« Je comprends, mourir pour une forme de vie telle que vous doit sembler être une chose définitive, ennuyeuse même. J'ai contacté les autres unités, elles sont en route pour le hangar, un vaisseau nous a été attribué... L'empire ne vous en voudra pas de fuir, vous n'êtes pas remplaçable...
- Je n'ai jamais fui une mission. Mais malgré tout, je n'aime pas laisser ma survie au hasard. »
Le ton avec lequel elle venait de lui faire part de sa possibilité de trouver la survie dans la couardise n'avait pas vraiment été bien entendu, mais Belphy avait comprise, avec ses quelques jours auprès de l'Empire, que ces femmes robotiques étaient bien loin d'avoir le moindre don en terme de tact ou de loquacité, ce qui avait justement peut-être menée Clover, une humaine sans éducation, à se méprendre sur la manière d'échanger avec autrui. Alors elle ne vint guère ronchonner, ou répondre avec un ton acerbe, et préféra plutôt commencer à avancer en compagnie de la femme qui la guidait, Mortissia ayant naturellement une pleine connaissance du domaine, et lui offrant dés lors la possibilité de ne pas se perdre dans le gigantesque vaisseau si elle avait l'intelligence de ne pas quitter du regard le cheminement de la belle femme à la chevelure mauve. Entre-temps, elle continuait toujours d'observer le moniteur, d'engranger la moindre information dont elle pouvait se faire l'acquisition afin de s'assurer d'être en pleine possession de ses moyens pour les futurs déplacements au cœur des tunnels de la Ruche planétaire, et ce faisant, elle ne manqua point de continuer d'analyser les divers cheminements qui leur était utilisable, avant de finalement se focaliser sur d'autres parties des dossiers, notamment ceux qui parlaient des spécificités raciales des formiens de cette colonie. Pendant ce temps là, Mortissia lui confirma la présence de Micha lors de leur arrivée sur la planète, ce qui ne manqua pas de faire sa joie, car elle allait sûrement échanger avec elle durant l'aller pour s'assurer de l'exactitude des plans, mais autrement, elle ne quitta guère des yeux l'écran, étudiant le moindre élément avec une rigueur toute professionnelle.
Dehors la bataille faisait rage. Finalement le son ne se portait pas dans l'espace, quelque chose qui ne leur permettaient pas, en laissant traîner l'ouïe, d'imaginer la violence des impacts, la destruction massive des assauts, la folie furieuse que représentait les affrontements entre les forces formiennes d'une sauvagerie infinie, et les puissantes technologies Silduriennes, qui faisaient grand effort pour égaliser en capacités annihilatrices leurs adversaires. Pourtant, et plus d'une fois, la mercenaire rousse eut la grande occasion de voir voler, au travers des vitres gigantesques du bâtiment qu'elle traversait en compagnie de son alliée, les formes sanguinolentes et charnelles des aliens à la voracité éminente, ou de manières bien plus inquiétantes, les morceaux de ferrailles vibrant d'énergie délaissé par les formes mécaniques de l'Empire. Rien de tout cela ne paraissait finalement réel, par moment Belphégor se posant même la question d'une action rituelle d'auto-destruction des deux forces en présence, et, en d'autres occasions, elle se serait sûrement rangé sur ce raisonnement, si elle n'avait pas déjà eut déjà le droit de constater, avec stupeur, la manière proprement barbare avec laquelle les troupes de l'Empire engageait les guerres et les assauts plus ou moins tactiques. Qu'elle lui demande des conseils n'était finalement pas si mal avisé, car oui, maintenant, elle s'en rendait bien compte : La puissance de ces troupes avait surpassé le besoin de prudence, et désormais, elles pêchaient de confiance, chose qu'une entité mortelle telle que la Tekhane ne pouvait omettre.
