[ Pv Akira ]... snif

" MAIS OU JE SUIS LA ? " La voix intérieure de la femme résonna dans son esprit. Elle lança son poing dans l'arbre, espérant l'ouvrir violemment. Mais sa force n'était pas herculéenne, non, loin de là. Elle ne réussit qu'a se faire mal, sa main devint rouge pivoine et elle grimaça sous l'effet de la douleur..." Aïe " Elle regarda autour d'elle, le vent froid. Elle tenait sa chevelure sous une capuche d'un long manteau qui cachait tout son corps, ne dévoilant que ses jambes quand elle marchait et son visage si on la fixait. Seule une méche rebelle s'échappait de cette capuche rouge vif.

Elle regarda autour d'elle, le poings serrés, les yeux devenus rouges. De haine. Où était-elle ? Pourquoi ? OU ??!!! Elle voulut frapper de nouveau l'arbre, comme s'il était la cause de son malheur.

- AAAH !! Saloperie !

Langage vulgaire sous l'effet de la colére. Elle appuya sa tête contre l'écorce dure et rigide, posant ses mains meurtris sous l'écorce, comme s'il s'agissait d'un être vivant. Elle lui murmura une excuse.

Et tourna la tête violemment. Un bruit.  Un pas. Quelqu'un.

Une soirée douce en perspective, la douceur de l'autonne encore chaud de l'été s'étirait a présent dans la ville, la nuit s'annoncait pourtant fraiche d'une brise marine qui avait donné le bon sens au jeune assassin repentit de mettre un long manteau de laine noire tres élégant. Il portait un costume de grande coupe, un Calvin Klein ce soir. Oui, Akira avait attérit dans se monde la bourse pleine, il avait donc acheté des habits tres bien coupé et d'une classe sans pareille. Marchant dans le parc avec les bruits des ombres du couchants comme couverture de ses pas legers, l'homme avancait, tout de noir vétu, sauf une belle chemise blanche en soie naturelle.

Un cri de douleur raisonna alors que la zone était déserte. Une femme, au timbre, ou un eunuque.... Akira avanca avec la plus grande discression, sans bruit, tel l'ombre de la mort qu'il était. Un lapin se délogea sous son approche et détala en direction de la déesse qui, sur terre, n'était rien de plus qu'une humaine avec de profonds souvenir d'égo démeusuré mais sans pouvoir. Il s'arreta a distance respectable, invisible et aux aguets, la femme, tres belle au passage, était seule. Elle semblait caresser un arbre. En fronceant les surcils, l'aquité visuelles de notre jeune homme vit que ses phalanges était rouges et léferement enflamé, c'était donc ca! Elle avait crié de douleur parce qu'elle avait éclaté sa main dans le tronc, étrange pour une femme d'avoir cette réaction tipiquement masculine.

Akira ne bougeait pas, respirait en silence, mais se ferait il reperer par cette déesse dénudé de tout pouvoir une fois hors de la création d'Aphrodite?

Qui… ? la déesse tourna la tête vers l’origine du bruit et ne vit qu’un adorable lapin qui détalait à toute vitesse. Pourquoi ? pour qui ? Elle resta collée à l’arbre, fixant ses mains rougies violemment, qui lu brûlait la peau et la chair. Elle était en colére. Contre qui ? Quoi ? Elle ne savait même plus. Plus aucune idée. «  tant pis » la déesse se redressa, toujours les mains contre l’arbre. Elle se retourna vers l’origine du bruit, une main toujours contre l’arbre, et fixa l’horizon. « Un ombre » Elle se leva de toute sa hauteur.  Qui ? Elle tourna légérement la tête sur le côté.

Ami ? Ennemi ? pourquoi ne se présentait-il pas ? Elle fronça les sourcils et distingua une ombre tapie, silencieuse, qui ne voulait absolument pas qu’on la remarque. La déesse  courut rapidement et s’approcha de l’ombre, l’attrapant par le col. «  Un… humain ? »

-Qui es-tu ? demanda t’elle d’une voix violente et dure.

Son capuchon tomba, dévoilant ses cheveux noirs ondulés comme des serpents. Elle avait les yeux rouges, le regard fermé, en colére. Elle n’aimait pas être épiée ainsi. Surtout pas un homme qu’elle ne connaissait pas.

-Pourquoi me regardait-tu ? Réponds !

Elle le secoua quelque peu. Elle faisait sa taille, à peu prés. Mais il était plus lourd qu’elle, elle avait donc du mal à le tenir. Elle le fixa d’un regard de braise, attendant une réponse.

