Balade sous un beau soleil qui fait vagabonder l'imagination... (pv: libre ! ! !

Les rayons du soleil traversaient les feuilles des arbres. Les feuilles vertes, dorées, laissaient l'esprit de Hyenda vagaboner au délà du parc et de son sous-bois.

"Quel temps magnifique, propice à une balade. C'est le meilleur endroit pour découvrir cette nouvelle ville !"

Par ce temps magnifique, Hyenda ne portait qu'une chemise aux manches retroussées, dévoilant des avants-bras secs et puissants malgrè son allure mince. Il s'arrêta un instant afin de sortir son paquet de cigarette, en sortit une et l'alluma. Tout en le faisant, il vit passer deux jeunes lycéennes à côtés de lui, 15-16 ans, pas plus, leurs vêtements par ce temps auraient pu sembler obscène dans une autre ville, c'est ce que se dit Hyenda, pourtant ici, cela ne choquait personnes, au contraire, ces adolescentes étaient fier de leurs corps, elles l'affirmaient et le montraient.
Les yeux de Hyenda s'attardèrent un instant sur leurs chemisiers, le laissant imaginer les poitrines fermes qui lui étaient dévoilées même s'il pouvait observer le haut de leurs seins.
Hyenda ne s'était pas touché depuis un moment et il eut un violent coup de cahud, des scènes erotiques lui traversaient l'esprit à la vue de ces deux corps magnifiques qui le dépassaient.

*soupir*

"Que donnerais-je pour perdre ma virginité ici, par un aussi beau soleil et un de ces corps de déesses, voir plus tant qu'on y était !"

Hyenda désirait un corps féminin, une femme avec qui partager un moment intime et proche, son sexe se durcissait plus il laissait son imagination vagaboner, il sa baissa et eut une légère frayeur en constatant que son long sexe qui se durcissait commençait à former une bosse à travers son pantalon...

Après tout ce qui m'est tombé dessus ces derniers jours j'avais bien besoin de me détendre un peu. Heureusement qu'il fait beau et que j'ai quelques heures à tuer. Une petite balade au parc, pour une fois. Jusqu'ici je n'y suis allé que pour courir quand j'en trouvais le temps. Aujourd'hui je prend le temps de me promener, de profiter du paysage loin du boucan de la circulation. Alors que j'avance tranquillement sur les chemin parfois ombragés par les arbres, je me laisse gagner par une sorte de paresse excitée. Il flotte dans l'air comme un parfum de vacances, une sensation que j'ai plus vraiment éprouvée depuis des années. Je me sens comme quand je rentrais après le dernier jour d'école, en me demandant ce que j'allais faire des prochaines semaines. Et quelles surprises elles me réservaient.

Je me demande la tête que feraient mes élèves s'ils me croisaient aujourd'hui ? Ils flashent tous sur leur jeune prof d'Anglais en tailleurs, qui n'arrête pas de les rappeler à l'ordre quand leurs yeux s'égarent. Aujourd'hui je ne porte que ma robe d'été. Enfin je ne suis pas nue en dessous, mais j'ai laissé au placard ma lingerie affriolante. Ça n'aurait pas été avec la simplicité de ma robe légère, et à vrai dire je n'en avais pas envie aujourd'hui. C'est mon petit break de provocation sexy. Pour une fois que je n'ai pas à prendre l'avion pour trouver un peu de calme et de nature qui me rappelle mon ancien chez moi.

Alors que je je marche toujours plus avant dans les sous-bois, je ne tarde pas à voir arriver deux jeunes filles. Je les ai en cours, en me remarquant elle arrête de chuchoter pour rougir. Pas besoin d'être grand clerc pour comprendre qu'elles parlent de garçons, et pour le faire à voix basse dans un endroit pareil ce ne doit pas être très décent. Jusqu'à aujourd'hui elles ne m'avaient vu qu'en cours, et je ne les avait vu qu'en uniformes. Nous sommes toutes assez loin des habitudes. Elles baissent les yeux en me croisant.

" Bonjour
- Bonjour sensei.
- Bonjour les filles. "

Et elles filent en riant à couvert pour reprendre leur papotage hors de ma portée. Mais je n'ai qu'à quelques mètres à faire pour découvrir le sujet de leur discussion. Un homme, grand et svelte, avec de longs cheveux blonds. Il me tourne encore le dos mais il a l'air... de parler tout seul. Je ne suis pas sûre d'avoir bien entendue, en tous cas lui ne semble pas m'entendre approcher. Est-ce qu'il a vraiment parlé de perdre sa virginité ? Ici et aujourd'hui ? Non, c'est encore mon esprit pervers qui me joue des tours. Il faut dire que depuis mon arrivée à Seikusu ma vie sexuelle a pris un rythme plutôt soutenu. Et ce n'est pas le genre de domaine dans lequel j'ai l'habitude de faire des pauses.

