Le piège se referme [Pv Lynn Minmey]

Même si je connais mal le monde des humains, il m’arrivait assez souvent de regarder vers le bas afin de les étudier et de comprendre pourquoi ils étaient si différents de nous. Au bout de quelques années, j’avais finalement compris qu’à part nos ailes et nos pouvoirs, ils étaient en tous points pareil que ce soit dans leur façon d’agir, leurs pulsions ou même leurs divinités. Si pour nous il s’agissait du Saint Père, eux étaient polythéistes car si pour certains, il y avait la religion, pour d’autres il y avait ce que l’on appelle ici : Des Idoles.

Chanteuses, actrices, mannequins, certains entraient presque en vénération devant elles. Lynn Minmey faisait partie de ces étoiles et avait tout pour elle : Le charme, la grâce, une voix assez intéressante, un corps parfait et le sens de la découverte. En effet, il était courant qu’une chanteuse ayant perdu sa gloire d’antan se mette à faire du porno alors qu’une autre, au sommet de sa gloire, faisant fellation et autres dans un film était presque gênant voir incongru. C’était cela qui m’avait poussé à m’intéresser à elle et non sa musique. Même si cela ne dérange pas mes oreilles, je reste un adepte de musiques plus rebelles….Plus rock !

Du coup, je ressentais le besoin de la rencontrer, certes j’avais vu ce film et m’étais surpris sans même m’en rendre compte la main dans mon boxer mais disons que m’imaginer cette fille trop sage, calquée sur un modèle de société presque puritain en train de se faire sauter sur grand écran m’intriguait. Ainsi, pour voir qui elle était vraiment je m’étais décidé à utiliser certain de mes pouvoirs pour me faire passer pour l’un des producteurs montants de la jeune génération chez Cinécorp Compagnie. Un peu d’hypnose et le tour était jouée, j’avais désormais mon propre bureau et les employés m’appelaient Kagawa-San. Ah…Le plaisir d’être un ange !

Utilisant mes nombreux nouveaux contacts, j’avais réussi à joindre le manager de Lynn et m’était arrangé pour avoir un rendez-vous avec elle et avec elle seule prétextant un gros contrat et le besoin de rencontrer mes acteurs sans leur staff afin de mieux les cerner et de pouvoir déterminer si ils méritaient ou non une place dans l’un de nos films. Ainsi, j’attendais la jeune fille, assis dans l’énorme siège en cuir de mon bureau, portant un costume cravate plutôt cintré de marque Gucci, une cigarette au bec. Mon bureau était plutôt spacieux et étaient dotés de nombreuses armoires contenant tout un tas de costumes de scène ainsi qu’une bonne dizaine de prix pour mes sois disant films, disposés sur une étagère.

Soudainement, ma secrétaire m’appela, m’expliquant qu’elle faisait monter la jeune fille. Esquissant un sourire, j’attendis que la porte s’ouvre et sans même la regarder je murmurais calmement.

« Mademoiselle Minmey, je vous attendais, prenez place s’il vous plait et présentez-vous rapidement. »

Les banalités bien évidemment mais je voulais voir de quelle manière elle allait parler d’elle-même et surtout si elle allait aborder un sujet en particulier : son dernier film…

Je venais de raccrocher, le célèbre Kagawan-San de la Cinécorp Compagnie me voulait dans un de ses films… c’était proprement et carrément inespéré… je pensais que ma carrière cinématographique terminée après mon dernier film, à part dans le porno… ce qui ne m’aurait pas vraiment déranger, après tout, ma carrière de chanteuse était toujours au beau fixe. Je me regardais dans une glace, puis je me déshabillais et pris une longue douche pour me changer un peu les idées avant le rendez-vous. J’espérais qu’il y aurait au moins une scène de « real sex » dans le nouveau film… car j’avais adorée être filmée en train de faire l’amour avec Keiren, et savoir que des personnes pouvait se faire plaisir en me voyant, ça m’excitait encore plus…

Je me lavais puis sortis de la douche, je m’habillais assez sexy, mettant des sous-vêtements en dentelle blanche, puis une nouvelle robe sexy mais pas vulgaire, une robe entre celle d’une soubrette pour le bas et un bustier qui relevait mes seins pour le haut. Je mis des bas blancs puis des chaussures noires à petits talons. Une fois fait, j’attendis que Kaïfun m’emmène à Cinécorp Compagnie. Il me déposa devant le bâtiment et j’entrais seule. Je m’avançais jusqu’à une secrétaire et lui dit que Monsieur Kagawan-San m’attendait et qui j’étais.

