Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]

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Les Amazones

Légion

Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]

Réponse 15 mardi 07 juin 2016, 01:28:39

« Bon... Visiblement, d’autres ont déjà eu cette idée avant nous » signala Astrid devant la porte d’entrée.

Elle avait été défoncée par des Orcs, ce qui n’était pas bon signe. Si des Orcs s’étaient installés à Karaz’hor, outre leur présence, il y avait aussi le risque qu’ils aient tout volé, et tout pillé. Une hypothèse qui était à envisager sérieusement, vu l’état de décomposition des cadavres jonchant l’entrée. Autant dire que les Amazones auraient été particulièrement frustrées d’avoir fait tout ce long chemin pour rien.

Une base orc avait été construite ici, et, comme le trio le constata, les Orcs, après avoir massacrés les nains, avaient été eux-mêmes massacré. Ici et là, Fanis et Astrid virent des drapeaux ashnardiens. Ils avaient beau être usagés, ils étaient toujours là, comme pour signaler que l’Empire était passée par là.

« Merde... Je ne sais pas si on trouvera encore grand-chose dans le fort... »

Le trio remonta le long tunnel menant au fort, filant dans une ancienne mine qui était visiblement construite sous le lac. Une mine abandonnée, comme tout le reste, mais qui suintait la mort. Fanis déglutissait lentement, en voyant, ici et là, des cadavres. Et, de temps en temps, des bruits se faisaient entendre, comme des grattements qui filaient le long des murs.

« C’est bien ce que je pensais... Tous ces morts ont attiré des monstres. »

La chair en décomposition attirait les créatures nécrophages. Sur leurs gardes, les Amazones rejoignirent une sorte de grande pièce. Un puits sans fin était devant elles, évoquant une grande carrière, avec d’antiques cordages et échafaudages. Les nains se suspendaient le long des parois pour creuser dedans, et, parfois, quelques légers filets d’eau s’échappaient du plafond. Tout en bas de ce trou, il y avait donc, probablement, une rivière souterraine. Néanmoins, Astrid n’avait guère envie de sauter pour en voir les profondeurs.

Les Amazones regardaient autour d’elle lorsqu’un caillou tomba sur l’épaule de Fanis. Cette dernière se figea alors sur place, et, lentement, leva la tête. Elle vit, au-dessus d’elle, un plafond rocailleux... Et deux yeux rouges.

« ATTENTION !! »

Un hurlement strident, suraigu, s’échappa de la bouche du monstre, qui se laissa tomber en vociférant. Fanis, reconnaissant là une attaque sonore, bondit sur le côté, roulant sur le sol en dégainant son épée, tandis qu’une énorme silhouette noirâtre dotée de courtes ailes se posa sur le sol, puis bondit en hauteur, hurlant encore, cherchant à s’abattre sur elle. L’Amazone, usant de ses réflexes, sauta sur le côté, et évita l’impact, pouvant aller voir la créature...

Un redoutable noctule, une sorte de créature vampirique très sauvage. Fanis fit tournoyer sa lame devant le monstre, mais d’autres bruits de pas se firent entendre... Ou, plutôt, des mouvements de glissement.

Jaillissant des murs, de redoutables goules apparurent, des goules si épaisses qu’on les appelait des graveirs. Ils poussèrent des rugissements gutturaux avant de se rapprocher, faisant trembler le sol sous leurs lourds pas.

Comme quoi, même quand la mort régnait, il y avait toujours des êtres vivants... Pour ainsi dire.
DC d’Alice Korvander.

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Xélia

Humain(e)

Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]

Réponse 16 mardi 25 octobre 2016, 14:29:26

   Le tunnel était soigneusement tailler en pentagone haut de 5 mètre et suffisamment large pour laisser passer 6 nains en même temps, des vestiges de support de torches placer un intervalle régulier, sur les murs ou des piliers de granite, manufacturer avec style et doigter des fresques sans sens que pour enjoliver le mur et les piliers, parfois des taches de sangs sur les murs des squelettes réduits en morceau et les restes du systèmes ferroviaire. Mais les murs présentaient des fissures par moments, le plafond de même, des gouttes d'eau s'écoulant à tout va, brisant le silence de leur plic-ploc sans fin. Le trio, bien qu'ayant des torches, avancer dans les ténèbres, d’étrange échos en plus des gouttes leur parvenant, arme en main. Apogée tentait sa torche en hauteur, loin de sa vue et pour avoir un meilleurs éclairage au possible.

   Au centre de ce tunnel, leur torche éclairer à peine les murs, croisant des sortes d'ouvertures, comme le seuil d'une porte, boucher par la pierre, barrée par des portes pourries ou enfoncer, sans rien dedans, ratant parfois quelque salles, leur entré plonger dans les ténèbres.