En tout cas, elles continuèrent de parcourir les lieux avec un regard tout aussi distrait que rigoureux, l'une, mécanique, se perdant sûrement dans les quelques préparatifs qui allaient devoir être produit pour s'assurer du départ optimal de leur vaisseau pour la mission si étrange pour l'Empire qu'elles allaient accomplir, et l'autre, charnelle, qui cherchait encore et toujours à analyser ce monde d'une brutalité sans pareil à ce qu'elle avait connue, y trouvant tout autant un certain dégoût face à la débauche de moyens brisés par la sauvagerie générale, qu'un attrait malencontreux, indépendant de son être, attaché à une nature qu'elle ne comprenait en cet instant. Quand elles parvinrent enfin au hangar, ce ne fut pas sans une légère marque de satisfaction de la part de la mercenaire, qui n'avait dés lors plus à contempler les « mortes » et les cadavres, et qui pouvait dés lors continuer son étude précise des plans pour affiner peu à peu ses préparations méticuleuses, mais pourtant les images qu'elle venait d'observer lui restait en tête, lui offrant cette sensation désagréable de s'élancer dans quelque chose de presque trop gros pour elle. Très honnêtement, et humblement aussi d'ailleurs, la rousse se devait d'avouer qu'elle n'avait pas l'habitude de s'attaquer à un danger qu'elle ne pouvait vaincre seule, question de confort professionnel, et, en ce jour, elle était évidemment mise en face d'un problème que le tout de ses capacités, de sa nature inhumaine, de son talent martial ne saurait lui permettre d'envisager le plus petit degré de réussite solitaire. Finalement, quand elles approchèrent des zone d'embarquement, et quand elles croisèrent le reste des unités... Elle marqua un temps d'absence avant de réagir, perdu dans un constat qui la plaçait dans un certain ressenti, un malaise sourd, qui ne trouvait pas de réconfort.
« Et nous voilà réunis, voici Vermin, unité antibiologique, et Ravager, qui nous couvrira depuis la surface.
- Hum.... Oh euh.... Enchantée. »
Point de réponses. Pas étonnant dans un sens, ni l'une ni l'autre ne présentant les détails humains qui lui permettrait de considérer le fait qu'elle se trouvait en face d'entité charnelle, et qu'il s'agissait donc là de deux autres machineries, à l'image de Mortissia, et dont les forces ne se tenaient guère dans quelques considérations toute vivante, mais dans une puissance brute, celle de forces armées qui n'avaient pour autre but qu'assouvir les desseins de leurs maîtres. La mercenaire ne manqua guère toutefois de remarquer que si l'une, bien plus réduite que l'autre, avait sur le visage marqué l'expression d'une joie sauvage et viciée, celle d'un être dont le comportement se rapportait sûrement à quelques interdits naturels qui n'avaient, pour le coup, pas la moindre raison d'être limités en temps de guerres, l'autre possédait un attirail de toute beauté, la plaçant aux yeux de la Tekhane comme une forteresse sur patte, un temple à la destruction qui n'avait sûrement pas autre raison de vivre que celle d'être projetée dans la bataille. Mais cela avait le don, pour l'occasion, de la rassuré sur un éventuel loupé de leurs parts lors de cette descente programmée sur les terres ravagées de la guerre, et elle ne manqua pas de se montrer, si ce n'est joviale, coopérative envers ces deux êtres un brins silencieux, avant de finalement quitter toute tentative de discussion supplémentaire, et simplement les observer finir leurs préparatifs. De cette même manière, Mortissia vint à quérir le reste de l'équipement et l'amena enfin vers leur vaisseau de départ, futur crash-test de grande qualité sur le sol rude de la planète, et le ton qu'elle employa en le lui présentant n'eut pas don de la rassurer, bien malheureusement !
« Et voilà notre Lander Navyra, allez à bord Vermin, et pas de détour.