Je la vis téléphoner puis elle me fit entrer dans le bureau du producteur. Je l’observais, plutôt beau garçon, assez jeune.

_ « Mademoiselle Minmey, je vous attendais, prenez place s’il vous plait et présentez-vous rapidement. »

Je m’asseyais après m’être inclinée… me présenter ? Qui me connaissait pas ? Enfin, ça n’allait pas être difficile.

_ « Je m’appelle Lynn… Minmey Lynn, je suis chanteuse de pop et de variétés, surtout des chansons d’amour depuis trois ans… j’ai tournée dans deux films, Shao Paï Loon et Ai No Meiyo qui ont rencontré un franc succès. Surtout le deuxième, à cause des scènes de « real sex » tournées durant le film. Voilà… »

Je préférais dire la vérité, puisqu’il surement savait déjà que j’avais tournée dans ce film catégorisé de film pornographique. Je n’étais pas du tout mal à l’aise, même si j’avais rougis quand j’avais parlée de mon second film. Mais maintenant, c’était fait, je pouvais être très fière de ce que j’avais fait. Peu de personne en aurait été capable.

Lynn Minmey savait s’habiller, il n’y avait rien à dire. L’ensemble qu’elle avait choisi lui allait particulièrement bien, faisant ressortir ses formes tout en lissant sa silhouette. Malgré cela et le fait qu’elle s’inclina, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté, je la fixais d’un air presque sévère. Après tout, n’étais-je pas l’un des réalisateurs les plus en vues actuellement ? On disait que chacun de mes films, juste parce que mon nom figurait dans le générique final, offrait un succès presque garantit.

Ainsi, elle se présenta rapidement, comme je le lui avais demandé. Elle semblait savoir ce qu’elle voulait et je remarqua la petite rougeur qui apparut sur ses joues lorsqu’elle aborda les scènes de Real sex présente dans son second film. Etrangement, cette réaction ne semblait pas dictée par la honte mais par un je ne sais quoi qui me plaisait tout particulièrement. Lui offrant ce qui ressemblait à un sourire, je murmurais calmement.

« J’ai vu vos deux films, surtout le dernier qui a fait beaucoup de bruit. Votre interprétation y était magistrale bien que le scénario laissait clairement à désirer et que mis à part vous et Monsieur Blackwell, les autres acteurs n’avaient pas le quart de votre talent. Bref… Navré de vous infliger mes critiques mais c’est en regardant les erreurs des autres que l’on apprend et que l’on fait bien mieux. »

Oui j’avais eu la critique facile mais il faisait qu’elle s’imagine que j’allais pouvoir la propulser vers l’avant, que j’éais assez sévère mais pas égocentrique non plus. De toute façon, j’avais déjà un projet pour elle.

« Si je vous ai fait venir aujourd’hui, c’est pour vous proposer le rôle principal de mon prochain film dont… vous saurez également le sujet puisqu’il s’agira d’une sorte de Biopic romancée. Voici d’ailleurs l’affiche provisoire si vous acceptez les termes du contrat qui vous attend et surtout… Si vous passez l’audition avec brio. »

Je lui fis glisser alors l’affiche, la laissant la découvrir.



«  Des questions ? »

Oh que oui, si elle avait apprécié les scènes de Real Sex de son dernier film, elle allait surement être très contente de découvrir le scénario de celui-ci. En attendant, je murmurais calmement.

