Être ou ne pas être... à nous! [PV Satori Komeiji]

Qu'il est agréable de se balader et savourer les petites joies de la vie. Oh certes, le temps s'est rafraichi, les arbres jaunissent, les feuilles tombent mais chaque saison à ses charmes, c'est ainsi que les Karistal voient les choses. En été, les nekos ont chaud et ont tendance à s'éloigner des gens pour dormir mais plus il fait froid et plus ils viennent se rapprocher et se coller aux autres pour dormir. C'est si mignon. En cette petite balade dans Ashnard, rien de particulier, elles n'avaient pas envie d'une nouvelle neko, leur père a pris la moindre pièce qu'elles avaient sur elles et a fait passer le message de ne leur faire aucun crédit, peu importe les menaces. Oui, c'est vrai que leur « cabane » était pleine de neko, comme dans le manoir, les derniers arrivés n'ont même pas de rôle en tant que serviteur. Aucun risque d'achat cette fois mais pour se changer les idées et éviter de déprimer devant une adorable neko qu'elles ne pourront pas avoir, elles ont décidé de se promener dans une petite forêt non loin de leur manoir, juste derrière en fait. Comme le terrain était à leur père, on pouvait parfois croiser quelques animaux sauvages mais inoffensifs. C'était surveiller mais les gardes ne pouvaient pas surveiller partout à la fois.

Près d'un petit arbre encore bien habillé malgré un tapis vert jonché de feuilles en tous genres, pour une fois, les jumelles étaient l'exemple même de la noblesse et des gentilles filles que s'imaginait avoir leur père. Un livre à la main, à bouquiner tranquillement avec un petit panier-repas à côté pour manger quelques biscuits quand l'envie leur prend. Après une, voire même deux heures de lectures, il était temps de se dégourdir les jambes et ensemble, sans se chamailler ou prévoir un coup fourbe, elles se baladèrent un peu dans cette forêt pour ainsi dire sans risque, profitant simplement de ce climat calme qui régnait ici. Calme? Pas tant que ça car en se rapprochant, les jumelles endentèrent un bruit qu'elles connaissaient bien. Une de leur neko se seraient éloignée pour un agréable moment de solitude? Oui et non. C'était bien un agréable moment de solitude mais la jeune femme leur était totalement inconnue?

Elle n'y allait pas de mainmorte en tout cas! Ses doigts la pénétraient furieusement, elle semblait tout à fait adorer ça, elle s'en pinçait même le bout de sein la coquine! Plus elles l'observaient cacher derrière un arbre et plus les gentilles Karistal redevenaient de plus en plus ce qu'elles étaient. Faut dire que pour une fois qu'elles ne se sautaient pas dessus avec ou sans neko, le destin mettait une épreuve sur le chemin et la tentation était forte. Elles l'observait en se mordant la lèvre inférieure, sentant de plus en plus l'envie de se toucher elles aussi, elles se rapprochèrent doucement d'elle, en silence, sans le moindre bruit avant de se poser à genoux près de la jeune femme, passant chacune une main sur sa cuisse pour la caresser avant que Yuka ne se rapproche pour lui embrasser le cou. Yuko aussi mais elle donna un petit message avant de l'embrasser.

« Chut... laisse-toi faire ma jolie... tu nous excite bien trop comme ça... »

Et elle embrassa son cou à son tour, le léchant avec sa langue, l'embrassant délicatement. Quelle belle journée, non?

En effet, c'est agréable de voir qu'il est parfois possible d'aller sur Terra sans risque. Pour Satori, Terra est un endroit particulièrement dangereux, car elle est très recherchée à cause de ses capacités très spéciales qui lui permettent de s'approprier les pouvoirs d'autrui. Mais là, il semble que ça soit assez calme, et Satori a décidé d'aller se balader un peu. Quoi de plus banal ? Même si Satori est caractérisée comme une psychopathe, une malade mentale pour tout le monde, elle n'en reste pas moins une jolie demoiselle vêtue d'une veste d'école avec des boutons en forme de coeur, et sa mini-jupe rose, sans oublier ses collants blancs qui la rendent vraiment très sexy. Ses cuisses, on aurait envie de les lui malaxer, sans parler de ses seins qui ne sont pas si gros que ça, mais pas du tout petits non plus.