- J'y vais aussi immédiatement Mortissia, je vous attendrais à l'intérieur. »
Que ce soit pour le calme, ou se trouver ne position quand les différents programmes de lancement s'entameront, Belphégor ne voulait pas se trouver surprise par le temps et avoir le malheur d'être laissée en arrière, encore moins alors que les alentours fourmillaient d'une activité frénétique, et ce avec un véritable effort de guerre qui poussait à l'admiration, voir même, pour de minces occasions, en un élan d'étrange patriotisme que même la jeune mercenaire ne s'expliquait pas. Elle voulait faire partie de ce tout, alors bien sur, pas comme une machine décérébrée, agissant en cœur avec les autres sans le moindre exemple de pensée individuelle, car cela provoquait en son cœur quelques peurs dont elle ne sentait guère l'acceptation, mais en revanche, avec une volonté commune d'exterminer un ennemi dangereux, puissant, malfaisant, une gangrène spatiale qui avait déjà fait ses preuves sur son propre territoire, et qui désormais, dans les confins spatiaux, semblait quasiment redoubler de sauvagerie. Ce qui la liait avec toutes ces camarades inhumaines, c'était un élan particulier de haine envers cet adversaire commun, et une fois qu'elle trouva sa place sur l'un des sièges si particulier dont était constitué le porteur spatial, elle ne manqua guère de reprendre sa lecture assidu sur les mutations et les types précis de présence formienne à la surface de la planète, cherchant à en assimiler les faiblesses, les forces, les avantages et les inconvénients en les comparant à ceux qu'elle avait elle même combattue, et découvrant dés lors le désordre macabre dans lequel elle allait se retrouver.
Elle ne se rendit compte ni du mouvement, ni du départ, toute perdue qu'elle était dans ses lectures, mais celle-ci lui offrirent au moins le savoir qui lui était nécessaire pour agir de manière optimale une fois que le groupe trouvera enfin son chemin dans la Ruche extérieur, avant qu'elles ne s'enfoncent de plus en plus profondément dans le dédale anarchique de l'habitation stellaire des formiens. Notamment, elle comprit que les ennemis qu'elle allait affronter était des bêtes puissantes, lourde de muscles étranges, et protégés par une chitine bien plus épaisse que les spécimens vifs qu'elle avait précédemment rencontré sur Terra. La raison en était simple, la gravité du monde. Ils s'étaient adaptés à une vitesse phénoménale, prouvant encore une fois qu'il s'agissait là de parasites, de monstres qui n'offraient finalement que peu de temps à leurs ennemis pour ne pas tourner un domaine à leur avantage, et les quelques clichés du dossier lui permirent de constater avec effroi l'épaisseur abominable de ces êtres, la laissant devant un constat simple : Si elle voulait gagner, sa propre brutalité ne sera guère de mise, elle allait devoir redoubler d'une agilité hors-normes, et surtout, choisir avec précision quand les mouvements lents de leur adversaire lui permettrait de produire à un meurtre de sang-froid, ou un coup incapacitant envers ces entités, en faisant usage de ses lames sur les articulations molles et élastiques de ces êtres immondes. De là, elle ne chercha pas à s'enquérir plus sur le résultat de la mission, elle ne pouvait guère faire mieux, et ferma les dossiers pour observer simplement, d'un air concentré, l'évolution de leur progression spatiale, acceptant l'aveuglement relatif du transporteur pour ne pas avoir à s'inquiéter, et se concentrant sur l'effet des différentes couches protectrice de la planète pour lui indiquer l'approche rapide du sol.
