L'Iliade de Nexus [Nümba]

Pour autant qu’elle s’en souvienne, la druidesse n’avait jamais été une grande coucheuse. Mais cela ne l’avait jamais empêché d’apprécier le corps d’une femme, la douceur et les formes de celui-ci. Comme en ce moment avec Diana. Elle peinait encore à réaliser qu’une femme comme elle, avec autant de prestige, était venue à lui accorder ses faveurs. Mais les choses s’étaient faites ainsi et la guérisseuse n’allait guère s’en plaindre ; voire tout le contraire. Nümba haletait tendrement, laissant échapper des soupirs délicats d’entre ses lèvres à mesure que l’Amazone s’occupait de sa généreuse poitrine. Elle sentait toute l’expertise et le savoir-faire de cette femme ... On ne pouvait pas dire que ça ne faisait pas effet !

La druidesse était toute excitée par ces gestes et ces attentions, à un tel point que sa poitrine commençait doucement à lui faire mal. Mais Diana n’allait pas s’arrêter en si bon chemin et, après un bon moment à attiser le feu du désir chez son amante, se décida à descendre plus en bas. Chaque baiser qu’elle déposa sur la soyeuse peau de Nümba fut comme une marque ardente et brûlante pour elle, la poussant toujours plus dans son extase. « Haaa ... ! » Gémissait-elle de sa voix suave, empoignant tendrement la luxuriante chevelure de la princesse Amazone, alors que celle-ci s’attarda sur son ventre et son nombril.  Puis elle descendit encore, déterminée à offrir à Nümba un moment exceptionnel, un moment de pur délice en sa charmante compagnie.

Cependant, l’Amazone constata rapidement que Nümba n’était pas épilée par ici. Ce n’était pas tant une question d’habitude mais plutôt une question qu’elle n’avait jamais songé à faire cela. S’épiler ici allait-il réellement être plus agréable ? De cela elle n’en savait vraiment rien mais, elle laisserait faire Diana avec grand plaisir. Néanmoins elle fit vite fait de faufiler sa langue et ses lèvres entre ses cuisses, arrachant ainsi de nouveaux et onctueux gémissements à Nümba. Son sexe s’excita et provoqua en elle de multiples frissons, de multiples sensations exquises qui la firent couiner plus fortement. Le désir se voyait sur son visage ; il se déformait délicieusement face au traitement royal que lui infligeait Diana, et ça n’allait qu’en se renforçant. Sa main se serra un peu plus dans ses cheveux, incitant son amante à la lécher encore plus, à s’immiscer en elle ... A la délivrer.

Nümba était indéniablement une très belle femme. Et ça, Diana était loin d’y être insensible. Venant d’une nation peuplée uniquement de femmes, l’homosexualité avait toujours été la norme pour Diana. Elle n’en dédaignait pas pour autant les hommes, comme en prouvait les romances qu’elle avait eu avec Steve Trevor, avec Superman ou avec Batman, mais n’avait jamais renoncé à ses premiers amours. Et là, le beau corps à la peau sombre de Nümba, aux formes généreuses, était tout simplement impossible à louper. En fait, Diana s’en serait même voulue de ne pas l’avoir honoré ici, et elle avait donc fini entre ses cuisses.

À Themiscyra, les femmes s’épilaient. Le fait que des femmes laissent pousser une toison de poils la surprenait donc, mais, si elle en faisait la remarque, c’était uniquement par amusement. Si Diana était surprise, c’était dans le bon sens du terme. Elle observait le superbe corps de son amante, qui écarta légèrement les jambes, laissant ainsi à la langue de Diana l’occasiond e filer en elle. Son appendice lingual explora la zone sensible, léchant les poils pubiens, puis filant à l’intérieur, rappelant à Diana d’exquises sensations, qui étaient bien trop lointaines à son goût.

« Il y a tellement longtemps que je n’avais pas goûté à un corps comme le tien, Nümba... » soupira-t-elle.