Comme on pouvait s'y attendre, on ne trompe pas une déesse, meme si sur Terre elle est morte il y a longtemps. Enfin, Akira avait un pan de sa veste qui dépassait legerement donnant un ton noir sur noir qui le fit reperer, franchement, il rouille a force de ne plus exercer son art. C'est alors que la jeune femme se rua sur lui avant de retirer sa capuche en montrant ses rubis flamboyant de rage et de tenter de le secouer comme un prunier. Ces yeux, elle était de chez lui, mais ca maniere d'engager un premier contact le rendais un peut... froid et violent. Alors qu'elle jouait des épaules pour lui faire cracher le morceaux, un cliquetit d'arme chargé se fit entendre dans le silence impassible de l'Affranchisseur. Il posa le métal froid de son luger sous le menton de la déesse et la regarda calmement en parlant d'une voix parfaitement neutre et d'une grande douceur de ton.

Si vous ne voulez pas que votre tete explose, lachez moi, pour vos questions, elles sont malvenues. Sur Terra pourtant la correction veut qu'on se présente en premier avant de demander le nom d'une personne, ensuite, pour les observations, j'ai entendu un cri de douleur, je pensait a une agréssion sur votre personne, mais vue la hargne qui émane de votre personne, je doute que vous soyez un jour agréssé sexuelement dans ce monde.

Il n'avait pas retirer son arme d'une brillance argenté métalique profonde de la gorge de la jeune femme, c'était un sauve conduit pour lui que de la prévenir qu'il n'aura pas une seconde d'hésitation pour lui détruire son magnifique petit visage et de perforer sa chevelure ébêne.

Maintenant, je vais vous demander de me lacher et de reculer de 3 pas.

c'était d'un calme olympien, de quoi faire penser que Akira était une sorte d'avatar de hermes, le dieu des messagers, qui avit un calme et une grande répartie dans le temps où il était au panthéon, émissaire de la paix comme on l'appeler car porteur des messages. Enfin, peut etre qu'Hera n'aimait pas le Dieu aux bottes ailé...

(désolé c'est un peut court)

" Tsssk..je me suis encore faire avoir ". la jeune femme executa l'ordre, ses yeux toujours aussi flamboyants en direction du jeune Akira. Qui était-il ? Il avait un calme et une aurorité violente...la femme fronça les sourcils. Un assassin. Seuls ces personnes pouvaient oser menacer une déesse. A moins qu'il ne l'ait pas reconnu... Elle eut un petit sourire et porta ses mains à son long manteau. Et le fit tomber.

Pour faire apparaitre un de ces vêtements typique des dieux. Beau, étrange, spécial, dont on ignore la provenance et la matiére. Vert et rouge, moulant, avec une longue traine qui battait la terre. La jeune femme fixa l'assassin qui paraissait trés calme et sur de lui " Quel imbécile " . Elle le fixait toujours, ne lachant jamais son regard. Elle passa sa main dans son dos et en sortit une lance rouge et dorée, assez petite. Elle tapa dessus, et la lance eut le bonheur de grandir jusqu'a faire la taille de la déesse.

- Allons... Le nom d'Hera ne te dit rien ?

Elle eut un sourire amusé. Une déesse sans pouvoir reste puissante cependant. Il tenait toujours son arme. Elle ne lâchait pas sa lance. " Allons Hera, calme toi...un beau jeune homme, on ne le laisse pas filer ! " Elle lâcha sa lance et s'approcha de lui en souriant, amusée, sadique, perverse.

- Tu veux vraiment me tuer, jeune homme ?  Rendre ce corps inerte ?

Elle posa sa main sous le menton du jeune homme, lui souriant.

Avec un ton proche du jem'enfoutisme, Akira haussa les épaules a son nom, elle aurait été Aphrodite en personne qu'il aurait eut le meme comportement, bon, moins longtemps, mais il l'aurait quand meme tenue. Il baissa lentement son arme, mais conservait sa vigilence, cette femme était étrange, quand il lui répondit enfin:

Bof une déesse mineure de l'olympe, ou alors une taré qui se prend pour tel en frappant débilement contre un arbre...

A quoi bon macher ses mots? Si c'est bel et bien une déesse, ca ne sert a rien de mentir ou d'oublier de terminer sa phrase, de plus, en affirmant ainsi sa hardiesse a la tache, il ne pouvait que la destabilisé car quelque soit le cas, il ne laissait pas sa garde tombé et conservait son répondant. Une lance? Etrange, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas pratiquer une telle arme, a dire vrai, il prefere de loin le poignard pour sa discression.