La pression fut difficile à vivre, la chaleur montante aussi, les degrés ne manquant pas de passer d'une fraîcheur spatiale relative à une fournaise insupportable quand elle entrèrent dans l'atmosphère des lieux. Dans le fond, cela avait au moins l'avantage de l'informer qu'elle pourrait respirer sur le sol sans avoir le besoin d'user d'une tenue annexe, ce qui faisait son plaisir, elle qui n'avait jamais supporter de s’embarrasser de quelques couches de tenues trop épaisses pour ne pas lui laisser la pleine liberté de ses mouvements, mais pour autant la situation dans l'énorme morceau de métal, combinée au lourd momentum qui la clouait contre l'inconfortable assise qu'elle occupait, n'avait rien de bien rassurant pour la mercenaire, qui n'avait jamais connue pareille débarquement planétaire. Les autres unités alentours, sur lesquelles elle passa un œil avide de conseil, mais aussi d'un besoin rapide d'éléments rassurants, ne semblèrent pas un seul instant ciller de cette descente douloureuse, et aussi elle cessa de jouer les mijaurées pour simplement accepter son sort, adressant de manière bien superstitieuse une légère pensée à quelques divinités inconnues de la chance et de la bonne fortune, leur demandant en grande connaissance de ses habituelles déboires qu'elle n'ai pas à connaître une fin prématurée lors de l'atterrissage improvisé de l'appareil. Sur l'écran, l'affichage lui indiquait qu'un choc imminent allait bien sûrement les mener, ses partenaires mécaniques comme sa faible chair, à ressentir tout l'impact d'un crash, et ce malgré la feinte qu'elles devaient produire... Ses derniers gestes avant ceci furent de poser les mains vivement sur les poignées de son armement, et de les serrer avec un brin d'appréhension, alors que les derniers chiffres du compteur défilaient à toute allure...
L'instant d'après, et ce que ses craintes de voler à travers des lieux ne se virent confirmer, elles étaient au sol. Discrètement, la sortie du vaisseau fut ouverte, et chacune, avec rapidité, quitta le confort absent des assises pour se précipiter, avec efficacité, hors de la soute, Belphégor ne se faisant guère attendre, malgré sa légère confusion, ayant pleinement conscience que pour ce genre d'action, de mission, il était absolument crucial que chacune agisse avec la plus grande des vélocités. Pendant un moment, elle ne put désavouer avoir quelques craintes vis-à-vis de l'unité ravager, celle-ci semblant être si lourde et pataude que le moindre pas de course les menaient à la distancer, mais elle remarqua avec grande surprise que celle-ci interrompit son échappée pour se position à découvert, et implanter sa machinerie diabolique dans le sol de manière à signaler l'imminence de ses tirs, et leurs précisions, si quiconque osait un seul instant les approcher de ce point particulièrement crucial du plan : le point de retrait. Personne ne cilla à cet arrêt de l'unité, et chacun continua son déplacement vigoureux envers le point de réunion, la mercenaire dotée d'une vue excellente remarquant rapidement le carnage produit à l'entrée des lieux, quelque chose dont la violence était encore un brin plus soulignée par la belle jeune femme qui tranchait encore et encore les cadavres l'entourant, du moins jusqu'à ce qu'elles s'approchent. Unité Sayaka, efficace, imprévisible, elle avait eut le droit de contempler son dossier, et elle appréciait que l'Empire les ait doté d'une femme dont la nature lui était bien semblable, hors considération d'un certain sadisme. Pour autant, l'heure n'était pas aux présentations, et Mortissia ne perdit pas une seconde, tandis que l'unité Micha apparut elle aussi, auprès de l'entrée de cette Ruche :
« Bien, Sayaka, tu nous rejoins, Miccha au rapport, et montre-nous le tunnel.