Elle déposa ensuite plusieurs baisers sur son sexe, puis recommença à donner des coups de langue, caressant les cuisses de sa femme avec ses mains. Diana s’appliquait, consciencieusement, bien décidée à offrir à Nümba le plaisir que la druidesse méritait. Elle savait que Nümba était une bonne personne, proche de la Reine, dévouée à ses devoirs et à ses obligations. Si Nümba se sentait honorée de coucher avec Diana, l’inverse était tout aussi vrai. Yeux clos, la femme s’appliquait, et frémit en sentant la mouille de la femme éclater contre ses lèvres. Elle continuait à titiller son bourgeon, sa langue atteignant son clitoris, heurtant et stimulant son bouton d’amour.

Avec ses mains, Diana caressait les cuisses de Nümba, pinçant délicatement sa chair, sachant combien, dans cette zone, plaisir et douleur étaient, non seulement intimement liés, mais complémentaires. Diana s’appliquait donc avec énergie, se régalant de cette mouille, de la cyprine qui filait entre ses lèvres. Yeux clos, elle s’appliquait, et déplaça ensuite sa main, accompagnant ses lèvres de mouvements digitaux, un doigt s’enfonçant dans l’intimité de la femme.

*Là, là, oui, c’est si bon... Toi aussi, tu aimes ça, Nümba, hein ? Laisse le plaisir se diffuser en toi, ma belle...*

Wonder Woman lui faisait l’amour, et elle comptait bien rendre cette séance exceptionnelle !

Les mots de Diana trouvèrent écho en Nümba. Depuis un fort long moment, elle n’avait également eu l’occasion de profiter d’un corps féminin. On pouvait dire ce que l’on voulait, être proche de la reine de Nexus ne signifiait pas grand-chose d’un point de vue sexuel. C’était d’ailleurs quelque chose qu’elle tenait à cœur ; maintenir une certaine relation avec Elena, ou en d’autres termes, éviter de succomber au désir qu’elle éprouvait envers elle. Car il ne fallait pas qu’elle se leurre ... Elena était très belle, douce et agréable, de telle sorte qu’elle pouvait faire fondre la druidesse en un battement de cil si elle le désirait.

C’était donc d’autant plus dur pour Nümba de résister à l’envie de lui faire des câlins, ou simplement, lui suggérer de se détendre entre ses bras et ses mains. De ce fait, elle accumulait parfois un peu de frustration et c’était justement cette accumulation qu’elle était en train de faire sortir grâce à Diana. Les deux femmes se faisaient chaudement l’amour, avec l’amazone en train de cueillir la fine fleur féminine de la druidesse, qui succombait, qui couinait et gémissait dans tous les sens face à de telles attentions.

Son sexe était en feu, il lui envoyait des milliers de stimulus qui la détendait et la crispait à la fois. Une merveilleuse sensation de bien-être et de délivrance sexuelle s’empara d’elle à mesure que sa voix s’élançait de plus en plus fortement. Elle pressait le visage de Diana de plus en plus contre elle, incitant sa langue à s’enfoncer davantage, encore et encore. Son visage se tordait sous le plaisir incessant que lui offrait son amante exceptionnelle, de même que son corps qui se tortillait farouchement tellement les sensations étaient intenses.

Mais finalement, voilà que la druidesse atteignit son point d’orgue et ne put contenir davantage ses pulsions. Nümba écarquilla ses yeux au moment où l’orgasme arriva, d’un seul coup. Sa voix s’élança et elle se crispa encore plus, sa mouille partant inonder le doux faciès de Wonder Woman, alors qu’elle perdait pied avec la réalité pour de nombreuses minutes. Un très bel orgasme, très riche en sensation que peu de fois elle avait éprouvé dans sa vie ... Diana était donc réellement à la hauteur de sa réputation !

Diana aurait presque pu oublier le goût que ça avait. Le fait d’embrasser le corps d’une femme, de la sentir contre soi, de la presser, de la pincer, de la lécher, de s’y plonger pleinement… C’était un goût exquis, unique en son genre, et absolument délicieux. L’Amazone adorait ce contact, et elle léchait avec un plaisir infini la fleur intime de Nümba. Le plaisir éclatait en elle, une joie indicible et profonde qui la transportait au fur et à mesure qu’elle léchait l’intimité de la druidesse. Cette dernière se tortillait contre elle, esquissant de multiples soupirs, des gémissements… C’était un véritable ensemble de sensations exquises. Sa mouille, ce corps se pressant au sien, la saine chaleur qui remontait dans ses entrailles, mais aussi les doigts de Nümba se crispant sur ses cheveux, ses couinements, ses soupirs, tout ce plaisir qui éclatait en elle, dans le corps de sa magnifique amante à la peau sombre. Nümba ne pouvait pas lutter, tout comme Diana. Elles étaient toutes les deux prises dans un élan de désir, dans une vague délicieusement irrépressible, et Diana comptait bien lui faire atteindre le paroxysme du plaisir.

