La Proie Du Soir [Fujiko Zaraki]

Parc municipal de Seikusu, Japon, La Terre
Le soir

« Je crois que je l’ai repéré...
 -  Oh... Parfait ! »

Dissimulées derrière les arbres et les buissons du grand parc municipal central de Seikusu, Tsukino et Chibi étaient toutes les deux en chasse. Quoi de plus naturel, après tout ? La Terre était leur monde natal, et elles étaient donc celles qui le connaissaient le mieux. Les deux femmes ciblaient ce soir une femme en particulier. La nuit tombait tôt à cette période hivernale, et les gens se pressaient pour rentrer chez eux. Et la proie des deux femmes devait passer par là, car c’était le trajet qu’elle prenait pour rentrer de chez elle. Au lycée Mishima, les agents infiltrés de la Fut-Corp avaient repéré cette lycéenne, qui disposait apparemment de performances spéciales. La patronne avait donc chargé les deux femmes d’aller la capturer, ce qui était une parfaite aubaine pour Chibi. C’était pour elle l’occasion de s’entraîner, car elle n’avait encore jamais eu la chance de capturer des proies (contrairement à Tsukino, qui avait capturé Chibi il y a quelques mois).

Leur cible s’appelait Fujiko Zaraki. Une simple lycéenne qui avait eu un bref séjour sur Terra, où elle avait été une esclave, avant de réussir à retrouver sa vie d’antan. Ce court séjour avait néanmoins permis de révéler qu’elle disposait de capacités surnaturelles, outre son corps très alléchant. Une cible parfaite pour la Fut-Corp, qui, comme à son habitude, disposait de moyens d’information très poussées. Tsukino et Chibi s’étaient donc portées volontaires pour cette périlleuse mission, et attendaient leur proie au parc.

Plutôt grand, le parc abritait des coins où les poteaux étaient peu présents, des endroits dangereux, ce qui expliquait pourquoi la municipalité recommandait vivement aux usagers de ne pas y venir trop tard, ou de ne pas s’y promener seuls. Fort heureusement, les avertissements municipaux étaient rarement suivis, d’autant que cette Fujiko, d’après les informations glanées au sein de son lycée, étaient une forte tête. Une fille qui se croyait capable de surmonter à tout, et qui participait aux activités du club d’autodéfense de Mishima.

« Je pourrais la violer en première, Tsukino ?
 -  Bien sûr, c’est ton cadeau d’intronisation, ma chérie ! »

Ravie, Chibi sourit, et se pressa d’embrasser Tsukino, faisant crisser leurs combinaisons moulantes, leurs grosses poitrines se frottant l’une contre l’autre. D’ores et déjà, leurs sexes en érection se caressaient l’un contre l’autre, sous leurs combinaisons, chacune des deux ayant puisé dans leurs gènes hermaphrodites.

« Allez, allez... Du calme, Chibi ! Soyons prêtes à la recevoir dès qu’elle passera par là... »

Impatiente, Chibi s’en mordilla les lèvres.

D’ici quelques instants, elles bondiraient sur leur proie sans défense...

   Fujiko finissait son exercice quand la sonnerie retentit, annonça enfin la fin des cours et le début du week-end. Fujiko laissa échapper un profond soupir en s'étalant sur sa table avant de s'étirer. Même si elle avait un studio au lycée, ses parents avaient exiger qu'elle revienne le week-end. Elle suivit le flot d'élève, saluant leur professeure, côte à côté avec des amis, avant de pouvoir rejoindre, dans le hall principale, ses amis du collège, ses senpais d'une année, malgré leur âge équivalent, mais surtout sa meilleur amie, Kioi, la seule connaissant tout les secret de Fujiko, et ayant une certain tendance à la taquiner avec. Demain ils avaient prévue une sortie au parc, la météo annonçant une potentielle chute de neige, prévoyant une bataille de boule de neige et un concours de bonhomme de neige. Elle passa vite fait à son studio, pour prendre une petite valise afin de ramener quelque affaires à la maison. Certains de ses amis rester ici, tandis que d'autre rejoignait leur parents venue les chercher en voiture ou partant pour leur jobs à mi-temps. Quand à Fujiko et sa meilleurs amie, elles prenaient le métro ensemble, après le parc

   Dehors, le temps était grisonnant, les température plutôt bases, avoisinant les 15-16°C obligeant les vêtements chauds. Fujiko salua ses camarades, et partie en direction du parc avec sa meilleur amie. Ne pouvant plus prendre son raccourcie, il leur fallait 10 minutes de plus, mais Fujiko ne pouvais s’empêcher de passer devant en lui fessant un grand doigt d'honneur et en tirant la langue, ce qui avait tendance à faire rire son amie.

-ATCHOUM !!!

   Fujiko éternua brusquement quelque minute après, à l'entré du parc, et renifla un bon coup.

