Pourquoi j'ai pas fait scout. [Alice la lamia]

Yori venait de se faire attaché par un groupe de lycées sans scrupule, encore une fois il allait se faire jeter dans les toilettes des filles, qui allaient crier et lui mettre des coups de pompe dans la tronche.

Mais cette fois fuit autrement, au lieu de e diriger vers les toilettes, ils l'amenèrent à l'extérieur, pour l'amener près des poubelles, il ne fallait pas être spécialement intelligent pour savoir ce qui allait se passer.

Quand il sortie de la poubelle, il eut des nausées, rien de plus normale vue qu'une poubelle ça sent pas la rose. Quoi qu’il en soit le soleil s'amusait à taper fort et tout ses évènements eut tôt fait de lui donner des vertige, se vautrant dans les buisson, mais une chose anormale se produisit.


De la cour il était dans une espèce de forêt, c'était très bizarre et le jeune homme eut tôt fait de se demander où il était tombé, non sans pousser un cris en voyant que son t-shirt préféré avaient quelques trous fait par les ronces.

Très vite il se mit à paniquer, essayant de trouver la sortie, c'est alors qu'un bruit se fit entendre, essayant de se faire le plus discret possible pour que la chose ne la voit pas.

Il y avait deux choses que je ne pouvais pas supporter, les créatures faibles et les odeurs désagréables. Alors quand cette horrible odeur de détritus parvint à mon nez si sensible je me suis empressée d'en chercher la source pour l'éliminer. Et quand j'ai vu la misérable petite chose qui avait osé me déranger je me suis tout de suite énervée.

Visiblement il s'agissait d'une jeune femelle humaine et comme elle était plutôt mignonne j'en ferais mon jouet pour les derniers jours qu'il lui restait à vivre. Je me suis ruée sur elle, agrippant son col et la décollant du sol avec une facilité effrayante pour la plaquer contre un arbre. Puis je lui ai dis d'une voix qui n'avait rien d'amical :

"Si tu veux survivre dans cette forêt ma mignonne il y a trois choses à savoir. Premièrement, ne me déranger sous aucun prétexte, ton odeur me dérange. Deuxièmement, payer ton droit de séjourner sur mon territoire, ce que tu n'as pas fait. Et troisièmement, m'intéresser et c'est là que tu as de la chance, parce que les petites femelles humaines sont si craquantes lorsqu'elles crient pendant que je les violent."

J'avais prononcée cette dernière phrase avec un large sourire qui n'annonçait rien de bon pour elle, enfin lui mais je ne le savait pas encore, même si mon instinct me disait que quelque chose clochait chez cette fille. Je l'ai attrapée par les cheveux avant de la trainer jusqu'à une rivière où des crocodiles nageaient, puis je l'ai lancée toute habillée dedans pour qu'elle s'y lave, lui ordonnant :

"Si tu sors avant d'être propre je te tue et crois moi tu préféreras être tuée par un croco que par moi."

De toute façon la petite humaine n'avait rien à craindre, les crocodiles étaient certes stupides mais ils savaient reconnaitre les espèces qui leurs étaient supérieures. Ils n'attaqueront pas tant que je serais à côté d'elle, je le savais et quand bien même ils attaqueraient ça me ferait de la viande sans efforts.

Le pauvre petit bout d'humain n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait qu'il venait de se bouffer un arbre, il suffoqua à moitié car sa cravate de tenue scolaire était bien fait, ce qui fait que lorsque les mains de la lamia saisir le col, sa trachée en était comprimé, faisant un espèce de jeu du foulard en moins dangereux tout de même.

Yori entendit la remarque et se mit à, ne rien faire, la voix qu'il entendait était féminine, il se doutait bien que cela devait être une farce de ses camarade de classes pour l'humilier, il savait aussi que les filles étaient les plus dangereuse, car elles n'hésitaient pas autant que les garçons, jugeant qu'elles n'avaient qu'à pleurer pour faire retomber la fautes à d'autres, oui les femmes sont cruelles et Yori en savait quelques chose.