« Hmmm… »

Objectif accompli ! Diana avait accompagné ses mouvements buccaux de ses doigts, les enfonçant dans l’intimité de la femme. Elle pinçait son clitoris, titillait son bouton de plaisir, continuait à l’exciter, jusqu’à lui faire attendre le plaisir suprême. L’orgasme éclata dans le corps de Nümba, se déversant entre ses cuisses. Diana l’accompagna avec plaisir, avalant sa mouille, et se redressa ensuite. La tension qu’elle avait senti dans le corps de Nümba avait diminué, et l’Amazone, la bouche pleine de mouille, partagea avec la druidesse un baiser des plus humides.

Sa langue s’enfonça entre les tendres lèvres de Nümba, et elle remua avec elle, harmonieusement, frottant doucement son corps contre le sien, s’unissant à elle. Leurs cuisses se caressaient, leurs corps se lovaient l’un contre l’autre. Yeux clos, Diana savourait pleinement ce moment, cet échange, l’impression de retrouver sa féminité, de pouvoir de nouveau toucher du bout des doigts et de sa langue des monts magnifiques. Un plaisir intense qui s’exprimait en elle, qui se diffusait dans tout son corps, lui rappelant les plaisirs passés.

« Oh, Nümba… »

Visage accolé contre le sien, les yeux de Diana pétillaient de Bonheur, et elle lui sourit joyeusement, avant de l’embrasser encore, brièvement, puis resta lovée contre elle.

« Fais-moi l’amour, ma chérie…Occupe-toi de moi ! »

Une druidesse et une princesse amazone, ensemble dans le même lit. L’une n’était qu’une modeste guérisseuse travaillant pour une noble reine, et l’autre une puissante princesse, une amazone, une héroïne connue par bien de monde. Il s’agissait là de deux mondes bien différents et pourtant, voilà qu’elles étaient là, ensembles, lovées l’une contre l’autre, à se faire l’amour. Il n’avait suffi que d’une seule escapade il y a quelques temps pour que les deux femmes se rapprochent. Une aventure quelque peu sombre pour Nümba, qui depuis lors avait en elle quelque chose de profondément apeurant et dangereux. Mais cette chose était au fond ce qui lui avait permis de rencontrer Diana ... Et pour rien au monde elle ne voudrait changer cela.

Ainsi donc, la voilà qu’elle était dans les bras de Diana. Elle venait de jouir après que la princesse amazone lui ait fait part de toute son expertise en la matière. Mais était-ce fini ? Loin de là. Les deux femmes se lovèrent l’une contre l’autre, s’embrassèrent ci et là avant de sceller leurs lèvres ensembles en un baiser chaleureux et fusionnel. Nûmba frottait doucement ses cuisses contre celles de Diana, remontant puis redescendant lentement ses mollets afin de les faire caresser contre ceux de Diana. Peau contre peau, les sensations étaient très plaisantes et agréables ... Surtout avec une peau comme celle de Nümba, qui était aussi douce et lisse que la soie et la porcelaine.

Néanmoins Diana finit par exprimer la suite selon elle. C’était à présent au tour de Nümba de s’occuper d’elle ! La druidesse lui sourit puis retourna l’embrasser une énième fois, avant de basculer pour inverser les positions. Sans un mot, juste avec des gestes, Nümba passait à l’acte. Elle avait effectivement très envie de s’occuper de l’amazone, surtout après ce qu’elle venait de lui faire. Ainsi donc elle se pencha contre elle puis vint arroser son cou de multiple baisers ardents, ses lèvres généreuses appuyant sensuellement contre la finesse de sa peau. Ensuite, elle commença à décaler son visage de plus en plus vers le bas, finissant bien assez tôt devant le buste de la princesse.