Mais la belle élève est en manque. Elle n'a pas eu de relation sexuelle pendant un bon moment, vu qu'elle est considérée comme un monstre, où qu'elle aille. Elle a donc décidé, pour combler ce manque, d'aller trouver une ruelle pour pouvoir se faire plaisir. N'ayant pas mit bien longtemps à trouver, elle s'arrête dans la ruelle et s'adosse à un mur, assise. Pour commencer, elle regarde si personne ne viendra la déranger, et une fois que la voie est libre, elle glisse une main directement sous sa culotte rose et commence à se masturber avec deux doigts. Bien rapidement, Satori se donne davantage de plaisir, elle enfonce bien ses doigts afin que le plaisir procuré monte en flèche. Elle lève la tête, tellement cela est bon pour elle, puis elle gémit de sa voix douce et à la fois si coquine, n'ayant pas l'envie de se soucier d'autrui pour le moment. Mouillant déjà suffisamment pour que ses doigts puissent pleinement s'introduire en elle, avec une grande facilité, elle utilise son autre main pour aller jouer avec l'un de ses tétons, le pinçant, le titillant, le faisant tourner sans cesse.

Désormais, elle oublie tout ce qui se passe autour et se contente de se faire plaisir continuellement, remuant furieusement ses doigts en elle alors qu'elle laisse échapper des gémissements coquins.
Mais alors qu'elle pensait être tranquille, Satori voit deux jolies jeunes femmes venir vers elle et lui toucher les cuisses pour les caresser. Leur caresse est si douce et apaisante, on dirait que ces deux demoiselles ont fait ça toute leur vie. Puis, sentant que des lèvres s'amusent sur son cou, elle bouge un peu la tête de manière à laisser de la place à la jeune fille, bien que son regard soit totalement vide.
Quand l'autre fille se met à l'embrasser au cou, Satori écoute son conseil et les laisse agir, pendant que ses doigts continuent de pénétrer sa fente déjà bien humide.

Elle se permet néanmoins de répondre aux soeurs par télépathie, comme elle a l'habitude de faire. Elles peuvent entendre une voix neutre résonner dans leur tête, ni homme, ni femme, une voix totalement neutre et calme, qui n'est pas du tout celle de Satori.

Ravie de voir que je vous excite, charmantes jeunes filles. Vous m'avez l'air assez expérimentées, si j'en juge par votre manière de caresser et par l'exquise douceur de vos baisers.

Quelle chance tout de même de tomber sur une telle beauté à un moment pareil. Les jumelles avaient du mal à le croire mais oui, c'était bien une ravissante demoiselle qui se faisait plaisir comme ça au milieu de la forêt, entre les arbres et les feuilles mortes. Quelle petite coquine celle-là! Elles ne la connaissaient pas mais ça ne les empêchait pas de profiter de la situation, après tout, elle ne les repoussait pas? Preuve que finalement, c'était une gentille fille. Les jumelles en profitaient pour lui baiser le cou, la dorlotant en savourant sa petite peau délicieuse, que ce soit avec les mains ou leur langue mais quand une fois fit intrusion dans leur tête, elles étaient moins douces en baiser et en caresses avant que l'une ne s'arrête pour s'en plaindre, justement.

« Tut-tut-tut! Qu'est-ce que c'est que cette voix! Si tu veux nous remercier, fait le avec ta petite voix délicatement torturée par le plaisir et le désir sinon on arrête. »
« D'ailleurs, privons là de suite! »

Les baisers et les caresses cessèrent d'être distribuer à cette jolie demoiselle et Yuko s'autorisa même à retirer la main de la demoiselle de son entrejambe, tenant sa main entre les trois filles, toute mouillée et collante à la vue des jeunes femmes.

« Si tu veux recommencer à jouer ma jolie, supplie nous de te doigter et de te faire jouir sinon, je garde cette main pour moi toute seule~ »

Yuko approcha la main, surtout les doigts près de sa bouche pour en sucer les doigts pleins de mouille dans un petit gémissement heureux en observant la belle demoiselle dans les yeux. Sa bouche et sa langue récoltaient doucement la cyprine, sensuellement, dans des gestes et des petits bruits érotiques. Yuka l'observait elle aussi mais un regard de sa sœur suffit à lui faire comprendre la suite. Elle remonta sa main entre les jambes de la demoiselle pour commencer à la doigter doucement mais le rythme augmentait assez vite.