« C’est bien ce que je pensais... Tous ces morts ont attiré des monstres. »
-Ouf... j'avais peur qu'y aurait rien à éclater. Lâcha Apogée, un sourire goguenard sur les lèvres.

   Les bruits ne cessaient, des os jonçant de temps à autre le sol, éparpiller et curieusement ronger. Après un moment, elles arrivèrent dans une nouvelle salle, une grande salle et un troue en son centre, profond et noir, t-elle la gueule béante d'un quelconque monstre. Les nains avait due trouver un filon en creusant le tunnel, des pont de pierres entourant le troue bien que plonger dans le noir, cordages, poulies et échafaudages se succédant. Rien ne pouvait stopper l'avidité des nains et leur soif de découverte, Apogée se pencha au dessus du troue, cherchant à voir le fond entendant vaguement le bruit d'une rivière souterraine.

« ATTENTION !! »


   Apogée se retourna brusquement, épée tendue, tandis qu'un noctule s'en prit à Fanis, qui l'esquivait avec agilité. Apogée voulue s'élancer contre le monstre, mais surgissant des côtés, des murs de la salles, de là où elles venait et même du troue, des goules se joignirent aux festivités. Ils n'arrivaient pas en masse, mais en nombre suffisant pour relever de l'inquiétant et remettre ses chances de survit en question.

-YYYYAAAAABBBBAAAAYYYYYAAAAARRRR !
Beugla Apogée d'une voix puissante son crie de guerre.

   Crie de guerre qui se répercuta dans les lieux, prenant une tonalité de grondement issus d'un puissant monstre, remontant le long du tunnel, fessant fuir plus loin quelque monstre faible d'esprit.

   Elle donna un coup de pieds à une goule qui sortait du troue, enfonçant ses côtés l'envoyant valser vers le centre du troue, le monstre retombant dans les abysses dans un crie inhumain. D'un mouvement d'épée, elle découpa un monstre un deux, en partant du bas, dans une belle diagonale, son épée finissant dans le bras d'un autre, le propulsant dans le vide. Du plat de son épée, elle éclata le crane d'un autre, tout en tenant dans sa main un autre, broyant sa mâchoire sous doigts, du sang noir jaillissant en fontaine alors qu'elle arrachait la mâchoire inférieure. Son poing finit dans le visage d'un autre, le propulsant en l'air, l'envoyant s’écraser contre un mur, son crane se fissurant, alors qu'elle embrocha un second, qu'elle souleva et utilisa comme marteau pour écrabouiller un troisième, brisant les os et broyant les organes.

   D'autre noctule apparurent, jaillissant de niche dans le plafond, l'une d'elle fonçant sur Apogée, la heurtant de plein fouet, enfonça ses dents dans le muscles de son bras, avant que se dernier ne se referme sur sa tête et ne lui broie le crane. Elle laissa tomber le monstre, éclatant sa tête devenue molle sous son pieds, rependant sur le sol sa cervelle, des éclats d'os et du sang coulant comme une fontaine. Elle embrocha un notucle, mais celle-ci s'agrippa à elle et continua à avancer, cherchant à atteindre son visage et un goule se plaqua contre son dos, ses griffes entaillant son torse et cherchant à la mordre au cou. D'un coup de tête elle le fit lâcher brise, lâcha son épée et dégagea l'autre d'un coup de pied dans le pommeau de son arme, plantant la créature dans le sol. De justesse, elle plaça son bras sur le chemin d'un coup de dent d'un autre, qui mordit sa chaire, avant qu'Apogée ne le décolle de son autre main, une simple marque de dents sur son avant bras. Elle le lâcha et d'un formidable uppercut, elle éclata sa mâchoires, ses dents, le cartilage du coup, déchira la peau et les veines et le souleva sous la force, l'envoyant contre un mur. Elle attrapa un monstre au bras, plaça son pieds sur son torse et lui arracha les membres et lui éclatant la tête avec. Elle en chopa un autre, plongea sa main dans son ventre, perçant les organes, atteignant la colonne vertébrale qu'elle broya, avant de plonger son autre mains dans son ventre et de s'arranger pour le déchiqueter en deux, usant de sa force surhumaine. Elle balança les deux morceaux sur les côtés, riant au éclat, comme une barbare en pleine bataille, couverte de sang, alors qu'elle s'attaqua à une créature. Elle éclata le crane d'un autre noctule, mettant à l'air libre sa cervelle, avant d'éclater les côtés à coup de pieds à autre qui s'approcher dangereusement dans le dos d'une des amazones. À la suite en balança une créature sur une autre, l'empéchant d'accomplir ce que son compère n'avaient pas put faire.

