Vantardise entre femelles (PV Billie)

Azusa venait tout juste de sortir du simulateur de réalité virtuel, après avoir tester le logiciel de combat 3D en temps réel projeté par des images de synthèse mettant en scène le porteur et son véhicule se mouvant dans un monde imaginaire, un programme qui s'avère tout a fait idéal pour les débutantes qui pilote des engins lourds destinée  à combattre sur le front. Les techniciens avait vraiment fait du bon travail, ils sont parvenues a joindre la séquence d'initialisation du processeur du gigantesque MS avec un câble de raccord et l'ont reliés à l'ordinateur de simulation, la jeune femme avait passer des jours entiers et des semaines avant de pouvoir maîtriser la puissance du Gundam, sa vitesse de pointe liés à la propulsion de ses réacteurs et surtout sa mobilité sur le champs de bataille. La demoiselle fut quand même un peu déçue en revanche parce que elle n'avait pas le droit de prendre les commandes d'un engin aussi imposant à la base, mais une ingénieuse a pu lui venir en aide et a pu installer une banque de donnée avec une carte mémoire primaire en le greffant au cœur d'une armure mobile provenant d’unités de masse qui devait mesurer vers les sept ou huit mètres de haut et grâce à son génie scientifique (ses recherches sur les armes cybernétique) elle a pu doter cet appareil d'une intelligence artificielle certes pas si développer que ça (l'unité n'était pas autonome en lui-même mais il pouvait se déplacer et se mouvoir sur un ordre vocal de sa maîtresse), elle l'avait baptiser sous le matricule de OZ-14MSX Gundam Asklepios. Normalement, les soldates n'avait du tout accès au carré des officiers et Azusa n'avait pas le droit de lui adresser la parole même lui demander un coup de pouce mais elle a sut lui taper dans l’œil en employant ses ruses habituels en partageant sa couche directement en privé dans le bureau de l'ingénieur.

Pour ce jour, Azusa avait troquer son uniforme militaire par un style vestimentaire un peu décontracté composer d'un mini-haut noir avec des stries clair qui ne devait couvrir que le quart de la poitrine avec des petites brassières a enfiler dans les mains qui l'accompagnait, un pantalon de style "Bootcut" similaire a une version de jean patte d'éléphant délavé et une paire d'escarpins plateforme de cuir noir.

La Race Queen avait choisi de faire une pause pour ce jour car elle était un peu exténuée et avait besoin de récupérer, elle ne resta pas non plus avec son unité mais elle avait la liberté d'apporter un cellulaire GSM de la Inhelt Company qui lui permet de rester relier à son armure mobile et d'en faire appel à celui-ci, si elle devait se sentir en danger hors de la limite de la ville ou pour combattre un infamie sur un ordre de ses supérieurs. Elle se rendit près d'un vieux quartier de Tekhos à l'abandon même si quelqu'un devait passer dans le coin, personne ne serait pris dans le feu de l'action, car il n'y avait rien à en tirer dans ces ruine mais ne s'y attarda pas dans le périmètre. C'est là que par hasard, Azusa croisa une fille qu'elle jamais vu avant accompagné d'un colosse de fer qui faisait deux fois sa taille... Le plus surprenant, c'est qu'il semblait parler avec elle comme si il était vivant et elle aussi avec lui, la soldate fut un peu intriguée et décida de les interpeller en cours de route.

Hello vous deux ! je peux vous déranger quarante minute ?

Azusa garda ses bras croisés sous sa poitrine opulente avec une étrange expression qui peignait son visage, l'air furibonde.

- Hein ?! Tu vas aller à Tekhos Metropolis ? Mais t'es pas bien ma pauvre vieille !

Billie leva les yeux au ciel. Accompagnée de Red, elle se trouvait au spatioport où elle avait demandé à Deacon d’apprêter leur vaisseau. Elle ne lui avait pas dit tout de suite où elle comptait aller, ni ce qu'elle comptait faire. Pour la simple et bonne raison qu'elle savait pertinemment que le jeune homme aurait refusé son aide, et cela lui aurait fait perdre son temps. Deacon venait de là-bas, où il s'était fait un peu martyrisé comme tous les hommes, et avait du se faire passer pour mort lors de l'explosion de son usine pour pouvoir se faire la belle. Autant dire qu'il vouait une haine sans égale à la région, et plus particulièrement aux tekhanes.