Il émit un léger gémissement en sentant la lamia le saisir par les cheveux, de ses mains il saisit un bout pour ne pas trop abîmer ses cheveux, ce qui fit que la pue traina par terre et le jeune homme ne pouvait pas se lever, il était trop déséquilibré en arrière, il ne fit qu'attendre la suite, c'est alors qu'il se fit jeter, instinctivement il mit ses mains pour maintenir sa jupe et éviter que Alice ne voit sa culotte.

Quand la tête de l’humain refit surface, il se mit à tousser ayant bu un peu la tasse, il allait dire quelques choses quand la lamia l'avertie, il put aussi voir que son agresseur n'était pas humains.

Il eut beaucoup de mal à détourner le regard  de la créature dont il ne connaissait rien, dommage pour lui, il aurait su qu'il était face à un très gros problème. C'est alors que deux crocodile se mirent à se battre, c'était très loin, mais Yori put voir qu'il étant au milieu de leurs territoires.

- Madame, je n'ai rien pour me laver et pas d'affaire de rechange, je ne vais pas me mettre toute nu, c'est assez gênant et ils risquent de me manger.

Le ton montrait qu'il n'était pas à l'aise, mais  il tentait de rester calme, il allait subir une autre humiliation, il le savait, mais ce qui l'effrayait un peu c'était que ce monde et surtout Alice n'était pas humaine, rêvait-il ? L'avait-on drogué, il ne pouvait pas le savoir.

Là c'en était trop pour moi, cette petite merdeuse débarquait dans MA forêt, avec une odeur pestilentielle et en plus elle me faisait perdre mon temps ? Je l'ai de nouveau saisie par les cheveux, l'emmenant vers les crocodiles pour finalement mettre son visage à quelques centimètres de la gueule de l'un d'entre eux. Bien sûr l'énorme reptile essaya de croquer ma proie que j'ai tirée en arrière au dernier moment, qu'elle puisse voir la mâchoire claquer juste sous son nez.

Puis ma queue s'est abattue sur le prédateur, avec une telle force qu'il enfonça de quelques centimètres dans la terre avec un bruit d'os broyés. La fillette devait être sous le choc et c'est ce que je voulais, je l'ai trainée à l'endroit que nous venions de quitter la balançant à nouveau dans l'eau avant de lui dire d'un ton beaucoup plus dur :

"Fout toi à poil, lave toi comme tu peux, je m'en moque mais démerde toi pour faire disparaitre cette odeur, car la prochaine fois qu'un croco essaye de te bouffer je le laisse faire. Tu comprends ou tu as besoin d'une autre démonstration ?"

J'attendais patiemment que la petite humaine s'exécute, prenant un plaisir malsain à la mettre dans des situations effrayantes ou humiliantes. Je voulais la rendre complétement dingue, en faire ma petite chose docile, un jouet sur lequel faire mes crocs.

La tentative d'intimidation de la lamia porta les fruits qu'elle espérait, si Yori ne s'était pas pissé dessus, c'était tout juste, il comprenait que ce n'était plus un blague comme il l’espérait et le coups de queue sur la gueule du croco eut tôt fait de faire comprendre  que la queue de la lamia pourrait sans nul doute lui amputer ses jambes et vu la longueur de l’appendice reptilien il était inutile de penser courir.

Une fois de nouveau dans l'eau, il se mit à réfléchir, ce n'était pas une situation normale, comment devait-il réagir, comment aurait réagit sa grande soeur, il ne le savait pas quoi faire, puis décida que la meilleur option était d'obéir, non sans que son visage devienne légèrement rouge de honte, il était d'une telle pudeur que ses camarades en profitaient bien.

Il s'immergea, défaisant sa cravate qui avec l'eau fut très dure à retirer, puis vint la chemise, dévoilant un soutient-gorge adapté rose, garnit de décorations florales, la lamia ne put le voir retirer le reste, profitant du courant et du fait que les croco agitaient plus an aval les sédiments, Yori prit soins de mettre ses affaire sous lui, pour ainsi ne pas les perdre.

Il se mit à saisir le sable au fond de la rivière pour le frotter contre son corps, non sans détourner les yeux pour ne pas avoir à croiser le regard de la lamia. à défaut de sentir le propre il sentira la rivière et le sable.

