Le sourire de Rachele se fait plus cruel et ses yeux se plissent à mesure qu'elle écoute Anastasia lui cracher au visage. Quand finalement elle choisit l'option de l'attaque, la gangster hausse un sourcil de surprise et ricane de manière lugubre et séduisante.
Pendant que le premier gorille, à genou, se masse les testicules en souflant et en gégnant de douleur, l'autre dégaine son révolver et le pointe sur la brunette rebelle. Rachele écoute alors Lola s'exprimer et tenter d'aranger les choses, son étonnement laisse à nouveau la place à un sourire sournois et malicieux.
- C'est bien ma belle, tu es plus résonnable que ta soeur, et plus intelligeante aussi... on va bien s'entendre toi et moi. Tu as raison... nous alons trouver un terrain d'entente et tout va rentrer dans l'ordre.Dit elle d'un ton conscilient qui ne lui va pas du tout et qui sonne faux.
- Je suis sure que tu me sera d'une grande aide pour... comment dire... "canaliser" ta soeur le moment venu. Monsieur Mickael essai de gromeler de réprobabtion entre ses dents brisées, mais l'homme de main, ayant parfaitement compris que leur victime à changé, lui ascène simplement un coup de crosse derrière la nuque pour l'assomer.
Rachele continue de deviser comme si de rien n'était en ignorant les diatribes haineuses d'Anastia.
- Vous avez donc décidé de payer pour votre père, très bien, j'en suis ravie...Mais alors que les jumelles pensent qu'un accord peut etre trouvé, trois hommes arrivent d'un pas feutré dans leur dos. Deux d'entre eux sont cagoulés, le dernier, à la chevelure blanche cendrée, porte une veste vieille et crasseuse et des lunettes glacées.
- La limousine est prête Max... on peut partir.- Merci Ivan... Votre père me doit donc 57 millions de dollars. Rachele admire la déconfiture sur le visage des jeunes femmes et se délècte de leur expression quand elles comprennent qu'elle ne pourront jamais honnorer cette dette.
- Rassurez vous petites salopes, à vous deux je finirais peut être par éponger l'ardoise de votre père. En revenche j'irai beaucoup plus vite en vous y aidant... personnellement...Elle claque des doigts, les deux gorilles masqués empoignent les deux jeunes femmes et leur plaque un épais mouchoir de tissu sur la bouche et le nez. Instantannement, une odeur âcre et insupportable leur monte au nez et chaque inspiration leur fait un peu plus tourner la tête et perdre pied. Même si Anastasia décide de se débattre, elle ne parvient pas hélas à se libérer de l'étreinte du mastodonte. Si les jumelles retiennent leur respiration, le chorophorme fera peu à peu effet...
Rachele se rapproche de la rouquine, un long cutter à la main. Comme un rapace, elle s'attaque à la moins agressive des deux soeurs pour s'assurer de ne pas prendre de coup pendant qu'elle commence à jouer avec elles.
- Je crois que je vais m'occuper de la petite intello en premier... qu'en pense tu Anastasia ? Tu veux que je te montre ce que je peu faire avec ta soeur ?Elle passe le cutter entre les seins de la robe de Lola et le fait glisser sur l'etoffe. Avant qu'elle ne perdent conscience, Lola assiste impuissante au spectacle de sa robe qui glisse le long de ses formes généreuses et révèle son corps de rêve à tout les hommes de la pièce.
Pour que la jeune femme craque et cesse de lutter, la gangster prend délicatement un de ses tétons dénudé entre les doigts, et commence à le lécher, l'excitation obligeant sa victime à respirer plus vite et plus fort...
Plus robuste que sa soeur, Anastia assiste avant de sombrer à son tour, au combat de sa soeur victimes du jeu pervers et sexuelle de cette femme horrible, qui s'affaisse petit à petit sous le poid du sommeil.
- Bonne nuit mes nouvelles petites putes...--- LE RACHELE'S - DERNIER SOUS-SOL - L'ASYLUM ---
Le bruit strident d'un grincement de roulettes sort brusquement Anastasia de sa léthargie. Les yeux encores embrumés et le corps lourd, elle se sent flotter étrangement, voit défiler devant elle des couloirs de béton lissé et craquelé par endroit. L'odeur de transpiration, de sexe et de produit d'entretiens lui assaillent les narines et lui rappel étrangement l'odeur d'un vieille hopital.
