Une journée normale pour vous, les jumelles Katsuragi, c’était une journée ou durant les intercours vous faisiez nombre de fellation et de cunnilingus à des élèves, voir à des professeurs, c’était votre lot quotidien, mais vous aimiez largement ça. Bien que ce soit, ce vendredi, une journée normale, vous n’aviez pas été souvent sollicitées malgré votre réputation. Certains sempai revenait même au lycée pour vous rencontrer…
Aujourd’hui, vous avez rencontrées le dernier de vos « clients » même si le terme n’est pas approprié, puisque vous ne vous faites pas payer pour donner du plaisir aux autres. Comme je disais, le dernier de vos clients était un jeune kōhai d’un an votre cadet, tout timide et semblant vraiment intimidé par vous deux. Vous l’avez pris en main, et même s’il est encore un jeune puceau, il a eu sa première fellation avec vous deux. Ce fut en souriant que vous le quittâtes en lui disant que s’il voulait plus qu’il aille voir la fille qu’il aimait.
C’était donc ainsi que vous vous retrouvâtes à voir un élève qui entra dans une des salles de classes des secondes années. Marchant doucement, vous vîtes les cinq abrutis qui couraient dans les couloirs.
_ « Vous avez pas vue un type rapide ? Demanda un grand costaud.
_ Si, répondis-tu, Momiji tandis que ta sœur hochait la tête. Il est parti par là-bas… »
Vous fîtes un signe dans la direction d’où vous veniez tout en les regardant. Sans s’attarder, ils filèrent dans la direction. Vous attendîtes un peu puis toi, Kaede, tu ouvris la porte de la salle de cours, Momiji regardant par-dessus ton épaule pour voir le jeune homme. Il était en train de pianoté sur son téléphone portable, tout en étant assis sur une chaise les coudes sur une des tables.
_ « Salut… qu’est-ce que tu fais dans notre classe ? »
Bien sûr, ce n’était pas le cas, mais ça permettait une entrée en matière comme une autre.
_ « Moi, c’est Kaede et elle, c’est ma sœur jumelle, Momiji…
_ Salut... »
Momiji, comme à ton habitude, tu rougis légèrement.
Souriantes, toutes les deux, vous vous approchâtes de lui.
_ « Dis pourquoi ces abrutis te pourchassaient ? »