Découverte d'un nouveau genre d'esclave (PV : le couple Warren \o/ )

   Ashnard, capital de l'empire du même nom, si vaste qu'on peut retrouver dans ses marchés aux esclaves, toutes sorte d'espèce, des plus communes au plus exotiques. Ce fut dans le plus importants, celui au centre du quartier marchant, que ce tenait un étrange événement. Un étal issus d'une société assez réputé pour ses esclaves déjà éduquer et former et de bonne qualité, était vide, un fait rare, tout étal de marchant confondue, avec des affiches disant : Une néko comme vous n'en avez jamais vue, ici à 10h ! Ainsi que des tracts distribuer pour appâter les clients, et ça depuis quelque jour, vantant le fait qu'aucune esclave lui ressembler, exceptionnelle et en rien comparable, une néko d'un nouveau genre. Les rumeurs allées de bon train, alimentés et encouragés par des membres de la société se glissant parmi la foule. On parlait d'une néko venant d'un autre continent ou capable de faire jouir d'une coup de langue ou encore venant d'un plan parallèle pour les plus imaginatif. Les discussions aller de bon train, certain n'y croyaient pas, pensant à une mascarade pour créer un engouement pour un simple Néko, d'autre très intéresser et curieux ou beaucoup n'y si intéressant pas, préférant une autre race, beaucoup mais minoritaire, car les nékos fessaient toujours l'unanimité.

   Dans une tente, assez large pour contenir une trentaine de personne, derrière ce même étal, plusieurs personnalités, les plus importantes de la société et quelque intervenant extérieur ayant participer au projet, appréhender le moment fatidique.

-Le moment de vérité arrive enfin. Annonça le responsable de dressage des esclaves domestiques.
-J'espère que tout cet argent et ce temps aura servit à quelque chose. Clamât le trésorier.
-Les pertes ont put être compenser, et nous avons prévue plusieurs plans de secours si nous venions à perdre la face. Mais cela reste à titre expérimentation ne l'oublier pas ! On ne pourra pas nous reprocher d'avoir voulue offrir une nouvelle forme d'esclave ! Ce n'est qu'une tentative, on n'a pas lancer la production en masse, le retours et les pertes possibles seront minime. Gronda le président. Et nous pourrons sans doute ouvrir un nouveau marché si les retours sont satisfaisant ! Imaginez les gains !
-Mon cher, je loue votre optimisme. Mais si cela venait à déplaire aux clients, notre société sera entacher et nous pourrions perdre des clients, peut être même des fournisseurs. Lui répondit le responsable de la communication.
-Et moi je déplore votre pessimisme. Rétorqua le président.
-De toute façon il est trop tard maintenant pour penser aux contres coups, on à eu le loisir d'en discuter maints et maints fois ! Clamât un des alchimiste ayant participer au projet.
-Oui, il est bientôt l'heure en plus. George en piste ! Allez faire votre discours de séduction, capter l'attention ! Clamât le président.

   Le dénommer George quitta la tente, tandis que le président alla voir leur réussite, suivit de quelque autres. Il alla vers le fond de la grande tente. Oliana, était assise tranquillement sur un lit, sifflotant gaiement, aucune chaîne la retenant et dans aucune cage, soulevant un poids imposant, et complétement nue. Elle se redressa à la vue du président, laissant tomber son poids, ne l'ayant pas vue depuis longtemps, agitant sa queue, la caudale, avant d'aller le prendre dans ses bras et de lui faire un câlin, une étreinte musclé, mais assez peu douloureuse, frottant sa joue contre la sienne, et la lui léchant, ses jambes frottant son imposante virilité.

-Mmraaww~
-Mais oui, moi aussi je suis content de te revoir... c'est un bon chat ça hein ! S’exclama le président. Aller repose moi, tu commence à me broyer les côtés.
-Oh.. pardon. Dit elle, d'une voix douce et féminine.

   Et elle reposa le petit homme, qui avait deux têtes de moins que elle, arrivant à auteur de la poitrine, qui ne manquait par de lui donner un trique à la vue cette paire de meule. Le président lui caressa la tête, la fessant ronronner rapidement, et fessant signe à un des mages du projets de stopper l'érection de Oliana, afin d'éviter qu'elle ne soit en érection devant tout le public, de ne pas choquer les enfants, de ne plus pouvoir mettre un pantalon et de devoir attendre un long moment. Un sort d'impuissance, qui dure que quelque petite minutes.

-Alors ma douce, prête pour le grand jour ?
-Oh que oui ! J'attend ça depuis longtemps nya~ !
-Tu sais que tu dois faire ?
-Mettre en évidence mes muscles ! Répondit-elle enjouée.
-Bien, met ton pagne, ça sera bientôt à ton tour de sortir !

_-_-_-_-_-_-_-_-_ ! Miaou ! _-_-_-_-_-_-_-_-_

   Lorsque le dénommée George sortie du chapiteau, la foule fut satisfaite de voir enfin quelqu'un pour cet événement.

-Mes sieurs, mes dames et mes demoiselles, merci d'être venue aussi nombreux pour cette événement spéciale, non... révolutionnaire ! Commença le présentateur. Dans quelque instant, nous présenterons une nouvelle esclave, le premier d'une nouvelle forme d'esclave nékos ! Tout le monde aime et a, ou à eu, un ou des nékos comme esclaves, le plus accessible et rependue des terranides. Adorables créatures, mais terriblement commun. Les nékos ne font malheureusement pas partie des produits de luxe, en vente par dizaine, semblable peu ou prou, déjà dresser ou facile à dresser. N'avez vous jamais voulue de nékos bien spéciale, qui sorte de l'ordinaire, qui vous donne de nouvelle sensation, dont vous pouvez facilement vous vantez ? Le genre qu'on ne trouve pas à tout les étals de marchant, qui vous change de la simple néko ? Vous ma dame ! Dit-il en pointant du doigt une noble. Cette charmante néko à vos côtés, vous l'aimez, vous aimez les nékos, vous en avez combien ?
-Euh... une dizaine ? Répondit, surprise et visiblement captivé.
-Comme bon nombre de vos consœurs et confrères, sûrement que vous en avez de très bien dresser, mais aucune qui vous démarque des autres, une néko qui ferait parlez de vous dans tout l'empire ?
-Évidemment non. S'avoua la dame, son visage prenant des couleurs, de honte ou de colère.
-Avec notre nouvelle esclave, vous serez le sujet principale des discussions, une néko comme nul autre, qui vous changeras de vos nékos classique, qui vous attirera des jalousies certaines et vous comblera comme aucune autres !

   L'auditoire était bien captivé, toucher dans leurs amours pour les nékos, aussi bien propre pour certains, ronger par la curiosité, intriqué et impatient.

-Sans plus attendre, je vous demande d'accueillir... OLIANA ! Cria t-il en se tournant vers la tente, peu visible du public.

   On entendit les marche grincer sous le poids de la bête, puis on put apercevoir sa tête, avant de contempler sa poitrine, avant qu'on puise tout son corps, ses mucles saillant, une fine couche d'huile, habiller d'un simple pagne en toile, déformer par la présence de sa virilité, formant une longue bosse visible partant sur le côté. Sous les yeux hypnotisés par la foule, elle avança de quelque pas, avant de prendre une pose, bandant ses muscles sous les yeux ébahit du public, souriant à pleine dents, lançant un clin d’œil.

-Unique, jamais vue, une révolution. On ne vous à pas mentit, qui peut se targuer d'avoir une t-elle bête ? Vos nékos mâles sont plus bon à la soumission, pas assez fournit et trop sensible ? Venez nous voir ! On vous donne du lourd, du grand, du puissant et du bon ! Présenta l'animateur en tendant ses bras vers Oliana.

   Oliana prit une nouvelle pose, pleine de fierté, mettant un peu plus son bassin en avant, attirant le regard sur sa belle artillerie. Mais déjà, des personnes s'éloigneaient, choqué, ni voyant aucune beauté et ne pouvant surtout pas associer une t-elle créature à l'espèce des nékos.

-Choqué ? Mais c'est là son but, elle n'est pas là pour jouet la jolie peluche qu'on décore du rubans et de jolie tenue, qu'on abuse comme une simple jouet. Elle est là pour vous donner des sensations, du plaisir, de l'intensité et croyait moi, ce n'est pas la gonflette, des vrais muscles, pures et durs ! Et vous pouvez toujours la considérer comme un chat, sa mentalité reste la même, mais elle a quelque chose de plus que les nékos classiques et communs ! Martela t-il, en pointant du doigts, un étalage plus loin, avec des nékos lambda, qui regardaient leur semblable avec les yeux ronds.

   Nouvelle pose.

-Amateurs et amatrices de sensation et d’exotisme, affirmer que vous avez LE plus exotique des esclaves, afficher la différence, montrer que vous ne jouez pas dans la même catégorie ! Hurla presque George en montrant le public du doigt, accentuant son discours.

   Aliona fit une nouvelle pause, alors que les gens, soit l'admirer, sifflet surtout des femmes sous le regard jaloux et humilier de leur marie, discutaient entre eux ou étaient encore sous le choc. George laissa Aliona faire ses poses, gonflant les muscles et roulants des mécaniques. Déjà, la nouvelle était passer et des gens venaient de toute part pour vérifier par eux mêmes. Une néko bodybuildée, assurément l'une des nouveautés les plus marquantes de l'année.