Il eut grand mal à laver ses cheveux et quand il voulut frotter davantage, il se mit à glisser légèrement, les vêtements se mirent à partir irrémédiablement, l’humain ne put récupérer que sa jupe et son soutien-gorge.

une fois le lavage finit, il enfila toujours sous l'eau la jupe, ce qui le dérangeait car le courant s'amuser à titiller son membre, puis il mit son autre vêtement.

- Madame, ne me faites pas de mal, je suis pas méchante.

Yori se mettait à pleurer, il se sentait totalement démunit et ne voulait qu'une chose que ce cauchemars s'arrête.

Je regardais mon nouveau jouet se débattre avec le courant, celui-ci avait d'ailleurs été particulièrement stupide de ne pas se déshabiller sur la terre ferme, car ses habits lui avaient, pour la plupart, échappés. En la regardant faire je me disais qu'elle s'y prenait vraiment mal et qu'elle ne survivrait pas seule ici plus de dix minutes. Lorsqu'elle me dit alors de ne pas lui faire de mal j'ai éclatée de rire, puis d'une voix emplie de mépris je lui ai dis :

"Ne pas te faire de mal ? Mais, tu te rends compte d'où tu te trouve ? Si tu ne m'avais pas rencontrée tu serais probablement déjà morte petite conne ! Ton seul espoir de survie ici, c'est moi, alors amuse moi, deviens ma bouffonne et prie pour que je ne t'abandonne pas. ET TU PUE TOUJOURS AUTANT !!! Bon comme tu ne sais pas te laver je vais le faire à ta place ..."

Je l'ai saisie à la gorge pour la plaquer contre le tronc d'un arbre, sans une once de douceur je lui ai arraché ses vêtements rescapés. Et, ô surprise, qui pointe le bout de son nez ? Le petit kiki de la petite fille, dont je m'empresse de saisir les testicules afin de les malaxer avec une idée derrière la tête.

"Dis donc ma mignonne, tu m'as cachée quelques petites choses non ? Tu me donne une idée d'ailleurs mais nous verrons cela plus tard."

J'ai arraché la feuille d'une plante qui dégageait un parfum fruité particulièrement agréable, avant de frotter tout son corps avec. Une fois que son corps eut la même odeur que la plante je lui ai ordonné de me suivre, nous allions sortir de la jungle pour aller dans les grandes plaines de Terra où se trouvaient la plupart de mes territoires.

La lamia avait raison de penser qu'il ne pourrait pas survivre, tout du moins pas sur Terra où les règles étaient différente de la Terre. Le jeune homme n'eut aucune réaction face à ce que la lamia disait, il avait entendu tant de fois qu'il ne servait à rien, à part gêner les autres, que cela finit par ne plus avoir la moindre emprise sur son être. Cela dit Yori eut un sursaut quand la lamia se mettre à crier qu'il sentait encore mauvais, le pauvre en pouvait pas savoir que la terranide avait un sens de l'odorat plus développé que le sien.

Il voulut faire quelques pas en arrière en voyant la terranide approcher, ses mains voulant le saisir à la gorge, mais Alice fut plus rapide et il eut un léger hoquet, son corps tremblant de peur. il voulut se débattre un peu quand la lamia retira ses maigres affaires, mais très vite il se figea de nouveau, sentant les mains puissante du reptile saisir ses boules, ce qui n'arrangea en rien l'état de peur de Yori qui sentait que cela n'allait pas s'arrêter là.

L'humain ne put rient faire ou plutôt ne voulait rien faire, sachant pertinemment que la lamia était plus forte et beaucoup plus violente que lui, devant se laisser nettoyé par la terranide qui semblait s'amuser à jouer avec lui.

Yori aurait put à un moment fuir, mais il savait qu'il risquait effectivement de se faire bouffer par une bestiole, surtout qu'il en avait vu certain dont ils ne connaissait rien, ce n’était pas des animaux de la Terre. Comme il était trop gêné d'être nu comme un vers, il prit ce qui restait de sa jupe et fit un pagne sommaire mais on ne voyait plus ses fesses et son sexe, mettant tout de même un de ses mains sur ses fesse pour éviter qu'un vent capricieux ne soulève cette création fragile. Pour sa poitrine, il fit basculer ses cheveux en avant pour la cacher. Quand je vous disait que ce mec se prenait pour une fille.XD

Il se mit donc à suivre la lamia, tremblant de peur et criant à chaque fois qu'une créature apparaissait d'un trou ou d'un buisson. une vraie chochotte.