-Charmant. Ironisa Kioi.
-J'ai pas de mouchoir et j'ai froid. Se plaignit Fujiko.
-T'aura qu'a te remplir d'eau chaude. Répondit Kioi du tact au tact, sans prendre soin de baisser la voix.
-Qu... maismais de quoi je me mêle !!! Souffla Fujiko d'une voix tremblante, devenant toute rouge.
-Me dit pas que tu l'avais déjà envisager !

   Le bruit qu'émit Fujiko en s'étranglant avec ses mots, plia en deux Kioi, au point de taper du poing par terre, riant au éclat. Il fallut bien deux bonnes minutes pour que Kioi se calme.

-Ahaha... pfffiioouu... t'a refais ma soirée ! Lacha t-elle en se relevant. Si t'a besoin t'aide fais moi signe ! Susurra Kioi, un éclat moqueur et pervers dans l’œil.
-I..I.. IDIOTE !!! Lâcha Fujiko, rouge comme une tomate.
-Attend je vais.... Commença Kioi en plongeant sa main dans sa poche. Merde, il est où mon portable ?!

   Elle fouilla toute ses poches et ses sacs, mais elle ne le trouva pas.

-Merde ! Je l'ai laissé à charger dans mon studio !
-Bien fait ! Commenta Fujiko, qui perdu sa couleur rouge. Bon bah on y retourne alors !
-T’embête pas, je peux le faire seule ! Lui répondit son amie en reprenant ses affaires.
-T'es sur ?
-Mais oui ! On se retrouve sur facebook ou sur LOL ce soir !

   Elles se saluèrent et Kioi retourna au lycée. Vue que la nuit tomber rapidement, elle allait rester chez elle. Fujiko soupira, grommelant un peu sur le fou rire de Kioi, qui avait vue juste. Mais au moins elle ne la jugait pas et prenait ça à la rigolade, ce qui permettait à Kioi de ce sentir moins coupable, mais c'était tout de même gênant. Elle repris son chemin, tirant sa valise derrière elle, fredonnant un petit air. Elle ne pouvait s’empêcher d'imaginer l'eau chaude remplir son ventre et de le gonfler, lentement. Elle ne l'avait pas fait du reste la semaine, et inévitablement, elle en avait envie maintenant.

   Mais quelque chose coupa court à ses pensés. Un craquement se fit entendre et Fujiko réagit au quart de tour, lâchant ses affaires et sortant d'une poche une bombe au poivre, mais tournant le dos au vraie danger. Elle ne dit rien, mais commença à reprendre ne mains son sac et sa valise, quand elle entendit bouger derrière elle. Elle se retourna, voulant aspergé l'intrus de poivre de son bras droit, mais hélas trop tard. On bloqua son bras et on le lui tordis violemment dans le dos, si bien que son coude atteignit presque son omoplate gauche tandis qu'une autre personne lui fit une balayette, lui fessant perdre l'équilibre, dans l'optique de l'attraper par les jambes pour l’empêcher de bouger. Fujiko glissa, aggravant la prise, son bras maintenant perpendiculaire à sa nuque.

   Mais Fujiko, ne pouvant ressortir de douleur grâce à sa nature de mutante élastique, ne cria pas, et parvint même à garder son calme, elle avait un autre atout dans sa manche. Elle se téléporta, mais se retrouva à 1 mètre du sol et à 3 mètre de sa position initiale, vers la droite. Son bras se remit normalement dans un claquement et elle tomba, avant de rebondir en peu, se retrouvant coucher sur le côté. Elle se releva et fit face à ses agresseurs et fit les yeux ronds. Au lieu de deux hommes comme elle pensait, c'était deux femmes, et pas n'importe quelles femmes.

   Elles dépassaient Fujiko facilement d'une tête, habiller de manière fulgurante, des énormes pastèques en guise de seins et une anomalies entres les jambes : des bites. Même si elles étaient moins grosse que celle des minotaures ou des centaures ou encore des trolls qui l'avaient violé, elles pouvaient se targuer de queue bien plus grosse que n'importe qu'elle homme pour Fujiko. Le temps qu'elle se remette du choc et du corps de celle en rose, bizarrement attirer par elle, les deux femmes étaient sur elle.

-Et merde.

BLAM.

   Fujiko fut plaquer à terre, le souffler couper lâchant sa bombe. Elle tenta de frapper à l'oreille celle la plaquant, dans l'optique de la déstabiliser, comme à l’entraînement pour se dégager, avant que l'autre ne vienne.