« Allez ma belle, supplies-nous de te faire jouir et ensuite on s'amusera un peu plus! »

Yuko lécha son majeur comme un pénis en passant sa langue sortie le long de son doigt avant d'arriver au bout pour l'insérer dans sa bouche en le suçant et le léchant avant de finalement relâcher sa petite mimine pour rejoindre sa jumelle en enfonçant elle aussi deux doigts dans son trou en remuant déjà ses derniers biens rapidement. Elle commença à avoir de tout petits rires en l'observant. Pas un mot mais son regard le disait très clairement, joui!

Satori n'a jamais vraiment aimer parler avec sa voix naturelle. Elle n'aime pas sa voix parce qu'elle lui donne l'impression d'être une petite gamine tout droit sortie de chez elle pour aller à l'école avec son petit sac à dos. Mais il n'en est pas. Même si Satori a l'air relativement jeune, elle est bien plus mature que ce qu'on peut l'imaginer, et surtout, bien plus expérimentée sexuellement parlant.

Dans la situation actuelle, Satori n'a pas vraiment le choix d'utiliser sa voix pour parler, sinon, tout le plaisir qu'elle a pu se procurer s'en ira. Timidement mais surement, la jeune fille aux cheveux violets se décide à répondre.

Si...S'il vous plait...Ne vous arrêtez pas en si bon chemin.

Au contact de ses doigts trempés dans la bouche de l'une des soeurs,, Satori fait bouger deux doigts sur sa langue pour la caresser et pour se faire une idée de ce dont elle est capable de faire. Puis, lorsque elle sent sa main qui la doigte sans gêne, Satori gémit de sa douce voix sensuelle, mais plus distinctement. Par réflexe, elle écarte bien les jambes, invitant les soeurs à venir la pénétrer par elles-même.

Je...Je vous en supplie...Faites-moi jouir...Je ne...Peux plus attendre.

La jolie demoiselle se laisse "bercer" par les va et vient en elle, se mordillant la lèvre entre temps, alors qu'elle se touche un sein sous les yeux des soeurs, dans le but de les faire languir un peu plus.

Leur petite chose, c'était dorénavant leur petite chose toute douce qui se doigtait comme une chienne. Mais les Karistal l'on finalement vue a l'œuvre et elles la voulait, toute entière. Privée de l'une de ses mains que Yuko léchait lentement, la seconde main était confisqué par Yuka, placer entre ses jambes alors que cette dernière la doigtait elle aussi. Et Yuko ne tardait pas à la rejoindre pour y insérer aussi ses doigts, pour la faire jouir, réclamé sa petite voix si douce à leurs oreilles. Mais la voilà enfin sa belle petite voix torturée par le plaisir, les jumelles étaient si heureuses de l'entendre. C'était ce genre de voix qu'elle voulait entendre, si délicieusement excitant! Approuvant cela, ses doigts enfoncé en elle venaient s'agiter un peu plus pour l'en remercier.

« Eh bien voilà. Ce n'est pas compliqué ma jolie. Alors maintenant arroses-nous avec ta semence et savoure la douceur de nos petites chattes! »

Yuko inséra aussi la main de la demoiselle dans sa culotte, la laissant remuer ses doigts comme il faut alors qu'elle se pencha sur elle en continuant de la doigter, venant lui lécher la joue et le cou. Sa douce langue passait délicatement sur sa peau et en la voyant faire, Yuka en faisait autant en se rapprochant d'elle; N'empêche, pour celles qui n'en sont pas habituées, ce doit être un fantasme que de coucher avec des jumelles en même temps? La pauvre petite chose – dont elles ignoraient le nom pour le moment – était englouti sous cette vague de luxure. Leurs langues la léchaient et sans un mot entre elles, elles avaient la même idée en rapprochant leur langue de ses oreilles pour dire plus ou moins la même chose.

« Jouit ma belle petite chienne. »
« Jouit me petite pupute. »
« Allez, arrose-nous avec ta délicieuse semence! »
« On est pas assez excitante pour toi? Tu voudrais que je te donne la fessée, c'est ça? »
« Doigte moi bien fort... »
« J'ai envie de jouir sur ton visage, arrosé ton joli petite visage de câtin... »

Elles étaient toutes les deux très envieuses de cette étrange femme qui se faisaient plaisir en pleine rue.