Bien que le voir tremblant et apeuré m'amusait il y avait une chose qui m'irritait plus que tout, ses petits cris à chaque rencontre avec une bestiole. Si je n'avais pas eu quelques projets pour son cas je l'aurais bien bouffé pour cette seule raison. Nous marchions depuis quelques minutes déjà et les grandes plaines n'étaient plus très loin, mais un énième cri me fit perdre mon sang froid. Sans autre forme de cérémonie ma main se leva pour s'abattre sur sa joue, je m'étais retenue pour ne pas le tuer, mais la pauvre petite chose avait dû être bien sonnée. D'un ton toujours aussi amical je lui ai dis :

"Arrête de pleurnicher comme une fillette, oups j'oubliais, tu es une fillette ... Mais arrête de pleurnicher quand même, sinon le dernier rôle que tu auras sera celui de réserve de nourriture pour l'hiver. Tu m'énerve mais je t'ai trouvé une utilité, alors tais toi et ne me force pas à changer mes projets."

Je me suis contentée d'avancer, l'entendant se trainer derrière moi, sans lui parler ni même vérifier s'il allait bien, je me foutais de sa santé, la seule chose qui m'importait c'était ce que j'avais prévu de faire de lui. Finalement nous sommes sortis de la jungle et nous avons encore marché de longues minutes avant d'arriver à une grande grotte qui me servait de maison.

A l'intérieur une autre lamia m'attendait, Alyn était ma quatrième fille, une vraie petite garce qui avait dans l'idée de me déposséder de mes territoires depuis longtemps. Cela faisait quelques mois que je réfléchissait à une façon de lui montrer à quel point je lui étais supérieure et j'avais finalement trouvé. Elle tenta de me saluer avec son hypocrisie habituelle, mais je ne lui en ait pas laissé le temps.

Ma queue la frappa avec force au niveau du bas ventre et elle se recroquevilla au sol sur le coup. Sans lui laisser le temps de se remettre je lui ai immobilisé sa queue en enroulant la mienne autour et j'ai entravé ses bras dans son dos. J'ai attrapé ses cheveux pour lui tirer la tête en arrière et j'ai mordu son cou pour lui injecter un puissant sédatif, finalement je me suis expliquée :

"Bonjour ma fille chérie, tu sais à quel point je déteste que tu me défie ? J'ai décidé de refaire ton éducation. Le sous-être que tu vois avec moi vas te donner tes premiers enfants, des bâtards sans intérêt et j'espère que la honte que je vais t'infliger te remettra à ta place."

"Attends maman ! J-je suis désolée ..."

"Trop tard ma chérie. Hey toi, l'humain, tu vas mettre enceinte cette petite garce, si tu n'obéis pas je la tuerai et toi dans la foulée, tu vas donc pouvoir lui sauver la vie ainsi que la tienne."

La lamia se débattait comme elle pouvait, engourdie par la substance qui commençait à faire effet et entravée par ma queue dont la pointe se glissait entre ses fesses. De mon bras libre j'ai attrapé le petit garçon par les cheveux, le forçant à se coller contre le corps de ma fille à sa merci. Il n'avait plus qu'à y glisser son pénis pour que ma fille redevienne docile et respectueuse envers sa mère et il n'avait pas intérêt à trainer.

Yori ne vit pas la main de la lamia qui claqua avec force sur la joue de l'humain, dont le visage tourna légèremment, pliant un genoux à terre et se tenant la joue qui devint rapidement rouge, des larmes de douleurs vinrent, n'étant pas habitué à ce genre de chose et encore moins avec une telle force.

Le jeune homme entendit la menace et pour la première fois il sentait que la créature était tout à fait capable d'appliquer sa sentence, aussi suivit-il la lamia en se massant la joue endoloris pour faire passer la douleur et la rougeur.