En arrivant à sa hauteur je suis certaine d'avoir mal compris. Un jeune homme aussi mignon, il ne peut pas y avoir échappé. À moins d'avoir passé ces dernières années dans un pays où toutes les femmes seraient aveugles.

" Bonjour. "

Mon sourire se fige un instant. Visiblement lui aussi a eu fort à penser après avoir croisé les deux jeune filles. Je ne sais pas s'il est vraiment vierge, mais si c'est le cas ce que je vois déformer son pantalon ne veut pas le rester. Je relève les yeux en espérant n'avoir pas trop insisté. J'espère aussi qu'il ne va pas trop vite se calmer. Si ce sont bien les deux jeunes filles qui l'ont mise dans cet état, je trouverai vexant que ma présence n'en rajoute pas.

A peine Hyenda commençait à calmer ses ardeurs, qu'il entendit qu'on le saluait, une belle voix chantante. Il se tourna vers la nouvelle venue et vit une des professeurs de son nouveau lycée qu'il n'avait encore aperçu que de loin dans les couloirs.

Il rougit de plus belle et se mordit la lèvre inférieure après avoir murmuré un vague "bonjour" gêné. Il l'a vit baisser son regard là où son sexe se durcissait, ce qui ne put le géner que davantage, quelle situation embarrassante !

Toutefois, il ne put s'empêcher de laisser naviguer son regard sur la jeune prof, ses cheveux roux qui tombaient en cascade lui donnait un charme époustoufland, elle était très séduisante et sa robe, bien que sobre, mettait encore plus en avant, si possible, ce corps élancé et radieux, un ange, tout simplement.

Constatant la gêne occasionnée, son sexe toujours aussi dur, il n'eut d'autres idée que d'aborder un sujet de discussion afin de ne plus penser au corps de rêves qui se situait juste à côté de lui, il pouvait imaginer son souffle chaud près de lui, voir sa poitrine se soulerver à chaque respiration...

"C'est un beau temps pour sortir..."

A peine eut-il fini de sortir cette phrase qu'il la regrettait et était effrayé de sa réaction.

Je ne peux pas m'empêcher de rire. Espère vraiment détourner mon attention avec une phrase aussi banale ? Finalement il est peut-être bien encore vierge. Mais je suis trop gentille pour en rajouter. Je lève le visage vers le ciel.

" Oui, ça fait du bien un peu de soleil de temps en temps.. "

J'en reviens à lui. Son visage me dit vaguement quelque chose. J'ai du le croiser quelque part, peut-être au lycée ? Mais de loin. Si je l'avait eu en classe je m'en serai souvenue. Il a quelques années de plus que mes élèves, et se tient déjà mieux que la plupart. Tous en fait, ils ne se gênent pas pour me reluquer ouvertement. Ce jeune homme a l'air plus délicat. Et je n'ai pas à craindre des ravages du rapport élève/professeur.

" Tu voudrais faire quelques pas avec moi ? Je ne suis jamais venu dans cette partie du parc. "

Ça n'engage à rien, du moins pour l'instant. Et ça au moins ça lui permettra de se calmer, il a l'air tellement gêné. Puis, qui sait ? S'il finit par se sentir en confiance, dans cet endroit bucolique, à côté d'une belle jeune femme...

" Oui, ça fait du bien un peu de soleil de temps en temps.. "

Et voilà, bravo Hyenda pour ton sens tactique de la répartie, il soupira intérieurement. Il évita le regard de cette femme si séduisante pour le tourner vers le ciel, comme s'il voulait, par ce regard, confirmer la réponse de cette charmante... demoiselle, c'est vrai qu'il n'avait pas vu d'alliance à son doigt.
Son esprit vagabonda alors vers ses mains, elle avait des mains très belles, à l'air douce...

" Tu voudrais faire quelques pas avec moi ? Je ne suis jamais venu dans cette partie du parc. "

L'enchainement de discussion le surprit, il eut un moment de surprise qu'il essaya au mieux de dissimuler, et bien, il semblerait qu'il n'avait pas fait une si mauvaise impression... Intéressant.

"Et bien, oui, pourquoi pas, mais à vrai dire je ne connais pas non plus cette partie du parc. Hyenda prit son courage à deux mains et continua, mais pourquoi pas le découvrir ensemble?"

Hyenda désigna un sentier à sa gauche, qui semblait un peu perdu mais aussi très poétique.