   Au final les monstres repartirent d'où ils venaient, fuyant ces femmes qui étaient pire qu'eux, après d'intense minutes de combat ou de massacre. Apogée était sur le point de les poursuivre mais le noir complet réussit à l'en dissuadé. Sa torche avait perdue de son éclat, plonger dans la semi-pénombre, Apogée se retourna vers les amazones, couverte de sang, un sourire de satisfaction effrayant et un regard avec une lueur de folie. Si les amazones regardèrent Apogée directement dans les yeux, elles auraient le même sentiments que de se sentir en danger imminent face au regard d'un dragon. Ses yeux était ceux d'un dragon, brillant un peu dans la pénombre de ces lieux.

   Apogée ramassa sa torche, dissipant l'aspect de danger ambulant sur visage, abordant un visage réjouit et fier, malgré les flammes mourante. Apoga se mit a fouiller son sac qu'elle avait laisser tomber, ressortant de quoi rallumer sa torche mourante.

-On r'prend la route ?
Souffla Apogée à ses camarades.

   Contournant le gouffre à grâce au pont, elles continuèrent leur chemin, après s'être panser et Apogée s'être un peu laver du sang de ses ennemies. Les monstres étaient toujours présent, des bruits étrange confirment leur présence, sans pour autant se montré. La première escarmouche avait causé la mort de plus d'une quinzaine d'entre eux, les survivants ayant préférer la fuite, préparant sans doute une revanche. Durant quelque minutes au moins, elles poursuivirent leur route, trouvant parfois des salles qui devait servir de casernes ou d'aire de repos, certaine condamner. Mais la découverte de pièce d'or dans un petit sac dans la faille d'un mur, et de deux-trois goules affamés, raviva l'espoir qu'il restait encore des richesses dans cette forteresse.

   Progressivement et de plus en plus rapidement, le tunnels commença à grimper et à bifurqué tantôt à droite, tantôt à gauche. L’ascension fut longue, ponctuer de bruit étrange, parfois un monstre surgissant du noir, suivit de quelque individue, réduit en tas de chair sanguinolente par Apogée, qui se mit en avant, interceptant les monstres qui venait d'en face, se maculant de sang, redécorant parfois les murs de rouge. Ce fut en trois heures, une dizaine de monstres abattues, deux pauses et un besoin de se soulager, que le trio déboucha sur le haut de la montagne, surplombant le lac et l'entré, arrivant en face des grandes portes de la forteresse naine.


   L'immenses structure rappelait sans mal qui furent les maîtres de ces lieux, écrasant de sa prestance les visiteurs. T-elle une bête, la porte, plonger dans l'obscurité, semblait guetter ceux qui oserait s'aventurer jusqu'ici. Le soleil était derrière la montagne, plongeant dans la pénombre la porte et la vaste place, aucune lumière ne venant éclairer cet endroit lugubre. Aucun bruit ne venait trahir le silence de ses lieux, si ce n'est que le vent qui siffler.

   La porte avait des airs démoniaque, quelque squelettes empaler sur des piques, des taches sombres fessant penser à du sang sécher depuis des années, des impacts multiples et ses portes mis à bas offrant une plonger dans les ténèbres apparemment sans fond. La forteresse de Karaz'hor s’appétaient à recevoir de nouveaux visiteur, quels dangers les attendaient ? Qu'allez t-elles découvrit ? Elles le seraient bien assez tôt.

   Le trio franchit les portes, éclairant de leur torche, un long couloir, haut de plusieurs mètre, d'immense fresque recouvrant les murs, à moitié effacer par les coups et la poussière, d'immense colonne de par et d'autre, sculpter habilement, représentant des guerriers nains. Le couloir s'étendait sur une dizaine de mètre, plonger dans les ténèbres, bien que rapidement, une faible lueur perça ce voile sombre. Elles débouchèrent pratiquement sur une sorte de ville, une immense rue qui semblait se perdre à travers la montagne, d’immense structure de par et d'autre, les deux premiers bâtiments sur leur droite et leur gauche, relier par un ponton, étaient des casernes, le reste succession d'habitation. Au dessus des bâtiments, des ouvertures laissaient passer la lumière, sûrement pour aérer la ville et de dissiper au mieux les ténèbres.

   Ce n'était que le début, mais déjà bien des possibilité s'offraient au trio, plusieurs bâtiments à fouiller, afin de dénicher la cache d'un quelconque marchant autrefois riche, poursuivre le chemin pour tomber sur les zones intéressantes, la salle du trône ou du trésor, la réserve de bière, les forges, peut être une bibliothèque ou d'éventuelle mine. La visite de cette forteresse, risquerait d'être assez longue, mais bien des merveilles les attendaient. Mais bien évidemment, les affres du massacre des orck et d'Ashnard subsisté, des bâtiments noir de suie, aucune porte intacte, des piliers fracassaient, une couche de sang et de sueur recouvrant le sol et les murs, des squelettes empaler ou transformer en immonde structure, comme savait si bien le faire les orcs et par endroit, des tas d'immondice, former de déjection et de d’entrailles depuis longtemps dessécher. L'air porter encore les miasmes de la mort et de la pourriture, bien qu'atténuer par le temps.