L'humain se sentit rapidement mal à l'aise en voyant où Alice l'avait amené, dans une grotte sombre et humide, ce qui fit que la fraicheur enlaça Yori, qui se frictionna légèrement les bras pour se réchauffer un peu.

Il fut assez émotif en voyant comment la mère traita sa fille et il comprit enfin la raison de sa survie actuellement, mais ce qui l'effraya n'était pas tellement le fait de devoir mettre enceinte une créature, c'était que la lamia pensait que Yori, qui pense être une fille donc une femelle dans le jargon animale,  que ce dernier savait comment faire, ce qui allait poser quelques soucis.

Yori sentit les écaille de la jeune lamia, c'était tout sauf doux. Il se mit à gémir.

- Madame, comment voulez-vous qu'une femme puisse faire un enfant avec une femme, sauf si vous connaissez la solution, mais je ne la connait pas moi.

La traiter comme un garçon avait quelques peu énervé Yori, qui n'était pas un mec, dans sa tête, et niait de l'être physiquement, même s'il avait toute les preuve sous le nez. Quoi qu'il en soit cette réponse devait certainement énerver la mère, quand à la fille elle devait être perplexe devant le cas spécial de Yori.

En tout cas cela faisait 1 pour Yori et 0 pour le reptile. Même si le score allait changer.

Devant cet empoté je me suis retenue de m'énerver, une fois que ceci serait fini je m'assurerais qu'il souffre et surtout qu'il survive pour souffrir encore. J'ai maintenue ma fille immobile le temps qu'elle soit terrassée par l'anesthésiant puis je l'ai lâchée, réduite à l'état de légume elle pouvait voir et entendre mais était privée de sa capacité à agir.

J'ai mis le petit humain sur mes genoux, arrachant sa jupe sommaire sans douceur et prenant fermement son sexe en main. Puis je l'ai masturbé, humidifiant de temps à autre sa verge grâce à ma langue, son sexe s'est lentement durcit et il se demandait probablement ce qu'il lui arrivait. Il s'est mis à haleter, à gémir, tandis que j'allais de plus en plus vite, puis je l'ai porté jusqu'à ma vilaine fille qui, paniquée, me supplia une dernière fois :

"Non maman, pas ça pitié, je ne veux pas de cette chose dégoutante !!! Tu souillerais ta propre fille pour lui donner une leçon ?"

"Allons allons ma chérie, tu devrais savoir que tu ne vaux absolument rien à mes yeux, tu es la femelle parfaite pour ce petit humain."

La honte suprême pour les lamias : se reproduire avec les espèces faibles, nous préférions mourir que d'être souillés par des sous-espèces et j'allais infliger sa à ma propre fille, le pire c'est que ça me faisait rire. Lorsque j'ai sentis que le petit humain allait venir, j'ai glissé son petit pénis entre les cuisses de ma fille et lorsqu'il éjacula celle-ci se mit à verser des larmes de rage et d'impuissance en sentant couler le gluant fluide dans son vagin. Puis j'ai murmuré à l'oreille de Yori :

"Maintenant que je t'ai montré comment te vider tu vas t'entrainer sur elle, encore et encore et encore et encore, jusqu'à ce que tu en tombe d'épuisement, je veux que tu la remplisse. Puis une fois que tu auras fini je t'humilierais devant elle pour qu'elle se rende compte à quel point la créature qui l'a violée est faible et minable. Je veux que tu la méprise, que tu lui crache dessus, que tu l'insulte, que tu la souille entièrement. Met y tout ton cœur, sinon je la laisserait se venger sur toi et là elle t'en veux à mort."

Puis j'ai lâché le petit humain, attendant qu'il obéisse à mes ordres, de toute façon ce n'est pas comme s'il avait le choix.

Yori ne s'attendait pas du tout à cela, ce qui eut comme réaction de le faire pousser un petit cris de surprise, la main puissante de la lamia causa au début de la douleur, chose qu'il se mit à dire au début, puis, vint le plaisir, sentiment que Yori ne pouvait pas connaitre, le corps du jeune homme se mit à trembler, son rythme cardiaque augmentant, son corps semblant aussi se réchauffer au fil du temps.