J'ai pas dit que j'allais vous tuer, j'ai dit que je ne tolererais pas que vous me parlié sur un ton déplacé. Aores, quand a ce corps, je me demande a quoi il peut bien vous servir en étant intact qu'en étant froid. A part que dans le second cas, il faut ajouter un trou et retrancher une ame.

C'était sans ambage qu'il parlait a la dénomé Hera, une terraniene se prénomant comme un dieu et portant des frusques grotesque hors de la mode et dans un tissus don la texture était encore inconnue a l'oeil d'aigle de l'assassin, ca se tenait, elle était peut etre vraiment une déesse et pas juste une allumé qui passait sa nervosité sur les arbres environants.

Qu'est ce que vous faites avec mon menton miss Hera?

( aaah on dirait Hadees  sale gosse )

" Enfin du nouveau ". la déesse eut un sourire. Même si ce jeune homme se revelait insolent, la belle était amusé. Combien de gens avait-elle égorgé pour moins que ça ? Elle retint un rire et dévisagea le jeune homme. Sûr de lui...comme disait si bien Hades, cela le perdrait. Elle voulait malgré tout le déclaquer contre tout les arbres qui étaient autour d'eux, mais il était...amusant. La déesse continua de le regarder dans les yeux, cherchant la moindre faiblesse au plus profond de son âme. Mais elle n'en trouvait pas.

Et oui...les pouvoirs d'Hera étaient au strict minimum. Etant une des déesses les plus puissantes, il lui restaient tout ses pouvoirs, mais pas trés puissants. En gros, à peu prés rien du tout. Mais il lui restait le Nëlsha ( mercii lanfeust ), un de ces vêtements que l'ont dit...vivant. il suffit de penser à une tenue pour que le Nëlsha la matérialise sur le corps. Pratique, non ? Mais elle ne voulait pas ordonner au Nëlsha de s'enrouler autour du jeune homme,non, surtout pas...

- Nous allons bien nous amuser...

L'intérieur de ses yeux étaient entiérement rouges. Et elle retourna sa main, son long ongle se plantant juste en dessous du menton du jeune homme. Dans la peau. Dans la chair.

- Tssk... un mouvement brusque et j'empêche le sang de circuler dans tout son visage, mon petit assassin.

( Je l'ai vu dans Xena  :p ) (a vendredi ... peux pas te répondre avant snif, chui a l'internat )

Elle était pleine de surprise, en coincant la premiere artere sous sa langue avec un ongle. Avait elle apris elle aussi a tuer? Peut etre, mais Akira n'avait pas a faire de geste brusque, en baissant les yeux, il pointa le canon sous le menton de la jeune femme, meme si il ne se collait pas a elle, il était toujours vers elle. Un large sourire étira ses levres lorsqu'elle dit assassin et il la rectifia, sans baisser son arme.

Ex-assassin, sinon deesse ou pas, vous seriez morte ou pas loin de rejoindre l'au dela. Si je me souviens bien, en vous tuant je vous enverai a votre cher frere. Mon nom est Akira, je n'est plus a le cacher puisque vous m'avez revélé le votre.

Il regarda la lance planté au sol, elle était sans doute un peut trop pleine d'adrénaline, pourquoi ne pas lui décharger son agréssivité en lui faisant faire un peut d'exercice.

Si vous etes vraiment Hera, montrez moi que vous avez l'art de manipuler la lance, mais bon, a main nue, je ne represente qu'un pietre adversaire. A oui, avant que j'oublie, un geste brusque et je libere votre cervelle au grand air.

(le boulet ca fait une heure que je dois cliquer sue envoyer, chui irrecupérable)

Grosse erreur. Elle avait oubliée l'arme. " Pitoyable..." Dans les deux sens. Elle était dégoutée de ne plus avoir une aussi bonne mémoire, mais tout autant dégoutée de voir que les humains ne répondaient plus que par un flingue. Enfin...au moins il savait se défendre. Elle retira violemment son ongle, libérant un minuscule fil de sang qui se stoppa quelques secondes aprés. Elle le regarda, essayant un instant de discerner quelque chose dans ses yeux.

- Comme tu veux, Akira.