«  Ce film sera un symbole pour toute une génération… Un chef-d’œuvre. Lynn Minmey, nouvelle icône de la société. Je vois ça d’ici. »

Oui en faire suffisamment pour lui rappeler l’importance de ce film que je pouvais bien tourner si le film la motivait vraiment. Enfin… Avec l’aide du véritable Kagawa-San.

Il me sourit enfin il tenta de sourire, ce qui me semblait être un signe approbateur, jamais je ne pourrais dire que je n’étais pas fière d’avoir fait un tel film, car cela signifiait que j’étais capable de faire tout ce qu’on me demandait.

_ « J’ai vu vos deux films, surtout le dernier qui a fait beaucoup de bruit. Votre interprétation y était magistrale bien que le scénario laissait clairement à désirer et que mis à part vous et Monsieur Blackwell, les autres acteurs n’avaient pas le quart de votre talent. Bref… Navré de vous infliger mes critiques mais c’est en regardant les erreurs des autres que l’on apprend et que l’on fait bien mieux. »

Je hochais la tête, c’était peu de le dire, ce film avait été un vrai succès… grâce surtout aux scènes de « real sex ». Keiren avait été mieux que les autres acteurs ? J’en étais contente pour lui. Ces critiques étaient ce qu’il y avait  de mieux. Mais j’aimerais savoir ce qu’il voulait exactement de moi…

_ « Si je vous ai fait venir aujourd’hui, c’est pour vous proposer le rôle principal de mon prochain film dont… vous saurez également le sujet puisqu’il s’agira d’une sorte de Biopic romancée. Voici d’ailleurs l’affiche provisoire si vous acceptez les termes du contrat qui vous attend et surtout… Si vous passez l’audition avec brio. »

Je clignais des yeux plusieurs fois… un biopic romancée sur moi ? Avec moi en tant que rôle principal, jouant mon propre rôle ? Il me fit glisser alors l’affiche, je la regardais… ou avait-il eut cette photo ? Puis je l’examinais un peu plus, c’était un fake, un montage. Je soupirais, mais c’était assez bien fait quand même. Eroaidoru-shi « Journal Erotique d’une Idole »… un joli titre pour un film, mais…

_ « Des questions ? »

Je le regardais, oui, beaucoup de questions se bousculaient sur ma langue. Je baissais les yeux le temps de retrouver une certaine contenance, les films de Kagawa-San étaient les plus attendus du cinéma à l’heure actuelle…

_ « Ce film sera un symbole pour toute une génération… Un chef-d’œuvre. Lynn Minmey, nouvelle icône de la société. Je vois ça d’ici. »

Je hochais la tête. J’étais un peu surprise quand même que je sois un tel sujet de film.

_ « Je… oui, j’ai des questions… ce serait un film érotique ou pornographique ? J’aimerais lire le script… pour savoir si cela a vraiment à voir avec ma vie… même si cela est romancé, je voudrais que cela soit assez proche de la réalité… »

Je lui souriais, je me demandais bien ce que serait l’audition, j’étais plus que parfaite pour faire mon propre rôle.

_ « Que dois-je faire pour passer l’audition avec brio ? »

Lynn semblait être quelque peu intimidée, en même temps, se retrouver face à l’un des producteurs les plus importants du pays ne devait pas être facile pour elle surtout que je ne la mettais vraiment pas en confiance. D’ailleurs j’accentuais ce fait en lui donnant ma critique concernant son dernier film. Elle se contentait de hocher la tête tandis que je lui expliquais le sujet de mon prochain film dont elle pourrait être la vedette si elle s’en montrait digne. Lui passant tout d’abord l’affiche temporaire, je la vit assez surprise et lui expliqua calmement, comme à mon habitude :

« Photomontage, on fera de véritables photos et surtout de meilleure qualités une fois le tournage terminé. »

Oui je n’avais pas envie qu’elle s’imagine qu’il s’agissait de photos volés ou tout un tas d’autres choses qui pourrait négative pour notre société. C’est alors qu’elle me posa un question qui me fit esquisser mon tout premier sourire non forcé. Erotique ou porno ? Amusant… Elle voulait également lire le script ? C’était jouable et quand à ses paroles concernant sa volonté de suivi par rapport à sa vie réelle… Un simple détail..

