Nom/Prénom/Surnom : Kalriiel. Ça fait bien longtemps que plus personne ne m’a appelé par mon prénom.
Âge : ça fait maintenant vingt-cinq printemps que je foule cette terre. Et j’espère la fouler encore de nombreuses années.
Sexe : Au dernière nouvelle je suis un homme. En atteste mes muscles saignant et mes pectoraux dépourvu de poitrine. Même mes attributs entre mes jambes le prouvent.
Race : J’ai développé depuis maintenant de nombreuses années un pouvoir, un don ou tout autre nom que vous donnez, on peut donc dire que je suis un ESPer.
Orientation sexuelle: Je ne suis intéressé que par les minettes aux jolies formes. Hétérosexuel c’est bien ça ?
Description physique : Quel étrange concept de devoir se décrire physiquement, quand une simple image, comme celle-ci, suffit à le faire :
Mais, en bon samaritain, que je suis, je vais me laisser tenter par l’aventure. D’un point de vue extérieur et sans aucun avis préconçu on peut dire de moi que je suis un très bel homme. Mon physique musclé, bien sec et non vulgaire, prouve que j’ai eu une vie concentré autour d’un entrainement militaire intensif et régulier mais également depuis peu concentré autour d’une guerre sanglante contre un ennemi puissant. Ces deux choses ont marquées ma personne que ça soit en bien, en me forgeant un corps capable de subir de nombreuses sévices physiques et me permettant de survivre au sein des environnements les plus hostiles de Terra. Mais aussi en mal puisque mon corps est marqué à de nombreux endroit, que ça soit des traces de tortures, des cicatrices dû à des coups d’épée. On trouve vraiment de tout, c’est un véritable musée des horreurs en somme. Mais toutes ces blessures commencent à dater, car depuis que j’ai atteint la maîtrise de mon pouvoir, il est devenu compliqué de me toucher pendant un combat. Pour en revenir à cette soit disant beauté, elle n’est pas du seulement à mon physique musclé et avantageux, mais surtout à mon visage d’androgyne. Mes cheveux châtain en bataille et mes yeux vairons n’aident en rien à rester de marbre en ma présence. D’autre part, depuis ma désertion, j’ai opté pour des vêtements qui viennent d’un lointain pays mystérieux et inconnu, d’orient si ma mémoire est bonne. C’est d’ailleurs une origine similaire à mon long katana. Quoi qu’il en soit, ces vêtements mettent réellement en valeur mon jolie visage et plus encore mon corps bien proportionné.
Caractère : Ah… C’est déjà plus compliqué. Cette fois-ci il me semble que mon caractère ne peut pas être mit en image, il me faudra donc vous en faire un résumé.
Déjà il faut savoir que je suis issue d’une famille de militaire, donc j’ai reçu une éducation très stricte, à la dure comme on dit. J’ai donc un caractère bien trempé, je fais passer la discipline et l’ordre avant tout le reste. Chez moi, dans mon entourage tout doit être bien carré. En somme j’aime quand tout se passe comme je le veux et pas autrement. Maintenant, avec ce que j’ai vécu, j’ai appris à me montrer plus coulant avec ça. Après, quand on dit formation militaire, on pense tout de suite à quelqu’un d’impitoyable, de dur et déterminé et c’est vrai. J’ai appris à ne jamais montrer mes émotions, car ce sont des faiblesses dans notre métier. Le fort dévore le plus faible, donc on doit sans cesse montrer qu’on est le plus fort et pour ça j’étais vraiment doué, on peut dire que c’est à cause de ça que je suis devenu Maréchal. Pour l’instant, je ressemble à un guerrier pur et dur sans émotion, impitoyable, capable de tuer n’importe dans la seconde, n’est-ce pas ? En fait pas du tout. Derrière ce masque de dureté ce cache un cœur tendre et une dévotion pour la vie à toute épreuve. Si j’ai décidé de démissionner de mon poste de Maréchal, enfin déserté pour eux, c’est parce que les tueries commençaient à me révulser. Je suis quelqu’un de foncièrement gentil et doux, j’aime aider mon prochain. Je n’hésite jamais d’ailleurs pour venir en aide à quelqu’un, qu’il/elle soit méchante, gentille, sadique ou peu importe comment elle est. Même chose, peu importe le service, j’ai du mal à refuser d’aider quelqu’un dans le besoin, tant que ce n’est pas un acte immonde ou immoral.
Donc on peut me simplifier en quelques mots : Dur, déterminé, mais doux et gentil à l’intérieur. D’un calme olympien, à tout épreuve, je ne m’énerve que très rarement, faut vraiment le vouloir pour ça. A côté de ça j’ai malgré tout un côté espiègle et joueur quand la situation l’impose, que j’ai développé auprès des diverses relations que j’ai eu dans ma vie. Je sais donc me montrer taquin. Alors la question est là, arriverez-vous à l’attendrir ?