Elle attrapa sa lance, lui murmura une sourde priére, comme le font les dieux le plus souvent, et commença à faire des sortes de gestes, faisant voler, tourner la lance. " Echauffement" songea t'elle. Puis en quelques mouvements, elle montra Akira de sa lance.

- Je n'ai pas envie de te tuer, tu sais. Ce serait dommage. Admire juste ce que j'aurais pu te faire...

Un pauvre petit lapin... " Bah...non,pas une proie si petite" Elle fixa un arbre. En deux trois mouvement, l'arbre était dépouvut de feuilles. En 4 mouvements, il n'avait plus d'écorce. En 5 mouvement, il était à terre.


- Voilà...

5 mouvements pour passer de arbre a feuille + tas d'écorce + petit bois.... C'était donc pas des conneries, c'était bien Hera. Ma foi, il fallait avouer que maintenant que le jeune assassin connaissait les pouvoirs, surtout l"identité en fait, de la femme a l'accoutrement loufoque, il savait a quoi s'attendre. La détente délesté du percuteur armé, l'humain rangea tranquilement son arme dans son dos avant de se masser le menton d'un air dubitatif.

J'admet que vous n'etes pas une simple folle mais bel et bien une mini déesse. Si je me souviens bien Hera est une catastrophe ambulante pour l'humanité, elle prend son pied a semer la zizanie parlis ses freres divins et déclare des guerres quand elle s'ennuie trop ou partage le lit d'un monarque afin de la déclarer... Je crois que j'aurais préféré une folle de terra qui avait le pouvoir de faire grandir des objets, comme ca je ne serais pas dans une situation délicate...

Il s'appuya contre l'arbre, sa tenue d'homme de l'ombre décontracté le mettait bien en valeur, même si charmer une déesse a moitié cinglé ne l'interessait pas plus que ca, il le faisait presque par instinc... Allez savoir. Croisant les bras sur sa poitrine et baissant la tete comme en pleine reflexion, le jeune homme l'observait, pret a toute éventualité, mais c'est le ce serait dommage de te tuer qui le genait... Qu'est ce qu'elle voulait? Sans subtilité, le tueur a gage replanta son oeil noir dans le regard de la séesse et lui dit d'une voix tout a fait calme et posé, pouvant presque inspirer la peur tellement elle semblait impersonnelle mais chargé de menace précise.

J'aimerais bien  savoir en quoi ma vie avantage plus que ma mort, et en quoi ce fait fait que c'est plus ou moins bien... Je suis curieux de savoir. Et si vous pouviez me presenter un minimum de respect, en duel vous seriez mortes, mais je ne suis pas un rustre a frapper en premier et a reflechir apres pour me rendre compte qu'on me demandait simplement quel chemin suivre.

C'était surtout qu'Akira n'était plus un assassin, sinon il n'aurait pas hésité la moindre seconde a la menace de son arme, meme si opposer le fer a la lance est assez extreme et hors de ses manieres d'agir.

Bien sur, je vous aurai donné mon nom avant de vous tuer, tout guerrier aime savoir qui a montrer une plus grande subtilité ou une force supérieure a la sienne avant qu'il ne lui ravisse sa vie. Meme un ex_-assassin a un code d'honneur.

" Enfin...il est long à la détente lui !  " La déesse frappa le sol de sa lance, elle redevint petite et elle la rangea de nouveau dans son dos. Elle sentait bie, qu'il la prenait pour une tarée, une folle. Tout le monde disait ça...non pas que cela gênait la jeune femme - elle se fichait pas mal de ce que les autres pensaient d'elle - mais elle ne voulait pas que les gens la fuient. " Il a la voix d'Hades quand il est en colére " elle sourit à cette comparaison. Puis croisa les bras sous sa poitrine, imitant le jeune homme. " Il pose beaucoup de questions et pense me connaitre...imbécile "

- Tout ce que vous dites ... ce ne sont que des légendes. Certes véritables, mais ne jugeait pas sur deux trois petites choses sans importance. Je suis chiante, oui, et je l'admet tout à fait. Mais je suis tout autant ... différente. Inexplicable. Changeante. Cinglée. Dites ce que vous voulez, Akira.

Elle eut un sourire amusé, fixant le jeune homme, le détaillant de haut en bas.

- Et si je ne vous ait pas tué...c'est parce que ce serait dommage que cet adorable corps qui doit faire rêver bien des femmes soit réduit à un état de steak haché. N'est ce pas ? Quel gâchis ce serait !

Autre sourire amusé, mais différent. " Les humains sont vraiments...étranges. "