«  En 1968, Le Japon a connu le Pinku Eiga, c’était au moment des révoltes de Paris et des émeutes de Mexico. De nombreux cinéastes ont lancés la vague rose avec des films extrêmement violents et pornographiques qui ont libérés le Japon de ses tabous. Je veux faire la même chose mais avec vous, en oubliant ce côté violent…  J’aimerai donc que ce film se classe dans la catégorie pornographique si vous n’y voyez pas d’inconvénients. »

Et oui, j’avais bien révisé mes leçons concernant le cinéma japonais, en omettant de lui dire que la plupart de ces réalisateurs ont fini en prison car membres d’un groupe terroristes qui commis dès 1976 les premiers attentats kamikazes de l‘histoire. Bref… J’attendais sa réponse avant de reprendre.

«  Ce sera une version romancée de votre vie, le script sera à votre disposition dès que vous le souhaiterez et vous pouvez y apporter quelques modifications concernant vos débuts dans la chanson et tout le reste. Nous voulons montrer votre ascension ainsi que la découverte de votre sexualité. Ainsi la première scène, celle d’introduction vous montrera chez vous, vous serez dans votre lit dans la tenue que vous souhaitez, sexy de préférence, la scène pornographiques de Ai No Meiyo sur votre immense télévision tandis que vous vous toucherez. Une fois l’orgasme passé, le titre défilera ainsi que le générique du début. Est-ce dans vos cordes ? »

Oui je lui disais tout cela de but en blanc sans prendre de gants ou quoi que ce soit d’autres tandis qu’elle me demandais de quelle manière l’audition allait se passer.

«  Depuis le succès de Ai No Meiyo, de nombreuses chanteuses sont prêtes à tourner des scènes de Real Sex et j’ai l’embarras du choix. Cela dit, vous représentez à mes yeux celle qui convient le mieux pour ce rôle. Ainsi… Pour vous tester, je veux que vous me rejouiez la scène dont je viens de vous parler. »

Tendant le bras, je lui montrais le canapé tandis que j’appuyais sur la télécommande situé sur mon bureau, faisant descendre un rétroprojecteur. Je lançais alors le DVD bien évidemment réglé sur la scène en question et appuya sur le bouton « start ».

« C’est à vous. »

C’est alors que j’ouvris l’un des tiroirs de mon bureau, sortant un gode encore sous plastique et lui envoya.

« Si vous avez envie de vous en servir, libre à vous mais surprenez moi. »

Je le vis sourire à nouveau. Je me demandais ce qu’il allait me répondre. Pour l’érotique ou le porno, j’aimerais bien le faire… ce serait pour moi, le cas de découvrir ce qu’est vraiment un film pornographique, et puis j’aimais vraiment faire l’amour… le faire devant la caméra m’avait excité bien plus que de le faire…

_ « En 1968, Le Japon a connu le Pinku Eiga, c’était au moment des révoltes de Paris et des émeutes de Mexico. De nombreux cinéastes ont lancés la vague rose avec des films extrêmement violents et pornographiques qui ont libérés le Japon de ses tabous. Je veux faire la même chose mais avec vous, en oubliant ce côté violent…  J’aimerai donc que ce film se classe dans la catégorie pornographique si vous n’y voyez pas d’inconvénients. »

Je hochais simplement la tête, déjà à moitié excitée de savoir que ce serait un film pornographique… mes tétons commençaient à pointer vers lui, j’espérais qu’il ne le verrait pas.