L’amie de Fujiko la laissa seule, privant ainsi les deux femmes d’un délicieux supplément. Elles n’étaient jamais contre un extra, même s’il fallait se montrer prudents. Les F-Girls savaient que ce monde abritait des individus surnaturels, des protecteurs surpuissants... Et, même si la F-Gen leur fournissait des compétences améliorées, elles n’enr estaient pas moins de simples mortelles. Elles virent donc Fujiko s’approcher rapidement. Surprise par le froid, la jeune lycéenne avait la tête ailleurs. Rapidement, Tsukino et Chibi se déplacèrent. Corpulentes, elles étaient malgré tout rapides, bien plus rapides que ce que leurs formes massives laissaient supposer. Elles attaquèrent donc toutes les deux Fujiko, et comprirent que celle-ci disposait effectivement de pouvoirs surnaturels. Non seulement elle se téléporta, mais son bras, que Tsukino avait failli lui briser, se remit en place de manière surnaturelle et... Assez élastique.

Fujiko leur fit ainsi face, et sembla surprise, et à juste titre, de les voir. Deux femmes avec des poitrines énormes, et des verges qui se dressaient, moulées dans leurs combinaisons érotiques. Des verges tendues et assoiffées, veineuses, qui ne demandaient qu’à la pénétrer, tandis que les deux F-Girls se mirent à glousser.

« Elle se défend bien...
 -  Tant mieux ! jubila Chibi. Je n’aurais pas voulu que ma première fois soit trop simple ! »

Des deux, Chibi disposait du pouvoir le plus redoutable, un aphrodisiaque très envoûtant. Un véritable poison qu’elle pouvait lancer à distance. Tsukino fusa encore, avec une rapidité impressionnante, Chibi usant déjà de soin pouvoir pour perturber la jeune lycéenne... Qui se retrouva encore plaquée au sol. Tsukino serrait sa tête d’une main, empoignant ses cheveux, et son genou l’immobilisait dans le dos.

« Là, là, tu ne m’auras pas deux fois... Tu ne peux pas te téléporter si tu ne sais pas où tu vas, et si je me colle ainsi à toi, hein ?
 -  Hey ! C’est moi qui la viole !
 -  Il faut d’abord là... »

Sa proie remua alors, se transformant en une espèce d’anguille. Elle gifla Tsukino au visage, ce qui ne surprit guère la femme, mais elle sentit le corps de Fujiko remuer... Et cette dernière la repoussa alors en étirant sa main. Surprise, Tsukino au sol, sur les fesses, et vit la lycéenne se mettre à ramper, cherchant à fuir... Pour se retrouver devant les bottes de Chibi.

« Elle a effectivement des pouvoirs assez étonnants... » s’amusa Chibi.

Leur petite proie allait-elle continuer à se battre ?

Chibi n’attendait que ça !

   Fujiko parvint à frapper son adversaire, loupant l'oreille, mais ce fut assez pour lui permettre de se libérer. Elle tentant de se relever, mais glissa, l'obligeant à progresser à moitié en rampant, pour arriver devant les bottes de l'autre femme. Fujiko releva la tête, mais n'avait que dans son champs de vision la verge imposante de la femme, qui cachait son visage de sa positon. Elle se mit à rougir, alors que des visions obscènes commencèrent à parasité ses pensés et ressentant comme, de l'excitation.

   Elle s'arracha de la vue de cette verge et roula sur le côté, s'éloignant de la femme et se releva, bien qu'elle manqua de glisser à nouveau, allant trop vite. Fujiko rougissait toujours et commencer à avoir le souffle court, mais pas pour les bonnes raisons. Comment pouvait elle se sentir ainsi ? Et à nouveau elle fut captivé par cette femme au cheveux rose, alors qu'elle se dirigeait vers elle, de manière obscène, baladant son sexe dans un mouvement hypnotique. Fujiko se mordit la lanque, se remettant les idées en place. Ce n'était pas normale, la dernière qu'elle s'était sentit comme ça ce fut... la première fois qu'elle voulue se remplir à nouveau. Elle masqua la vue, gardant un œil sur l'autre qui tenta de la prendre en tenaille. Elle se téléporta.

   Et se retrouva pile devant la femme en rose. Fujiko lâcha un crie indescriptible et se téléporta à nouveau et elle se retrouva cette fois derrière un arbre, à trois mètre du duo, qui ne semblait ne pas l'avoir vue. Fujiko se cacha derrière, se masquant de leur vue, alors qu'elle haletait, sa culotte humide. Elle avait respirer à plein poumons les phéromones et l'aphrodisiaque que produisait la femme en rose. Son état permit au moins une chose à Fujiko : que ces femmes avaient de pouvoir, et étaient comme elle, des mutantes. Cela devait expliquer leur physiques et son état, la femme en rose devant produire des drogues.

