les deux boules de mon amant. Je savais y faire, cette partie était malheureusement souvent oubliée, et je comptais le rendre fou de moi et de mon corps.

Michael De Santa

Humain(e)

Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 8 mardi 11 décembre 2018, 00:58:41

L’état de Michaël ne s’améliorait pas. Cette femme était... Terrible. Une tentatrice qui insufflait en lui des émotions fortes, une sorte de vague incroyable qu’il n’avait pas ressenti depuis... Depuis bien trop longtemps. Là, face à elle, elle le manipulait comme un jouet. Tout ce qu’il avait envie était de la baiser, de la baiser furieusement, mais l’intensité même de ce désir le surprenait. Il n’avait pas ressenti ça depuis des années, et la succube en profitait. Michaël ne croyait pas aux démons, et voyait en cette femme une sorte de sorcière, qui avait peut-être utilisé des produits aphrodisiaques dans son manoir. Qui sait ? Il n’était de toute manière clairement pas en état de réfléchir sainement. Sa queue lui faisait très mal, et, quand la femme retira enfin son pantalon, il put constater combien sa verge avait grossi. Elle déformait son caleçon, et la femme, au lieu de retirer ce sous-vêtement, s’amusa à le masturber à travers son caleçon.

« Hmmm... »

Soupirant encore, Michaël ne pouvait que la laisser faire, contraint et forcé, jusqu’à ce que quelque chose ne se débloque en lui. Elle était là, cette femme, agenouillée devant lui, lui rappelant ce que sa propre femme ne lui faisait plus depuis longtemps, et qu’il aimait bien... Une fellation. Une sorte de fantasme typiquement masculin qui était en train de s’exprimer en ce moment. Soupirant lourdement, il comprenait que cette femme cherchait à le frustrer, à le faire sortir de ses gonds... Et elle y arrivait !

Les mains de Michaël se crispèrent brusquement sur les cheveux rosâtres de la femme, et il grogna alors, puis tira sur son caleçon, libérant enfin sa queue. Son sexe était bien tendu, prêt à craquer. Michaël s’était en réalité rarement retrouvé dans une telle situation, avec une telle trique entre les cuisses. Son membre l’élançait douloureusement, et il sentait contre son sexe le souffle des lèvres de la jeune femme. Michaël l’observa donc, et posa sa main sur son sexe, grondant sur place, avant de l’approcher du visage de la femme.

Sa queue heurta son nez, puis descendit encore, se rapprochant de ses lèvres.

« Prends ma queue en bouche, ma belle... Suce-moi ! »

Qu’elle le veuille ou non, il guidait de lui-même son membre turgescent, afin qu’elle puisse s’occuper de son vit endolori et assoiffé.

DC d’Alice Korvander.

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Illunia

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Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 9 mardi 11 décembre 2018, 15:27:09

Hmmm...

Je savais que mes actes le rendaient fou. Ma bouche se baladant sur son caleçon, ma bave dégoulinant sur son membre dur encore caché par un tissu qui collait de plus en plus à sa peau, tout cela devait le rendre dingue. Je le frustrais, même s'il allait pouvoir profiter pleinement de la suite quand j'aurais libérée son épée de chaire de ce fichu tissu qui la bloquait. Ma langue jouait avec son membre, elle le caressait avec avidité malgré la séparation qui n'allait bientôt plus être qu'un lointain souvenir. Mais pour l'heure, je comptais lui donner envie au maximum, quitte à m'arrêter juste avant qu'il ne se lâche dans son caleçon. Ses mains se crispèrent dans mes cheveux, alors que je continuais de m'amuser. Il m'éloigna de son membre, et je fis une petite moue déçue. Rien de tel que de lui faire penser que j'avais besoin de le lécher, de m'amuser avec son gros membre, pour augmenter son envie de me culbuter dans toute la baraque. Mais non, quand son mouvement pour supprimer son caleçon dévoila une trique impressionnante, je sus que j'avais bien fait mon travail. Il était tendu, et il n'attendait qu'une seule chose : que je le libère de sa dureté qui devait lui faire mal. Et, à en voir son regard, il était lui-même surprit de cette grosseur. Je n'étais qu'à quelques centimètres de sa queue, mon souffle glissait tranquillement sur son membre, le couvrant d'une chaleur sensuelle. Ses yeux croisèrent les miens, et je lui lançais une oeillade tentatrice. Allait-il céder à cette tentation luxureuse que je lui proposais ? Sa main se posa sur son sexe, alors qu'il en grognait de plaisir. Mes lèvres étaient humides, brillantes, et elles étaient prêtes à accueillir son sexe entre elles. Il l'approcha de moi, de mon visage, et je posais mes yeux dessus avant qu'il ne prenne la parole :
Michaël l’observa donc, et posa sa main sur son sexe, grondant sur place, avant de l’approcher du visage de la femme.

Prends ma queue en bouche, ma belle... Suce-moi !