-Maintenant ! Si vous voulez la voir de plus près et tâter le bestiau, montez !

   Oliana finit sa dernière pose, avant de recommencer sa série de pose. Elle gardait toujours un sourire éclatant et des yeux pétillants de malices. Le président monta, ainsi qu'un mage qui marmonner des paroles, son sortilège d'impuissance, car sinon Oliana aurait une immense trique, et on aurait pus les poursuivre pour nudisme et atteinte au mœurs publiques ; tandis qu'on installa un escalier bien large, afin de permettre au gens de monté sur l'estrade.

En tant qu’esclavagiste populaire à Ashnard, Mélinda avait reçu une invitation à une exposition spéciale, organisée par un dresseur d’esclaves ashnardien. Mystérieux, le dresseur promettait une « révolution », en offrant un esclave d’un genre nouveau. De quoi intriguer n’importe qui, d’autant plus que la maison à laquelle le dresseur appartenait était sérieuse, et fournissait régulièrement à Mélinda des esclaves. C’était, pour elle, l’occasion de s’y rendre, mais aussi de permettre à Vanillia d’en savoir davantage sur le milieu local. L’esclavage, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ne se résumait pas qu’à une lutte entre les esclavagistes, tous solidaires, et les esclaves. Au contraire, c’était un secteur très concurrentiel, où on ne se faisait pas de cadeaux. Mélinda avait une manière à elle de gérer son harem, qui lui avait permis de s’élever dans le milieu. Elle ne s’était pas fait que des amis, et cet évènement était aussi l’occasion, pour la vampire, de présenter à Vanillia les amis et les rivaux.

L’exposition avait lieu dans le quartier marchand, plus précisément dans le Grand Souk. C’était un grand bâtiment au centre du quartier marchand, et une aile avait été réservée par la maison, afin de présenter leur exposition. Des gardes à l’entrée vérifièrent les invitations, signe que l’exposition était réservée à un certain nombre de gens. Les deux vampires avaient des places réservées au premier rang, et s’assirent donc, tout en saluant quelques personnes. Il y avait, naturellement, beaucoup de démons, ainsi que des esclavagistes très gros.

« Lui, il vient de Papua, et il me déteste. »

Beaucoup d’esclavagistes n’avaient pas les critères moraux de Mélinda, surtout à Ashnard. Ils étaient volontiers pédophiles, exhibant leur fortune. Ashnard était un pays extrêmement libéral au niveau des intérêts privés. La pédophilie était autorisée, tout comme la mutilation, et, si Mélinda n’avait qu’une centaine d’esclaves, plusieurs en avaient quelques milliers, et en vendaient donc à des clients, qui pouvaient en faire ce que bon leur semblait... Les mutiler à outrance, les torturer, arracher leurs organes... Mélinda en parlait peu à Vanillia, mais il y avait, dans l’esclavage, toute une face sombre qui légitimait l’existence de groupuscules terroristes comme les Celkhanes.

Mélinda décrivait donc les lieux à sa charmante moitié, quand la présentation commença. C’était un véritable spectacle, et, quand la surprise fut dévoilée... Il y eut un léger flottement.

« Hein ?
 -  C’est une plaisanterie ?!
 -  Qu’est-ce que c’est que cette horreur ?! »

On aurait pu avoir l’impression d’entendre un mouvement de reflux, mais, s’il y en avait dix qui protestaient, il y en avait aussi dix autres qui restaient silencieux. Sur l’estrade, une immense neko bodybuildée faisait des mouvements culturistes, exhibant fièrement son corps musclé, ses seins énormes, et sa trique disproportionnée. Elle avait une verge veineuse qui se dressait, un véritable bracquemart qui pouvait remonter jusqu’à ses seins, des péninsules gargantuesques.

« Woow... »

Le vendeur expliqua qu’elle était un prototype, et que, si elle marchait, la maison comptait lancer une gamme d’esclaves bodybuildés. Mélinda resta silencieuse en croisant les jambes, se pinçant les lèvres. Plusieurs personnes partirent, mais d’autres restèrent. Beaucoup, en fait.

La première personne qui alla voir Oliana fut une femme avec une belle odeur de romarin, que Mélinda avait décrit à Vanillia comme une amante potentielle, et une amie. Lady Lisbeth, ainsi qu’on l’appelait, s’avança vers la femme, et pinça l’un de ses tétons en souriant.

« Tu es très forte, toi... Mais qu’en est-il de ses performances sexuelles ? » demanda-t-elle en se retournant vers le vendeur, George.

Mélinda, de son côté, tourna la tête vers Vanillia.

« Tu veux aller la toucher ? »

C’était presque une question rhétorique. Mélinda connaissait sa femme, et son attrait pour les femmes hermaphrodites.

Les journées comme celles-ci, Vanillia dépenserait des fortunes pour en avoir d’avantage. Une journée marquée par l’invitation à une sorte d’exposition très spéciale, censée présenter un nouveau type d’esclave Neko. Le couple Warren fut invité, car Mélinda possédant un harem avec des esclaves en son sein, il était fort bien naturel d’avoir une telle personnalité de la partie. Vanillia avait compris que cette exposition était organisée dans le but de présenter un nouveau concept, une nouvelle inspiration quant aux Nekos. C’était curieux, très curieux, suffisamment pour piquer à vif l’attention de Vanillia qui avec le plus grand plaisir au monde, accompagna son épouse. Ainsi, le couple se rendit sur les lieux ; plus précisément dans le Grand Souk, où une partie de l’imposant bâtiment avait été réservé par l’organisme tenant cette exposition si spéciale.

Après avoir passé la sécurité, le couple s’installa près de la scène où allait se dérouler le petit spectacle. Mélinda pointa quelques personnes présentes ici, expliquant rapidement à sa Vanillia ses rapports à eux. Et ils n’étaient pas tous très joyeux … Voire aucun. Il fallait dire que Mélinda avait mis un bon coup de pied dans la fourmilière en revenant sur le devant de la scène, suite à leur mariage. Le genre de chose qui mettait furax les sectaires et ceux qui n’aimaient pas partager le gâteau, comme on disait. Mais trêve de paroles, le spectacle finit donc par commencer et … Une étonnante surprise se révéla alors aux yeux du public. Les réactions furent très différentes ; certains furent choqués et quittèrent les lieux. D’autres voyaient la surprise comme une grosse bête de foire, et d’autres étaient tout simplement horrifiés.

Pourtant, si Vanillia fut aussi choquée au début – plus par le côté atypique de la Néko qu’autre chose – elle resta. Silencieuse, elle observait donc cette jeune Néko bodybuildée de toute part, transpirant la virilité, la force, le muscle. C’était une belle hermaphrodite extrêmement bien membrée, disposant d’une verge dont la taille était tout simplement surhumaine. Sans voix, Vanillia la regardait et observa également une autre dame se lever, pour aller observer la marchandise de plus près. Mélinda lui avait décrit cette femme, et elle semblait être une de ses amies. Son épouse ne tarda d’ailleurs pas à capter que Vanillia était comme hypnotisée, et lui proposa alors d’aller toucher à son tour la belle marchandise. « Hmm … Oui ! » Répondit-elle avec un petit sourire en coin, fort bien malicieux comme à son habitude.

La vampire se leva donc, et se dirigea vers la scène où se trouvait Oliana, la Néko. Vanillia finit par monter et fut donc à portée de la donzelle musclée, commençant d’abord par la scruter. « Tu as l’air costaud … Voyons voir … » Dit-elle, regardant Oliana dans les yeux, avant de baisser son regard vers son buste, puis son membre veineux. La jeune vampire posa doucement sa main sur son bras, et caressa le relief massif et solide de ses beaux muscles.  « Ouah … Tu ne plaisante pas en fait. » Dit-elle, se mordant doucement la lèvre, quelque peu excitée de voir une bête de muscle et de sexe pareil. Vanillia tâta donc méthodiquement ce corps, passant doucement sa main sur ses biceps, puis sur ses belles tablettes bien fermes et saillantes. Pour finir, la vampire tâta également la trique d’Oliana, d’un geste élancé mais servant à lui donner une idée sur la fermeté et la qualité de ce membre. Outre la taille, il était incroyablement ferme, dur et épais. Un véritable marteau-pilon … Qui donna de grands frissons à Vanillia, s’imaginant alors tout un tas de choses.

Elle écouta la réponse du maitre quant à la question de Lady Lisbeth sur les performances sexuelles de la Néko, et fut très intéressée. « Est-elle féconde ? Et comment elle a fait pour être … Comme ça ? » Demanda Vanillia quand ce fut son tour, au propriétaire. En attendant la réponse, Vanillia regarda Oliana et lui sourit, grattant doucement sous le menton de la Néko pour la faire ronronner un petit peu ! Vanillia ne sera jamais assez reconnaissante envers sa bien-aimée pour l'avoir emmené ici ... C'est plus que ce qu'elle n'espérait !