-Bon... on vas pas rester ici à prendre la poussière ! Clamat Apogée, alors que ça voix se répéta en échos. Qu'es qui vous botte le mieux ? Qu'on cherche la salle du trône ou qu'on s'amuse à farfouiller l'endroit ? On trouva p'être un plan d'l'endroit quelqu'par !
« Modifié: mardi 25 octobre 2016, 14:56:45 par Apogée »

Les Amazones

Légion

Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]

Réponse 17 jeudi 27 octobre 2016, 11:26:08

Face à ces graveirs et aux noctules, Fanis et Astrid ne furent pas aussi efficaces qu’Apogée, dont la taille colossale était à la hauteur de sa terrible force de combat. Une véritable bête de guerre s’abattit sur les monstres, mais, pour autant, les Amazones ne furent pas en reste. Un graveir se rua vers Fanis, qui bondit sur le sol, glissant entre ses jambes, puis pivota rapidement sur place en se redressant, et frappa avec sa lame, fendillant son dos sur plusieurs centimètres de profondeur, faisant hurler le monstre de douleur. Il se retourna rapidement, levant les poings bien haut, mais Astrid bondit sur lui, et le transperça alors dans son dos, l’épée ressortant de l’autre côté.

Les deux Amazones n’eurent guère le temps de se complimenter sur leur exploit, car un nouveau noctule leur tomba dessus. Astrid l’évita en bondissant devant elle, et le monstre, plutôt que de se ruer vers elle, ouvrit sa gueule, et balança une violente onde sonore qui frappa la femme, la faisant hurler de douleur, du sang ruisselant de ses narines et de ses oreilles. Fanis se précipita vers le monstre, mais le noctule se tourna vers elle, et hurla encore. Fort heureusement, Fanis était rapide, et pivota sur le côté, évitant l’attaque sonore, puis frappa avec son épée. Las, le noctule était aussi rapide, car il bondit en arrière, puis s’élança rapidement en avant, frappant l’Amazone, enfonçant ses mains griffues contre ses épaules, hurlant contre elle, sa salive heurtant son cou, la renversant.

« Haaaa... !!
 -  LÂCHE-LÀ, CONNARD ! »

Astrid se précipita rapidement, et son pied frappa la tête du monstre, le faisant se reculer, tout en lui fendillant une lèvre. Partant en arrière, le vampire monstrueux se donna un battement d’ailes pour se rétablir. Rapide et puissant, il décolla alors, cherchant à attaquer en piqué, en fondant droit sur Astrid, qui avait levé son épée, et frappa en l’air, pivotant sur place... Et sectionna la gueule du monstre en frappant. Le sang du noctule éclata au bout de sa lame, tombant sur son visage et sur ses cheveux, tandis que le vampire s’effondrait sur le sol, sa cervelle dégoulinant lentement par terre.

L’Amazone avait réussi un coup impeccable, mélangeant rapidité, anticipation, dextérité, et puissance, pour se mettre en position à temps, lever son épée, et tournoyer sur place en frappant. Un coup de maître, qui illustrait tout son talent.

« Ils sont nombreux, ces enfoirés...
 -  Quoi, quelques monstres t’effraient, Fanis ? Tu te fais vieille, ma parole !
 -  Hmmm... Touche-toi, salope... »

Elles eurent un léger sourire de connivence, se retournant vers un nouveau graveir, qui se rua sur elles, brandissant ses poings pour un violent coup ciblé vers le sol. Elles l’évitèrent, pivotèrent sur place, et frappèrent toutes les deux en même temps. La bataille était intense, et elles devaient régulièrement se déplacer, facilitant l’esquive. De toute manière, face à de tels monstres, une armure n’aurait été d’aucune utilité, car leurs poings auraient suffi à la défoncer. Intelligentes et très attentives, elles n’hésitaient pas à retourner les armes de leurs ennemis contre eux, évitant ainsi une attaque sonore d’un noctule pour qu’elle touche un graveir, le déstabilisant pour permettre de l’égorger ensuite en lui sautant dessus.

Quand une Amazone se battait, elle n’était jamais statique, donnant à ses mouvements une sorte d’étonnante et de captivante chorégraphie. Elle courait partout, multipliant les assauts depuis de nombreux côtés. Ensemble, les deux Amazones étaient redoutables, et se soutenaient mutuellement. Ainsi, quand Astrid fut déstabilisée lorsqu’un graveir la poussa à l’épaule, l’envoyant s’étaler sur le sol, Fanis s’élança vers lui, et prit appui sur un rocher pour se catapulter dans les airs, faisant une étonnante pirouette. Elle se retrouva au-dessus de la tête du monstre, et pivota sur elle-même, frappant sa nuque avec une dague, plus petite, et plus maniable qu’une épée. La dague entailla la chair du monstre, qui agrippa sa nuque, où le sang se mit à vomir sur le sol.