   Elle ne pouvait, et ne devait pas rester là, d'autant plus qui lui sembler entendre les femmes se rapprocher doucement. Elle attrapa son téléphone et bondit de sa cachette, mais elle se loupa et tomba, lâchant son portable. Elle le ramassa et se releva, fessant face à la femme au cheveux bleu. Fujiko parvint à éviter sa main, mais tomba dans celle de l'autre, qui attrapa son bras de sa main et tenta d'arracher son portable de l'autre. Elle ne fit qu'étirer le bras de Fujiko qui donna des coups de poings, avant que son bras ne soit saisit par la première. La panique gagna Fujiko, lisible sur son visage et commençant même à avoir des larmes, chassant ce désir imposé, alors que l'étau ce refermait sur elle. Elle se téléporta... à 1 cm de sa position, toujours sous l'emprise des deux femmes.

   Elle se téléporta encore 5 fois successivement, pouvant paraître en déphasage avec la réalité, vue qu'elle ne changait de position que d'un pauvre centimètre à chaque fois. La sixième fois, elle se retrouva dans le dos de la femme en rose, ses jambes écartées. Mue par ses réflexes acquit en self-défense, elle donna un coup de pied dans l'entrejambe, frappant les couilles de la femme, qui s'effondra devant sa camarade, ses mains sur son sexe. Fujiko rigola en reculant, avant que se vision ne se trouble, le décor penchant d'un côté puis de l'autre, se déformant en même temps. Elle eu des nausées et se mit à sué. Elle n'avait jamais autant fais de téléportation en 1 secondes, son cerveau le supporta mal, fessant un malaise semblable à celui d'un malaise vagal, en plus d'être déjà affaiblie par les pouvoirs de l'autre femme et la panique qu'elle avait ressentit.

   Elle recula encore et se retourna, manquant de vomir, avançant d'un pas hasardeux, penchant d'un côté puis de l'autre, avant de tomber à genoux et de vomir. Elle s'écroula sur le côté, évitant son vomit, se sentant mal. Maiss elle se força, commençant à ramper pour fuir.

La petite Fujiko était donc capable de se téléporter, et se débattit comme une diablesse. Malheureusement pour elle, dans sa précipitation, elle n’était pas très discrète, d’autant que Chibi avait réussi à établir un lien avec elle. En parveznant à l’exciter, elle pouvait sentir sa présence, même si elle ne pouvait pas encore clairement l’identifier. Mais elle comprit que Fujiko était perturbée, et les deux femmes agirent donc, la poursuivant, jusqu’à réussir à l’immobiliser. Dans un effort désespéré, Fujiko tenta de se téléporter à plusieurs reprises, mais, retenue par Chibi, elle n’arrivait qu’à faire du sur place, jusqu’à enfin réussir à se téléporter dans son dos... Et frappa la femme d’un coup de pied bien senti aux testicules, surprenant Chibi.

« Hm... Petite futée ! »

Mais Fujiko avait visiblement tiré toutes ses cartes, et, saisie d’un haut-le-cœur, se mit péniblement à ramper. Agacée, Tsukino se rapprocha rapidement de la jeune femme, tenant dans sa main un collier, qu’elle mit autour du cou de la femme. C’était un collier en cuir assez particulier, car il disposait d’une gemme en obsidienne incrustée, qui n’agissait que sur la personne portant ce collier, neutralisant ainsi ses pouvoirs magiques. Bien sûr, Fujiko se débattit encore, mais Tsukino avait pour elle l’avantage de son poids considérable... Et le fait qu’elle n’était pas troublée comme elle. Elle attacha donc le collier, et le boucla, puis se redressa, et attrapa d’une main ferme les cheveux de la femme, les tirant fermement en arrière.

Les hurlements et les protestations de Fujiko les laissaient indifférents. Il y avait toujours un risque qu’elles tombent sur l’un de ces justiciers en goguette, mais ce risque restait tout de même minime. Chibi s’était relevée, et se rapprocha d’elle.

« Quelle énergie, ma chérie...
 -  Oui, elle fera une parfaite esclave, non ?
 -  Mais tout à fait ! J’en salive d’avance ! »

Chibi tenait une laisse, qu’elle attacha à une boucle du collier située à l’arrière de la nuque de la jeune femme. Ainsi immobilisée, Fujiko était à point, et Tsukino attrapa la laisse, se mettant dans le dos de Fujiko, pendant que Chibi se mit devant.

« Je sais que tu mouilles comme une petite salope... Et ton coup de pied dans les couilles, ça va se payer, même si ça m’a excité plus qu’autre chose. »

Chibi posa sa main entre ses cuisses, et tira sur la fermeture Éclair située entre ses cuisses, ce qui lui permit de libérer son imposante queue. Elle dut poser sa main dessus pour la tirer, car le haut de sa verge disproportionnée se collait contre sa combinaison, avant de finalement se retrouver à l’air libre. Sa queue tapa contre le visage de la femme, et, avec l’aphrodisiaque que Chibi avait libéré, sa queue allait être irrésistible pour Fujiko, dont l’odeur devrait commencer à la rendre folle.