   Oliana était ravie, même si des gens étaient parties, son maître actuel lui avait dit que cela arriveraient, que beaucoup ne comprendrons pas sa beauté et son corps. Mais beaucoup étaient rester, l'admirant faire ses poses, si bien qu'elle fut promptement excitée, sa trique mettant à mal son pagne, et ses mouvements n’aidant pas, si bien qu'à un moment son pagne céda, se déchirant sous la tension, fais d'une matière de basse qualité, avant qu'un des mages ayant participé à son développement, fit disparaître le pagne, laissant à l'air libre la bête, alors que George s'adressait au amateur et amatrice de sensation et d'exotisme. Elle se devait d'être parfaite, repérant du coin de l’œil quelque femme qui était particulièrement toucher, bandant un peu plus les muscles. Elle était heureuse, car elle allait enfin être confier à un nouveau maître ou une nouvelle maîtresse. Elle finissait sa dernière pose, avant de reprendre une nouvelle série, non sans faire jouer ses muscles, bougeant ses seins par sa maîtrise de ses muscles, quelque coups toujours avec son sourire, avant de reprendre la première pose.

   Elle prit sa seconde pose quand une femme se décida à montée, montant sur le stand. Elle tourna vite fait autour de Oliana, qui reste dans sa position, fessant parfois gonfler ses muscles, avant de se saisir d'un de ses tétons. Oliana garda son sourire et s'amusa à faire trembloter son sein, alors que la femme interrogea George sur ses performances. Ce dernier lissa une pointe de sa moustache entre le pouce et l'index, un grand sourire aux lèvres.

-Très chère, sachez que nous avons mit un point d'honneur sur ses performances ! Vous serez fatiguer bien avant elle ! Son record est de 15 femmes d'affiler, avant de devoir prendre une pause, plusieurs heures chacune, presque 3 jours et 2 nuits non stop en mangeant rapidement pendant l'acte. Sans parler de la quantité qu'elle peut larguer si vous voyez ce que je veux dire. Expliqua fièrement George, avec un clin d’œil à la fin. Ce serait dommage de faire une si belle bête et qu'elle ne tienne pas la route. Rajouta t-il. Elle est peut être loin des succubes, mais bien au dessus des simples terranide et même certaine créature.

   Le temps de son explication, une autre femme s'était rapprocher, fessant le tour de Oliana, qui lui lança un clin d’œil et un sourire espiègle, avant de gonfler les muscles de son bras, quand elle vint à le palper.

« Ouah … Tu ne plaisante pas en fait. »
-Mmraaouuww. Émit Oliana. Jamais pour le plaisir de mes maîtres et maîtresse.

   L'inspection se poursuivant la main de la femme parcourant divers muscles de la néko, qui gémissait, sans pour autant bouger, excité par la proximité des deux femmes, se contractant pour durcir un peu plus son magnifique et imposant braquemart. La jolie, et peut être futur maîtresse, femme vint à poser ses doigts dessus, constatant à quel point elle était dur, élancée et quelque peu veinée, rien d'autre que la promesse de sensation inoubliable.

« Est-elle féconde ? Et comment elle a fait pour être … Comme ça ? »
-Sur ce point, le président de notre compagnie se fera une joie de vous répondre.

   Le temps que ce dernier se rapproche, la femme se mit à grattouiller le menton de la Néko, qui ferma les yeux, un sourire ravie et de bien fait, sa langue sortant un peu, avant de se mettre doucement à ronronner. Ce n'était pas le petit ronronnement d'une néko, mais plus celui d'un moteur qu'on démarrer, tant qu'il était relativement puissant et sonore.

-Impressionnant n'est ce pas ? Lui dit le président en venant à sa hauteur. On du mal à croire que malgré son apparence, elle reste aussi joueuse et câline qu'une simple néko. Beaucoup parmi nous on crue qu'elle perdrait ce côté là. Je suis le président Mirckof de la compagnie, sur sa fécondité, nous ni avons pas toucher, car il faut l'avouer nous ni avons pas penser. Avoua t-il. Elle est aussi féconde qu'une néko classique, mais rien n’empêche de la rendre infertile, les moyens sont nombreux. Sinon pour comment elle devenue comme ça, et bien nous l'avons découvert il y a... bon cet blague n'as aucune utilité. Cette demoiselle n'a que 23 ans, il nous à fallut environs 6 ans pour la métamorphosé.
-6 ans ? S'exclama un homme qui était monté, la curiosité l'ayant poussé à le faire. C'est trop peu non ?
-Pour des amateurs. Ce projet ne date pas d'hier, nous cherchions depuis longtemps le cobaye parfait et surtout établir les moyens nécessaire pour un développement rapide et en masse. Sans parler des coûts. Peut être bien 10 avant que nous tombions sur Oliana. Je ne vais pas dévoiler tout notre secret, mais nous n'avons été très tendre avec elle, 7 heure de sommeil, le reste du temps sport et entraînement physique en tout genre et repas strict. Même les soldats ne fonts pas plus dure.

   Oliana bomba le torse, fière de son état et de ce dur labeur, fessant onduler sa queue caudale.

-Ne devrait elle pas être attacher ?  Elle me paraît dangereuse pour être libre comme ça ! Demanda le même homme.
-L'absence de chaîne montre à qu'elle point au peut lui faire confiance et l'importance de sa fidélité, je pourrais lui demander d'aller me chercher une bière à Nexus, qu'elle reviendrait avec un tonneau. Répondit Le directeur.
-A qu'elle point est-elle forte ? Demanda Lady Lisbeth.
-Elle peut soulever jusqu'à 200 kilos. Vous pouvez aller plus loin avec elle si vous le souhaitez. Dit il en voyant à quel point les femmes loucher sur sa trique. Mais ça ne sera qu'une petite mise en bouche. Souligna t-il, un sourire malicieux au lèvres.

   Il se mit face au publique, avant de se racler la gorge.

-Cher publique, nous sommes là pour vous la montré un tout nouveau produit, cela passe donc par quelque test ! Elle est à vous pour trois petites heures, nous vous offrons de quoi vous restaurez et mon acolyte ici présent. Annonça t-il en montrant George. Vous fera tirer un numéro au hasard pour 5 à 10 minutes de test. Conclue t-il, avant de se retourner vers les deux femmes et l'homme. Vous êtes les premiers à être monter, vous serez les premiers à la tester.
-Je passe mon tour. Annonça l'homme.
-Bon, vous serez les premières à tester Oliana. Et pour le plaisir, vous pouvez choisir quelqu'un pour vous accompagnezFaite comme bon vous semble, elle obéira au moins de vos désirs.

   Sur ces dernières dires, il s'éloigna et alla rejoindre ses comparses, bien qu'il resta à vue, afin de discuter sur la suite et surtout qui aura le privilège de posséder Oliana.

Mélinda connaissait beaucoup Vanillia. Elle savait ainsi à quel point sa femme aimait les différences sexuelles. Un homme efféminé, par exemple… Ou une femme bien musclée. Vanillia étant sa femme, elle avait accès à la fortune de Mélinda, gérant aussi bien qu’elle le harem, ce qui faisait qu’elle avait déjà acquis beaucoup de jeunes traps. Mélinda aussi y prenait goût. Les hommes efféminés étaient de très bons amants, faisant preuve d’une irrésistible douceur… Et les sodomiser était indéniablement délicieux. Inversement, toutefois, les femmes musclées étaient bien plus rares. La vampire ignorait si la gamme que la maison d’esclavagistes voulait lancer marcherait sur la durée, car, somme toute, il n’y avait pas une si grosse demande que ça pour des femmes bodybuildées… Mais, pour faire plaisir à sa chérie, Mélinda était prête à tout. Non pas qu’elle trouve Oliana repoussante. Elle l’aurait sans aucun doute acheté même hors la présence de Vanillia. Sa femme n’était qu’un argument supplémentaire, et non négligeable.

George leur vanta donc les performances sexuelles de la femme, pendant que Vanillia palpait les muscles de la beauté. Mélinda se glissa dans le dos de l’intéressée, et posa ses mains sur ses hanches, pinçant sa chair.

*Une peau bien dure…*

Cette femme était une véritable masse de muscles. Une montagne de kilos ! Mélinda frémissait en l’imaginant s’abattre sur elle, la prendre entre ses bras, pendant des heures… Si elle s’était renseignée davantage, elle était sûre que Mirckof, le Président, s’était inspiré des méthodes tekhanes utilisant les programmes hormonaux et les modifications génétiques. GeoWeapon Corp. était spécialiste en la matière, et Mélinda avait cru comprendre que la corporation de Mirckof était d’origine tekhane. Elle prospectait néanmoins essentiellement auprès des Ashnardiens et des Nexusiens.

Tout en y songeant, Mélinda posa une main sur les fesses d’Oliana, puis la seconde, et massa tendrement les deux pendant quelques secondes, avant de retourner devant elle, un sourire amusé sur les lèvres. À son tour, elle caressa pendant quelques secondes la hampe de chair de la femme, la sentant se redresser. Soucieux de réussir son coup, Mirckof proposa alors aux différents clients intéressés de faire une connaissance plus approfondie avec Oliana, en privé, pendant quelques minutes.

