C'est un très beau bar [Pv : Violette Baudelaire]

Yunami était arrivée dans ce nouveau monde où tout ressemblait où elle était avant. Elle se dirigea tout doucement vers la zone industrielle à Seikusu, seule, armée comme il le fallait, mais bien entendu, armes cachées. Bien que sur sa forme n'était pas celle d'une humaine, mais d'un petit chat de gouttière, bien entendu sa forme était légèrement prune comme son cuir chevelu sous sa forme humaine. Yunami faisait partie d'un petit groupe appeler " Black Lagoon " qui possédait deux autres personnes à part elle, leur chef ? C'était bien entendu Balalaïka, un chef de la mafia russe. Cette dernière semblait laisser tranquille le petit groupe, après tout.. Balalaïka était un peu, comme une mère, pour Yunami et Yunami était sa fille. Balalaïka n'avait pas eu d'enfants, peut être qu'elle ne le voulait pas où peut-être qu'elle ne le pouvait pas, mais n'essayer pas allez lui demander. C'était dans le soir, Yunami avait rendez vous avec Balalaïka pour parler affaire où simplement boire comme des trous ensemble.

Yunami arriva tranquillement jusqu'au bar avant de trouver un petit coin sombre pour reprendre sa forme initiale, sa forme humaine. Elle arriva au bar, c'était assez spéciale mais c'était appréciable. Le lieu n'était pas trop fréquenter très peu de monde était là. Peut être à cause des autres bars bien plus design que celui-là. La jeune femme marcha sur le vieux parquet jusqu'à se diriger vers le bar et s'assied,elle commanda une bouteille de whisky et attendu donc sa mère. La jeune femme commença déjà à boire tranquillement, silencieuse. La jeune femme finit tranquillement sa bouteille avant de venir se lever et se positionner dans un endroit plus sombre, a l'abri des regards, guettant tout ceux qui bougeait. Elle finit par visiter légèrement le bar en allant à l'étage supérieur où se trouvait un magnifique balcon mais malheureusement, ce dernier était encore fermé pour rénovation. Yunami décida donc de reprendre sa place dans le petit coin d'ombre.

Vous pouvez vous poser une question comment les membres, les amis de Yunami étaient là alors qu'elle a changer de monde ? Et bien réfléchissons juste un peu que Yunami est magique....

Seikusu par-ci, Seikusu par-là.. Yen avait marre ! Pourquoi les gens du coin et les touristes affluait dans cette ville merdique du Nippon quand il y avait d'autre terrain superbe a visiter ? Elle n'en savait rien et pour infos, elle même fut née dans cette ville a l'époque, si elle devait juste dire merci a quelqu'un, c'est plutôt envers ses vieux quelle le ferait, car maintenant elle n'a pas plus de nid et ni d'entrave parentaux qui pourrait lui dicter les règles de vie, ni pour la corriger par l'éducation, elle était libre de faire ce qu'elle veux ! Violette avait prit le bus vers le Sud de la ville, voulant un peu quitter le centre-ville et explorer d'autre terrain encore inexplorée et comme a son habitude, n'ayant pas acheter de ticket et ne possédant pas de titre de transport, elle a du frauder. En temps normal, même si un agent devait interpeller un type qui n'a rien sur lui qui aurait pu lui permettre de prendre les transports en commun, les contrôleurs ont alors le regret de l'annoncer qu'il ne peut pas monter a bord du gars et aussi loin fut la destination que devait suivre ladite personne, il n'avait pas le choix (a moins de payer une amende en déversant du liquide sur place) et devait parcourir son chemin a pied en y cumulant quelques heure de retard a cause de la marche mais pour le cas de miss Baudelaire, cela fut différent ! Primo parce que c'est une femme et deuzio, vu ce qu'elle chausse, il ne serait pas évident de parcourir une aussi longue distance en botte plateforme, voilà pourquoi, elle agissait comme une fourbe. La jeune femme prenait ses airs de "Girl Power" et n'avait aucun respect pour son entourage dans la discrétion, n"hésitant pas a faire diffuser les sons de ses ziks coréennes dans tout le véhicule au lieu de les utiliser avec un écouteur, balayant ses cheveux dans la foulée, et se mit même a se dénuder en partie devant des gamins (frère et sœur) comme si elle avait chaud en se mettant a souffler ses boobs en écartant de peu son débardeur bleu clair et se mit a leur faire un clin d’œil complice en bouffant sa sucette.