Cette belle poitrine allait être le premier élément dont elle allait s’occuper ! Elle en sentait toute la tension rien qu’au toucher. La druidesse approcha ses lèvres puis les déposa fièrement sur le premier mamelon, jouant doucement de sa langue pour venir provoquer cette petite pointe rosée située en dessous. Profitant que ses mains étaient libres, elle en glissa une lentement le long du corps parfait de Diana, caressant tendrement sa peau, ressentant chaque centimètre sous sa paume tout en ressentant tous les frissons associés. Cette main au teint sombre contrastait merveilleusement avec la blancheur de Diana, mais cela ne l’empêcha guère de venir se perdre entre ses cuisses ; en effet, la druidesse avait décidé de venir apporter davantage de plaisir à son amante. Ses fins doigts commencèrent à jouer autour de sa perle féminine, pressant très sensiblement par son pouce, avant de descendre encore un peu pour dessiner les contours de sa fleur féminine de son index et son majeur.

« Hmm, Diana ... » Murmura Nümba du bout de ses généreuses lèvres, tout en continuant de gratifier la poitrine de son amante de multiples baisers et caresses buccales.

Ensemble, les deux beautés n’en avaient pas encore terminé entre elles. C’était même tout le contraire ! Diana espérait encore avoir longuement l’occasion de profiter de sa belle druidesse, et, inversement, Nümba comptait bien continuer à savourer le corps de Diana. L’Amazone se coucha donc sur le lit, et laissa donc Nümba agir, curieuse de voir de quoi la druidesse était capable. Celle-ci se rapprocha alors, relevant l’invitation, et observa le corps nu de Diana. L’une à la peau blanche, l’autre à la peau sombre... Deux contraires, physiquement parlant, et Diana ne pouvait s’empêcher de trouver Nümba extrêmement belle. Bien formée, bien proportionnée, et cette peau sombre lui donnait un charme presque hypnotique...

« Oh, Nümba... »

Puis la druidesse se pencha vers elle, et s’attaqua rapidement à sa poitrine. Ses mains appuyèrent sur ses seins, venant les malaxer fermement, avant d’approcher sa bouche. Ce contact arracha à Diana un délicieux soupir, ses yeux se fermant pendant quelques secondes sous le contact des lèvres de la femme. Joueuse, et non moins énergique, Nümba n’hésita pas à mordiller le sein de l’Amazone, arrachant à cette dernière un nouveau soupir. La femme se tortilla sur place, savourant le contact de son amante, ses délicieux attouchements. La chaleur montait en elle, ainsi que le désir, et elle écarta doucement les jambes en sentant les délicats doigts de Nümba descendre le long de son corps.

Visiblement, la druidesse était très talentueuse, et très soucieuse d’offrir à Diana un plaisir infini. Ses doigts s’enfoncèrent ainsi entre ses cuisses, et elle commença à la masturber. Diana se mit à gémir, soupirant longuement, se tortillant sur place, ses jambes creusant des sillons dans le lit. Sa main se serra sur les cheveux de Nümba, et elle gémit une nouvelle fois, fermant les yeux, le plaisir déferlant entre ses cuisses. Nümba put ainsi sentir, contre ses doigts, une humidité pointer, la cyprine de Diana, qui suintait doucement de ses cuisses.

« Hmmmm... Haaaa, ma chérie, ouii... »

Elle gémit encore, ne cherchant pas à retenir son plaisir, ni ses soupirs, laissant au contraire le plaisir se déverser en elle...

Quand on avait le privilège d’être aussi proche et aussi intime avec une personne aussi importante, on ne pouvait s’empêcher de se donner à fond. C’était trivial. Diana pouvait penser ne pas être à la hauteur de cette description mais Nümba avait pourtant une longue et belle liste d’exploits à son nom. Wonder-Woman était une héroïne connue de toutes et de tous, aux exploits innombrables. Elle était pour beaucoup une figure emblématique du courage et des bonnes valeurs. Une guerrière, une Amazone. La druidesse n’avait clairement pas le profil d’une guerrière mais avait une âme pure, sensible aux valeurs que véhiculait Diana.