« Très bien… Mais, comme nous sommes deux, il semble plus légitime que nous puissions en profiter pendant dix minutes, et non juste cinq. »

Mélinda aurait bien pu inviter également Lisbeth, mais, par sentiment romantique des plus désuets, elle avait envie de l’essayer juste avec sa femme. Lisbeth, elle, n’y vit aucun problème, et George guida le trio vers une loge privée. C’était une pièce similaire à une salle de strip-tease, avec des fauteuils rouges rembourrés devant une estrade. Pas de barre pour le pool dance, mais on pouvait sans aucun doute demander à Oliana de faire des poses supplémentaires.

La vampire avait toutefois une autre idée. Les deux femmes suivirent George et Oliana, main dans la main, en se souriant brièvement.

« Elle te plaît, hein ? »

C’était une question rhétorique. En revanche, la question sur sa fécondité intéressait Mélinda. Elle savait que sa femme s’était renseignée sur le fonctionnement du harem, et avait ainsi appris que beaucoup d’esclaves étaient nés au harem, étant les enfants de précédents esclaves. Mélinda n’était nullement contre la procréation, bien au contraire, et son harem disposait ainsi d’une crèche. Les enfants faisaient l’objet d’une politique spéciale. Ils étaient instruits à l’école publique, mais aussi au harem, où on les apprenait à se familiariser avec le sexe très tôt, leur virginité n’étant prise qu’à l’âge de leur majorité sexuelle.

Mélinda se retourna vers Oliana en lui souriant à nouveau.

« Nous n’avons que dix minutes à passer ensemble, alors… J’ai une idée ! »

Sur ce point, Vanillia avait eu l’occasion de réaliser combien sa femme pouvait être… Inventive.

« Tu vas t’asseoir sur l’un des fauteuils, Oliana… Et ma femme et moi allons te sucer et lécher ta queue pendant dix minutes. Si tu arrives à ne pas jouir… C’est que tu es effectivement très endurante. Qu’en penses-tu, mon amour ? À moins que tu n’aies une autre envie à faire avec notre puissante amie… »

Mais, en seulement dix minutes, il fallait penser à quelque chose de court !

Cette petite sortie ne devait être à la base d’une occasion de voir des curiosités, et de passer surtout un très bon moment avec son épouse. Un bon moment était, par définition, un moment passé en sa compagnie. Il ne suffisait de pas grand-chose pour que Vanillia se sente bien en compagnie de son épouse. C’était aussi pour ça que leur couple était aussi solide et puissant, car tout partait d’un amour des plus propres et sincères. Cela étant dit la sortie s’était vite transformée en une séance d’essayage d’esclave. Vanillia avait remarqué cette étrange Néko bodybuildée et ne put s’empêcher de vouloir tâter la bête, et voir ce dont elle était réellement capable. Oliana pouvait être une femme très, très forte physiquement mais nulle au lit. C’était une possibilité ! Il ne fallait jamais se laisser leurrer par les apparences. Cependant vu le contexte, la vampire pouvait grandement espérer que cette Néko était aussi une vraie championne au lit.

C’était là le but de cet essayage. Mélinda et Vanillia partirent main dans la main, avec Oliana, vers une petite chambre préparée à cet effet. Lisbeth ne serait pas de la partie, ce qui n’était pas plus mal … Un moment avec seulement sa petite chérie valait tous les autres amants du monde, aux yeux de Vanillia. Sur le chemin elle lui posa une question qui, bien évidemment, était rhétorique. La maitresse du clan Warren connaissait sa femme sur le bout des doigts et savait donc son engouement pour les exotismes. Notamment le principe d’inversion de genre ou, plus précisément, d’inversion des caractéristiques. Vanillia adorait les jeunes garçons très féminins et efféminés, trouvant qu’ils étaient particulièrement de bons amants. Ils réunissaient quelque part le meilleur des deux mondes, à l’image des hermaphrodites ! C’était un petit plaisir qu’elle s’octroyait quand elle le pouvait. Depuis un certain temps elle avait acquis un bon nombre de ces garçons – qu’on appelait traps ou femboy – pour les intégrer au harem.

Mais ce type de garçon n’était le seul exotisme qu’elle aimait.  À contrario, elle aimait aussi les femmes musclées, fortes et puissantes. Des femmes comme Oliana ! Et là elle s’apprêtait à voir si elles étaient réellement aussi excitantes qu’elle le pensait. Le couple et la Néko arrivèrent dans la chambre privée avant que Mélinda prenne les commandes. Son idée était parfaite, et comme bien souvent, Vanillia n’avait rien à redire. Elle hocha de la tête et sourit à son épouse pour lui témoigner son accord, puis elle se mit en place. La belle Néko prit assise sur un fauteuil avant que le couple de vampire ne se mettent à genoux, de part et d’autre de ses puissantes cuisses, prêtes à commencer la séance. Si Oliana tenait plus de dix minutes sans jouir, elle gagnait. Sinon, cela voulait dire qu’elle n’était pas aussi performante que voulu … Et la transaction s’arrêterait probablement. Vanillia regarda le puissant membre érigé devant elle, puis regarda son épouse. « Dix minutes ça ne sera déjà pas mal … Mais je sens que notre amie va tenir plus longtemps que ça, pas vrai ? » Dit-elle en tournant les yeux vers Oliana, posant doucement sa main sur son sexe, le caressant.

Vu la taille du membre il y aurait assez de place pour la bouche de Mélinda et Vanillia en même temps. Quand ce fut le moment, la jeune vampire s’avança puis apposa délicatement ses lèvres, commençant le travail …

   Oliana jubilait, elle fessait de l'effet et cela lui fessait grandement plaisir, des années de durs labeur, souffrance endurer et accidents subits, cela payés ! On l'avait préparer mentalement à des brimades, insultes ou réaction diverse et varier, pour le jour J, elle savait que tous ne serait pas aussi compréhensif que ses maîtres actuels. Pourtant elle avait fait bonne impression sur la majorité des gens, bien que tout ne soient pas aussi admiratif que les trois femmes qui étaient monté. Le reste hésitait, discuté, analysé et cherché ce qu'elle pourrait apporter sur le marché, d'un point de vue économique, impact et intérêt. À l'annonce de la possibilité de tester le produit, la plupart des femmes décidèrent de voir de plus près le produit, un peu plus qu'une demi-dizaine, allant voir le fameux George prendre leur numéros. Après un moment, deux-trois se levèrent et firent de même, mais à leur visage, nul honte ou rougeur n'était visible, seulement un sérieux professionnel et aussi un visage quelque peu soucieux. Chacun pouvait comprendre que ce n'était pas forcément les performances sexuelle de la néko qui était leur principale motivation. D'autant plus que ces personnes là, ne travaillaient pas principalement dans le domaine de l'esclave sexuel.

   Mais durant ce temps, Oliana fut prise à part, amener dans une petite pièce, par les deux élégantes femmes, en couple visiblement, de par et d'autre de Oliana, qui marchait lentement, pour ne pas dépasser les deux femmes par ses longues enjambées, tandis que ça queue restait stoïque, ne se baladant pas au grès des mouvements, la tête légèrement baiser, regardant tour à tour les deux petites femmes, grand sourire aux lèvres se demandant ce qu'elles allaient bien lui faire. Son maître était un peu dure, seulement dix minutes. Il fallait le comprendre, il voulait que le maximum de monde en profite, afin d'avoir le plus d’avis avant la vente. Loin des soucies de ce que lui réserve son futur destin, Oliana avait qu'une envie en ce moment : satisfaire aux mieux ses deux femmes, qui pourrait être ses futurs maîtresses.

   Passer la porte, où elle due se baisser un peu, Oliana observa rapidement les lieux, ne lui inspirant rien, excepter les fauteuils qui devaient être moelleux et confortable. Sans perdre de temps, la troisième femme qui était montée la voir de plus près, avec ses longs cheveux bruns et bouclés, lui donna l'ordre, de s’asseoir sur un fauteuil, ce qui surprit un peu Oliana, s'attendant à devoir tout de suite en prendre une.

« Tu vas t’asseoir sur l’un des fauteuils, Oliana… Et ma femme et moi allons te sucer et lécher ta queue pendant dix minutes. Si tu arrives à ne pas jouir… C’est que tu es effectivement très endurante. »
-Bien maîtresse, nya~ !

   Elle s’exécuta rapidement, n'écoutant qu'à moitié la suite, ne la concernant pas, lâchant un petit miaulement au passage, avant de s'asseoir dans le plus grand, un sofa plus exactement à vraiment deux pas du trio, doucement pour ne pas « tomber » dessus comme une masse, au risque de briser les pieds ou de faire craquer le bois. Il était fait visiblement pour trois personnes au moins, mais avec Oliana les deux autres devrait un peu se serrer. Elle s’installa confortablement au milieux, bras le long du dossier, jambes écartées, sourire enjôleur et du genre femme fatale. Elle contracta un peu son bassin, pour tenir droit son vit, pilonne de chair, dur comme la pierre et de mettre en avant sa belle paire de boule. Elle fut rejointe rapidement par les deux délicieux créatures se mettant de par et d'autre d'elle, à genoux sur le sol, recouvert de tapis, se collant à ses cuisses de bœuf, comme on lui disait parfois au centre.

« Dix minutes ça ne sera déjà pas mal … Mais je sens que notre amie va tenir plus longtemps que ça, pas vrai ? »
-Mmrrraaaoouuuwww ! Ronronna Oliana, son regard se teintant de fierté. Même vingts minutes ne vous suffirez pas maîtresses. Annonça Olina, une pointe d'audace la traversant, un regard fier et avec une certaine tonalité rassurante.