Suite à cela, Fanis atterrit sur le sol, et poursuivit la lutte... Jusqu’à ce que les choses ne commencent à se calmer. Apogée, avec sa puissance, et sa force, les amena à s’enfuir, et le trio put respirer.

« Sacré premier combat...
 -  Et nous ne sommes même pas encore dans le fort... »

Le trio suivit à nouveau des tunnels exigus, étroits, grimpant le long de galeries et de parois parfois très raides, jusqu’à rejoindre l’entrée de Karaz’hor.

« Pfffiouh...
 -  La vache... »

Le soleil commençait à se lever, éclairant toute la région. Mais, outre le spectacle du soleil dardant de ses rayons la région montagneuse, c’était bien le spectacle de la porte d’entrée de Karaz’hor qui coupait le souffle des Amazones. Une immense porte, lourdement fortifiée, se dressait devant les trois femmes. C’était une forteresse naine, aussi grande que les Nains étaient des petits. Il n’y avait que les nains, si petits, pour concevoir des forteresses aussi épaisses, et qui étaient conçues, malgré leur immensité et leur taille, pour survivre et perdurer des millénaires. L’architecture naine, en réalité, était une chose bien impressionnante.

« Impressionnant... »

Le trio rejoignit finalement l’entrée. L’épaisse porte de Karaz-hor était fermée, mais il y avait d’épaisses fissures. De fait, le corps de garde du fort témoignait de l’intense siège qui avait eu lieu, avec des traces d’impacts, des fissures profondes, des trous dans la porte qui permettaient d’y entrer. Des cadavres jonchaient le sol de l’autre côté, des Ashnardiens dans des armures rafistolées dont il ne restait plus que les squelettes. Fanis vit, autour d’elle, le long des plus proches maisons, des éboulis, des explosions, des toits qui s’étaient effondrés...

Curieuse, elle se pencha vers un cadavre, et le retourna. De la poussière s’en échappa, et elle vit une araignée noire sortir de l’orbite creuse, et se redressa.

« Ce sont des cadavres anciens... J’ignore ce qui s’est passé ici, mais... La bataille a été sévère.
 -  C’est le moins qu’on puisse dire. »

Apogée leur demanda ce qu’elles comptaient faire, et Fanis haussa les épaules.

« Je pense que la salle du trésor doit se trouver au bout de cette route, non ? Alors, autant y aller... Même si j’ai le sentiment que ces noctules et ces graveirs que nous avons rencontré ne sont que le commencement... »

Elle en aurait même mis sa main à couper.
DC d’Alice Korvander.

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Xélia

Humain(e)

Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]

Réponse 18 jeudi 02 février 2017, 18:02:02

   Éclairer par leur simple torche, et les lumière du soleil qui perçait faiblement les ténèbres de cette ville souterraine de par les ouverture en hauteur, renforçait le sentiment de désolation, de mort et de vide. Autrefois l'endroit grouiller de vide, de lumière, de vie, de brouhaha des habitants et des marchants. Les orcks et Ashnard avaient tout détruit, les murs fissurés, écrouler, les habitations saccagées, témoigner de la violence des combats, tandis que les bannière de l'empire flotter par endroit, tandis que des restes de construction orcks, faite de pierre, d'os, de métal et de bois, parsemer les bâtiments et les rues. En progressant, les trois femmes ne pouvait que contempler la désolation d'une petite cité jadis vivante et prospère. Apogée regarda en hauteur et poussa un grognement de colère et de dégoût, contemplant des squelettes ou des cadavres dessécher de nains, pendue depuis le plafond, attacher dans des positions grotesque, certains appartenaient visiblement à des enfants.

   Mais ils y avaient aussi des restes de d'orck et de soldats, une bataille semblait avoir une lieu, tandis qu'autour d'un monticule de pierre, les reste d'une statue, les armures, les armes et les squelettes, détruit, broyer et briser, joncher le sol. Une autre statue démolit gisait au milieux d'un carnage semblable, un peu plus loin.

   Après un moment, elles arrivèrent devant une nouvelle entré, plonger dans les ténèbres, pas de portes, deux statues de guerrier nains l'encadrant, tenant des haches et défiant ceux arrivant, défigurer et souiller par les orcks pour qu'ils leur ressemble, recouverte de métals et de bois pour leur donner une apparence orck. Sur place, les flammes éclairèrent un escalier, qui semblait plonger profondément dans les entrailles de la montagnes, trop loin pour que les flammes éclairer l'arriver. Apogée lança sa torche, qui éclaira le plafond, qui semblait recouverte d'une fresque. Elle heurta rapidement l'escalier une dizaine de mètre plus loin après la limite de ce qu'elles pouvaient voir, glissa sur quelque marche et finit par rouler sur du plat.