- Le tunnel est par ici, il n'y a que peu de forces ennemies dans la zone, Ravager est en train de les attirer à elle. Le tunnel est assez grand pour nous, mais nous devrons passer en file indienne. »
Le tout de la mission semblait se dérouler sans encombre pour l'instant, et c'est avec une certaine satisfaction que, pour la première fois, Belphy vint à rejoindre le peloton de tête dans cette avancée, Sayaka ayant prit les devants, rapidement suivie par la mercenaire, pour qu'enfin les unités Micha, Vermin, et Mortissia se placent à leur suite, leur laissant conserver une organisation claire dans leur avancée prudente dans les tunnels de la Ruche formienne. Belphégor n'était pas étonnée de la conception des lieux, les entrées de Ruche étaient toujours les même, car hormis la principale, béante, servant normalement à laisser le tout de l'armée s'écouler avec violence sur les terres qu'ils occupaient, le reste des accès étaient toujours étroit, afin d'en faire des zones de déplacements facilité, ou de retrait, et non de position à défendre pour les forces xénomorphes insectoïdes. Pour autant, qu'elle reconnaisse le style architectural n'était pas non plus agréable, car elle y trouvait le moindre des détails écœurants qui y étaient affiliés : les murs couverts de cette substance poisseuse, servant notamment à maintenir aux murs différentes sortes de larves, ou de matériaux glaiseux utiles à garder les lieux chauds et secs, mais aussi ces étranges colonnades anarchiques constituées d'un liquide ambré, à moitié solidifié, et qui réagissait au moindre toucher par une soudaine pétrification capable de maintenir en place un char poussé à pleine vitesse. À peine entrées, elles se devaient déjà d'accepter les dangers qui les entouraient, mais aussi la toute proche possibilités de quelques inconvenant événements, ceux-là même qui les mèneraient à perdre un temps précieux, et essentiel pour de tels missions éclairs.
« Mademoiselle Mueller, on m'a passé vos idées de déplacements. Le passage le plus rapide reste la grande artère, mais nous serions faciles à repérer, vous êtes sûres de vouloir l'emprunter ?
- Certaine. Les formiens sont conscient de la moindre approche, ils partagent un seul et même esprit. Quoi que nous fassions, nous serons repérées rapidement, alors le minimum, c'est que nous nous permettions un peu de liberté d'espace, mais surtout, le passage le plus rapide possible en direction de notre objectif. À droite toute ! »
Elles s'engouffrèrent dans un conduit sûrement trop exigu pour un formien d'affrontement, ceux-ci possédant une carapace bien trop rigide pour la moduler à un passage destinés à des formes serviles et de plus basse extraction, et c'est ainsi qu'elles débouchèrent sur l'énorme galerie australe, dans laquelle sommeillait principalement les jeunes larves, et les formes nymphales, ou pupales, qui rivalisaient toutes d'atrocités difformes et d'inquiétantes mutations. Toutes en stases évolutives, elle ne pourront en aucun cas les remarquer, et les arrêter, même donner l'alerte leur étant tout à fait impossible, et comme l'avait prévue la rousse, il n'y avait pas ici âme qui vive, la grande majorité des formiens ayant migré dans l'espace centrale afin de se rediriger sur le fantastique champ de bataille plus loin. Cela avait l'avantage de leur laisser le champ libre pour se diriger vers leur objectif, mais le triste déboire de leur prévoir quelques actions bien plus complexes une fois qu'elles y seront arrivée, l'endroit prétendument détenteur de la technologie Sildurienne se trouvant à fleur du cœur supérieur de la structure, peu loin de l'Overmind de cette Ruche, et qui aura dés lors tôt fait de les remarquer, voir de s'en prendre à elle. Et si se farcir quelques xénomorphes n'était pas, fondamentalement, problématique, surtout au vu de leur équipe, vaincre un Overmind était chose bien plus contestable sans un support de feu, ou de destruction massive conséquent. Et Ravager ne pouvant entrer efficacement pour s'en approcher, l'idée était proscrite, alors pour l'instant, on évitait de réfléchir à l'éventualité de cette rencontre, et les cinq femmes se pressaient, usant du tout de leur force, pour parcourir le plus prestement possibles la longue distance les séparant de l'objet de leur mission.
« Pour l'instant, si nous rencontrons un formien, assurons nous que ce ne soit pas une pupe aveugle, ou un serviteur de petite extraction, car ils n'ont pas les phéromones ou l'esprit pour appeler à l'aide, mais peuvent répandre des signaux à leurs morts. En tout autre occasion, Mortissia, Sayaka, nous allons travailler de concert pour les éliminer rapidement, et poursuivre sans délais. À la première mise en alarme, nous n'aurons pas plus de quelques minutes pour atteindre votre technologie, et l'emporter, alors toute discrétion est nécessaire. »