Je souris doucement, abrégeant ses souffrances en prenant rapidement son membre dans ma bouche. Il était imposant, chaud, palpitant, et j'adorais sentir une telle dureté entre mes lèvres. Mes doigts continuaient de s'amuser avec ses boules, alors que je faisais de lents vas-et-viens pour prendre en partie son membre dans ma bouche. Mes yeux ne le quittaient pas, je m'amusais de ses réactions qui me ravissaient. Je faisais attention à épouser chaque forme de sa queue avec ma langue, prenant garde à ne pas le mordre. Et, finalement, je fis un profond mouvement pour emmener son gland frapper doucement le fond de mon gosier. Une première gorge profonde, qui s'ensuivit de plusieurs autres, lentes mais délicieuses. Ma bouche entière était remplie par cette délicieuse verge. Si chaude, si dure, j'allais bientôt pouvoir sentir son jus couler dans ma bouche, l'avaler avec plaisir, et surtout pouvoir la sentir dans d'autres endroits, cette grosse bite.

Qu’elle le veuille ou non, il guidait de lui-même son membre turgescent, afin qu’elle puisse s’occuper de son vit endolori et assoiffé.

Michael De Santa

Humain(e)

Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 10 lundi 17 décembre 2018, 00:41:35

Encore une fois, il se fit la comparaison qu’elle avait l’âge de sa propre fille... Mais il était alors dans l’incapacité de penser à quoi que ce soit d’autre qu’elle. Cette femme avait ôté toute autre pensée de son esprit, lui donnant l’impression d’être dans une parodie de film pornographique. C’était pourtant bine ce qui se passait. Il avait débarqué ici par effraction, et, au lieu d’appeler la police, la séduisante et célibataire propriétaire des lieux, châtelaine moderne délaissée, s’offrait à lui. Avec son membre tendu, son vit turgescent et assoiffé, l’ancien bandit était dans une situation délicate, difficile, car il n’arrivait tout simplement plus à se contrôler, à se retenir, ou à rester calme. Cette femme le rendait fou, elle hantait ses pensées, faisait dériver son esprit, et le mettait aux abois. Il succombait donc avec délice aux invitations de la jeune femme, serrant ses doigts sur sa soyeuse chevelure, et ne tarda guère à imposer son rythme.

« Hmmm... Là, oui... ! »

Michaël avait toujours été un brin autoritaire. Il y avait en lui une profonde violence, une rage insoupçonnée qui venait de son enfance. Il avait eu une enfance difficile, régulièrement battu par un père alcoolique, avec une mère soumise et écrasée qui acceptait toujours les exactions de son père. Cette enfance redoutable avait marqué Michaël, et, en matière sexuelle, bien qu’il n’ait jamais battu ses amantes, il devenait assez souvent très brutal, un véritable mâle préhistorique, comme s’il se vengeait inconsciemment de toutes les fois où sa mère n’avait pas été à la hauteur. Et, en le titillant comme ça, Illunia avait réveillé chez Michaël cette soif ancestrale. Une pulsion qui explosait en ce moment, le faisant grogner sur place.

D’ailleurs, Illunia ne tarda pas à enchaîner sur une gorge profonde, qui le fit se pincer les lèvres. Il serra ses doigts sur ses cheveux, et, quand la femme commença à retirer ses lèvres, il la poursuivit, enfonçant sa queue d’un coup sec. Il resta là, maintenant la pression, puis recula encore, et réitéra, donnant de multiples coups de reins, cherchant à maintenir sa queue en elle, afin de savourer pleinement la bouche de la jeune femme.

« Là, Illunia, ouais... »

Damn, que c’était bon ! Et, sans le réaliser, mais avec délice, Michaël s’enfonçait peu à peu dans le stupre, dans les vices infinies, avec un plaisir sans cesse renouvelé.

DC d’Alice Korvander.

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Illunia

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Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 11 mardi 15 janvier 2019, 12:29:14

Hmmm... Là, oui... !

Ma bouche était un endroit tellement délicieux pour lui, je sentais son envie continuer de croître. Il se plaisait entre mes lèvres, et je faisais tout pour qu'il se sente à l'aise. Ma bouche, douce et tendre, glissait sur son membre viril avec un plaisir qui se voyait par les gorges profondes que je faisais. Le sentir en moi, même si ce n'était que par la bouche, me donnait déjà envie de connaître la suite de mes aventures. Je le suçais avec ferveur, j'y mettais tout mon coeur, venant même laisser ma langue traîner sur son vit. Ses doigts agrippèrent mes cheveux, les serrant avec délice tandis qu'il profitait de ce cadeau buccal que je lui faisais. Je sentais son gland, si chaud et humide, venir buter au fond de mon gosier avec une envie débordante. Je continuais aussi de masser ses bourses, avec des mouvements de doigts lents, mesurés à la perfection, attendant qu'il s'abandonne totalement à moi. Il gémissait, il avait envie de moi, et cela ne fit qu'accroître mon désir. De la cyprine coulait le long de mes cuisses, signifiant clairement que ma chatte n'attendait qu'à être ouverte et bien baisée. Je retirais légèrement mes lèvres, comme pour le défier de revenir, ce qu'il fit rapidement en enfonçant sa bite toute dure jusqu'au fond de ma gorge. Il s'immobilisa, profitant du confort que je pouvais lui offrir, et je me mis à laisser ma langue le caresser comme elle pouvait. Puis il recula, avant d'y revenir avec toujours autant de force et de vigueur. Oh, un mâle qui avait l'air de vouloir faire sa loi et prendre les choses en main... Parfait, j'adorais qu'on s'occupe de moi. Alors, forcément, le fait qu'il vienne imposer son rythme dans ma bouche n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Et ses râles de plaisir éveillaient en moi une envie de lui offrir encore plus qu'une simple gâterie :