   Dévorant les deux femmes du regards, Oliana se lécha les lèvres, en sentant les premières lèvres qui se posèrent sur son vit, un délicieux baisé, avant que ne vienne la langue, commença à frotter son vit. Oliana souffla doucement, basculant la tête en arrière, fermant les yeux, sentant les deux belles femmes jouaient de leur lèvres et de leurs langues sur son imposant braquemart, avant de gémir doucement, commençant même à ronronner, fessant vibré son corps. Elle déplaça sa queue, la caudale, venant frotter tour à tour les deux femmes, leur visages, leur ventres ou leurs bras, une petite caresse douce.

Dix minutes, ce n’était certes pas beaucoup, mais c’était malheureusement le laps de temps qu’on leur laissait. En d’autres circonstances, Mélinda aurait sans aucun doute demandé plus, mais il fallait faire avec ce qu’on avait. Mélinda et Vanillia s’agenouillèrent donc à droite et à gauche de la colossale Terranide. Elle était aussi musclée qu’obéissante et douce, ce qui formait un singulier contraste. Écartant bien les jambes, elle leur laissait un libre accès à son épaisse matraque, un chibre qui se dressait fièrement et durement, dominant les deux femmes. Une longue trompe qui ne demandait qu’à se faire sucer avec appétit. Mélinda s’humecta les lèvres en esquissant un léger sourire. C’était vraiment du bel ouvrage ! Elle se rapprocha, et lécha cette queue, laissant toutefois à Vanillia le premier jet.

Les lèvres de la vampire se posèrent ensuite de l’autre côté, et remontèrent sur quelques centimètres... Puis elle se retourna immédiatement vers Oliana, lueur espiègle dans les yeux.

« Tût-tût, petite cochonne ! Ne ferme pas les yeux! Je veux que tu nous regardes. Tes yeux ne doivent pas se détacher une seule seconde du spectacle de tes Maîtresses en train de te sucer. Je veux voir l’adoration et le désir brûler dans tes yeux du début à la fin. »

Puisqu’Oliana fanfaronnait sur ses capacités à tenir la distance pendant dix minutes, Mélinda rajoutait un défi supplémentaire, et, comme un défi sans enjeu ne présentait aucun intérêt, elle reprit, en se faisant plus claire, et en espérant que sa chère et tendre la suivrait sans rechigner (bien qu’elle ne se fasse que peu de soucis là-dessus) :

« Si tu ne détournes pas les yeux, et que tu ne jouis pas, alors nous t’achèterons. Pas vrai, mon amour ? »

Elle laissa le soin à Vanillia de confirmer ce nouveau défi, qui était de taille pour Oliana. En effet, si elle réussissait, elle gagnerait la timbale, puisque Mélinda et Vanillia se débrouilleraient pour pouvoir l’acheter, quitte à devoir surenchérir à plusieurs reprises. Ce n’était clairement pas ça qui dissuaderait Mélinda, elle qui était habituée à ce genre de situations. Elle retourna s’attaquer à ce mandrin, et le lécha consciencieusement, de haut en bas, remontant de la pointe jusqu’à la base, où elle embrassait et suçait les lourds et gros testicules d’Oliana.

La Terranide avait vraiment un sacré engin, et, pour Mélinda, c’était un réel plaisir que de le parcourir, ainsi, de haut en bas, sans relâche, avec douceur et passion. Fermant les yeux, elle le léchait avidement, déposant ici et là une série de baisers, y frottant ses joues.

« Ta queue est si dure... Tu imagines comment ce sera quand tu t’empaleras dessus, Vanillia ? Je suis sûre que tu en meurs d’envie ! »

Et elle aussi, visiblement, à voir la manière dont ses yeux brillaient d’envie.

La jeune vampire continuait de lécher et embrasser ce gros mandrin, tranquillement, de son côté. Oliana fanfaronnait sur ses talents et sa capacité à résister pendant de longues minutes, ce qui était bien. Un peu de fierté et d’assurance ne faisait de mal à personne, et d’ailleurs c’était ce que tout le monde pouvait attendre de la part d’une femme aussi forte et costaud qu’elle. Néanmoins Vanillia ne disait rien pour le moment, joignant sa tendre épouse qui était elle aussi en train de déguster ce membre. Vanillia reconnut bien Mélinda quand cette dernière imposa à la Terranide de ne pas fermer ses yeux, de les maintenir braqués vers elles. C’était une contrainte supplémentaire qui allait forcer Oliana à résister davantage. Non pas qu’il était facile de se retenir en fermant les yeux mais, voir la vue qui était également stimulée permettrait de mettre rudement à l’épreuve la néko.

Tout ceci étant dit, les deux vampires se mirent sérieusement à l’action. Mélinda termina sur une brillante insinuation qui fit sourire Vanillia, lui donnant également envie de concrétiser cette idée. S’empaler sur la lourde queue d’Oliana … Une image qui la faisait frissonner rien qu’à l’imaginer. Elle ne répondit guère de suite, terminant de savourer le contact de ses lèvres contre la chaude verge d’Oliana, mais aussi contre ses belles et lourdes bourses. Etant une hermaphrodite elle-même, Vanillia savait à quel point cela pouvait ajouter quantité de plaisir ! La vampire embrassa et lécha donc les imposants testicules de la Terranide, sa petite langue faisant un véritable travail d’orfèvre. Mais le temps était limité et elle ne resta pas longtemps ainsi, finissant par se redresser. « Tu as parfaitement raison mon amour ! » Déclara alors Vanillia, en se relevant.

Debout devant Oliana, et après que Mélinda ai libéré l’accès, Vanillia se mit en place. Il ne restait pas beaucoup de temps et il fallait que Mélinda aussi, puisse chevaucher la bête. La vampire n’allait pas donc monopoliser la Terranide trop longtemps, mais elle comptait bien en profiter un peu. Caressant la dure trique d’Oliana, Vanillia finit par se mettre en place, orientant son petit anus vers le bout de cette queue. « Voyons voir … » Marmonna-t-elle, appréhendant quand même un peu la sensation. Jamais elle n’avait prit un membre d’une telle taille en elle et forcément, elle se demandait si ça allait bien passer. La vampire, une fois en place, commença à s’empaler doucement et faillit dès lors hurler quand le seul gland d’Oliana lui faisait très mal ! « HMM ! » Couina-t-elle de douleur, mais ne s’arrêtant pas en si bon chemin. Vanillia n’allait pas se laisser faire devant la difficulté. La vampire continua de descendre, encore et encore, mais finit par s’abattre d’un seul coup vers la fin, s’empalant complètement sur cette queue qui était à présent totalement en elle … Déformant son ventre au passage. « HAAAAN ! » Gémit-elle soudainement quand elle prit l’intégralité du sexe dans ses entrailles.

Tout son corps vibrait et tremblait de douleur et de plaisir. Vanillia se hissa un peu puis s’abattit de nouveau, réitérant l’opération dès lors. « Hmm … Haaaan … Q-Quelle queue !!! » Soupira-t-elle en se mordant la lèvre, découvrant alors un plaisir qu’elle n’avait encore jamais sentie, ou presque. Ses mains se posèrent sur les lourds seins d’Oliana, dont elle prit appui dessus.

« Tût-tût, petite cochonne ! Ne ferme pas les yeux! Je veux que tu nous regardes. Tes yeux ne doivent pas se détacher une seule seconde du spectacle de tes Maîtresses en train de te sucer. Je veux voir l’adoration et le désir brûler dans tes yeux du début à la fin. »
-Miaw ! Avec plaisir maîtresse ! Répondit Oliana en redressant la tête.

   Son regard était remplit d'envie dévorante, couvant ces adorables femmes d'un regard torride, assurant la demande de la maîtresse du moment.

« Si tu ne détournes pas les yeux, et que tu ne jouis pas, alors nous t’achèterons. Pas vrai, mon amour ? »
-Maîtresse est trop bonne. Souffla Oliana, avec un clin d’œil.

   Se faire ainsi traiter avec passion, de sentir de nouvelle langue, autre celles des ses camarades esclaves du centre ou de ses formatrices, Oliana était excité au plus haut point, mais les douces caresses, baiser et coup de langue, avait plutôt tendance à la détendre, à l'inverse d'entretenir la dureté de son mandrin, c'était bon et plaisant. Elle ronronnait assez puissamment, ses yeux ressemblant à ceux d'un chat en chasse, ne quittant pas une seule seconde les deux femmes, observant leur ouvrage, où elles y mettaient visiblement tout leur cœur. Oliana ne pouvant que sentir leur doigts et leur langue se balader sur son engin, recouvrant chaque recoin de doux baiser et caresse, c'était dur de ne rien pouvoir faire. Elle était bien tenter d'en prendre une avec passion, mais aucune n'avaient donner expressément l'ordre, se devant donc de ronger son frein et d'accumuler peu à peu de la frustration d'être ainsi limité pour faire plaisir à ses maîtresses, se voyant bien plus à les prendre sauvagement. Mais cette position et ce traitement était tout de même plaisant, elle n'avait pas à se plaindre.

