Le Yakuza furieux lui ordonna de boire... Et elle but. D’aucuns auraient pu croire qu’elle était forcée d’agir ainsi, mais Mélinda était observatrice. Elle se forçait, oui... Mais en partie seulement.
En partie. Un sourire sur le coin des lèvres, Mélinda voyait que cette femme appréciait ça, et Kenji la regardait sans rien dire. Il hésitait encore à la frapper, car elle remuait sa langue sur le sol, léchant son urine.
«
Mais quelle traînée, putain... ! »
Il la frappa à nouveau dans le ventre, d’un bon coup de pied, se maudissant pour aimer une telle salope. Sérieusement, que pouvait-il bien lui trouver ? Elle léchait le sol en parfaite soumise, n’osant même pas se battre ! Bon, c’était une femme, en même temps, alors, pour Kenji, un Yakuza pure souche, il était normal qu’elle ne se défende pas, mais quand même... Il s’attendait à mieux d’une
ganguro. En d’autres circonstances, Belinda aurait pu faire une parfaite épouse, une femme au foyer qu’il aurait pu fourrer chaque soir jusqu’à ce qu’elle lui donne une tripotée de morbacs en accomplissant dignement son devoir conjugal. Au lieu de ça, il bandait sur une salope à la peau bronzée maquillée comme une voiture volée. Kenji grognait sur place, et vit ensuite la femme s’effondrer sur place, sa tête heurtant la flaque de pisse sur le sol.
Un grognement de dépit s’échappa à nouveau des lèvres de Kenji. Il regarda autour de lui, sans voir qui que ce soit, grogna à nouveau, puis frappa une dernière fois Belinda dans les côtes, avant de se rhabiller.
«
Salope... » grogna-t-il.
L’homme fila rapidement, en se dépêchant, afin que personne ne le remarque. Il n’y avait pas de risques, car ce quartier était tranquille. Les riverains savaient que la curiosité était mauvaise conseillère, et Mélinda, de son côté, le laissa partir rapidement, jusqu’à disparaître de son champ de vision. Elle se laissa ensuite tomber sur le sol, atterrissant élégamment près de Belinda, et s’avança vers elle, d’une démarche sensuelle et lente, se penchant pour caresser délicatement les cheveux de la femme endormie.
«
Ma pauvre petite... Comme tu aimes te complaire dans la pisse et la crasse... »
Mélinda lui caressait les cheveux, glissant le long de sa peau. Les idées affluaient dans sa tête. Elle réfléchissait rapidement, et finit par avoir une idée. Un sourire perla alors sur son visage. Belinda avait lamentablement échoué, et avait montré à quel point elle était une soumise. Kenji n’avait pas tort : pour Mélinda, c’était
vraiment une salope... Et elle allait la former ainsi, tout simplement. Elle la souleva lentement, un sourire enfantin sur les lèvres, utilisant un chiffon pour lui nettoyer un peu le visage. Elle nettoya notamment ses lèvres, et l’embrassa pendant son sommeil.
«
DEBOUT !! »
La verge s’enfonça entre ses cuisses, tapant contre le fond de sa chatte, et, quand Belinda ouvrit la bouche pour hurler, une autre verge s’enfonça dans sa bouche, tandis que des mains gantées de latex se resserrèrent contre elle, empoignant ses cheveux. La poigne était ferme, mais elle émanait d’une douce jeune fille, une lycéenne,
Asuka. Première de la classe au lycée Mishima, avec ses belles petites couettes, elle était l’incarnation parfaite de l’élève-modèle... Mais ça ne l’empêchait pas de remuer sa queue dans la bouche de Belinda, lui offrant une fellation en souriant.
«
Comme ta bouche est délicieuse, ma belle... C’est bon pour se réveiller, hein ?! »
Asuka gloussa, rejointe par d’autres femmes se tenant dans les coins... Et le fouet s’abattit sur son dos. Les bras de Belinda étaient maintenus en l’air, immobilisés par des liens, et ses jambes étaient également retenues à hauteur des chevilles par des cordes supplémentaires, ses jambes écartées à gauche et à droite, accueillant la verge d’une autre Futanari,
Myriam, qui portait une élégante tenue en latex, et également des gants noirs, enfonçant sa verge en elle.
Mélinda avait offert cette
ganguro à ses esclaves, et elle se tenait dans l’une des caves du manoir, au milieu de femmes membrées, lycéennes comme prostituées, portant toutes des tenues en latex. Elles la fouettaient par intermittence, leurs fouets claquant sur son dos, comme les caresses sèches et douloureuses d’un serpent. Son visage avait été nettoyé, et elle était maintenant toute belle prête à être au centre d’une vaste tournante.
C’est de cette manière que Mélinda comptait la former.