_ « Ce sera une version romancée de votre vie, le script sera à votre disposition dès que vous le souhaiterez et vous pouvez y apporter quelques modifications concernant vos débuts dans la chanson et tout le reste. Nous voulons montrer votre ascension ainsi que la découverte de votre sexualité. Ainsi la première scène, celle d’introduction vous montrera chez vous, vous serez dans votre lit dans la tenue que vous souhaitez, sexy de préférence, la scène pornographiques de Ai No Meiyo sur votre immense télévision tandis que vous vous toucherez. Une fois l’orgasme passé, le titre défilera ainsi que le générique du début. Est-ce dans vos cordes ? »

Je rougis violemment quand il dit ça. Me donner du plaisir comme ça, devant la caméra en me regardant faire l’amour avec Keiren… je ne savais si j’en étais capable…

_ « Depuis le succès de Ai No Meiyo, de nombreuses chanteuses sont prêtes à tourner des scènes de Real Sex et j’ai l’embarras du choix. Cela dit, vous représentez à mes yeux celle qui convient le mieux pour ce rôle. Ainsi… Pour vous tester, je veux que vous me rejouiez la scène dont je viens de vous parler. »

Il voulait que je fasse la première scène ? Là devant lui ? Il tendit le bras vers le canapé tout en faisant descendre un rétroprojecteur. Il l’alluma et je vis la scène, non censurée de mes ébats avec Keirein… je passais ma langues sur mes lèvres. Les tétons de mes seins finirent de se dresser dans mon soutien-gorge, pointant sur mon corsage.
 
_ « C’est à vous. »

Je me tournais vers lui en hochant la tête. Je le vis ouvrir l’un des tiroirs de son bureau, et sortir un gode encore sous plastique qu’il m’envoya.

_ « Si vous avez envie de vous en servir, libre à vous mais surprenez moi. »

Je rougis tout en le sortant du plastique, mis les piles dedans. Puis je me dirigeais vers le canapé, faisant tomber ma jupe par terre puis retirant mon corsage. J’étais en sous-vêtement désormais, mais je pris le temps de retirer mes chaussures. Je restais donc ainsi, avec mes bas blancs.

Je m’installais sur le canapé, une jambe sur le sol, l’autre dessus. Je me mis à sucer le gode d’une manière sensuelle tout en me caressant un sein. Je fis cela pendant un petit avant de poser le gode en marche sur mon intimité tandis que je prenais le sein que je caressais en main et que je suçotais mon tétons après l’avoir sorti de mon soutien-gorge… je mis à gémir doucement tandis que je commençais à mouiller ma petite culotte blanche en dentelle.

Mes tétons pointaient désormais fièrement, l’un hors de mon soutif, l’autre dedans mais bien visible dans sa gangue. Je décalais ma culotte pour révéler mon intimité rasée, avant de passer le gode dessus me faisant mouiller encore plus. Puis je regardais le producteur droit dans les yeux avant de lui faire un signe de me rejoindre sur le canapé. J’avais envie de faire l’amour maintenant. J’enfonçais le gode en moi tout en gémissant.

J’étais assez surpris de voir que Lynn Minmey ne semblait pas dérangée par tout ce que je pouvais lui dire. Je l’avais regardé droit dans les yeux lorsque je lui avais annoncé le fait que mon film serait pornographique. Elle n’avait pas bronchée, se contentant d’un hochement de tête. Je devinais à celui-ci que ce n’était par pression qu’elle agissait ainsi mais surement parce que son dernier film avait réveillé en elle une sorte de désir caché. Du moins ce n’était qu’une supposition, après tout, peut-être avait-elle simplement peur de me décevoir.

Je lui expliquais alors la première scène de ce film dont elle serait l’héroïne voir l’inspiratrice. Elle, se touchant devant sa propre image faisant l’amour avec un autre homme. Avouez que c’est assez érotique pour un début mais je sais que cela capterais l’audimat et en ferait l’une des meilleures introductions, surtout avec Lynn en tête de gondole. Elle rougit légèrement avant de hocher la tête pour me demander en quoi consisterais son audition. Je lui expliquais alors cette histoire de répétions de la toute première scène, l’invitant à se toucher sur mon canapé tandis que je lui mettrais son film. Afin de rendre la chose plus intéressante, je lui faisais également parvenir un gode afin de voir sa réaction.  Je fus assez surprise de la voir passer sa langue sur ses lèvres tandis qu’il me semblait voir ses tétons pointés… Intéressant… Très intéressant.