« Tu en as envie, de cette queue, hein ? Ne t’inquiète pas, ma petite salope, tu vas bien la sentir ce soir...
 -  Tu comptes la baiser ici ?
 -  Pourquoi pas ? Elle est chaude comme le feu, cette petite pute...
 -  C’est plutôt toi qui as envie de la fourrer, non ?
 -  Ça revient à la même chose ! » s’impatienta Chibi.

Elle commençait pour l’heure par frotter son vit sur le visage de Fujiko, laissant cette dernière s’imprégner de son odeur et de la consistance de son membre...

   Affaiblie, rampant de manière pitoyable, Fujiko était dans une très mauvaise posture. Ces deux mutantes l'avaient rapidement acculée, l'une d'elle ayant user de pouvoir étrange pour l'affaiblir, perturbant Fujiko qui ne pouvais s'en protéger, l’empêchant de se concentré d'agir avec l'esprit clair. Sinon elle aurait sûrement réussit à fuir. Là, elle se traînait sur le sol, rapidement rattrapée par la futa au cheveux bleu. Elle s'appuya sur le corps de Fujiko, l’écrasant de son poids, et malgré les coups et insulte de Fujiko et ses veines tentatives de se dérober à sa prise, elle plaça et serra un collier sur le cou de Fujiko, qui chercha à l'enlever, recommença à paniquer, malgré son état. Elle essaya de se téléporté, mais elle sentit comme un vide, comme si on l'avait amputé d'un membre. Elle ne pouvais plus se téléporter.

-Non... nonnonnonnon !!! S'écria Fujiko, en tirant sur le collier. PUTAIN !!!!

   Elle n'arrivait pas à défaire, ni à enlever le collier. La femme l'attrapa par les cheveux, la relevant de forcer et l'agenouillant, alors que Fujiko commençait à pleurer, de sombre souvenir remontant. Elle lança des insultes, des menaces, des ordres, frappant les jambes de sa geolière, alors que l'autre se ramena, son pouvoir encore actif, Fujiko respirant à nouveau ces phéromones, ravivant ces bouffés de chaleurs, rougissants et haletant, alors que de nouveaux des pensés obscènes, titillèrent ses fantasmes, s'imaginant déformer par ces deux futas ou remplir de sperme.

   Les deux femmes échangèrent quelque phrase mais Fujiko ne retint qu'une chose : esclave. Des images lui revint en mémoire, des créatures bipèdes et immenses l'entourant, la déformant de leur triques immenses, sous les regards d'ignoble individue. Le cauchemar allait recommencer ? Le pire étant que le pouvoir de cette femme, l’empêchait de réagir normalement, éprouvant une certaine excitation, et quelque chose coulant dans sa culotte. Cette même femme lui mit une laisse, ce qui eu le mérite de tirer Fujiko de ses souvenirs, qui tenta de l'enlever, mais on l'en empêcha.

« Je sais que tu mouilles comme une petite salope... Et ton coup de pied dans les couilles, ça va se payer, même si ça m’a excité plus qu’autre chose. »
-C... c'est pas.... pitié... bredouilla pitoyablement Fujiko, des larmes coulant, alors qu'elle avait du mal à quitter des yeux, la déformation que causait la verge imposante sur la combinaison.

   La femme, comme pour répondre à une demande inconsciente, entreprit de libéré sa bête, ce qui prit du temps, imposante et coller contre la combinaison, avant de fraper le visage de Fujiko dans un paf sonore, dégageant une bouffé d'aphrodisiaque et une odeur forte, inondant les narines de Fujiko de phéromones, qui trembla et fus comme pris d'une crise d'asthme, respirant fort et avec mal, avant que son souffle ne soit semblable à celui d'un coureur de marathon à bout de force. Ses bras tombèrent le long de son corps, son esprit s'embruma, sa culotte fut peu à peu inondé et Fujiko avait de plus en plus de mal à réfléchir. Il n'y avait plus que cette verge qui lui masquait une partie de sa vision, frottant contre son visage.

   Elle entendait vaguement les deux femmes, ignorant ce qu'elles disaient, Fujiko ayant du mal à ce défaire de son excitation grandissante. D'un suprême effort, elle se décolla de la verge, et la gifla, comme pour chasser un mauvais esprit, mais la verge revint la biffler tout de suite après par vengeance, avec assez de force pour faire pivoté la tête de Fujiko et déformer sa joue. Et une sonnerie de téléphone sonna. Le portable de Fujiko.

   Elle chercha des yeux et le vit à porter de main. Elle se jeta dessus et réussit presque à le toucher, mais on tira sur sa laisse, la ramenant en arrière, l'étranglant au passage. Mais elle ne se laissa pas et força, au point détendre son cou de quelque centimètre, sa tête se coinçant. La sonnerie finit par ce couper et un pied s’écrasa sur le portable, le brisant, en même temps que l'espoir de Fujiko. Elle fut de nouveau coller à la bite turgescent, l'obligeant à respirer de nouveau les effluves aphrodisiaque. Fujiko posa ses mains sur les cuisses de la futa, frappa et poussa, voulant s'éloigner de cette monstruosité, mais plus elle respirait plus elle avait du mal à ne pas vouloir cette immense trique en elle.