La jeune fille dut alors cesser son manège car le bus ne roulait plus et semblait s'être bizarrement arrêter sur un arrêt alors que le feu est vert... Elle se risqua un timide coup d’œil et crut qu'elle allait avoir une attaque cardiaque car ces pions de contrôleurs était là et checkaient les personne qui descendirent a cet arrêt, elle eut juste le temps de se ressaisir et filer en douce par la porte arrière rester ouverte et fuit comme une lapine, elle eut si soif qu'elle ne s'arrêta pas de courir sauf quand elle arriva dans un tournant a plus de cent mètre et d'apercevoir un genre de brasserie a l'ancienne mode comme si le proprio' n'avait pas la rénov' ou la déco intérieur, l'on sait jamais si l'un des gaillards d'agent était a ses talents ou non, elle s'isola vite dans un coin éloigner de la pièce et prit place dans un siège vide et vit une bonne femme en queue de cheval noir avec une poitrine plus grosse que les siens (serait-ce du fake ? ou elle sont réelles ?)... Violette fut piquer par la curiosité et décida d'y fourrer un doigt sur l'un des "airbags" par-dessus le top que porta l'inconnue avec ses verres vide en table, peut-être pourra t-elle faire reporter son attention sur sa présence de cet manière ? De cette manière, elle pourra savoir nettement si ce sont juste des prothèse en silicone ou une vraie poitrine comme elle en voit rarement là ou elle passe et après ça, elle s'expliquera a la jeune femme pourquoi elle a du faire ça et se présenter au plus tard par la suite.

La jeune femme finit par prendre une canette de bière tranquillement en train de boire simplement, des gens parlaient déjà d'elle du style que pour une "femme" elle tenait bien l'alcool. Yunami regardait finalement les gens présents avant de voir une bimbo arrivée, quelque chose que la jeune femme semble déjà passer outre. Les quelques hommes qui étaient présents semblaient directement la siffler, parlant déjà de la baiser. Non bien sûr, ce n'était pas si cru mais les avances disaient cela. Yunami guettait tranquillement la jeune femme avant de venir, se redresser et faire les quelques pas. La jeune femme passe a quelques centimètres de la "bimbo" avant de commander une bière avant de venir reprendre sa place, l'aubergiste semblait bien respecter la jeune femme, comme si elle était "supérieure" à elle. Non pas de façon qu'elle soit son chef, mais plus comme si elle était la protégée du chef du bar. Yunami bailla tranquillement en s'étirant puis finit par regarder un peu tout le monde encore une nouvelle fois, attendant que son contact arrive.

Ses cheveux noirs viraient tout doucement en violet, mais elle ne dit rien d'autre avant de venir s'étendre tout doucement sur sa place, elle ferma quelques secondes les yeux avant de sentir un doigt sur sa poitrine, sur son sein. Yunami leva ses yeux vers la jeune femme, et bien, c'était la bimbo. Elle soupira longuement comme si c'était un acte qui l'embêtait. Non, elle n'allait pas s'énerver comme beaucoup de femmes pourraient le faire, non rien du tout. Elle resta calme bien que cela semblait un peu l'agacer. La jeune femme finit par prendre le doigt de la bimbo et la retirer de sa poitrine qui n'était que du naturel. Aucune prothèse en silicone ou autre, la jeune femme était totalement naturelle, aucun maquillage, aucune chirurgie esthétique.

- C'est bien étrange qu'on essaye de me parler ainsi, que veux-tu ? C'est bien la première fois qu'on attire mon attention ainsi. Et puis-je savoir pourquoi tu as fais cela ? On ne se connaît pas...