C’est alors qu’elle commença, sans la moindre gène, installant les piles du godes tandis qu’elle enlevait ses vêtements pour ne garder que sa lingerie. La scène débutait, sur l’écran on pouvait voir l’actrice, en train de faire une fellation à son partenaire tandis que la demoiselle devant mes yeux venait de sortir l’un de ses seins afin d’en suçoter l’extrémité. Cette vision m’excitait et je n’avais encore rien vu… Quand je la vis jouer avec le gode pour finalement se l’insérer tandis qu’elle gémissait, mon membre était devenu bien long et dur.

Elle me fixait alors dans les yeux, me faisant un geste de la main pour que je la rejoigne. J’esquissais un sourire et me leva, contournant mon bureau pour m’assoir simplement sur le canapé, à côté d’elle, me contentant de la regarder.

« Ne soyez pas timide, dans cette scène vous êtes seule chez vous, vous pouvez vous permettre de dire ce que vous voulez. »

Je voulais l’entendre dire des phrases salaces, que la jeune idole de bonne famille ne se transforme en chienne l’espace d’une scène. Je la fixais toujours avant de finalement me rapprocher d’elle et de poser ma main sur le gode. C’est alors que je commençai une série de mouvements, faisant entrer et sortir celui-ci de son intimité avec plus de rapidité et surtout… Plus de puissance.

«  Dites-moi ce que vous ressentez actuellement… Appréciez-vous le fait de vous toucher sur votre propre image ? Parlez, nous sommes dans un film mais surtout… Que mon sexe ne se ramollisse pas. »

Lynn était une chanteuse et je voulais que ses gémissements deviennent aussi connu que ses tubes tandis que ma main libre se posa sur son sein dénudé, pinçant son téton.

Je le vis esquisser un sourire et se lever, il contourna son bureau pour s’assoir simplement sur le canapé, à mes côté d’elle en me regarder. Je ne pus m’empêcher de fixer avec envie son membre dressé dans son pantalon. Ainsi, Kagawa-San était un homme comme les autres, capable d’éprouver de l’attirance pour une femme… lui qui était réputé pour son air stricte…

_ « Ne soyez pas timide, dans cette scène vous êtes seule chez vous, vous pouvez vous permettre de dire ce que vous voulez. »

Je lui souris tout en le regardant tandis qu’il se rapprochait de moi et posait sa main sur le gode. Je le laissais faire tandis que je sortais mon second sein de sa gangue tout en gémissant quand il mit plus de rapidité et de puissance.
 
_ « Dites-moi ce que vous ressentez actuellement… Appréciez-vous le fait de vous toucher sur votre propre image ? Parlez, nous sommes dans un film mais surtout… Que mon sexe ne se ramollisse pas. »

Je gémissais toujours, me cambrant.

_ « Je… j’aime me toucher en me regardant faire l’amour… et je suis très excitée par vous, Kagawa-Sa… hummm… je veux sucer votre grosse queue ! Hummm… »

Je rougis en m’entendant parler comme ça, c’était la première fois que je disais ce genre de chose. Je devenais vraiment une petite dépravée… et une perverse… je le regardais d’une manière lascive puis je me retournais de manière à être à quatre pattes sur le canapé. Je posais mes mains sur son pantalon pour lui caresser son membre.

_ « Je préfère nettement faire l’amour plutôt que de dire des choses… prouver par des actes plutôt que par la parole. »

Je lui fis descendre sa braguette.

