Magikya se retrouvait ainsi nue, à genoux. Elle ne voyait plus rien mais elle avait entendue le discours du dieu... Car en plus, son adversaire était un dieu, il ne lui pardonnerait rien, et la magie de la magicienne ne pourrait rien. Elle regrettait ainsi ce tatouage qu'elle avait, avertir autrui du lieu où elle se retrouvait était inutile, personne ne pourrait la libérer face à un dieu. Magikya ne pouvait qu'attendre -et espérer- que sa colère le calme afin que, par magnaminité, il la libère et la laisse regagner son village.
Elle bougeait et tendait son corps malgré que ses mains soient restés ligotés vers le haut pour essayer de trouver ce membre génital. Une tache difficile, et davantage encore car si le contact humain à toujours une certaine chaleur et que c'est de la peau, il s'agisseait là d'une créature sous-marine et écailleuse, elle était humide, sentant les marais, et les écailles qui recouvraient celle-ci. Elle put néanmoins, bien que ses yeux soient bandées, discerner les différentes parties du corps du lézard par le touché. Son dos, omoplates, épaules, etc. étaient, en plus d'être recouvertes d'écailles sales et brisées par endroit, couvertes de petits voir de longs piques qui pouvaient s'avérer êtres de véritables lames de rasoir. Heureusement, Magikya explorait cet étrange corps en douceur et lentement, ce qui lui évita de se blesser. Les écailles de son abdomen semblait plus longues, mais toujours aussi sale et puantes, mais dénuée de tous piques, surement pour aider à la procréation.
C'est ainsi que Magikya réussie, tant bien que mal, à trouver un membre sortant de son entre-jambe, son pénis. Une fois qu'elle le trouva, elle ne voulut plus le lacher pour ne pas avoir à refaire cette exploration. L'homme-lézard semblait prendre appui sur Magikya, une de ses pattes avant posées sur l'épaule de Magikya, la deuxième restait toujours sur l'un de ses seins. La créature semblait prendre un grand plaisir avec ce sein doux et ferme, il ne devait pas en rencontrer beaucoup de telles poitrines si les femmes de sa race étaient comme les mâles.
Magikya faisait de petits et lents mouvements, de peur que la créature s'impatiente, elle en fit de plus grand, mais toujours aussi lent, elle joua donc beaucoup avec la langue, l'enroulant , léchant avec beaucoup d'attentions.
Au bout d'un moment, la créature retira son pénis, elle crue que le soldat du dieu allait éjaculer et ainsi que ce serait fait pour celle-ci, mais ce n'était qu'un liquide pré-séminale qui commençait à en couler et le lézard en essuya se qui sortait de son gland sur la poitrine de la belle avant de l'enfoncer de nouveau dans sa bouche. Cette fois, il mit une de ses pattes autour de la tête de la jeune femme, il se mit à enfoncer plus loin son membre, puis à accélerer instinctivement son bassin avant d'en sortir tout son membre -même si du liquide pré-séùinale avait de nouveau couler et cette fois dans la gorge de Magikya- et d'éjaculer en grande quantité sur la jeune femme.
Puis il s'écarta et laissa les autres soldats lézards s'occupaient d'elle. Onze en tout. Magikya avait mal à la langue et un peu à l'un de ses seins qu'ils avaient particulièrement appréciés. Elle sentait désormais mauvais, le liquide blanc collait encore davantage que du sperme. Magikya était épuisée, ses cheveux en bataille recouvers de sperme tombaient sur son visage.
Mais elle oublia tout épuisement en pensant au fait que des renforts allaient arrivés et qu'ils seraient accueillis par un dieu sévère, puissant et cruel. Et dans quel état d'ailleurs la retrouveraient-ils ? Leur dirigeante recouverte de sperme et nue...