Le tunnel était soigneusement tailler en pentagone haut de 5 mètre et suffisamment large pour laisser passer 6 nains en même temps, des vestiges de support de torches placer un intervalle régulier, sur les murs ou des piliers de granite, manufacturer avec style et doigter des fresques sans sens que pour enjoliver le mur et les piliers, parfois des taches de sangs sur les murs des squelettes réduits en morceau et les restes du systèmes ferroviaire. Mais les murs présentaient des fissures par moments, le plafond de même, des gouttes d'eau s'écoulant à tout va, brisant le silence de leur plic-ploc sans fin. Le trio, bien qu'ayant des torches, avancer dans les ténèbres, d’étrange échos en plus des gouttes leur parvenant, arme en main. Apogée tentait sa torche en hauteur, loin de sa vue et pour avoir un meilleurs éclairage au possible.
Au centre de ce tunnel, leur torche éclairer à peine les murs, croisant des sortes d'ouvertures, comme le seuil d'une porte, boucher par la pierre, barrée par des portes pourries ou enfoncer, sans rien dedans, ratant parfois quelque salles, leur entré plonger dans les ténèbres.
« C’est bien ce que je pensais... Tous ces morts ont attiré des monstres. »-Ouf... j'avais peur qu'y aurait rien à éclater. Lâcha Apogée, un sourire goguenard sur les lèvres.
Les bruits ne cessaient, des os jonçant de temps à autre le sol, éparpiller et curieusement ronger. Après un moment, elles arrivèrent dans une nouvelle salle, une grande salle et un troue en son centre, profond et noir, t-elle la gueule béante d'un quelconque monstre. Les nains avait due trouver un filon en creusant le tunnel, des pont de pierres entourant le troue bien que plonger dans le noir, cordages, poulies et échafaudages se succédant. Rien ne pouvait stopper l'avidité des nains et leur soif de découverte, Apogée se pencha au dessus du troue, cherchant à voir le fond entendant vaguement le bruit d'une rivière souterraine.
« ATTENTION !! » Apogée se retourna brusquement, épée tendue, tandis qu'un noctule s'en prit à Fanis, qui l'esquivait avec agilité. Apogée voulue s'élancer contre le monstre, mais surgissant des côtés, des murs de la salles, de là où elles venait et même du troue, des goules se joignirent aux festivités. Ils n'arrivaient pas en masse, mais en nombre suffisant pour relever de l'inquiétant et remettre ses chances de survit en question.
-YYYYAAAAABBBBAAAAYYYYYAAAAARRRR ! Beugla Apogée d'une voix puissante son crie de guerre.
Crie de guerre qui se répercuta dans les lieux, prenant une tonalité de grondement issus d'un puissant monstre, remontant le long du tunnel, fessant fuir plus loin quelque monstre faible d'esprit.
Elle donna un coup de pieds à une goule qui sortait du troue, enfonçant ses côtés l'envoyant valser vers le centre du troue, le monstre retombant dans les abysses dans un crie inhumain. D'un mouvement d'épée, elle découpa un monstre un deux, en partant du bas, dans une belle diagonale, son épée finissant dans le bras d'un autre, le propulsant dans le vide. Du plat de son épée, elle éclata le crane d'un autre, tout en tenant dans sa main un autre, broyant sa mâchoire sous doigts, du sang noir jaillissant en fontaine alors qu'elle arrachait la mâchoire inférieure. Son poing finit dans le visage d'un autre, le propulsant en l'air, l'envoyant s’écraser contre un mur, son crane se fissurant, alors qu'elle embrocha un second, qu'elle souleva et utilisa comme marteau pour écrabouiller un troisième, brisant les os et broyant les organes.
D'autre noctule apparurent, jaillissant de niche dans le plafond, l'une d'elle fonçant sur Apogée, la heurtant de plein fouet, enfonça ses dents dans le muscles de son bras, avant que se dernier ne se referme sur sa tête et ne lui broie le crane. Elle laissa tomber le monstre, éclatant sa tête devenue molle sous son pieds, rependant sur le sol sa cervelle, des éclats d'os et du sang coulant comme une fontaine. Elle embrocha un notucle, mais celle-ci s'agrippa à elle et continua à avancer, cherchant à atteindre son visage et un goule se plaqua contre son dos, ses griffes entaillant son torse et cherchant à la mordre au cou. D'un coup de tête elle le fit lâcher brise, lâcha son épée et dégagea l'autre d'un coup de pied dans le pommeau de son arme, plantant la créature dans le sol. De justesse, elle plaça son bras sur le chemin d'un coup de dent d'un autre, qui mordit sa chaire, avant qu'Apogée ne le décolle de son autre main, une simple marque de dents sur son avant bras. Elle le lâcha et d'un formidable uppercut, elle éclata sa mâchoires, ses dents, le cartilage du coup, déchira la peau et les veines et le souleva sous la force, l'envoyant contre un mur. Elle attrapa un monstre au bras, plaça son pieds sur son torse et lui arracha les membres et lui éclatant la tête avec. Elle en chopa un autre, plongea sa main dans son ventre, perçant les organes, atteignant la colonne vertébrale qu'elle broya, avant de plonger son autre mains dans son ventre et de s'arranger pour le déchiqueter en deux, usant de sa force surhumaine. Elle balança les deux morceaux sur les côtés, riant au éclat, comme une barbare en pleine bataille, couverte de sang, alors qu'elle s'attaqua à une créature. Elle éclata le crane d'un autre noctule, mettant à l'air libre sa cervelle, avant d'éclater les côtés à coup de pieds à autre qui s'approcher dangereusement dans le dos d'une des amazones. À la suite en balança une créature sur une autre, l'empéchant d'accomplir ce que son compère n'avaient pas put faire.