Autrement dit elle était extrêmement honorée de faire l’amour à cette femme. Plus encore, elle en était impressionnée et se donnait par conséquent à fond pour être à la hauteur. C’était la raison principale à son excitation et à sa motivation, outre le fait que Diana elle-même était une partenaire de grande qualité, qui savait comment attiser le feu du désir. Nümba continuait d’embrasser lentement, avec soin et attention, sa doucereuse poitrine tout en poursuivant ses malignes attentions plus en bas. Ses doigts papillonnaient contre son sexe et elle finit par sentir cette douce chaleur et cette humidité qu’elle reconnaissait tant.

Un simple sourire aux lèvres de la druidesse suffisait à indiquer son état de satisfaction ; elle était fière d’arracher tous ces soupirs et ces sensations à son amante. Sa langue jouait de ses généreux seins, filant dessus avec lenteur certes, mais aussi avec un soin et une sensualité inégalée, qui rendait la scène bien plus sulfureuse qu’elle ne l’était auparavant. Ainsi, pendant de longues minutes elle s’affaira à honorer le buste de son amante avant de se mettre à descendre. Ses lèvres piquèrent la peau de l’Amazone et le contraste de teinte entre celle-ci et la sienne était toujours très saisissant et agréable à voir. Deux femmes, deux amantes, l’une venant du bout du monde de l’autre et pourtant, réunies ici pour se faire l’amour de la manière la plus sulfureuse et langoureuse qu’il soit.

Le visage de Nümba se retrouva bien vite entre les puissantes cuisses de Diana, qu’elle couvrit d’ailleurs de baisers avant de finalement venir embrasser avec révérence son sexe. « Hmm ... » Gémit-elle lentement, se mettant à lécher la fine féminité de Diana. Si son pouce continua de masser et cajoler son bourgeon de femme, sa langue remplaça sa main et se faufila dès lors dans son intime fente. Avec cette même et persistante sensualité, Nümba remuait sa langue et son pouce en concert, commençant ainsi à réellement faire sentir à Diana toute la portée de son savoir-faire ... Et qui avec un peu de chance, lui procurerait l’orgasme tant désiré.

Diana se tortilla doucement sur le lit, sentant la langue de Nümba venir à l’assaut. Talentueuse, la druidesse était bien décidée à offrir à l’Amazone un sacré plaisir, un délicieux rodéo de sexe. Elle léchait son intimité avec envie, et Diana, elle, se laissait joyeusement aller. L’Amazone gémit encore, se tortillant sur le lit, frottant ses jambes sur les draps, laissant Nümba alterner entre sa langue et son doigt, explorant la délicieuse féminité de la femme. Son sexe était trempé, et elle soupirait doucement, se pinçant les lèvres en gémissant encore. Elle se tortillait donc, sentant le plaisir affluer en elle, se diluant dans son organisme, remontant de son intimité pour se diffuser dans le reste de son corps.

« Nü-Nümba, haaaa... »

La jeune Princesse amazone se laissait peu à peu aller. Oui, la druidesse était douée, très douée de sa langue, une virtuose de ses doigts, une orfèvre du sexe ! La manière qu’elle avait de doucement faire basculer Diana, de la précipiter vers les portes du désir... Tout ça laissait la jeune femme pantoise ! Elle en avait les joues rouges, continuant à se tortiller sur place, à gémir encore, les minutes défilant au gré des coups de langue de l’insatiable Nümba. Nerveusement, la main de Diana alla se saisir des cheveux de la druidesse, et elle s’y crispa, gémissant une nouvelle fois, continuant à mouiller, encore et encore...

...Jusqu’à approcher du point de rupture. Elle se pinça encore les lèvres, tentant de retenir cette vague autant que possible... Puis son corps tout entier se crispa sur place. Elle se détendit alors brusquement, et sa mouille jaillit brusquement, tandis que sa tête partait vers l’arrière, son corps se creusant dans le lit.

« Nu-NÜMBA !! » hurla Diana.

L’orgasme la traversa, foudroyant, délicieux, jouissif. Elle s’affaissa au milieu du lit, un sourire ravi et épanoui sur les lèvres. L’orgasme... Un sentiment névralgique, euphorique, un sentiment de relâchement total, d’épanouissement, de... De liberté absolue ! Elle esquissait un léger sourire rêveur, évasif, tout en respirant lentement, calme et détendue, heureuse et apaisée.

« Nümba... » susurra-t-elle encore, comblée.