La jeune femme n'avait heureusement aucune réaction hostile mais cela l’étonna qu'elle resta aussi calme alors qu'en temps normale, une autre fille lui aurait donner sa façon de penser, et pire qui aurait pu s'imaginer (et au vu de son air de "boss"), en enlevant sa main, elle aurait bien pu lui briser les doigts mais elle ne le fit pas (heureusement), elle ne paraissait pas méchante a vue d’œil et elle ne connaissait rien de sa vie, si la rebelle devait en dire autant, ça serait la première fois qu'elle rencontre une personne inhabituelle comme elle dans le coin. La jeune fille n'avait pas un rond en poche et se tourna tout sourire devant sa voisine de table, elle jeta un œil vers le bar et regarda la fille en lui désignant la bouteille de Ricard de la main, ça va être aussi sa première en tant que goûteuse d'alcool mais elle vient d'avoir récemment sa majorité alors elle est parfaitement en règle. Normalement pour une saison comme l'été, il faut boire frais pour que l'organisme soit énergique pour tenir la journée tout en modérant les choix alimentaire (genre une une boisson aromatisé un yaourt a boire) mais pour ce qui concerne la garce de cité, personne ne pouvait être en mesure de lui dicter ce quelle doit faire. Sa comparse buvait une bière malgré qu'elle aurait pu faire pareil mais elle voulait toujours se dépasser en montrant que l'homme n'est pas forcément obliger de suivre le système sociale instauré par la Loi. Vous vous demandez pourquoi une nana de son âge réagit comme un mec ? Simplement, parce que elle n'a aucune volonté dans la vie et elle n'est pas croyante alors les paroles de sagesse de Celui-qui-est n'est que fadaise et elle est persuadés que même les gens qui vont chanter des heures leurs louanges comme une chorale d'opéra dans ces bâtisse qui leur servent d'église ne sont que des membres d'une secte. En un mot, elle s'est ranger du coté de l'ange déchue et portait le titre de "Femme du diable".

Juste se taper un peu la discute mais soyons cool ! Ce n'est pas comme si j'allais te baiser sur place donc tout va bien ! Mais que l'on se fasse un interview entre nous, pourrais-tu me payer une bouteille d'alcool ?   

Violette avait vraiment envie de boire et ne pouvait contenir sa patience.

Concernant ta poitrine, je n'avais aucune vue dessus mais c'est sure que je n'en ais jamais d'aussi grosse que les miennes et cela m'a intriguée, en tout cas comme je voulais être forte, j'ai bu plein de lait et mes seins ont grossit

Fit-elle en maintenant fièrement ses bras croisé sous ses boobs, ok elle n'égalait pas forcément ceux de l'étrangère mais il pouvait toujours une compétition pour savoir quel est celle qui a la plus grosse poitrine par le biais du jury comme pour le charme et le profil.

Yunami regardait la bimbo parler sans rien dire. Elle soupirait longuement avant de venir sortir une cigarette et l'allume pour la poser dans sa bouche, prendre quelque bouchée en regardant la jeune femme. Yunami se cale bien au fond de son siège en regardant en l'air, elle faisait toujours cela pour réfléchir. Yunami finit par regarder la bimbo avant de finir par rigoler un bon coup sur le fait qu'elle voulait être forte et qu'elle avait bu plein de lait. Elle regarde sa poitrine simplement sans se gêner et lâcha un "hmmm"... Deux femmes parlées ainsi, beaucoup les écoutèrent. Elle regarde le tavernier et hoche la tête, bien entendu. Deux femmes parlées ainsi, beaucoup les écoutèrent. Le tavernier apporte donc deux bouteilles de whisky à quatre-vingts pour-cent degrés. Elle débouchonne une bouteille et verse dans son verre et celle de la bimbo. Elle garde toujours sa cigarette au bout de la bouche quand elle fait cela, la jeune femme s'étire finalement.

- C'est quoi ton nom ?

Le fait que la bimbo avait bu énormément de lait pour ses seins, la faisait rire, car Yunami n'a bu quasiment aucun lait pour devenir comme elle est. Ses seins ? Ils avaient grandis ainsi, elle les aurait eu plus petits ou plus gros, elle n'en avait rien n'à foutre tant qu'elle arrive à porter ses débardeurs, tout allait bien. Faut dire que la jeune femme n'a jamais eu des petits seins, déjà enfant, elle avait déjà une belle petite poitrine et elle avait continué de grandir comme si de rien n'était, comme si on voulait que Yunami porte des seins pareils. Yunami regardait toujours la femme devant elle sans rien dire, beaucoups de monde les regardaient mais un simple regard de Yunami, tout le monde se calma et retournait à leurs occupations. Beaucoup de personnes semblaient avoir peur d'elle, peut être à cause du fait qu'ils sachent qui elle est. Pourtant, la jeune femme n'avait toujours pas commis ses actes dans ce nouveau monde mais que voulez-vous, la réputation est là, et elle sera toujours présente. Et puis revenons à la bimbo, pourquoi Yunami était si gentille ? Car elle attendait surtout son contact donc si cela pouvait la faire patienter un peu, cela lui convient parfaitement.