Lynn Minmey était véritablement surprenante et bien loin de l’image que je m’étais faite d’elle après avoir vu la scène X de son dernier film. Elle aimait réellement le sexe et ne semblait ressentir aucune pudeur pour s’allonger ainsi sur le canapé, dénudant l’un de ses seins, me montrant son intimité pour finalement de toucher sans le moindre complexe. Elle m’avait demandée de la rejoindre, probablement parce que ce test avait réveillé son appétit sexuel…

En me levant, je voyais son regard fixé ce qui grandissait dans mon boxer, ûis elle me sourit avant que je ne joue avec le gode, cherchant à faire monter en elle l’envie tout en la poussant à s’exprimer davantage sur son ressentit. Elle se cambra tout en gémissant pour mon plus grand plaisir pour finalement me parler dans des termes assez crus, allant même jusqu’à me proposer ou plutôt exiger de me faire une fellation.

«  Tu es magnifique Lynn quand tu gémis et ces mots si vulgaires, sortant d’une bouche aussi pure  que la tienne sont un régal, c’est le contraste que je veux montrer dans mon film alors continues ! »

J’esquissais un sourire tandis qu’elle se mettait à quatre pattes, défaisant ma braguette m’avouant sans réellement le dire sa gêne de parler ainsi, préférant plutôt passer à l’acte. Je posais alors ma main sur sa joue la caressant tandis que je sortais mon sexe du boxer, le laissant pendre devant elle. Il était gonflé par le désir et durcit par l’excitation du moment.

«  Pour ce rôle, je veux que tu te lâches, aussi bien sexuellement que verbalement. Après tout, tu es une actrice n’est-ce pas ? Regardes toi sur cet écran, tu vois cette jeune fille qui prend son pied ? Je veux qu’après mon film, tu deviennes l’objet de désir ultime d’abord des japonais….puis du monde. »

Je l’avais regardé assez durement mais cela ne dura pas longtemps, surtout quand ma main qui caressait sa joue, l’incita à venir prendre en bouche mon membre.

«  Déchaines toi ».

Etais-ce un ordre ou un conseil ? Je la laissait pour seule juge.

_ « Tu es magnifique Lynn quand tu gémis et ces mots si vulgaires, sortant d’une bouche aussi pure  que la tienne sont un régal, c’est le contraste que je veux montrer dans mon film alors continues ! »

Il esquissa un sourire tout en posant sa main sur ma joue, me caressant doucement. Il sortit son membre viril, tandis que mes yeux pétillaient désir. Il était bien gros et bien dresser. Je me léchais les lèvres avec ma langue… je le lui pris en main et commençait à le lui masser doucement.

_ « Pour ce rôle, je veux que tu te lâches, aussi bien sexuellement que verbalement. Après tout, tu es une actrice n’est-ce pas ? Regardes toi sur cet écran, tu vois cette jeune fille qui prend son pied ? Je veux qu’après mon film, tu deviennes l’objet de désir ultime d’abord des japonais….puis du monde. »

Je ne l’avais pas regardé, tout mon regard était poser sur son membre que je branlais doucement entre mes mains. Puis sa main se mit à me caresser la joue, je le regardais, il semblait m’inciter à prendre son pénis en bouche. Je ne me fis pas prier pour me mettre à lui lécher son gland tout en le branlant toujours.

_ « Déchaines toi ».

Je passais ma langue sur son gland, caressant son prépuce, tandis que ma main droite faisait des vas-et-viens et que la gauche lui caressait les testicules. Je n’avais qu’une envie, l’avoir dans mon intimité. Mais je continuais de le sucer avant de lui faire une gorge profonde puis de la retirer de ma bouche pour en lécher la base. Je passais ma langue sur sa queue, ne délaissant aucune partie.

Puis je pris en bouche ses bourses pour les sucer très doucement, pour ne pas lui faire de mal. Mes mains n’étaient pas en reste, l’une caressant son membre, l’autre faisant glisser son pantalon à ses chevilles.

_ « J’espère que ça vous plait, parce que ce n’est que le début. »

J’allais l’embrasser, une main sur son membre tout en lui déboutonnant sa chemise. Ma langue allait caresser la sienne pour un ballet torride. Une fois sa chemise déboutonnée, je me mis à lui caresser son torse tout en continuait mes vas-et-viens sur son membre. Le gode fonctionnait toujours en moi, ce qui m’excitait encore plus. je mouillais de plus en plus.