Le pauvre en comprenait pas du tout ce qui se passait, il sentait que cela n'était pas quelques chose de mal en soit et pourtant ses joues se mirent à montrer une montée de honte dont ile pouvait définir l'origine, ce plaisir qui ne cessait de croitre lui faisait en même temps très peur.

C'est alors qu'il sentit son membre entrer avec force dans l'antre de la fille-serpent, perdant sa virginité au passage, éjaculant dans le vagin de la lamia, ce qui surprit le jeune homme en sentant contre son membre un liquide autre que ce à quoi il s'attendait. C'est alors que la mère lamais se mit à mettre en garde Yori.

En effet il n'y avait pas beaucoup de choix, mais sa grande soeur aurait sans nul doute tenue tête à la terranide, chose dont le jeune homme en était incapable, il se mit à penser aux choix qui s'offrait à lui. Il pouvait se venger de toute les humiliation causé sur Terre par ses camarades de classe, mais c'était aussi engendrer davantage de haine, il pouvait aussi refuser, mais c’était prendre le risque de mourir, de plus rien n'assurait le jeune homme de s'en sortir vivant s'il obtempère aux ordre d'Alice, car la fille pouvait essayer de se venger après et visiblement tuer était dans leurs nature.

Il n'arrivait pas à se décider, puis se remit à pleurer, cet humain était vraiment pathétique et méritait d'être on ne peut plus clair sur son statut de simple objet.

Alice attendit quelques secondes, pour donner une chance au petit humain de ne pas la décevoir, malheureusement pour lui, c'est exactement ce qu'il fit. Il était si ... indécis, c'en était presque drôle, sauf que son indécision allait à l'encontre de la volonté de la lamia et s'il y a bien quelque chose qu'elle déteste c'est qu'on lui résiste. S'il pensait sérieusement l'avoir déjà vue énervée il allait bien vite déchanter, jusque là Alice était restée d'un calme inhabituel pour elle, se montrant d'une patience presque miraculeuse dans son cas. Et c'était fini, il n'y aurait plus de seconde chance, d'indulgence, de pitié, d'attente, dorénavant ce sera marche ou crève, la loi de la jungle dans toute sa splendeur. Et en ce qui concerne la loi du plus fort, Alice partait avec une avance si large que l'humain ne pouvait que s'incliner ou mourir.

Les veines de son front se gonflèrent, son visage se fit menaçant, un sourire carnassier illuminant celui-ci. Sa main attrapa la gorge du jeune homme, pour le projeter à terre avec une violence largement excessive et sans prévenir la bouche de la lamia s'ouvrit. Ses crocs sortirent de sa gueule, chargés d'un vrai poison pour une fois et s’enfoncèrent dans le cou du petit humain, la morsure était profonde et douloureuse, en plus d'être mortelle. Alice se redressa, entrainant avec elle la misérable petite chose à laquelle elle mit deux baffes monumentales pour se défouler. Elle s'exclama alors folle de rage :

"J'EN AI MARRE DE TOI !!! LES FAIBLES DANS TON GENRE SONT FAIT POUR SERVIR LES FORTS COMME MOI, ALORS TAIS TOI ET OBÉIS !!! VIOLE LA BORDEL !!!"

Elle se calma un peu en respirant un bon coup et lâcha le petit humain, avant de reprendre d'une voix toujours menaçante, mais sans crier :

"Le poison que je t'ai injecté est mortel, il agira dans deux heures et crois moi cette saloperie ne te tuera pas en douceur, ce sera long et douloureux. Les premiers symptômes apparaissent au bout d'une heure, puis tu auras une seconde heure d'agonie avant de mourir. J'ai un antidote, à toi de me convaincre de te l'injecter, tu sais ce qu'il te reste à faire, minable ... Viole moi ça et assure toi qu'elle souffre bien, tant moralement que physiquement et dépêche toi, je ne suis pas patiente."

Elle avait été à deux doigts de lui injecter un poison foudroyant, mais au dernier moment elle avait réalisé que cette loque lui était bien plus utile en vie que morte. Elle s'était donc retenue et c'était la dernière fois qu'elle le ferait, il n'y aura plus de seconde chance pour le faible petit humain pleurnichard, plus jamais. Il avait intérêt à lui obéir au doigt et à l’œil désormais s'il tenait à la vie.