Miss Baudelaire vit que la fille ne sembla pas grandement intéressée sur ses de ses dires (peut-être qu'elle était hétérophile et non lesbienne mais après, tout information concernant l'anatomie du corps humain est bon a savoir même si elle n'était pas doctoresse mais revenons a leur entretien, l'autre garce n'émit pas grand-chose pour discutailler et il fallait qu'elle brise cette barrière de "blanc", elle remarqua qu'elle porta des guns mais pourquoi faire ? était-elle une genre de merco' (voire chasseuse de prime) ? Violette n'avait vu ça que dans les films d'action mais un revolver devait peser son poids qui ne devait pas excéder vers les 750 grammes (comme le pot d'un nutella) mais en porter deux dans leurs holsters a longue de journée devait niquer le dos et l'on pouvait avoir des courbatures mais peut-être se sert-elle de ses "airbags" pour ne rien sentir ? ou voulait-elle ressembler a la célèbre Calamity Jane ? Violette eut un visage alors constellées d'étoile a la vue du verre et ne se fit pas attendre pour se servir, elle eut comme un haussement de cœur car elle a prit une bonne gorgée au lieu de le boire doucement. Elle expira par la voie orale comme si elle avait langue en feu et en grimaçant et retrouva ses couleurs. Elle entendit alors la fille lui communiquer d'un air distant et sec en disant vouloir savoir son blaze, rien de bien étrange a ça et l'ado' adorait ce style de conversation plutôt que de le travailler dans le classique avec la politesse etc... Ça pouvait se voir que l'inconnue n'a pas était au sein de la noblesse et la bourgeoisie pour causer façon Victor Hugo et tant mieux alors !

Mon nom est sans importance mais je suppose qu'il t'en faut un... Appelle-moi, Fuck-me. Et toi, c'est comment ?

Cela était vraiment nulle voire stupide d'avoir fourni un nom inventé en anglais qui plus est un mot qui s'apparentait au viole des femmes. Elle ne pouvait tout de même pas s’appeler Violette ou se dire s'appeler Violette avec ce prénom qui pue le rat mort quand même ? Elle avait un peu honte du coup et il est vrai que si l'on efface les dernières lettres qui compose le prénom, l'on obtient alors le mot "Viole". L'ado n'aura pas mit moins de dix seconde pour lui sortir ce blaze dit au pif imaginaire et pourtant, elle trouva que ça lui allait bien. Elle lui tendit la main après avoir bu le whisky pur feu vers sa bouche afin qu'elle lui file sa clope et qu'elle lui laisse le temps de tirer une taffe.

Yunami regardait encore la jeune femme boire le verre de whisky comme si c'était de l'eau et cela fait comme elle avait imaginée, elle failli presque tousser, peut être en regrettant presque d'avoir bu le verre, Yunami esquissa un petit sourire simplement avant d'entendre son "nom". Rien qu'au nom, elle sentait qu'elle mentait. Yunami soupira un moment bien que cela, elle s'en foutait complètement de son nom, c'était pour paraître surtout plus "gentille" non, sociable comme Balalaïka disait souvent, être sociable cela a du bon après, tu peux tirer sur plus de monde quand ils t'emmerdent.  Yunami bailla un moment avant de boire cul sec son verre et s'en resservir, elle calcule rapidement et finit par boire à la bouteille.

- M'ouai j'aime pas ton nom, Fuck-me... Je vais t'appeler Bimbo plutôt... Cela t'ira à merveille, hein Bimbo.

Yunami sourit toujours avant de regarder autour d'elle, certains personnes les regardaient, Yunami regarde sur son téléphone mais aucun appel ni sms ni mail, Balalaïka aimait bien de faire attendre. Elle finit par regarder madame "Bimbo" en souriant simplement, elle finit par lui passer une cigarette complète et lui donne son briquet, légèrement originale. Son briquet était comme un médaillon bien qu'elle, elle ne le portait pas ainsi. Elle l'avait juste en poche. Yunami finit par attendre la réponse de miss Bimbo sur son avis de son nouveau nom.