Rapidement, elle réalise qu'elle ne peut pas bouger, elle est engoncée dans une camisole de force qui lui tient chaud et lui sangle fermement les bras sous les seins. Un gros objet spherique lui obstrue la bouche et l'empèche de parler, elle ne peut que gémir ou crier sous son baillon boule.
La fraicheur sur ses fesses, ses jambes, et comble de l'horreur, sa vulve, lui fait réaliser qu'elle est entièrement nue à partir du bassin.
La vue lui revient maintenant normalement et elle entend des sons étranges, des cris de douleur, de plaisir, de folie... tout ça à la fois, et qui semblent venir de toutes les portes devants lesquelles elle passent. Elle réalise qu'elle est sanglée à une sivière par le bassin, les cuisses, et les chevilles, impossible donc de se retourner mais elle devine deux silouettes féminines qui la pousse toujours plus loin dans cet endroit terrifiant. Les deux femmes rigolent et échangent des plaisanterie dégradante à son sujet et semble l'appeller "patiente" et non pas Anastasia.
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Le voyage prend fin quand l'une des deux infirmières prend les devants et toque à une porte. Anastia reconnait la voix de son ennemie jurée qui les autorise à entrer. L'infirmière ouvre la porte pendant que l'autre fait entrer la "patiente" dans la pièce. Celle-ci ressemble à un vieux bloc chirurgical désafecté et réaménagé en dongeon SM à ceci près que les lampes, les tables à ustencils et d'opération sont toujours là.
L'une des deux infirmière referme la porte, et enlève le baillon d'Anastasia pour qu'elle puisse parler, maintenant qu'elles sont dans un lieu plus calme que les couloirs. L'attention de la belle rebelle est atirée par des gémissements etouffés, comme criés au travers d'un baillon comme celui qu'elle portait quelques secondes plus tôt.
En relevant la tête, elle assiste à un spectacle horrible. Sa soeur, si calme, si intelligeante, la fierté intellectuelle de la famille, est intégralement vétue d'une combinaison moulante en vinil qui l'etouffe et lui tient horriblement chaud. Comme sa propre camisole, la tenue de Lola lui sangle les bras sous les seins et les réhausse. La rouquine est attachée de toute pare et ses jambes sont écartés et attachées à une crois montée sur des roulettes pour qu'on puisse, comme pour la sivière, la déplacer où on veux comme si elle n'était qu'un meuble.
Le visage de Lola, rouge et gonflé à cause de la chaleur et du manque d'air, est outrageusement couvert d'un bandeau aveuglant en cuir et d'un épais baillon boule. La pauvre jeune fille qui avait toujours compté sur ses talents d'auratrice pour les sortir du pétrin, était maintenant réduite à sa simple condition de jouet sexuel, un gachi monumental pour qui sait quel esprit extraordinaire se cache sous ce dispositif odieux.
Comble de l'horreur, Anastasia remarque qu'un triangle de vinil a été découpé entre les jambes de sa soeur pour offrir à tout les regards la vue de sa vulve intacte et délicate, encore saine des ravages d'une sexualité active et répétée. La rebelle remarque également que quelques goutes de ciprines glissent entre les cuisses de sa soeur, comme si on venait de la toucher, de l'ecxiter.
Rachele, se tenant devant Lola, accueil Anastasia avec un grand sourire, elle tient dans sa main un petit speculum en métal (outil gynécologique pour écarter les lèvres) luisant de ciprine fraiche.
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- Ma nouvelle petite pute rebelle ! Tu as bien dormie ? Tu vas être surprise mais j'ai reussie à reveiller ta soeur bien avant toi pour commencer à mieux la connaitre. On a beaucoup parlée toute les deux, elle à une discution passionnante. Elle m'a proposé des tas de solutions très intelligeantes pour vous sortir de là, des plans qui pourraient même éponger la dette de votre père ! N'est ce pas merveilleux ?Elle caresse le visage de Lola qui tressaille.
- Mais au bout d'un moment ça m'a pris la tête, c'était trop compliqué, réalisable ein, mais trop compliqué. c'est un peu une mademoiselle "je sais tout" ta soeur tu sais ?. Alors je lui ai faite fermer sa gueule et maintenant je regarde combiens elle vaut.Elle se retourne vers Lola et pose ses doigts de chaque coté de ses grandes lèvres. La rouquine s'étrange sous son baillon et supplie en tentant de se débattre. Mais Rachele à la main sure, elle écarte légèrement les lèvres de sa prisonnière et commence à insérer le petit speculum pour voir si la jeune femme est vierge ou pas.