« Ta queue est si dure... Tu imagines comment ce sera quand tu t’empaleras dessus, Vanillia ? Je suis sûre que tu en meurs d’envie ! »
« Tu as parfaitement raison mon amour ! »
-Myyaa ? Émit Oliana.

   La belle femme au cheveu vert émeraude, se mit debout, devant Oliana, tandis que l'autre s'écarta, lui laissant pleinement la place. Elle monta sur le sofa, Oliana remontant un peu pour facilité son placement, avant de se positionner, la femme monta sur le sofa, ses jambes de par et d'autres des cuisses de Oliana qui mit une main sur son bassin, lui assurant une meilleur stabilité, alors qu'elle se positionna pour la descente. Une fois fait, elle s'abaissa, plaçant l'imposant gland de Olinia contre sa rondelle, avant de commencer à le faire entré dans son fondement. La douleur explosa, cette dernière se lisant sur le visage de la femme, tentant de faire entré dans son cul un monstre, épais et dure, malmenant l'entré, avant d'écarté au maximum les parois interne, se frayant un chemin dans ce conduit trop étroit pour lui. Oliana, bien que compatissante pour la douleur que ressentait sa maîtresse, elle se réjouissait de cette pénétration, lente et dure, résistant encore à la tentation d'attraper sa maîtresse et de la faire s'empaler sur sa trique, puis de la faire monter et descendre, avant de lui bourrer le cul. Mais elle ne fit rien, laissant sa maîtresse faire comme elle voulait, qui enfoncer centimètre par centimètre cette immense colonne dans ses entrailles, forçant son corps à accepter la présence massive de ce gourdin.

   Puis d'un coup, surprenant Oliana qui lâcha un profond râle de plaisir, ferma presque les yeux, un spam la parcourant, quand la femme glissa d'un coup, avalant entièrement le braquemart dans ses entrailles, déformant son ventre, un jolie et longue bosse remontant son ventre. Oliana caressa tendrement cette bosse, se léchant les lèvres, soupirant de plaisir, ronronnant de plus belle. La suite fut encore plus délicieuse, quand elle prit appuie sur ses seins, cherchant à remonter, glissant quelque centimètre de cette grosse queue hors d'elle, avant de retomber aussi sec. Oliana souriait gaiement, et posa ses grandes mains sur les fesses de la noble femme, les pétrissant légèrement, les écartant un peu et remonta un peu son bassin, tandis que ça queue caudale se frottait contre l'autre femme. Elle donna une petite claque, avant d'aller chercher le visage de sa maîtresse, allant l'embrasser, goulûment et assez vorace, glissant sa langue entre ses dents, enlaçant celle de l'autre. Elle bougea un peu le bassin, déplaçant un peu sa longue trique dans le ventre de la femme, tirailler entre ses envies de la culbuter et le fait qu'elle n'avait pas reçu d'ordre expressément pour.

Mélinda s’attaquait à cette immense queue avec sa bouche. Cette vision était surréaliste, surnaturelle. Elle ignorait comment les gens derrière Oliana avaient fait pour arriver à un tel résultat, mais elle ne pouvait qu’être admirative. Elle avait entendu parler de projets tekhans visant à créer des super-amantes, des femmes musclées et endurantes. Elles avaient d’épaisses queues, elles aussi, et ne pouvaient pas se fatiguer, mais, de ce qu’elle en savait, il ne s’agissait, pour l’heure, que de rumeurs. Mais là, visiblement, quelqu’un avait réussi à aller au-delà de la simple théorie, en créant Oliana. Musclée, massive, il y avait un paradoxe évident entre sa douceur, sa soumission, et l’épaisseur de ses muscles. Une femme bodybuildée aux seins immenses et à la queue massive… Quoi qu’on en dise, une telle créature trouverait toujours une place dans un harem.

Mélinda léchait cette queue, la mordillant un peu, descendant jusqu’à ses testicules. Elles étaient, à l’image de cette queue, grosses et épaisses, et elle en embrassa une, sentant ses lèvres s’enfoncer dessus. Il y avait un contraste saisissant entre la dureté de la verge et la mollesse des testicules, que la vampire notait d’autant plus que, chez Oliana, tout était en taille agrandie. Et la Terranide, elle, était condamnée à les regarder, à voir ces deux têtes remuer de long en bas. Malheureusement, le temps leur manquait, et Vanillia, très excitée, ne put guère se retenir. Elle se redressa brusquement, et retira sa robe, dévoilant rapidement son magnifique corps. Hermaphrodite, elle pouvait retirer son sexe masculin si elle le voulait, mais la vampire ne l’avait jamais vu le faire. Et là, tandis qu’elle ôtait sa robe, dévoilant la belle guêpière qu’elle portait dessous, Mélinda put voir sa queue se redresser. Elle ôta sa culotte, et s’approcha d’Oliana.

La vampire se releva à son tour, et sourit en la voyant se positionner. Entamer une sodomie avec la queue d’Oliana pouvait être très risqué, mais Vanillia adorait la sodomie. Mélinda n’aurait jamais cru pouvoir rencontrer une femme susceptible d’apprécier ça autant qu’elle, mais, en réalité, elle se disait même que Vanillia devait l’aimer encore plus qu’elle. Il était fréquent qu’elle porte en permanence, sur elle, un plug anal niché dans ses fesses, et Mélinda s’était déjà amusée à l’entraver la nuit dans une combinaison en latex, en lui enfonçant, pour toute la nuit, un gros gode dans les fesses. Étant une vampire, Vanillia disposait d’une endurance surhumaine, qu’elle utilisait au mieux avec elle.

*Oui, ça doit être un vrai festin pour elle…*

Qu’elle était belle, sa chérie ! Ses longs gants noirs soyeux, son corset rouge, ses porte-jarretelles noirs… Un mélange d’élégance, de douceur, et de perversion furieuse. Elle avait bien relevé son cul, et Mélinda l’aida en posant sa main sur la verge d’Oliana, la redressant, afin de pouvoir bien la positionner contre le fondement de sa femme.

« Vas-y, mon amour, prends-là bien fort… »

Mélinda ne pouvait que sourire devant ce spectacle, surtout quand elle entendit Vanillia hurler et gémir, la queue épaisse d’Oliana coulissant petit à petit en elle, jusqu’à ce qu’elle ne parvienne à s’enfoncer plus longuement, déformant le ventre de Vanillia. Cette dernière hurla alors. Mélinda, elle, se pinça les lèvres, et, debout à côté des deux femmes, en profita pour pincer l’un des tétons de la Terranide, tout en restant proche de Vanillia, et en la regardant remuer de haut en bas.

« J’aime tellement la voir se faire baiser… Et toi, Vanillia, est-ce que tu aimes cette queue ? »

Question purement rhétorique… Mais ça n’empêchait pas Mélinda de vouloir entendre sa chérie le dire !

La vampire n’avait vu un membre aussi gros que celui-là dans toute sa vie. Au plus loin qu’elle pouvait se souvenir, pas même les quelques mâles qu’elle avait croisé pouvait se targuer d’avoir un chibre aussi épais et puissant. C’était surréaliste et en même temps, effroyablement excitant. La sodomie faisait extrêmement mal avec un tel engin mais, le plaisir en était au moins doublé ! Ainsi donc Vanillia se hissait avec insistance, de haut en bas, dansant follement sur la queue de la belle Terranide. Cette dernière semblait également prendre beaucoup de plaisir, vu ses râles et ses ronronnements. Mais la vampire était complètement aliénée par son propre plaisir alors qu’elle s’empalait de force. La queue remonta bien profondément en elle, déformant son ventre à vue d’œil.

La douleur explosait en elle au point qu’elle commençait à en suer, et à serrer très fortement des dents. Son petit trou était devenu extrêmement large et dilaté, autant qu’il devint d’un rouge vif à force de se faire autant ouvrir. « Haaaaa ! » Couina fortement Vanillia ponctuellement. Elle continuait, encore et encore, à se faire prendre sous le regard bienveillant de sa tendre épouse, qui semblait prendre un malin plaisir de voir sa chérie dans une telle posture. Toutefois Mélinda lui posa une question – bien que rhétorique – à laquelle la réponse vint très rapidement. « OUIII !!! » Couina à nouveau Vanillia. On ne pouvait donc pas savoir si c’était une réponse pour sa femme, ou un énième soupir d’extase ... Mais, cette réponse était valable, pour le coup. On commencait à entendre les chairs qui claquaient bruyamment ensembles, ressemblant de plus en plus au bruit d’une violente gifle qui s’abattrai sur les fesses de Vanillia.

C’était quelque part semblable ; l’énorme mandrin d’Oliana s’abatait en elle avec force, et ses testicules cognaient donc de toute leur puissance contre ses fesses, créant ainsi un beau son de gifle. Avec tout ceci, alors qu’elle était transportée dans un monde de pure extase, la vampire s’était mise elle-même à bander très, très férocement. Son membre était dressé de manière extrêmement rigide et pointait vers le ciel, remuant de concert avec sa danse. Mais, après de longues minutes, la pauvre vampire ne put retenir son orgasme ; la queue d’Oliana fut si forte et épaisse qu’elle vint à bout rapidement de ses défenses. La vampire hurla son bonheur alors qu’un orgasme – anal – la foudroya sur place ! Elle se mit à éjaculer de toutes ses forces contre la Terranide, l’aspergeant donc de son foutre chaud pendant que cette dernière se mit également à la remplir généreusement ! Le foutre coulait à flot, autant par Vanillia que par Oliana.