   En descendant, elles purent admirer sur les côtés des images de batailles, sans doute les victoires de Karaz'hor, encadrer par des piliers représentant des nains, sans doute des guerriers réputés et important, bien que certaine détruit ou souiller par les orcks. En bas, la salle était haute de plusieurs mètres Apogée ramassa sa torche, tandis que devant eux, se dresser un choix triple d'entré, sur les côtés et en face. Haute d'au moins quatre mètre et large de trois, les entrés n'offrait guère d'indice sur l'endroit où elle conduisait, gratter et abîmer ce qui devait servir d'indication avaient été effacer ou détruite. Néanmoins, celle d'en face on pouvait deviner qu'elle était bien plus ornementé et manufacturer dans du basalte, les restes de statue, leur gravât éparpiller remplacer par des construction orcks, tandis que les deux autres étaient plus modeste, et l'une d'elle, après vérification, avait encore un panneau en hauteur, représentant une enclume, sans doute une indication pour les forges.

   Ce fut en la regardant, et plus précisément le couloir qu'elle éclairait, qu'Apogée dégaina violemment son épée et balança sa torche, tandis que des yeux rouges, à mi-hauteur d'homme, s'illuminèrent devant les flammes avant de disparaître, avant même que la torche ne heurte le sol. Des bruits retentirent, comme si la chose s'éloigner à quatre pattes, des griffes claquant le sol avant que le silence ne revienne rapidement.

   Apogée resta en position de défense, lame en avant, tendue, prête à déchaîner sa puissance. Mais après un moment, rien d'autre ce passa, un silence de mort, d'où seule la respiration puissante d'Apogée et les crépitements de torches se firent entendre. Mais seule l'oreille d'un être très sensible au son, et encore il devrait se concentrer et tendre correctement l'oreille, pour entendre les faibles bruit sourd, comme si une chose d'un poids conséquent frapper le sol à un rythme régulier, sans pour autant pouvoir déterminer l'origine et la direction.

   Apogée se détendit, mais garda son épée en main et alla prudemment ramasser sa torche qui avait perdue de son éclat, avant de revenir, peu rassurer.

-Quoi qu'ce soit, ça c'est barrer. Clamat Apogée, sans pour autant en être aussi sur. C'est aut'chose qu'les saloperies dans le tunnels, pour sur. Bon l'entré en face m'parait plus attrayante que les autres,  vue qu'elle est plus travailler, enfin était. Mes avis qu'ça conduit aux endroits les plus intéressant !

   Ouvrant la marche, Apogée avança d'un pas prudent, son épée en main, tandis qu'elle observait les murs et les sols, cherchant ce qui pouvait trahir un piège ou une passage secret. Elle découvrit surtout une armure enfoncer dans le mur, comme si quelque chose l'avait écraser contre, peu avant de sortir du couloir. Elles arrivèrent à une scène de carnage, une fois sortie du couloir. Le sol était fissurer, des impacts l'ayant percer, des armures complètement disloquer, de la poussière d'os et du sang sécher dans ses mêmes cratères. Des morceaux d'armure joncher le sol, ainsi que des squelettes pratiquement réduit en gravier, comme quelque chose avait heurter violemment un soldat avant de l'envoyer valser. Une observation rapide permettrait de constater que c'était des soldats d'Ashnard, mais une observation plus attentive et un esprit de déduction assez bon, verrait qu'ils semblaient quitter la salle, en plus d'un tas de pierre, vestige d'une statue représentant un nain.

-Merde...

   Hormis cette scène où une dizaine de cadavre fut découvert, beaucoup enfoncer dans le sol, écrabouiller sur eux même ou éclater contre une parois, une rapide constations permettrait d'admirer l'immense salle dans la quelle elles étaient arriver.

*

   Large, haute et profonde, cette salle, faite d'une pierre étrange, car elle semblait luire, devait servir au banquet, au vue des carcasses des immenses fûts et des tables. L'odeur poisseuse des orcks se fessait encore sentir, sans compter les traces bien évidente de déjections et de vomit. Une bataille devait avoir eu lieu, car des cadavres, d'orck et d'humain était éparpiller partout, des traces de coups et des restes d'armes se fessait voir, bien que la victoire semblait aller pour Ashnard. Et à nouveau la même scène se trouver par endroit, bien plus nombreuse.