Au final les monstres repartirent d'où ils venaient, fuyant ces femmes qui étaient pire qu'eux, après d'intense minutes de combat ou de massacre. Apogée était sur le point de les poursuivre mais le noir complet réussit à l'en dissuadé. Sa torche avait perdue de son éclat, plonger dans la semi-pénombre, Apogée se retourna vers les amazones, couverte de sang, un sourire de satisfaction effrayant et un regard avec une lueur de folie. Si les amazones regardèrent Apogée directement dans les yeux, elles auraient le même sentiments que de se sentir en danger imminent face au regard d'un dragon. Ses yeux était ceux d'un dragon, brillant un peu dans la pénombre de ces lieux.
Apogée ramassa sa torche, dissipant l'aspect de danger ambulant sur visage, abordant un visage réjouit et fier, malgré les flammes mourante. Apoga se mit a fouiller son sac qu'elle avait laisser tomber, ressortant de quoi rallumer sa torche mourante.
-On r'prend la route ? Souffla Apogée à ses camarades.
Contournant le gouffre à grâce au pont, elles continuèrent leur chemin, après s'être panser et Apogée s'être un peu laver du sang de ses ennemies. Les monstres étaient toujours présent, des bruits étrange confirment leur présence, sans pour autant se montré. La première escarmouche avait causé la mort de plus d'une quinzaine d'entre eux, les survivants ayant préférer la fuite, préparant sans doute une revanche. Durant quelque minutes au moins, elles poursuivirent leur route, trouvant parfois des salles qui devait servir de casernes ou d'aire de repos, certaine condamner. Mais la découverte de pièce d'or dans un petit sac dans la faille d'un mur, et de deux-trois goules affamés, raviva l'espoir qu'il restait encore des richesses dans cette forteresse.
Progressivement et de plus en plus rapidement, le tunnels commença à grimper et à bifurqué tantôt à droite, tantôt à gauche. L’ascension fut longue, ponctuer de bruit étrange, parfois un monstre surgissant du noir, suivit de quelque individue, réduit en tas de chair sanguinolente par Apogée, qui se mit en avant, interceptant les monstres qui venait d'en face, se maculant de sang, redécorant parfois les murs de rouge. Ce fut en trois heures, une dizaine de monstres abattues, deux pauses et un besoin de se soulager, que le trio déboucha sur le haut de la montagne, surplombant le lac et l'entré, arrivant en face des grandes portes de la forteresse naine.
L'immenses structure rappelait sans mal qui furent les maîtres de ces lieux, écrasant de sa prestance les visiteurs. T-elle une bête, la porte, plonger dans l'obscurité, semblait guetter ceux qui oserait s'aventurer jusqu'ici. Le soleil était derrière la montagne, plongeant dans la pénombre la porte et la vaste place, aucune lumière ne venant éclairer cet endroit lugubre. Aucun bruit ne venait trahir le silence de ses lieux, si ce n'est que le vent qui siffler.
La porte avait des airs démoniaque, quelque squelettes empaler sur des piques, des taches sombres fessant penser à du sang sécher depuis des années, des impacts multiples et ses portes mis à bas offrant une plonger dans les ténèbres apparemment sans fond. La forteresse de Karaz'hor s’appétaient à recevoir de nouveaux visiteur, quels dangers les attendaient ? Qu'allez t-elles découvrit ? Elles le seraient bien assez tôt.
Le trio franchit les portes, éclairant de leur torche, un long couloir, haut de plusieurs mètre, d'immense fresque recouvrant les murs, à moitié effacer par les coups et la poussière, d'immense colonne de par et d'autre, sculpter habilement, représentant des guerriers nains. Le couloir s'étendait sur une dizaine de mètre, plonger dans les ténèbres, bien que rapidement, une faible lueur perça ce voile sombre. Elles débouchèrent pratiquement sur
une sorte de ville, une immense rue qui semblait se perdre à travers la montagne, d’immense structure de par et d'autre, les deux premiers bâtiments sur leur droite et leur gauche, relier par un ponton, étaient des casernes, le reste succession d'habitation. Au dessus des bâtiments, des ouvertures laissaient passer la lumière, sûrement pour aérer la ville et de dissiper au mieux les ténèbres.
Ce n'était que le début, mais déjà bien des possibilité s'offraient au trio, plusieurs bâtiments à fouiller, afin de dénicher la cache d'un quelconque marchant autrefois riche, poursuivre le chemin pour tomber sur les zones intéressantes, la salle du trône ou du trésor, la réserve de bière, les forges, peut être une bibliothèque ou d'éventuelle mine. La visite de cette forteresse, risquerait d'être assez longue, mais bien des merveilles les attendaient. Mais bien évidemment, les affres du massacre des orck et d'Ashnard subsisté, des bâtiments noir de suie, aucune porte intacte, des piliers fracassaient, une couche de sang et de sueur recouvrant le sol et les murs, des squelettes empaler ou transformer en immonde structure, comme savait si bien le faire les orcs et par endroit, des tas d'immondice, former de déjection et de d’entrailles depuis longtemps dessécher. L'air porter encore les miasmes de la mort et de la pourriture, bien qu'atténuer par le temps.
-Bon... on vas pas rester ici à prendre la poussière ! Clamat Apogée, alors que ça voix se répéta en échos.
Qu'es qui vous botte le mieux ? Qu'on cherche la salle du trône ou qu'on s'amuse à farfouiller l'endroit ? On trouva p'être un plan d'l'endroit quelqu'par !