« Hmmmm ... » Couina une nouvelle fois la vampire, une fois que la tempête passa. Elle reprenait lourdement son souffle, alors qu’elle se laissa tomber contre la Terranide, se reposant sur son corps solide. Plus précisément, sa tête se reposa contre ses lourds obus. Elle déposa quelques petits baisers dessus au passage, et après un petit instant, elle se redressa. Vanillia se souleva afin de retirer le membre, mais eut du mal à le quitter ... Le sentir en elle, c’était tout simplement trop bon. Elle remua son popotin en cercle afin de faire remuer cette queue en elle, mais, après un regard à Mélinda, elle eut le courage de se retirer. « Ouah ... Quelle bite, si je peux me permettre ! » Déclara-t-elle, visiblement toute émoustillée par ce qui venait de se passer. Elle se pencha puis renfila sa petite culotte, sans avoir apparemment envie de remettre le reste pour le moment.

Elle regarda sa chérie ensuite, puis une lueur malicieuse et un sourire vicieux s’imprima sur son visage. Elle se dirigea vers la porte, puis prenant alors une dangeureuse initiative, elle la referma à clé et jeta la clé ailleurs, afin d’enfermer elle, Mélinda et Oliana dans la pièce. Elle se retourna vers les deux femmes, un regard lubrique aux yeux. « 10 minutes, ce n’est pas assez ! Les gens comme nous, on prend notre temps, surtout vu le prix de cette grande. Donc ... » Dit-elle, avançant vers sa femme, finissant collée à elle, les mains posées sur ses épaules. « Oliana et moi, on va te prendre de toutes nos forces, et te faire jouir comme jamais tu n’as joui. Comme ça, tu auras une belle idée de la bête, car moi ... Je suis déjà conquise ! » Déclara-t-elle, ne laissant visiblement pas le choix à sa femme ! Puis, Vanillia regarda la Terranide et lui demanda de se mettre debout, en position pour prendre Mélinda en sandwich !

   Cette étroitesse, ce corps fin et léger, sentir son dard alors qu'elle caressait le vendre de la belle femme, voir aussi bien la douleur et le plaisir qu'avait cette dernière à monter et descendre sur son vit, Oliana ne pouvait être que ravit. Le plaisir était même plus plaisant, car c'était la première femme qu'elle pouvait culbuter, en dehors du centre de dressage, et donc les mêmes esclaves et formatrices/formateurs depuis quelque années. Écarteler ce petit bout de femme, détendre ses parois rectales et ses boyaux, remonter le long de ces derniers, déformer le ventre de femme, ronronner de puissance et de plaisir. Bon dieu que c'était bon.

   Bien qu'elle aidait sa maîtresse rentrer son vit en elle, Oliana le fessait de manière douce, assistant plus qu'autre chose sa maîtresse, léger coup de bassin et petit mouvement de ce dernier, pour facilité ses déplacements le long de son dard, ignorant les discusions entre ses maîtresses, bien trop accaparer par sa mission. Mais rapidement, Oliana, dans la logique où elle n'avait pas reçu d'ordre l'interdisant de culbuter sa maîtresse, mit ses deux paluches sur les fesses de la vampire, les tenant fermement entre ses doigts, les écartant, et commença à prendre de la vitesse dans ses coups et à mettre plus de force, jusqu'à provoquer des claquements audibles, ses couilles claquant contre les fesses de la délicieuse femme, tout en l'accompagnant dans ses mouvements. Entreprenante, elle bougeait son bassin au rythme de sa maîtresse, la culbutant avec plaisir, soufflant puissamment à chaque coups de boutoir, son sourire enjôleur et ravie, son regard affamé et plein de vices. Mais encore, bien que puissant, elle ne mettant pas toute sa force, la position n'était pas des plus pratiques, mais elle s'en rapprocher assez.

   Oliana, comme obnubiler par le visage de sa maîtresse, ne remarqua la présence du petit cousin de son pieu. Sa maîtresse, elle-même membré en des proportions plus raisonnable, bandait dur, son sexe tremblant et se ballottant au rythme des coups et des mouvements, petite danse obscène, mais néanmoins charmante pour des personnes comme elles. Durant quelque minutes qui suivirent, ce ne fut que succès ion de claquement et de gémissement, de souffle et de ronronnements. Ce fut non loin de la fin du temps impartie, que la femme finit par jouir, lâchant des jets de foutres, arrosant Oliana, tachant sa poitrine, son ventre et un peu son visage, de délicate tache blanche et crémeuse, son crie délicieux, résonant dans les oreilles de Oliana. Cette dernière ne tarda pas à suivre, donnant un dernier coup, avant de délivrer quelque jets de foutre, avec puissance et quantité, chaude à souhait et crémeuse comme on l'aime, lachant un crie de plaisir. Elle n'avait pas tout lâcher, ayant encore de la réserve, mais son endurance et son assurance sembler remisse en cause, mais Oliana n'était pas le moins du monde fatiguer d'un iota et bien trop excité et enivré par le plaisir pour résister à l'envie de l'extase de l'orgasme.

-Miiaaarroowww !! Émit Oliana, ronronnant ensuite.

   La vampire vint s'affaler contre Oliana, malgré la verge massive et toujours aussi dure planter en elle, Oliana s'amusant à contracter son bassin, soulevant légèrement la délicieuse femme avec sa trique, alors qu'elle utilisa les obus de la néko comme oreiller, posant sa tête sur son propres sperme qu'elle avait libérer, de même que sur le ventre de Oliana. Cette dernière, s'amusa à lécher et à avaler le sperme sur sa joue, sa poitrine et son ventre, tandis que sa maîtresse bécotait ses seins. Elle finit par se redresser, en même temps que Oliana finit de lécher tout le sperme qu'elle récoltait avec ses doigts, et entreprit de se relever pour retirer l'imposant barreau de chair. Mais elle eu du mal à la quitter, Oliana le voyant bien, les sensations devaient être bien plaisante à garder cette bite en soi. Mais après avoir fais quelque cercle avec son bassin, remuant la verge en elle, fessant gémir Oliana, elle finit par céder et se retira donc. La verge tangua un peu, avant de se remettre droite et dur, insatiable.

« Ouah ... Quelle bite, si je peux me permettre ! »
-Nya~ ! Vous pouvez tout vous permettre maîtresse. Répondit Oliana.

   Elle s’apprêta à se relever, les dix minutes étant sans doute passer, mais la délicieuse créature entreprit de fermer la porte à clés, la seule voix d’accès, et de jeter la clés au loin, se perdant vers le fond de la pièce.

« 10 minutes, ce n’est pas assez ! Les gens comme nous, on prend notre temps, surtout vu le prix de cette grande. Donc ... Oliana et moi, on va te prendre de toutes nos forces, et te faire jouir comme jamais tu n’as joui. Comme ça, tu auras une belle idée de la bête, car moi ... Je suis déjà conquise ! »

   Oliana fit les gros yeux, surprise, mais elle ne fut pas choquer, prenant cela avec plaisir et se soumettant à cette demande, car après tout, c'était les maîtresses du moment, elle se devait d’obéir ! Elle s’exécuta donc, quand la femme lui demanda de ce mettre debout et de ce préparer à prendre l'autre belle femme, tout aussi délicieuse, en sandwich. Elle se plaça derrière elle, pouvant facilement mettre ses seins sur sa tête, mais elle se contenta de la soulever délicatement, la prenant par le haut des cuisses, lui assurant une bonne stabilité, et elle la leva comme une plume, en même qu'elle fléchit un peu ses jambes, pour placer sa trique contre sa rondelle. C'était ce que voulait sa maîtresse après tout. Elle avait prit la place arrière car, c'était plus simple pour la culbuter et plus pratique pour sa maîtresse à ses yeux, et puis elle voulait laisser le couple en face à face. Sa trique était couverte d'un peu de sperme et d'huile, permettrant une bonne pénétration, avant d'écarter ses fesses avec ses doigts et de commençait à pousser.

-Rassurez vous, je serais délicate. Souffla Oliana.

   Avec délicatesse, elle empala la femme, sans brusquerie, forçant doucement, laissant le temps à la femme de s'habituer à la pénétration et pour lui provoquer le moins de douleur possible. Douce et longue, il fallut plus d'une minute pour que Oliana puise enfoncer entièrement sa trique dans le fondement de la femme, lui déformant à son tour le ventre, un bosse visible. Empaler ainsi, avec la différence de taille, la pauvre femme ne pouvait même pas toucher le sol avec ses pieds, mais pour autant, Oliana ne la lâcher pas, évitant ainsi que la femme ne soit entraîner par son poids vers le sol et encore plus empaler sur le pieux de chair. S'assurant que sa maîtresse soit à la bonne hauteur pour le sandwich, Oliana attendit l'ordre fatidique.

-Quand vous voulez maîtresse ! Ronronna Oliana.