   Plusieurs entrée parsemer les murs, conduisant à d'autre endroit de la forteresses, sans doutes les forges, les cuisines ou des habitations. Mais celle du fond était la plus grande et la plus ornementé, encore intacte, bien qu'une armure fut enfoncer profondément dans un pilier. De par et d'autre de l'ouverture dans l'obscurité, des socles étaient détruit, les statues mis à bas.

   Le trio s'avança, en vue de la salle du Trône, au vue de la surabondance de fresque, de pierre précieuse et de statue faites en marbre blanc ou en ivoire. Elles continuèrent en vue de la salle du Trône, avec la succession de statue, tandis que les bruits sourd se fessaient plus proche, mais toujours aussi difficile à percevoir.

   Finallement elles arrivèrent sur la salle tant espérer.


   La salle du trône, éclairer par des pierres couvertes de runes, illuminant la salle de reflet bleu, des balcons surplombant la salle, ainsi que deux ouvertures, de part et autre du trone. Plusieurs alcôves entouraient la salle, d'antique socle de pierre dedans. Sans doute des socles de statue. Bien que belle, graver de fresque, de topaze et de marbre, les séquelles de la bataille étaient visible, le même carnage que dans l'autre salle, à la différence que cela était pire. Que c'était t-il passer ? Squelettes, sang et entrailles, d'orck et d'humain, se côtoyer, repeignant le sol et les murs. Le doute n'était plus permit : quelque chose avait tuer et repousser tout les envahisseurs, quelque chose qui avait été réveiller.

   Sur le trône, siéger la dépouille d'un nain, sûrement le maître de la forteresse, squelettiques, sa peau grise, du même aspect qu'un parchemin, mais relativement intact, son armures bien qu’abîmer par le temps et la bataille, plusieurs flèches transperçant son plastron. Couvert de poussière et de toile d'araignée, les orcks semblaient avoir épargner sa dépouille, sans doute avaient t-ils reconnut en lui un adversaire honorable et terrible, au point de ne pas toucher sa dépouille, de préserver son honneur, même après sa mort. Plonger dans la pénombre, il donnait l'impression de pouvoir sauter de son trône à tout moment pour s'en prendre à quiconque qui oser lui faire face. Sa couronne, en ors massif, sertie d'émeraude, était toujours sur sa tête et il tenait fermement son marteau, prêt à frapper. Une fouille plus complète permettrait de trouver divers bijoux et joyaux pouvant se vendre à bon prix ou de négocier une grosse récompense auprès de seigneurs nains, au vue des runes et de l'ancienneté de ces dernières.

   Apogée se rapproche de la dépouille, et se pencha sur son arme, un marteau de guerre frapper de runes incandescente et rougeoyante. Sans honte et sans remord, elle s'empara de l'arme, brisant les doigts du défunt sous son geste et admira de plus près l'arme. Elle émit un sifflement admiratif.

-C'est pas l'genre d'arme qu'on peut voir chez de simples soldats. Création d'un Seigneur des runes, dois avoir une sacrée histoire celle-la, j'suis sur que les nains ont due tenter plusieurs fois de la récupérer.
Clamat t-elle. Y'a pas que leur or qui soit le seule trésor ici. Dit-elle en se retournant vers ses camarades. N'hésiter pas, les nains seraient prêt à tout pour récupérer de t-elle merveille.

   Le marteau n'était pas le seule objet intéressant, la couronne devait valoir bien plus que son pesant d'or, sans compter les bijoux, au vue des runes luminescente dessus. On pouvait qualifier Apogée d’irrespectueuse, de profanatrice ou d'ignoble créature, mais bien d'autre ne s'en serait pas priver, les morts ne peuvent pas se plaindre. Le temps que les amazones agissent ou réagissent, loin derrière elle, les bruits sourds se firent enfin perceptibles, portait par l’écho des lieux, parvenant faiblement à l'oreille du trio, pesant, régulier et lent, quelque chose avancer. Lentement mais surement, une chose massive se déplacer, dans leur direction visiblement, avait t-il sentit la présence d’intrus ? Venait-il ici sans réel raison ? En tout cas le trio fessait fasse à deux choix : aller à la rencontre de l'inconnue ou aller dans l'inconnue en prenant un des passages ? Toujours est t-il qu'Apogée ressentit de curieuse réaction chez elle, de la crainte et un sentiment qu'elle savait qu'elle était la chose, sans le savoir réellement elle put dire juste une chose :

-J'crois qu'on ferait mieux de prendre un des passage. L'a pas l'air commode et on dirait qui sait pas qu'on est là.


   

*les ouvertures sur les murs n'existe pas, mais c'est la seule image qui correspond à ce que je voulais.

