C’était marrant, elle couinait déjà comme si elle avait attendu ça toute sa vie… ça allait être amusant, tiens… elle pensait quoi ? Que le géant allait lui laisser la possibilité d’apprécier ? Elle n’était pas là pour ça, hélas pour elle. Elle allait devoir subir et supporter. Il la regarda avec amusement alors que, à peine à la moitié, elle devait déjà faire passer à la grosse verge l’entrée de sa gorge… il allait salement l’étouffer.
Ses grands yeux larmoyants de la situation, et le bruit des hauts le cœur le faisait marrer. Il n’y avait pas à dire, il allait bien s’amuser avec cette nouvelle possession… il lui fit un regard un brin moqueur avant de finalement la voir faire ce qu’elle pouvait. Et pourtant, non, rien… elle n’arrivait pas à avancer d’avantage, malgré ses efforts et malgré ses apnées qui duraient un peu. Impossible pour elle, n’est-ce pas ? [/color]
Mais elle semblait bien partie pour satisfaire son nouveau propriétaire puisqu’elle était en train de frotter sa minette contre le gros doigt du gêant. Pourtant, sans prévenir, il donna une pichenette à son sexe qui s’humidifiait, histoire de lui faire passer un peu son envie apparente d’aller trop vite. Puis il se retira de sa bouche pour poser la longue verge contre son visage, une bite qui était largement plus imposante que ce qu’elle pouvait prendre ici. Et c’était sans parler de comment elle allait devoir encaisser cela ailleurs. Elle en était consciente mais la frayeur était passé. Ou du moins, c’était l’impression qu’il en avait.
« Ce n’est pas fameux. Je suppose qu’il va falloir que je fasse tout moi-même… »
Il enferma ses cheveux dans une poigne ferme et il venait remettre son gland devant ses lèvres jusqu’au ce qu’elle ouvre grand, et cette fois, il força, força, malgré les éventuelles plaintes de douleur, malgré ses signes de refus ou autre, il ne s’arrêta que quand ses couilles e calèrent contre son menton. Et là, il la maintint. Il la maintint en la regardant changer de couleur, devenir rougeaude, puis bleuir sous le manque d’air, et il continua pourtant. Ce ne fut que quand il la sentit mollir, à deux doigts de tourner de l’œil, qu’il lui permit de se retirer et de respirer, cracher la salive, vomir, même, peut-être.
« Refais-le ; si tu échoue tu seras punie. »