"Cet endroit à l'air intéressant"

Il ne put s'empêcher, au moment de dire "intéressant" de regarder sa magnifique poitrine dissimulée sous un mince voile qu'était sa robe.

Il ne détale pas se couvrant l'entrejambe des deux mains. C'est très bon signe. je tourne la tête dans la direction qu'il m'indique.

" Cet endroit à l'air intéressant "

Intéressant, et peu fréquenté. Un petit sentier qui s'enfonce à l'ombre des arbres. Il est entreprenant, ou romantique, voir les deux. En tous cas il doit avoir une idée derrière la tête. Dans le cas contraire je saurais vite lui en donner le moment venu.

" Bonne idée. Allons-y. "

Je lui tourne le dos pour avancer vers le sentier. Il semble juste assez large pour nous permettre de marcher côte à côte. Quand mon compagnon arrive à ma hauteur, je lève mon plus gentil sourire vers lui.

" Au fait, je m'appelle Yamagashi Hitomi. Ravie de te rencontrer. "

Nous n'aurons pas à beaucoup nous éloigner pour devenir invisibles aux yeux des autres promeneurs qui suivraient le chemin. un coin de nature hors du monde. Et même s'il n'a pas encore l'air très sûr de lui, au moins ce jeune homme a le courage de se lancer.

Ils venaient de s'aventurer à travers ce mince et charmant sentier.

" Au fait, je m'appelle Yamagashi Hitomi. Ravie de te rencontrer. "

Elle avait un si beau sourire, elle avait un charme fantastique qui donnait envie de lui faire du bien...

"Hyenda, enchanté"

Il se sentait maladroit et un peu idiot face à cette charmante créature. Il ne s'attendait pas à ce que le sentier rétrecisse à ce point et aussi vite. Il respira et pris son courage à deux mains. Hyenda passa son bras sous celui de cette déesse, il espérait ne pas l'avoir dérangée en prenant son bras.

Son contact lui faisait chaud au coeur et réveillait en lui de nombreuses sensations auxquelles il n'aurait osé pensé, sa main était douce, elle lui réveillait l'imagination.

Toutefois, il espérait ne pas l'avoir dérangée et restait crispé face à son élan hasardeux....

Hyenda ? Je ne crois pas avoir jamais entendu ce nom. C'est d'autant mieux. Une rencontre fortuite avec un mystérieux inconnu, porteur d'un mystérieux nom, dans un mystérieux endroit. C'est si excitant de ne rien savoir. Vu l'étroitesse du sentier, j'avais peur que mon compagnon ne me laisse de l'avance. Mais il me prend par le bras pour rester tout contre moi alors que nous marchons. Un effort d'autant plus charmant qu'il ne s'est pas détendu le moins du monde.

Plus de doute : ce jeune homme ne sait vraiment rien des femmes. Il croit savoir, il doute. Le plus important reste qu'il prend le risque, et c'est un beau compliment en soi. Je pose ma main libre sur son bras, tournant vers lui le sourire qui n'est pas près de se décrocher de mon visage. J'ai de la chance d'être tombée sur lui. Ces derniers temps il y a eu trop de jeux pervers. J'ai envie de tendresse et de simplicité. En plus il semble avoir l'âge auquel je me suis moi-même décidée à enfin m'offrir à un garçon. Mon visage souriant se teinte du rose qui me monte aux joues à cette pensée.

Le sentier s'étire entre les arbres et nous le suivons en silence. De temps en temps, je dévie d'un pas pour me presser un peu plus contre lui. J'aurais pu me mettre à parler de tout et de rien, papoter pour le mettre en confiance. Ce n'est aussi excitant ni aussi clair que les gestes. Mais il va bien falloir dire quelque chose. Après quelques lacets le sentier débouche sur une grande clairière. Cernée par les arbres et les buissons, une belle étendue d'herbe grasse et épaisse baigne dans la radieuse lumière du soleil. L'endroit rêvé pour s'asseoir avec quelqu'un, et même s'allonger. L'ombre des arbres paraît presque sordide en comparaison.

Si j'étais à peine plus superstitieuse j'y verrais un signe, comme si la nature nous offrait un lit. Bien sûr je ne vais pas le dire en ces termes.

" On a bien fait de venir explorer ce coin. "

Mon bras glisse sur le sien pour passer dans son dos alors je me tourne à nouveau vers lui.

" On pourrait faire un petite pause, ce serait dommage de ne pas en profiter. "

Des mots pour le moins suggestifs mais d'une voix qui se veut innocente. Si j'avais livré le fond de ma pensée en parlant de rouler nus dans l'herbe, il aurait peut-être pris peur.