Les Amazones

Légion

Re : à l'aventure compagnons ! [PV Amazone]

Réponse 19 lundi 06 février 2017, 00:57:51

Visiblement, les trois femmes étaient arrivées bien après la fête. Difficile de comprendre ce qui s’était passé ici. Un affrontement entre Ashnardiens et Orcs ? Mais où étaient passés les nains ? Fanis et Astrid suivaient Apogée à travers les coursives de la ville naine. Fidèle à leur habitude, les nains construisaient d’immenses structures, s’en servant, non seulement pour abriter leurs forts, mais aussi leurs villes. Les villes naines étaient ainsi des forteresses à part entier, abritant une succession impressionnante de bâtiments, de couloirs, de ponts suspendus, le tout s’articulant autour du donjon central. C’était d’ailleurs là-bas que les femmes se rendirent. Ici et là, il y avait de multiples signes témoignant de l’intensité de la bataille, comme des barricades improvisées faites sur les rues, amoncellement de fauteuils, de meubles renversés et étalés pour former des constructions de fortune.

« Ça a bataillé sévère… »

La garnison impériale située ici avait visiblement dû combattre un redoutable ennemi. Des Orcs ? Possible.. Mais Karaz’hor pouvait aussi abriter encore plus chose. L’ennemi, en tout cas, était venu de l’extérieur, et les défenses s’étaient focalisées autour du donjon central, qui se trouvait au centre de la ville, reliée à cette dernière par une série de six ponts surplombant la cité. L’ensemble était majestueux, et témoignait de tout le savoir-faire architectural des nains. Depuis les tunnels dans la montagne, on ne faisait que contourner l’immensité de la ville, sans se douter de ce que les nains avaient bâti ici. L’accès aux mines de Karaz’hor se faisait certainement depuis le donjon, et, depuis les ponts, on pouvait voir que les ponts s’enfonçaient dans les profondeurs de la région, probablement le long des mines.

Il y avait de quoi en avoir le vertige, et le trio rejoignit le centre de la ville. Elles grimpèrent dans le donjon central, et arrivèrent devant une immense pièce, évoquant une ancienne salle de manger, au vu des longues tables en bois qui se dressaient ici et là.

« La salle de vie… Les mineurs devaient manger ici. »

Fanis et Astrid observèrent davantage les lieux, car elles notèrent rapidement d’étranges choses sur le sol. Les Ashnardiens morts semblaient s’être battus contre des créatures doitées d’épaisses griffes, mais qui émanaient de l’intérieur du fort. La position des corps, leur regroupement près de la porte d’entrée… Astrid constata rapidement qu’il y avait, le long de la porte, d’épais barreaux en bois, qui avaient servi à condamner la porte, mais qui avaient, entretemps, été découpées.

« Ça venait de l’intérieur… »

Le mystère continuait à rester entier, mais des éléments de réponse commençaient à venir. Quelque chose avait impitoyablement massacré les Ashnardiens. Apogée poursuivit ensuite sa marche. Une fois la salle de banquet traversée, le trio se rapprocha de la salle du trône, avec le sentiment persistant qu’elles étaient suivies. Sans grande surprise, la salle de trône abritait plusieurs reliques, ainsi que de nouveaux cadavres dans les couloirs. Apogée s’empara d’un puissant marteau de guerre, tandis que les deux Amazones observèrent la couronne du Roi, sertie de pierres précieuses.

Apogée semblait vouloir le marteau, et Astrid, elle, attrapa la couronne. Néanmoins, il était peu probable que le trésor de Karaz’hor se résume à un marteau de guerre et à une couronne, aussi impressionnants soit ces deux joyaux. Alors que Fanis et Astrid commençaient à se demander ce qu’elles allaient faire, des bruits de pas se firent entendre… Ainsi que des grondements, et des grognements bestiaux.

« On n’est pas seules… commenta Fanis.
 -  Les bruits viennent de la salle de banquet. »

Rebrousser chemin, ou s’enfoncer dans les entrailles du château ? Fanis et Astrid hésitaient.

« Les Ashnardiens à l’intérieur de ce donjon ont affronté une menace qui venait des entrailles… Probablement des mines.
 -  Si on s’enfonce, et qu’on tombe sur d’autres ennemis, nous n’aurons aucun point de repli. »

Mieux valait, avant de se lancer dans une exploration à l’aveuglette, sécuriser leurs arrières. Astrid rebroussa donc chemin, traversant le couloir, et l’escalier, qui ramenaient vers la salle de banquet. Leur présence avait attiré un monstre, et, quand les deux femmes rejoignirent la salle de banquet, elles ne tardèrent pas à voir ledit monstre, qui reniflait leur odeur, et avançait lentement sur le sol, créature massive, comprenant de longues griffes.

En reconnaissant le monstre, Fanis serra les dents.

« Et merde…
 -  Je comprends maintenant ce qui a pu mettre en pièce les soldats ashnardiens… »

Une créature des plus redoutables se dressait en effet devant elle.

Un massif Écorcheur !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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