Les doigts fins, bleutés, de la déesse se resserraient sur leur prise. La longue crinière rousse se tendit sous la traction divine, cambrant ce dos mince et sensuel, à la musculature sèche. En regardant plus bas, en dessous de ses seins nus, ronds, raffermis par l'excitation, on pouvait voir la croupe sensuelle d'une jeune demoiselle pressée contre le pubis de la déesse. Son monstrueux vit était perdu, enfouit entre les deux petites fesses d'une petite femme. Une femme ? Les bijoux de famille de Sod-Oni, aux proportions allant de paire avec la longueur et l'épaisseur de son membre viril, couvraient de leur masse les couilles plus modestes de cette "fille" présentement à quatre pattes. Non, ce n'était pas un femelle qui avait actuellement le cul distendu par la virilité divine, mais bien un jeune homme aux traits et à l'allure des plus efféminés. Comment la donzelle à peau bleutée en était arrivé là, sa verge plantée entre les reins de ce mignon petit femboy ? Sod-Oni prit le temps de s'en remémorer, en faisant lentement coulisser son épieu de chair hors du fourreau étroit. Une fois le gland violacé seul demeurant au chaud, la déesse donna un violent coup de reins.
Clac.-------
" Déesse ? On veut vous voir. "Sod-Oni était assise sur son trône, situé derrière l'autel, entre les cuisses de la statue géante qui la représentait à genoux, le bas ventre en avant, la verge de pierre tendue vers le plafond et empoignée par une main tout aussi pierreuse. Une idole obscène, qui se palpait le seins avec une expression extatique sur le visage. Ce trône avait deux particularité : la première résidait dans son dossier qui, s'élevant, prenait une forme plutôt cylindrique afin de pouvoir s'enfoncer entre les fesses de la statue. La seconde était la présence d'une sculpture phallique sur le siège, placée de telle sorte qu'on ne pouvait prendre place sur ce trône sans devoir s'asseoir dessus. Et la déesse était présentement assise dessus, l'épieu rocheux profondément enfoncé entre ses reins. Bien qu'elle fut - légèrement - habillée, la raideur de sa virilité était clairement visible, trop imposante pour être contenue par son pagne. Elle la tenait en main, caressant doucement ce vit dont ses doigts fuselés ne parvenaient à faire le tour. Et pendant que la divinité se caressait, les fidèles prosternés devant elle se masturbaient le fondement à l'aide de leurs outils de prière préférés, tout en psalmodiant quelques mots sacrés.
C'était la
grande prêtresse, seule fidèle debout et ne disposant de rien entre les fesses, qui s'était adressée à la divinité. Derrière elle, un étrange petit couple se tenait là : A gauche, il y avait une femme dragonne sombre, vêtue de cuir et portant la casquette, à la façon des officiers de quelque unité militaire sadomasochiste... uniforme qu'elle remplissait d'ailleurs fort bien. A droite, on pouvait voir une fille de stature plus petite, à la longue crinière rousse et aux oreilles animale, dont le corps mince, aux formes modestes, était moulé dans une tenue qui évoquait davantage celle d'une riche geisha. Ce charmant couple se présenta : Ishtar l'amirale Magma suprême et sa petite chienne, la hyène de guerre du Dualisme Eternel, Theorem. Sod-Oni ne connaissait ni l'un, ni l'autre, trop nouvelle sur Terra pour savoir que la dragonne était joliment membrée et que la hyène était en réalité un joli garçon. S'en suivit la demande d'une discussion plus privée, requête à laquelle la déesse accéda sans difficultés, toujours intéressée par faire de nouvelles connaissances. Il ne fallut pas longtemps pour que Theorem perde la robe, pour dévoiler son sublime corps d'androgyne et présenter son joli petit cul à la divinité.
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Sod-Oni maintenait Theorem bien cambré en le tenant par les cheveux, commençant à accélérer la cadence. La pièce était pourvue d'un lit, mais il n'y avait qu'Ishtar dessus, assise, un téléphone portable à la main pour filmer la magistrale sodomie que le femboi canin subissait à même le sol. L'air s'emplissait de claquements répétés, produits par les coups de reins de la déesse qui, à chaque fois, plantait sa lourde queue au plus profond du rectum androgyne. Un rectum des plus délicieux, qui semblait avoir été sculpté spécialement pour accueillir les plus gros calibres avec un maximum de facilité : l'anneau musculeux serrait continuellement la hampe divine, naturellement lubrifié pour permettre à cette dernière de coulisser avec aisance malgré l'incomparable étroitesse. Contente de cette découverte, appréciatrice de ce chef d'oeuvre, Sod-Oni s'en donnait à coeur joie. Elle enculait Theorem avec une violence croissante, la puissance de ses coups de butoir faisant bondir le pauvre garçon vers l'avant, tandis que sa poigne refermée dans sa crinière de feu le ramenait invariablement à la rencontre du pal.
Sans cesser de martyriser l'anus du femboi, la déesse tourna la tête vers la dragonne, soufflant d'une voix enfiévrée :
" Votre... Hmmm... esclave... est délicieux. Je crois que je... je pourrais lui défoncer le cul pendant... des heures. Mais j'espère que vous... vous ne resterez pas plantée là... trop longtemps... "Sod-Oni n'appréciait pas l'esclavage, mais Theorem semblait suffisamment apprécier son statut de sac à foutre pour que la divinité ne s'en formalise pas. Elle attendait la réponse d'Ishtar sans ralentir, ni montrer la moindre pitié pour cette croupe qu'elle perforait avec passion.