   Mais elle ne voulait pas, malgré tout cette aphrodisiaque, la peur était toujours en elle et l'idée qu'elle de nouveau finir dans une cage à ce faire violer tout les jours, l’empêchant de franchir le pas et la poussant à fuir. Au final elle parvint à hurler.

-A L'AIDE !!! AU SECOURS !!!

La jeune humaine s’était bien battue. Elle s’était même démenée comme une furie, essayant tant bien que mal de repousser l’inévitable, de se refuser à ses geôlières. Et là, même alors que les deux F-Girls se contentaient de joyeusement profiter d’elle, elle se rebiffa encore, et tenta même de récupérer son téléphone portable... Avant que Tsukino ne le brise d’un coup de pied. La jeune fille paniqua encore, et Tsukino soupira, puis la neutralisa, en allant violemment la frapper dans la nuque. La jeune adolescente tourna alors de l’œil, et s’écroula sur le sol.

« Hey ! Je n’ai pas pu la baiser ! protesta Chibi.
 -  Elle beugle comme une vache ! Tu peux bien te retenir le temps qu’on aille jusqu’à l’entrepôt, non ?
 -  Mais je bande fort, là ! renchérit Chibi, faisant soupirer Tsukino.
 -  Retiens-toi ! »

Chibi fit une petite mine boudeuse en regardant Fujiko. Le fait de frapper le sexe de Chibi n’avait amené qu’à exciter davantage cette dernière, qui confirmait ainsi être une pure masochiste, une femme cruelle et perverse. Et là, elle devait bien admettre... Qu’elle avait mal au sexe ! Elle grogna en le remettant sous sa combinaison, et chaque déplacement la faisait gémir, car la combinaison crissait contre son sexe, une tige tendue et assoiffée. Tsukino, de son côté, prit la jeune adolescente et la posa sur son épaule, puis les deux femmes filèrent.


Leur refuge était un entrepôt situé dans le port de la ville. Il appartenait à l’une des sociétés-écrans de la Fut-Corp sur Terre, constituant un point d’ancrage pour les femmes. Elles rejoignirent le port à bord d’un van, et Chibi continua à s’impatienter, grognant sur place, tandis que Fujiko restait évanouie. Le van se gara ensuite dans l’entrepôt. Chibi sortit rapidement, et emmena Fujiko rapidement, sans se soucier de son sort. Tsukino n’avait même pas arrêté le moteur que Chibi se rendait déjà dans le laboratoire de l’entrepôt.

C’était une grande pièce avec des néons blancs abritant divers fioles que les F-Girls utilisaient, ainsi que des sangles reliées à une table pouvant changer de position. Chibi attacha les poignets de la femme à la sangle, puis déchira d’un coup sec ses vêtements, ce qui la réveilla alors...

« Allez, allez, j’en peux plus, bordel !! »

Chibi l’attacha donc, puis tira sur sa culotte. Les chevilles de Fujiko étaient également attachées à des sangles. Elle sourit alors, et libéra de nouveau sa grosse trique. Quand sa main se posa dessus, Chibi soupira, tant sa queue lui faisait mal. Elle la guida vers la chatte de la proie, pendant que Tsukino, en souriant, venait d’entrer dans le laboratoire...

...Puis l’épaisse trique de Chibi s’enfonça dans la chatte de Fujiko, et elle soupira longuement. Fort heureusement, Tsukino, qui était là, ralluma les machines, et un tentacule métallique planta dans le cou de Fujiko une substance, une substance propre à la Fut-Corp, et qui dilatait fortement le corps. Une redoutable « drogue du viol » tekhane qui marchait à la perfection, excitant n’importe qui. Les mains de Chibi se posèrent sur les fesses de la jeune femme, malaxant son cul, tandis que son membre s’enfonçait en elle. Chibi en frissonnait de joie, et soupira longuement, un sourire évasif et joyeux sur les lèvres.

« Han ouiii... Bordel, hmmm... !! »

   Fujiko se débattit comme elle put, avant qu'elle ne ressente un choc et ne s'évanouisse. L'une des femmes lui avait fait une manchette dans la nuque. En temps normale cela n'aurait rien fait, mais elle avait frappée avec assez de force pour plier à l’extrême le cou de Fujiko et couper la circulation sanguine par la même occasion, et Fujiko assez affaiblit pour sombrer dans le noir. Le pire étant que vapeur aphrodisiaque continuèrent à faire effet, fessant gémir doucement Fujiko, alors qu'elle mouillait.