- Je te rappelle que je suis une femme, je risque pas grand chose, lâcha t-elle.
- C'est pas la question ! Ce sont toutes des tarées là-bas ! Et puis d'ailleurs, qu'est-ce que tu vas y faire ?
- Je vais chercher quelques fournitures spéciales pour mon père. Il travaille sur un projet qui nécessite des éléments qu'on ne peut trouver que là-bas.
- Envois quelqu'un d'autre !
- Tu m'épuises, Deacon.

Elle soupira et le contourna pour monter dans le vaisseau, suivit de près par Red. Comme Deacon ne pouvait évidemment pas les accompagner, elle piloterait seule. Mais ce n'était pas un problème, elle savait y faire avec ces engins.

Quelques temps plus tard, elle parvint à sa destination. La ville était très animée, et très bruyante. Grande aussi. Ils allaient avoir du mal à se repérer.

- Red, t'aurais pas une cartographie de la ville, par hasard ?
- Le chargement est en cours, Rocket.

Il y eu quelques courtes secondes d'attente, puis son compagnon pointa son doigt robotique vers le sud.

- Nous devrions pouvoir prendre un raccourcis par-là. Ce n'est pas un quartier très fréquentable, mais on devrait gagner du temps.
- Allons-y.

Ils marchèrent quelques instants dans les ruelles désertes à l'air abandonnées.

- Tu crois que ça date de quand ?
- Impossible à dire, Rocket. Je n'ai pas accès aux archives historiques de la ville au complet.

 Billie s'arrêta un petit instant pour observer l'intérieur d'une vieille bâtisse par une fenêtre poussiéreuse lorsqu'une voix les interpella. La jeune femme se redressa et lui lança un regard méfiant.

-  Qu'est-ce que tu nous veux, toi ?

La jeune femme n'en crut pas ses oreilles, la fille en tenue bizarre avait eut le culot de lui parler d'un ton aussi sec ? Bien sure sure que non, ça n'allait pas se passer comme ça et comment pouvait-ils tous deux fouler du pied le sol de son territoire ? Elle se dirigea d'une marche volontaire et décisif vers l'étrangère en faisant claquer ses talons durant chaque pas et se posta à sa taille en la regardant elle et son unité, son interlocutrice était appétissante ! Le mécha quant à lui demeurait silencieux également et n'avait énoncer aucun un mot depuis le début. Azusa s'approcha alors du robot et fit une pichenette sur le bras mobile du robot. La soldate n'avait jamais vu rien de similaire a la base mais peut-être au foyer mais il lui était difficile d'imaginer que cet être mécanisé ait put être un cyborg à intelligence artificielle et rien que d'y penser, cela la piquât au vif alors elle se désintéressa de lui pour se tourner vers la belle fille inconnu. Elle se rapprocha un peu plus que d'habitude, ignorant la peur ou la crainte que celle-ci puisse se mouvoir ou l'attaquer (naturellement elle n'avait pas le caractère primitive d'un homme pour avoir avoir des méthodes en tête aussi bas) et étant bien sure entre femmes, elle n'osera pas lui faire subir une prise de soumission militaire pour la mettre d'état de nuire et qu'elle interpréterait cela comme de la légitime défense et sans doute que pour son pantin de fer, il devait ne pas s'attendre à une menace particulière de la part d'Azusa si ce n'est que la fille qui l'accompagnait qui paraissait méfiante à son égard. Pas un chat ne se trouva à portée de vue et personne ne pouvait risquer de les surprendre ou de les déranger, Azusa lui enfonça un doigt sur le sein gauche de la belle inconnue en souriant légèrement et se colla près d'elle en se laissant tomber presque sur celle-ci et fit plaquer sa poitrine sur la sienne en en faisant le textile de son mini-haut sur celle de la combinaison de la demoiselle.

Je te le dirais dans pas longtemps ma chérie. J'aurais plusieurs questions à te poser mais je te tiens à te dire une chose avant ça car en foulant le sol de mon territoire, tu va devoir me payer... en nature !

Azusa émit un mauvais sourire avant de lui répondre a nouveau.

Si tu veux passer ton chemin, sans histoire. Mais ne t'en fais pas, je n'en aurais pas pour très longtemps.

Azusa se mit alors à passer sa langue sur sa joue et leva un de ses talons haut noir et se mit à caresser les bottes de la demoiselle, elle était si belle qu'Azusa avait une certaine envie de passer du bon temps mais tout dépendra de sa réponse.