Histoire : Journal intime
Les Mémoire d’un Vétéran
• Je suis né au sein de la noblesse Ashnardien, dans une famille de militaire de père en fils depuis de nombreuse génération. Au point que mon père n’a jamais pu me dire jusqu’où notre lignée remontait. Petit c’était quelques choses qui m’intriguaient beaucoup et malheureusement je n’ai jamais pu en savoir plus. Le peu de chose que je savais, c’était que dans ma famille on avait une tradition très stricte. De toute manière la discipline y était primordiale. Chaque enfant garçon devait être entrainé dès qu’il était en âge de marcher et de parler pour intégrer l’armée. Si une fille naissait, il était tout de suite relégué au second rôle, seul la mère lui apportait l’attention nécessaire à son éducation et donc qui s’occupait de l’élever. Le fils recevait toutes les attentions. Mais paradoxalement à tout ça, la fille finalement était plus tranquille, car dans mon cas, c’était bien plus qu’une corvée… J’étais sans cesse observé et je n’avais aucune liberté, totalement étouffé par mes deux parents.
• C’est à l’âge de cinq ans que mon père commença à m’inculquer les préceptes de la famille. Je devais tous les jours lui prouver que j’avais bien compris ce qui signifiait de faire partie de la famille. En parallèle à tout ça, j’entamais ma formation au combat et au maniement des armes auprès encore une fois de mon père. Étant le chef de la famille, il était le seul apte à pouvoir me former, selon ses dires. Le pire c’est qu’à l’époque je buvais ses paroles comme sils venaient de dieu lui-même. On découvrit chez moi un talent certain pour le maniement des armes blanches. J’étais devenu la fierté de mon père et plus je grandissais et plus les entrainements devenaient ardu et violent. Je faisais donc la connaissance avec mes premiers bleus, mes premières coupures.
• Quand j’atteignais l’âge de dix-huit ans, j’intégrais l’armée comme il en était la coutume chez nous et de par mon âge je décidais de quitter la maison familial pour enfin voler de mes propres ailes. L’esprit ouvert à tout ce qu’on m’avait enseigné durant de nombreuses années. C’est avec enthousiasme et détermination que j’avais donc rejoins l’armée. De par mon rang, j’étais rentré directement en tant que sous-officier dans l’armée. Mais mon objectif n’était pas là. Je souhaitais rendre fier mon père plus que tout et monter en grade aussi haut que je pouvais. Donc je me tuais deux fois plus que d’habitude à la tâche. Entre mes entrainements réguliers puis mon travail au sein de l’armée, je n’avais plus de temps pour moi, mais ça me convenait. De toute manière je pensais à l’époque qu’un homme devait toujours privilégier le travail, la détente ne venait uniquement quand ont été sur de n’avoir rien d’autre à faire. Qu’est-ce que j’étais naïf…
• A l’âge de vingt-deux ans, j’obtenais enfin le grade que je désirais par-dessus tout. Un Maréchal avait perdu la vie lors d’une escarmouche contre un royaume rival. A l’époque j’étais Lieutenant-colonel dans l’armée et je me faisais souvent remarquer pour ma bravoure au combat. C’est tout naturellement que la promotion avait été pour moi. J’étais devenu une fierté pour l’Empire et par-dessus tout je faisais honneur à mon nom de famille. Je redoublais donc d’effort une fois mes prises de fonction effectives, mais un léger malaise commençait à se faire sentir. Au début je n’y faisais pas attention mais cette fois-ci, il était bien là.
• Quand j’eus vingt-cinq ans, ce fut pour ainsi dire la révélation. On était maintenant en guerre ouverte contre Nexus depuis quelques temps maintenant. J’enchainais les escarmouches, les batailles rangées ou les attaques surprises contre l’ennemi. En ma qualité de Maréchal je faisais tout pour que la guerre dur le moins longtemps possible. Mais ce fameux malaise était devenu bien trop présent et ne me laissait aucun moment de répit. Je n’arrivais plus à me concentrer dans mon travail et à plusieurs reprises je perdais des batailles à cause d’erreurs grossières. C’est ainsi que du jour au lendemain je démissionnais de mon poste de l’armée et que je m’enfuyais sans dire un mot à personne. J’avais besoin de changer d’air, de me retrouver, car il semblerait que pendant toutes ces années, je m’étais perdu derrière une fausse discipline qui ne me correspondait plus…
Aujourd’hui, j’erre de village en village, de ville en ville, sans but précis, avec pour seul compagnon, mon long katana.
[Désolé d’avoir un peu bâclé la fin de l’histoire, mais je préfère aborder certain détail durant mes RP’s
]
Situation de départ : En vingt-cinq ans il est normal que j’ai eu de nombreuse relation avec des filles. Je suis quand même beau gosse, j’ai un certain succès auprès du sexe opposé.
Autres : De par ma nature d’ESPer, j’ai développé un pouvoir bien particulier. L’aérokinésie, qui consiste à créer à partir de rien de l’air et donc par extension, le vent. Et je peux également le manipuler, le modeler et le maîtriser à volonté. Je peux également me servir de l’air. Je m’en sers principalement pour voler, me protéger, me déplacer à haute vitesse ou pour le coupler avec mon katana. Mais pour les détails je vous laisse le découvrir dans mes futures aventures.
Comment avez-vous connu le forum : En cherchant sur Google, il y a bien 3 ans.
Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Non je ne pense pas, malheureusement.