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   Elle commençait lentement à reprendre ses esprits, et sentit vaguement des sensations sur sa peau, avant qu'un bruit de déchirement ce fasse entendre, en même temps qu'une forte sensation sur ses épaules qui la remit pleinement consciente. La lumière agressa ses yeux, ses membres étaient bloqués et l'air frais agressa sa peau dénudé. Fujiko paniqua rapidement en remarquant qu'elle était attacher, toujours sous l'emprise de l'aphrodisiaque et des phéromones, bien que plus faible, et surtout que la femme qui voulait la violer dans le parc, se tenait devant elle, finissant d'arracher ses vêtements. Et elle libérait sa grosse trique, et se mit en position.

-Non... nonnononon NON !!!!

   La femme s'enfonça d'un coup sec, pénétrant lourdement la vagin de Fujiko, bien trop étroit pour le gourdin, écartant brusquement les parois, déformant le vagin et le col de l'utérus, le traversant pour toucher le fond, déformant le corps de Fujiko, le pliant et déformant surtout son ventre, une bosse de plusieurs centimètre et d'un diamètre imposant sortant de ce dernier, où on pouvait sentir l'utérus au toucher, ainsi que la bite, qui former une bosse tout le long, visible et palpable. Et Fujiko respirait par à coup, aucun crie, pas un hurlement, la confusion et le plaisir se lisant sur son visage, aucune trace de douleur. Une femme aurait eu quelque organes touchées et les parois déchirées et le col du fémur brisé, mais Fujiko encaissa le coup sans douleur et blessure, grâce à son corps élastique.

-Pu.. putain... lâcha Fujiko. Aïe !

   Elle sentit une piqûre au niveau du cou, et l'injection d'un liquide. Fujiko blêmit, les larmes au yeux : de la drogue. Elles l'avaient droguées.

-Et merde... esp... espèce DE PETASSE !!! Hurla Fujiko, alors que ses nerfs se mirent à vif, décuplant les sensations reçu, ces zones érogènes ce mettant en ébullition.

   Elle se mit à rougir, à haleter, à respirer fort, à avoir envie, à souffrir, sous les sensations extrémes qu'elle ressentait, ses pulsions se dopant, ses vices commençant à harceler sa vision de fantasme obscène, d'image d'envies refoulées. Elle tombait presque en ahegao, son visage ravagé par ce plaisir forcé, se mettant à mouiller intensément. Et la femme commença à la culbuter, fracassant son bassin contre l'intimité de Fujiko, pilonnant avec une passion dévorante ce corps qui se déformait à l'envie sous ses coups de bélier, accueillant l'entièreté de sa queue, déformant le ventre, le vagin et l'utérus de Fujiko.

   Et cette dernière, ne pouvait que crier de plaisir, perdant prise avec cette drogue, déjà affaiblie par le pouvoir de sa bourreau, mais gardant une conscience de ce qu'elle subissait, mais ne pouvant que céder.

Chibi avait déjà fait un effort surnaturel en parvenant à tenir jusqu’ici. En transe, elle n’avait maintenant qu’une envie : besogner cette femme, soulager cette soif qui pulsait dans son corps, qui s’exprimait à hauteur de sa queue... Et c’est précisément ce qu’elle fit en pénétrant durement Fujiko. Malgré les hurlements et les jurons de la teigneuse lycéenne, celle-ci ne pouvait lutter contre la drogue circulant dans ses veines, une drogue qui mettait en exergue ses aspirations profondes. Chibi la prenait donc, tandis que Tsukino, tournant autour du duo, observait la scène. Fujiko n’avait plus qu’une paire de collants sur le corps, et Tsukino rajouta un ustensile supplémentaire, troquant son collier par un collier de chienne rose.

Entre Chibi, qui baisait fougueusement leur proie, et Tsukino, il y avait deux approches différentes. S’asseyant sur la table, sifflotant à moitié, Tsukino caressa d’une main le visage de Fujiko, remettant proprement quelques mèches de cheveux, et lui sourit doucement, avant de poser un doigt sur ses lèvres.

« Là, là, chut, comment donc peux-tu être aussi vulgaire, ma chérie ? Des mots si grossiers sortant de ta bouche, ça ne me plaît pas... »

Une voix très douce, tandis que Chibi gloussait sur place.

« Allons, hmmm... C’est une salope, alors, laisse-là s’exprimer comme telle !
 -  Tout de même, cela agresse mes chastes oreilles... »

Tsukino lui enfila ensuite un collier fait de perles, puis son collier de chienne, et admira le résultat avec un sourire ravi sur les lèvres. Pour le dire simplement, Fujiko était assez magnifique ! Ses joues avaient bien rougi, tandis que Chibi continuait à la bourrer. Elle enfonçait sa queue, tapant contre son col de l’utérus, allant jusqu’à provoquer une déformation de son estomac à son passage, gonflant et dégonflant l’estomac de Fujiko à chaque coup de reins. Au vu de la manière dont la jeune femme mouillait et réagissait à la solution, elle avait déjà subi, dans le passé, ce genre de choses. C’était là une réaction typique à ce genre d’exactions, aux viols en série pratiqués par des Terranides aux queues disproportionnées dans les cages à esclaves de Terra.

