Patiemment, sans te lâcher du regard, je t'écoutes répondre au tac au tac à mes attaques, tu ripostes bien, ça me plaît, rarement je suis tombé sur des humains capables de tenir tête à mes remarques cinglantes, ayant pris soin de toucher les points que je sentais les plus sensible pour avoir chaque fibre de ton attention, ce qui semble réussi, pour mon plus grand plaisir.
- Je peux affirmer en tout cas que mon instinct se trompe rarement, et t'aborder ce soir, en est une confirmation ; Je choisis de supprimer la barrière du vouvoiement, prenant l'initiative; et je ne vois pas l'intérêt de prendre des clientes dans mon lit chaque soir. Je suis exigeant sur le plan....
Prenant mon temps pour prendre une autre gorgée de mon nectar
- Social. Ça serai tellement simple vu ma position, mes talents, et mon physique, que ça serait d'un ennui mortel. J'ai soif de défi, le second choix, est un concept qui n'existe pas pour moi...mais peut etre te consideres tu comme banale et sans interet, dans ce cas tu perds le mien au passage.
A peine ma phrase fini tu demandes à goûter mon verre, mais insolente que tu es, tu n'attend même pas ma réponse. Profitant de la proximité que tu as fini d'installer, j'aggripe ta nuque, avec juste assez de force pour que tu ne puisses pas t'en aller, mais sans te faire mal, mon regard sombre se posant sur toi, alors que je m'approche de ton oreille
- Fais encore preuve d'insolence, et clients ou non, je fais de toi ma chienne sur le champ. Je regretterai vraiment de devoir précipiter les choses.
Te relâchant, lentement, je capte malgré tout le message, tu as encore soif, repassant derrière le bar, je sors certaines de mes bouteilles les plus rares, digne de la rareté que tu representes, jonglant avec les bouteilles, avec dextérité, je verse ton breuvage dans le verre devant toi que j'ai déposé plus tôt, ainsi que dans un autre à côté pour trinquer avec toi. Je m'installe a nouveau près de toi, ma main se posant sans gène dans le creux de ton dos, fermement, appuyant mon autorité.
Allumant les cocktails, les faisant flamber avec un zeppo de ma poche.
- Aux pêchés les plus luxueux.
La proximité entre nous a cet instant, le jeu, et ton insolence, me font raidir ma queue, que tu sens aisément contre ta cuisse, te laissant un aperçu de ce qui t'attend. T'observant boire ton verre, j'ai l'image de toi, chienne, sur ce bar, cambrée, tes cheveux empoignés, ma queue te ravageant, aspirant un peu plus ton esprit à chaque mouvement.