Là, Illunia, ouais...

Je me soumettais à lui, je le laissais prendre ses aises dans mon bec, mais cela ne dura pas bien longtemps. J'avais envie de lui offrir bien plus, et il allait vite le comprendre. Je relâchais alors son membre, une lueur prédatrice dans le regard, avant de le pousser jusqu'au canapé. Bien rapidement, mon corset tomba au sol. Il dévoila une poitrine bien ronde, assez grosse pour la suite des évènements, avec mes tétons qui pointaient furieusement. Je me mis à quatre pattes devant lui, avant de glisser son membre entre mes seins avec délice. Il était brûlant, dur et j'avais pour projet de lui faire comprendre qu'il pouvait se laisser aller, et qu'il n'était pas prêt de sortir d'ici. Mes mains pressèrent ma poitrine autour de son sexe, ma bouche se déposa sur son gland sensible, et je commençais à masser sa queue avec ma poitrine. J'étais assurée dans mes gestes, certaine que tout allait se passer pour le mieux pour mon amant. Il allait ressortir d'ici avec une seule envie : revenir rapidement. J'allais en faire un amant régulier, sans doute, et quelque chose me disait que je pourrais m'amuser avec lui un bon moment. Mais pour l'instant, on en était qu'aux prémices de notre relation sexuelle. Parce que c'était juste ça, une bonne baise et ensuite tchao jusqu'à la prochaine fois. Enfin, ne pensons pas à ça. Ma bouche aspirait son gland, ma poitrine caressait son sexe, et les cris au dessus de nous trahissaient ce qui allait se passer. Oh oui, on allait bien s'amuser...

Michael De Santa

Humain(e)

Re : Cambriolage [Illunia]

Réponse 12 lundi 21 janvier 2019, 01:16:50

Dans un coin de sa tête, Michaël était vaguement en train de se dire que quelque chose n’allait pas. Que tout ça était... Irréel. Ce manoir hanté, cette femme d’une beauté incroyable qui lui faisait spontanément l’amour... Oui, tout ça puait méchamment, mais il était incapable de lutter. Elle tapait dans le vif, là où ça faisait mal. Michaël était quelqu’un de très frustré, contenant sa colère, sa frustration, notamment à l’égard de sa femme, Amanda, qui le trompait régulièrement (ce dont il était intimement convaincu, et était une source de colère supplémentaire). L’homme ne pouvait pas tenir devant les talents de cette femme, devant sa belle bouche sur son sexe, et avait donc pris les choses en main, accélérant en elle, grognant sur place, sentant toute cette frustration remonter, atteignant un point de crispation. Sa queue devenait un membre tendu, un muscle rougeâtre et sanguinolent qui lui donnait l’impression d’être en fusion dans la bouche de cette femme.

Il grognait encore, prenant ses aises, son rythme... Quand, subitement, elle le repoussa, témoignant d’une puissance qu’il n’aurait jamais cru capable. Surpris, Michaël se retrouva étalé au milieu du canapé, sa queue bien tendue, douloureuse, recouverte de salive, avec l’envie furieuse, lancinante, de bondir de nouveau vers elle. Au lieu de ça, il la vit retirer rapidement, et sensuellement, son corset, dévoilant un corps hypnotique, aux formes parfaites, avec une peau très douce, qui donnait envie de la lécher et de l’embrasser partout. Aucun défaut, aucune imperfection, il ne voyait là qu’un corps aux formes parfaites, un véritable diamant de chair !

*Putain !*

Elle se rapprocha alors, et souleva ses lourds seins, puis enserra sa trique autour de ses mamelons, avant de le masturber. Michaël grogna à nouveau, et ferma les yeux, s’écrasant contre le dossier du canapé. Il était comme un damné en train de succomber, incapable de lutter contre cette femme, incapable d’avoir même envie de lutter. Comment lutter contre ça ? Contre elle ?

« Hmmm, bordel... »

Il ferma les yeux, ses mains se crispant sur les cheveux de la femme, de sa mystérieuse et belle hôte.

« Bon Dieu de putain de bordel, hmmm... !! »

À ce rythme-là, il n’allait pas tarder à jouir, et il se relâcherait en plein sur elle !

DC d’Alice Korvander.

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