_-_-_-_-_-_-_-_-_ ! Miaou ! _-_-_-_-_-_-_-_-_

   Peu de temps avant, alors que les clients discutent entre eux de Oliana ou d'autre chose, le directeur discuter avec certain esclavagiste et gros bonnet, sur les raisons de la création d'Oliana, à savoir une envie commune entre plusieurs personnes, pour renouveler un peu le genre et innover, tester divers produits pour améliorer les performances des esclaves et tester un nouveau moyen pour briser l'esprit des terranides, et ce qu'elle pourrait apporter sur le marcher.

-Dites moi très cher : pensez vous que dix minutes suffiront ? S'enquit un homme au près du directeur.
-Je pense que oui, une simple mise en bouche. Et puis nous n'avont pas toute la journée ! Nous en auront au moins pour deux heures ! Le temps que chaque personne passe ! Au faite, les marchandises sont là ? Demanda le directeur à l'adresse de George.
-Affirmatif, nous débuterons les enchères dans quelque instant. Mais cela ne risque pas d'éclipser la raison principale ? Répondit l’intéresser.
-Oh non, et puis il faut bien faire patienter les clients. D'ailleurs, je crois qu'il est temps pour le prochain passage.

   George alla vers la porte de la salle, et voulue actionner la poignet, qui refusa de bouger. Un ange passa, avant qu'il ne recommence, nerveusement, sous les regards insistants et impatients des femmes, et hommes, voulant tester Oliana. Il tambourina la porte, mais rien ni fait, personne ne vint l'ouvrir.

-Euh... hem, veuillez m'excuser un instant. Annonça George, qui repartie vers le directeur. Monsieur, je crains que le couple Warren ait... fermer la porte à clés.
-Pourquoi j'ai le sentiment que je devais m'attendre à quelque chose de ce genre là ? Répondit le directeur Bon, allez voir si on n'a pas un double des clés, sinon nous laisserons le même temps à chaque groupe.
-Ça risque d'être affreusement long ! Clamat George.
-Mais ça pourrait nous être utiles au final. Ajouta t-il, l'air mystérieux. Fais par de ceci aux clients : Oliana vaudra le temps attendue et que les premières a passer, ont voulue profiter plus longtemps d'elle. Vous aurez droit au même temps qu'elles passerons avec Oliana et que personne ne le regrettera ! Ça devrait suffire.
-Bien.
-De quoi parlions-nous messieurs ? Lança le directeur en se retournant vers les personnes avec qui il discuter.

Ce fut... Très impressionnant ! Oliana avait un sang furieux, qui bouillonnait terriblement en elle, et témoignait de toute sa force, de toute sa vitalité sexuelle. Silencieuse, Mélinda regarda le duo se faire l’amour. On aurait pu croire qu’une telle sodomie aurait déchiré Vanillia sur place, mais, non seulement sa femme avait toujours manifesté un appétit sans fin pour la sodomie, mais Mélinda l’avait aussi entraîné aux sodomies « à sec ». Le fait est que Vanillia était une vampire, de sorte qu’elle était bien plus réceptive à la douleur que les humains normaux, et aimait davantage la souffrance. Il avait fallu l’habituer, et, en la matière, la spécialité de Mélinda, c’était les sodomies surprises au petit matin. Elle embrassait doucement sa chérie, dans le creux du cou, jusqu’à ce que, paresseusement, sa femme ne commence à émerger... Et elle la sodomisait alors brutalement. Entre elles, l’amour était très pervers. Fallait-il vraiment s’attendre à autre chose, de la part de Mélinda ? Vanillia était indéniablement la digne et magnifique moitié de la vampire. Et elle le prouva ici, avec cette intense sodomie, qu’elle termina en jouissant sur Oliana, tout simplement.

Les biceps et les seins de la Terranide se retrouvèrent tâchées d’un fin nectar blanc, contre laquelle son amoureuse se frotta tendrement, avant de finir par descendre, non sans un certain regret. Mélinda, silencieuse, sourit malicieusement, surtout quand Vanillia alla fermer la porte, et indiqua à Mélinda que c’était à son tour de passer à la casserole. Cette dernière sourit, posant ses doigts devant ses lèvres, comme pour jouer faussement la pudique.

« Tu crois ça ? Ma parole, vous êtes bien tendues, toutes les deux... »

Vanillia portait encore ses vêtements. Elle savait combien Mélinda aimait la voir ainsi, avec sa guêpière rouge et noire. Ça lui allait vraiment à merveille, avec sa queue qui pointait fièrement entre les jarretelles. Mélinda, de son côté, tira sur le lacet noir à hauteur de ses seins, et sa robe tomba simplement, s’ouvrant en plusieurs endroits comme les pétales d’une fleur, avant de tomber à même le sol. Elle retira dans la foulée sa culotte, et finit toute nue, seule femme avec une véritable féminité, des lèvres intimes très bien épilées, magnifiquement entretenues.

Elle entendit alors taper à la porte, et sourit, pendant qu’Oliana se glissait dans son dos. Elle sentit sa grosse queue frotter ses cuisses, puis ses fesses, et laissa Oliana la soulever, comme si elle était une délicate poupée.

« Oh oui, tu es vraiment... Bien membrée, ma chérie ! »

Avec ses lèvres, Mélinda avait amplement eu l’occasion de goûter à la vigueur de cette femme, et avait hâte de passer aux choses sérieuses. Car, si Mélinda avait habitué sa femme aux sodomies brutales et sans préparatif, l’inverse était vrai. En la matière, Mélinda et Vanillia étaient à même hauteur que les redoutables prêtresses de Lust. Il ne fallait pas oublier que Mélinda avait suivi une formation spéciale en la matière. Elle était donc capable d’endurer ce qui allait suivre, et frémit en sentant la queue d’Oliana taper ses fesses.

« Haaaa... »

La bouche de Mélinda s’ouvrit progressivement, et ses canines pointèrent. Quand elle sentit son anus s’écarter, ses parois anales se déformant sous le passage progressif de la grosse queue de la femme.

« Haaaannn... Pu-Putain... !! »

Même avec toute son expérience, la scène n’en restait pas moins douloureuse ! Les mains d’Oliana se posèrent fermement sur ses poignets, et tirèrent ses bras en arrière, afin de la maintenir bien en position. Pendant ce temps, Vanillia se rapprocha. Le corps de Mélinda se pencha vers l’avant, les bras maintenus en arrière, avec la queue d’Oliana qui coulissait en elle, s’enfonçant progressivement, déformant l’estomac de Mélinda, qui gémit à nouveau, les yeux révulsés pendant quelques secondes.

Vanillia se rapprocha alors, et Mélinda la regarda, reprenant sa respiration.

« Vi-Viens, Va-Vanillia, haaaa... »

Oui, qu’elle vienne, qu’elle vienne la compléter ! Là, en ce moment précis, c’était tout ce que Mélinda espérait...

La scène était tout ce qu’il y avait de plus torride à regarder. Voir la puissante et grande Oliana prendre sèchement par derrière sa femme, c’était hautement excitant pour la vampire, qui souriait vicieusement. Elle se doutait, rien qu’à voir la scène, la douleur que devait ressentir Mélinda ! Recevoir un tel braquemart entre les fesses ça faisait extrêmement mal, même pour des habituées comme le couple Warren. Oliana se fit plaisir et souleva Mélinda, avec une telle facilité, on aurait dit qu’elle soulevait une plume en réalité. Mais, ses muscles n’étaient pas là pour rien ! Elle était un nouveau genre d’esclave, une nouvelle espèce, un nouveau courant. Vanillia ne regrettait en rien le moment qu’elle passait avec elle.

Ainsi donc, Mélinda finit empalée sur l’énorme membre de la Terranide qui se mit dès lors à remuer en elle, arrachant bien des râles et des cris à la vampire. Mélinda finit même par supplier sa femme de venir la compléter, de venir la prendre par devant, afin de parfaire le moment. C’était prévu bien entendu, et la vampire s’avança, la queue très rigide et assoiffée. Elle tenu les douces jambes de son épouse, s’assurant qu’elle les enroula autour d’elle, avant d’orienter son sexe. « Couine pour nous, ma chérie ! » Lui dit-elle, avant de s’enfoncer, lourdement, pénétrant ainsi sa tendre épouse. « Haaaa ! » Couina-t-elle de son côté, ressentant un bien fou quand son membre coulissa dans la féminité de Mélinda.

Vanillia et Oliana, dès lors, jouèrent de concert pour correctement honorer le corps de Mélinda. L’une derrière, ne laissant rien à son petit fesser et une autre devant, remuant tendrement et fortement, multipliant les coups de butoirs de plus en plus forts. La vampire ne se souciait plus vraiment de l’environnement tout autour, y compris le directeur des lieux. Elle avait entendu la porte, et avait deviné qu’on avait essayé d’entrer. Mais, le client était roi ! Et par-dessus tout, le couple Warren n’était pas n’importe quel client. Vanillia, remuant en avant et en arrière, soutenant les belles cuisses de sa chérie, finit par s’adresser à elle. « T-Toujours pas convaincu, c-chérie ? » Dit-elle, la voix entrecoupée par l’effort physique qu’elle était en train de faire.

Pour Oliana ça semblait être une simple promenade de santé ! Elle martelait avec puissance l’anus de Mélinda, si fort que même Vanillia en entendant le bruit de ses testicules claquant contre, devinait à quel point ses coups devaient être forts ! Voilà une bonne esclave comme elle les aimait ...