Sa verge entière continue de racler ma gorge en profondeur, je peux sentir ces veines palpiter contre les parois de ma gorge quand elle s'enfonce jusqu'à la garde, ma mâchoire me fait toujours un mal de chien et je parle même pas de ma gorge qui me brule sous ces vas et viens brutaux.
Je l'entends me dire d'être courageuse, que c'est bientôt terminé.
Je n'attends que ça, que ça se termine le plus vite possible et qu'elle me remonte enfin à la surface, mais est-elle vraiment honnête ou me dit-elle ça pour que je garde espoirs et que je continue à assouvir ces désirs?
Allez savoir, mais ce que je sais, c'est que je me sent faiblir de secondes en secondes et cette sadique de sirène doit le sentir puisque me tenant toujours la tête fermement, elle accélère la cadence de ces vas et viens.
Ma gorge chauffe encore plus, ma poitrine me brule alors que je ne peut pas recracher le gaz carbonique qui est dans mes poumons, je commence vraiment à suffoquer, ma poitrine est prise de convulsions de plus en plus brutaux, je tire sur le lien qui entrave mes poignets à m'en faire mal, je commence vraiment à paniquer et me demande si cette fois elle vas me redonner de l'air à temps.
Je l'entends me dire que sa viens et qu'elle vas me remplir.
Elle fait encore quelques rapide vas et viens avant de s'enfoncer jusqu'à la garde, écrasant mon petit nez contre son bas ventre.
Je sent alors sa queue palpiter, puis tressauter et prendre encore un peut plus d’ampleur dans ma gorge avant de sentir de puissantes et abondantes giclées de foutre chaud, épais et gluant éclabousser ma trachée et remplir mon estomac alors qu'elle pousse un grand cris de plaisir qui doit s'entendre dans tout l'océan.
Alors qu'elle m'avait prévenue qu'elle allait me remplir, je ne pensais pas que c'était au vrai sens du terme, les hommes et autres créatures mâles aimant bien sortir cette phrase avant de jouir ne déverse en générale qu'une certaine quantité, même abondante elle est loin de pouvoir vraiment remplir quelqu'un.
Mais avec cette sirène c'est différant, j'ai l'impression qu'elle ne s'arrête plus, lâchant durant de longues secondes de grosse salve de sperme directement dans mon estomac à chaque fois que sont membre tressaute.
Ci bien que quand enfin son braquemart est pris de dernier soubresaut, j'ai l'estomac lourd, distendu, comme si j'avais vraiment trop mangé.
Ma poitrine me brulant toujours et gardant espoir qu'elle me libère dans les prochaines secondes comme elle me l'avait dit, je tente de reculer ma tête mais ce n'est pas ce qu'elle veut visiblement puisqu'elle retiens ma tête avant de venir poser ces mains sur mes joues.
Puis elle me dit en reprenant son souffle, sa grosse verge entravant toujours ma gorge, que si je recrache ne serait ce qu'une seule petite goute de son sperme, elle me garderait avec elle et me ferais subir à nouveau tout ce que je viens de vivre pendant encore des heures et des heures.
Levant mon regard pour croiser le sien, celui ci l'implorant d'arrêter.
Je la vois sourire, un sourire sadique avant que mes yeux commence à se révulser, prise de spasmes violents, je me sent mourir, perdre conscience.
Juste avant de perdre vraiment connaissance, je sent sont membre sortir de ma gorge puis sombrer dans le chaos.
Je ne sais combien de temps je suis resté inconsciente, mais je me réveille en sursaut comme si je venait de faire un affreux cauchemars, toussant et recrachant de l'eau, je respire à nouveau, ma poitrine me fait encore mal, je suis allongé, j'ouvrent doucement les yeux et vois le ciel bleu ainsi que le soleil qui m'éblouis.
J'ai encore les mains attaché, mais au moins je suis à la surface, respirant profondément, je sent des renvoies remonter le long de ma gorge, je les retiens jusqu'au moment au ou c'est trop, vomissant la crème pâteuse que la sirène à déverser dans mon estomac. Du fait d'être allongé, le premiers renvois de sperme me recouvre le visage et s’étale jusque dans ma chevelure, levant la tête, le deuxième et les autres renvoies s'étale sur ma poitrine, mon ventre, mon entre jambe et une partie de mes jambes, je me sent sale, maculer de ce foutre gluant et collant, mais je ne pouvais pas le garder, je sent qu'il en reste mais le trop plein à été éjecté.
J'ouvre à nouveau les yeux et vois que ma tortionnaire est en face de moi assise, elle me regarde en souriant.
Mais... Mais pourquoi tu m'as fait ça? Pourquoi tu m'as fait souffrir comme ça? Je ne t'ai rien fait? Détache moi maintenant!!!
Je lui demande sur un ton quelques peu rageur.