Madame devait être une experte de la bourrade mais au vu de comment qu'elle a vider son verre, cela ne lui fit aucun effet et elle n'en était pas devenue ivre car elle a entama aussitôt une seconde tournée comme si elle avait essayer de démontrer une action du genre "Alors t'en pense quoi la petiote, tu ne saura faire comme moi car t'es encore une gamine", la meuf de cité fut légèrement piqué au vif et même si elle n'a brandit mot d'hostilité, le geste qu'elle venait de faire la déplut car ce fut comme une forme d’interprétation. Elle prit un malin plaisir a la nommer Bimbo, la jeune fille baissa les yeux sur sa modeste poitrine et trouva qu'elle n'avait aucune ressemblance a celle de la vache laitière qui faisait bien son gallon ! De toute manière, qu'est-ce que ça changerait à la donne ? D'ailleurs l'anonyme n'a toujours pas cracher son blaze, attendait-elle que la jeune fille lui pose la question ou as-t-elle fait exprès de ne pas le dire ? Violette fit alors semblant de placer son index et majeur devant les lèvres en formant un "O" avec sa bouche comme si elle expirait de la fumée, elle pensait l'imiter pour se moquer d'elle, histoire de voir si elle savait se marrer en quittant ce visage de "je m'en foutiste du monde" mais cela ne se passa pas comme prévu et même qu'elle extirpa une clope de son étui pour la lui tendre... Miss Baudelaire n'avait pas prévu cette réaction mais elle avait l'habitude de fumer depuis sa jeunesse au foyer, elle en avait prit gout avec le temps et s'en ficha de la marque du fabriquant, tant que ça restait de la fumette, pourquoi se poser la question et encore moins refuser la proposition d'une étrangère.

Je trouve que c'est chouette comme name et étant jeune, je suis aussi belle qu'une fleur mais pour ce qui te concerne, je n'ai pas trouver mieux que Vachalait... et Merci pour la taf mais dis-moi déjà comment tu te nomme a ton tour pour commencer   

N'ayant pas de feu sur elle, ce fut la demoiselle qui l'aida a allumer sa clope par le biais d'un étrange pendentif, elle n'avait jamais vu pareil objet mais l'espace d'un instant, elle cru qu'elle lui avait offert ce bijoux mais en y regardant bien de près, une mèche de feu en sortit du détenteur quand elle pressa le bouton et qu'il s'agissait enfaîte d'un briquet. La gamine croisa alors ses jambes sous la surface en s'accoudant avec son coude sur le rebord de la table en faisant légèrement crisser le talon gauche de sa botte argent comme pour attirer l'attention du public, si elle avait porter une robe ou une mini-jupe, il est certain que les hommes du bars se serait rincer l'oeil sur ses jambes mais qu'importe, elle saura si ces types du coin sont toujours intéressé par des meuf en tenue Bootcut et Denim.

Yunami arqua un sourcil en entendant son surnom. Vache à lait, elle savait pourquoi elle l'appelait ainsi, complexe qu'elle avait. Bimbo petite poitrine versus Yunami grosse poitrine ? Yunami ne dit rien, elle roula simplement des yeux avant de la voir fumer un coup. La jeune femme termina doucement sa bouteille avant de soupirer un moment, elle veut jouer à donner que des surnoms ? Très bien, elle jouera pareil également. Elle lui donnerait un surnom donc, un surnom qu'on lui donnait souvent quand on la connaissait encore un peu plus, elle regarda les alentours avant de voir une forme dans l'ombre avec un petit sourire, Yunami finit par lâcher son surnom donc puis s'adressera à l'ombre qui les regardaient. Et cela l'agaçait légèrement, elle n'aimait pas se savoir observée ainsi comme un pauvre animal en cage, elle grogna légèrement se redressa, les coudes sur la table, son regard "tueur" en direction de la silhouette.

-  Two-Hands. Et toi ! Qui nous regarde montre toi si tu es un homme !

Soudainement, un grand sourire se manifeste, la silhouette s'approche et Yunami se redresse. Balalaïka s'approche des jeunes filles simplement avant de s'approcher de Yunami mais cette dernière semblait également regarder la jeune femme qui était en face de sa "fille". Elle portait un tailleur rouge comme si c'était une secrétaire Balalaïka n'était pas une enfant de choeur, elle préférait plus les combats et ses petits trafics qu'autre chose. Balalaïka était une très belle jeune femme même si elle semblait avoir des blessures sur son corps, les hommes du bar semblaient se taire d'un coup, comme si la jeune femme était très respectée. Presque militaire en même temps, la femme s'assied à côté de Yunami, une cigarette en bouche, elle entoure les épaules de Yunami, posant son bras sur les épaules.

