Tout contre lui, la Louve échangeait un baiser fiévreux avec le pérégrin, son corps se serrant contre le sien malgré le fait qu’il portait toujours son haut. Et tandis que par instinct il bougeait ses hanches, mimant une pénétration, elle ondulait également du bassin, amplifiant ainsi la sensation et ne laissant, en tout l’occurrence, pas de marbre à de telles intentions. Sa respiration commençait à devenir de plus en plus saccadée, et des soupirs s’échappaient de ses lèvres tandis qu’il mordait et suçait l’un de ses mamelons. Elle gardait sa tête contre sa poitrine, caressant ses cheveux d’une main affectueuse et ne put réprimer un grondement de satisfaction quand il se retrouva enfin torse nue et qu’elle put sentir la douceur de son torse contre sa poitrine.
Mais ce n’était pas assez et tout les deux en avaient pleinement conscience, tous les deux ne semblaient vouloir s’arrêter en si bon chemin. Embrassant une nouvelle fois Grayle, la Louve fit glisser ses doigts le long de son torse, caressant ce dernier, continuant sa descente jusqu’à son bas ventre ou d’un geste agile et précis, elle ouvrit le pantalon, offrant ainsi à son sexe plus de liberté pour croître et ne plus se sentir autant compressé. Mais la Terranide avait d’autres projets en tête et se libérant de son étreinte elle se positionna de sortes à se retrouver la tête vers le bas, ses mais poussant sur le pantalon pour le faire tomber jusqu’aux chevilles. Le sous-vêtement qui restait ne tarda pas à le rejoindre et la Lycane put poser ses yeux sur le sexe tendu de l’homme.
La position qu’elle avait prise réclamait un peu d’équilibre mais Shad avait confiance en Grayle et elle savait qu’il saurait la maintenir quoiqu’il arrive. Se pourléchant les lèvres, elle fixa quelques seconde la lance de chair de l’immortel, sous souffle chaud frappant contre son gland avant qu’une sensation humide ne vint se rajouter à l’équation. Sa langue glissa le long de son membre, plusieurs fois, faisant fit de l’odeur qu’il pouvait avoir. Se penchant un peu plus en avant, elle l’accueillit entre ses lèvres, sa croupe quant à elle, aux vues de la position, était offerte à l’homme qu’il pouvait en disposer comme il l’entendait. Mais la Louve ne resta nullement inactive en attendant la moindre réaction de l’humain et déjà elle l’emmenait petit à petit aussi loin qu’elle le pouvait. Sa langue le caressait tandis que sa salive l’humidifiait, lui permettant de coulisser avec de plus en plus d’aisance.