"UN"
Le compte à rebours avait commencé.
Je tenais fermement entre mes mains son pied, prêt à la hisser le plus haut possible. Plus agréable que ses talons qu'elle avait retiré, le contact de ses collants était toutefois assez glissant.
Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer.
Je n'y croyais pas du tout mais il fallait bien tenter de la rassurer un peu. Si par miracle la trappe s'ouvrait, il faudrait encore qu'elle se hisse et que j'arrive à la rejoindre pour qu'ensuite nous cherchions ensemble un moyen d'ouvrir la porte coulissante du premier étage. Ses mains vinrent se poser sur mes épaules, le décollage était imminent.
"DEUX"
Je regarde avec concentration son pied que je ne devais pas laisser s'échapper, et je pouvais déjà remarquer sa robe ultra moulante remonter un peu sous l'effet de la flexion de sa jambe. De toute façon il n'y avait pas vraiment de place pour la pudeur dans notre plan.
"TROIS"
Alors que je la soulève d'un coup, son second pied vint se glisser entre mes deux mains. Il n'y a plus de retour en arrière quand ses mains quittèrent mes épaules pour tenter d'atteindre la trappe. Difficile de maintenir l'équilibre dans cette cage sombre et étroite mais étonnamment haute de plafond. Surtout, impossible pour moi de lui faire garder l'équilibre juste en bougeant ses pieds. Très vite, la gravité était en train de gagner le combat, basculant son corps vers l'avant. Son bassin vint s'appuyer droit sur mon visage, le tissu de sa robe se plaquant sur ma bouche et mon nez appuyant sur son pubis.
N'ayez pas peur, tendez vos jambes!
Rien à faire, elle restait recroquevillée sur moi, les jambes fléchies. Soudain, son corps bascule en arrière, ses mains ayant probablement quitté le plafond. Là ou je suis j'y vois strictement rien, alors que mes mains glissent sur ses pieds à cause du collant. J'arrive heureusement à rétablir l'équilibre en me penchant à mon tour en arrière pour contrebalancer. Son entrejambe me revient alors en plein visage avec force, ses seins fermes étaient désormais posés sur mon crâne. Elle écarta alors lentement ses cuisses pour tenter de reposer ses genoux contre mes épaules et se stabiliser. Face à mon visage, la robe moulante remonta alors petit à petit jusqu'à faire apparaitre la frontière entre sa peau et les collants qui se révélèrent finalement être des bas.
Malgré l'effort physique et la panique ambiante, c'est assez excitant et largement suffisant pour dessiner la forme de ma verge à travers mon pantalon. Pas le temps d'apprécier la vue que déjà elle gigote à nouveau. La trappe semble résister, je peux la sentir forcer, ses seins retombant sur ma tête après chaque tentative. Elle commence alors à tambouriner dessus pour faire céder les joints. A chacun de ses coups, son corps se tend et sa robe remonte. Bloqué sous le poids de son corps, j'aperçois inexorablement le tissu disparaitre face à moi. En une poignée de secondes, sa robe s'est transformée en un bandeau reposant sur ses hanches. Mon visage fait désormais face à la dentelle d'un magnifique string noir, si proche que mes lèvres effleurent les siennes à travers le tissu. Entre la dentelle, je peux deviner ses plus intimes détails, tandis que le bout de mon nez est lui appuyé sur son clitoris. Mon cœur s'accélère et je ne peux que difficilement réfréner mon souffle chaud sur sa peau, tandis que ma circulation sanguine converge vers mon sexe désormais bien gonflé. Concentre-toi Bastien, c'est ta voisine et on est coincés en pleine nuit dans un ascenseur. Il faut sortir d'ici.
Enroulez vos cuisses autour de mon cou et croisez vos chevilles derrière ma tête. J'aurai les mains libres et je pourrai vous aider à garder l'équilibre.
Elle gagnerait un peu de hauteur et de stabilité. Pour faciliter la transition, je laisse l'un de ses pieds pour glisser ma main derrière sa première fesse dénudée, puis une fois fermement tenue, je lâche la seconde qui vint saisir à pleine paume sa seconde fesse au galbe parfait. Elle était désormais parfaitement plaquée contre mon visage, même si ses cuisses qui ne tarderaient pas à se refermer autour de mon cou allaient forcer encore plus cet intime contact. C'était inévitable, sinon elle risquait de retomber en arrière. Intérieurement, j'espérais bien que la trappe allait résister un peu, son parfum était enivrant