- T'es en retard, je te présente celle qui m'a fait attendre... Bimbo.

Balalaïka reluquait la fille devant elle en hochant la tête pour lui dire bonjour, elle commençait de parler, sa voix était autoritaire, presque froide mais pas " violente".

- J'ai entendu son nom et également ton surnom Vachalait... Boarf, c'est plus classe Two Hands, tout de même. Sinon, quoi de neuf vous deux ?

La scène était presque marrante pour la gamine, l'on aurait deux meilleurs amies ne s'étant pas revu depuis des lustres et fêtaient leurs retrouvailles en s'échangeant leurs adresses un usant d'un procédés de "change nick name" mais elle n'était pas non plus délirantes comme convo' sur un sujet, seule miss Baudelaire trouva ça marrant. Là encore et ce encore une fois que "vachalait" refusait d'une certaine manière de lui divulguer son prénom (logiquement vu, la jeune fille ne s'est pas présenter non plus) et tout en tirant une taffe, elle allait sortir un autre communiqué mais soudainement son regard se fit "perçant" alors que l'ado n'avait encore émit mot à son encontre mais elle se rendit compte que ce regard glaciale ne fut pas lancer contre son insu mais dans une autre direction, qui d'autre a part eux pouvait dialoguer dans leur dos ? Violette se tourna également en tout sens et ne remarqua rien de suspect si ce n'est que les vieux loups habituels du bar, et le ton qu'avait employer sa voisine la surprit car c'était parti sur un accent dure et décidé. Elle vit une silhouette noire se situait a quinze mètre d'eux se rapprocher avec une dentition d'une blancheur sans pareille mais rien ne disait que le sinistre bonhomme qui s'avançait dans leur direction était amicale... Sa présence s'accompagna d'une horrible odeur de cigare cubain, ce type de clope était fumer directement et la petiote qui en avait tenter une fois d'en fumer une avait faillir lui coûter cher pour ses bronches. La face intimidante se fit plus clair exposé a la lumière provenant des fenêtres du bar, ce qu'elle pensait croire être un homme s'agissait plutôt d'une grande femme blonde a queue de cheval, elle devait dépasser les un mètre soixante-dix et porta un genre d'ancien manteau de l'armée mais ce qui frappa plus visuellement la fille fut les marquages qui ornait en partie le haut-du-corps qui partait du visage avant de disparaître sous le tissu coloré.

Bonjour Madame, je m'appelle Violette et vous ?

Elle l'aurait pu s'amuser comme elle le faisait avec son "amie" si on veux, mais elle ne savait pas pourquoi, cette bonne dame dégageait un certain aura de tueur qui lança des frissons sur son dos et encore, elle avait bizarrement un accent russe quand elle parla en roulant les "R", l'adolescente préféra rester prudente et rien ne dit que celle-ci allait partager le même délire que vachalait mais encore, comme elle est sortie de nulle part, coupant de peu leurs convo' en cours, elle ne savait pas quoi dire de plus si ce n'est que garder une réaction naturelle avec la politesse en jeu et tout sourire charmeur au visage.

Yunami ne disait rien sur le fait que sa mère si on pouvait dire cela était là comme si elles étaient de simple amie. Balalaïka souriait simplement, assise de côté de Yunami, bras sur ses épaules simplement, son manteau sur ses épaules. La femme regardait ce que traînait sur la table et finit par crier au barman de lui servir un whisky comme aux filles. Balalaïka ne disait rien d'autres comme si elle fixait tout les hommes et femmes du bar pour montrer son respect, résultat concluant car les voilas qui la regardent presque en s'inclinant devant elle. Yunami finit par poser son coude sur la table, tete dans sa main comme si cela l'embêtait non... Comme si elle savait ce que sa mère faisait.

Pourquoi appeler une femme avec une aura d'une tueuse aurait pu adopter Yunami ou meme concevoir qu'elle puisse avoir un enfant ? Cela remonte juste dans le passé de la jeune femme, de ce qu'elle a dit à sa famille d'accueil. Balalaïka avait décidé d'entraîner la petite fille que Yunami et de l'élever comme si c'était sa propre fille. Peut être que madame Balalaïka avait senti en Yunami un potentiel énorme ? Non rien ne pouvait rien dire. Ou ce ne serait que bêtise pour l'instant, Yunami finit par s'étirer avant que sa moman regarde la dénommée Violette ou plutôt Bimbo... Enfin elle disait son nom, avait elle arrêter de jouer ??

- Je vois, mon nom est Balalaïka, je ne dirige pas ce bar mais c'était tout comme. La femme la est ma fille... Yunami ou encore Two Hands ou plutôt en français double détente..

A peine les mots prononcés, les gens paniquaient presque.. Oui, comment une bête aussi monstrueuse pouvait avoir adopter une jeune femme bien que cette dernière n'était pas la fille de chœur non plus. Si Yunami avait l'air dangereuse, Balalaïka était une arme meurtriere. Cette dernière finissait simplement ce qu'elle fumait en écrasant sur le cendrier avant de venir trinquer aux trois verres qu'elle avait commandé. pourquoi trois verres ? Violette avait une bouteille proche d'elle mais la mère de Yunami semblait discerner avant de demander tout de même une bouteille d'eau et un verre d'eau, comme si cette dernière savait qu'elle avait encore du mal à boire. Balalaïka reprit ses paroles simplement, toujours adossées contre le petit fauteuil, jambe croisé et oui, elle avait une certaine prestance. Yunami soupira un long moment.

- Que fais tu la, Violette ? Tu as fuguée ?

Quelle horrible scène se passait devant elle, elle avait déjà entendue parler parler de liaison interdite entre membre de même famille mais elle n'aurait jamais cru cela possible et en plus en direct en face d'elle, la femme russe semblait se pencher sur sa fille en l'étreignant comme si elle voulait l'embrasser mais ce n'est manifestement pas le cas mais le plus étrange fut que cette bonne femme osait la questionner de sa présence sur sa propre terre natale ! Rien de mauvais, si ce n'est qu'une question typique. Miss Baudelaire fuma sa taffe pépère en éjectant la fumée à la manière d'une boss, et pis de toute manière la garce avait un avantage sur les deux femelles, elle était plus jeune et séduisante que ces deux vaches, coïncidence ou aspect naturelle que ces deux-là avait des nichons grosses comme des obus ? Violette ne put qu'en être jalouse mais là encore, ce qu'elle avait déjà fait sur Vachalait, elle désira ardemment le reproduire sur la dénommée Balalaika (un nom dure a retenir mais dommage qu'il ne soit pas court. Avant de répondre, elle se leva mais adopta une autre technique de toucher et comme elle avait lue pas mal de "shojo" nippone, elle savait comment les protagonistes secondaire (les amies du héros) faisait leur approche, pour faire simple, elle avait opter par l'astuce de Kurumu Kuruno, une personnage succube du manga "Rosario + vampire" a son amoureux de toujours Tsukune Aono en faisant enfouir sa tête dans sa poitrine opulente ! En temps normal, c'est normalement le héros principal de fiction culturel qui se fait aborder comme ça mais ce coup-ci, ça va être différent puisque ça va être Violette qui va endosser le rôle du gars.

 Je suis dans mon pays et j'aime me balader partout, je ne suis pas fugueuse dans le bon sens du terme mais ma maison est mon sol natale pour faire simple et je ne m'en suis jamais plainte et vous ?

Elle avait déjà plongé sa tête dans les nibards de la mère de tête-de-flingue et sembla se délecter de la matière bien rebondie et moelleuse, en laissant ses paupières et sa joue se faire caresser par la chaire russe, elle ne savait si Vachalait accepterait de laisser passer un tel affront ou encore la dame qui apprécierait ce manque de respect mais que faire ? Elle adorait les gros sein et sa mère devait au moins faire du bonnet F ! Elle joignit les mains sur la poitrine comme si elle tenait un oreiller et blottit sa tête en son centre (comme si elle faisait la branlette espagnole) et se mit a les caresser également, quel douceur et sensation... Il est dommage quelle ne puisse exercer sa perversité sur cette dame mais elle ne devait pas tenter le diable sinon elle se récoltera forcément une balle dans la tête.