Souriant doucement, Tsukino se déplaça encore, mais resta proche de Fujiko, et pinça avec une main l’un de ses seins, tirant sur le téton.

« Esclave un jour... Pensais-tu vraiment pouvoir reprendre une vie normale, Fujiko-chan, alors que tout ton corps, tout ton être, aspire à cette domination ? Tu as goûté aux joies de la servitude, c’est ton inéluctable destinée... »

Tsukino ponctua cette phrase en caressant avec son autre main la joue de Fujiko, pendant que Chibi, imperturbable, témoignait de sa phénoménale endurance, pénétrant plus rudement encore la jeune femme. Elle ne lui accordait aucun moment de répit, offrant à Fujiko un rodéo terrible et épuisant.

   Qu'elle horrible sensation, que d'être consciente, et de ne rien pouvoir faire alors que son corps subissait les affres de la drogues, y répondant naturellement. À moitié tirailler par le plaisir et son désespoir, elle offrait un ahegao mêlant plaisir coupable et tristesse, témoignage qu'une partie d'elle se refusait à cette vie. Un plaisir forcé, lui rappelant de sombre jour et de sombre personnage. Elle avait subit pire que ce rodéo, mais son corps cherchant toujours à redevenir étroit, cette ruade était donc aussi terrible que sa première fois. Attachée et soumisse, Fujiko ne put rien faire, alors qu'on changea son collier pour chien pour un autre, plus coquet, en plus d'un collier de perle plutôt jolie et n'ayant plus que pour vêtement, des collants. Elle n'était plus qu'un jouet, une poupée soumisse à la volonté de ces terribles créatures.

   Entre deux gémissements, Fujiko parvenait à glisser de faible insulte en reprenant son souffle, glissant au mieux une œillade de haine, ressemblant plus à une tentative de résistance face à une drogue trop forte et des pulsions trop envahissante, sans parler du mastard la ravageant, aussi grosse que ça cuisse. Déjà qu'elle était plutôt menue, c'était une bonne idée de la taille de l'engin. La femme, qui lui avait mit son nouveau collier, tourna autour de la pauvre Fujiko, jusqu'à tirer sur un de ses tétons de sa poitrine inexistant, l'allongeant de plusieurs centimètres, comme un chewing-gum.

« Esclave un jour... Pensais-tu vraiment pouvoir reprendre une vie normale, Fujiko-chan, alors que tout ton corps, tout ton être, aspire à cette domination ? Tu as goûté aux joies de la servitude, c’est ton inéluctable destinée... »

   Une lueur apparue dans les yeux de Fujiko, une lueur de colère. Elle connaissait son passif, elle venait de ces monstres de l'autre monde. Fessant preuve d'un effort de volonté, elle reflua ses pulsions et le plaisir forcé de la drogue, reprenant ses esprits. Elle tira su bras pour se pencher vers son interlocutrice, pliant son épaule dans un angle qui aurait due le briser chez une personne normale, du fait qu'elle soit attacher, étendant son bras de quelque centimètre.

-Vas te faire sodomiser par trois trolls grognasses ! Souffla Fujiko, parlant en connaissance de cause. T'a fais que me droguer 'spèce de truite ! J'te jure que j'vais te sodomiser avec un marteau piqueur !

   En repensant à toute ces sévices subits, ces monstres et ces tortures, déformant son corps à l’extrême, par les coups ou la taille démesure des verges, ces litres de foutres et d'eau avaler pour gonfler,ou des jeux sadiques, Fujiko lâcha une larme de rage, parmis celle de tristesse et de désespoir. Elle tira sur son bras, cherchant à se libérer, son bras s'étirant, sa main se déformant de manière inquiétante. Et alors qu'on voulue la remettre en place, son bras se libéra, sa main glissant de son attache, partant comme une fusée, frappant la femme au ventre, avec assez de force pour la plier en deux. Elle avait suffisamment refouler ses pulsions et son corps qui se fessait bourrer, fessant preuve d'une force de volonté impressionnante, pour réfléchir un temps soit peu. Pour le moment son esprit se limitait à « tirer sur l'autre bras », déjà son corps commença à nouveau de céder.

Tsukino ne s’était pas attendue à ce que sa proie dispose d’autres pouvoirs que la téléportation, et eut ainsi une surprise quand elle vit le bras de Fujiko se transformer, et venir la frapper au ventre. Son bras devint élastique, mou, et se détacha de la sangle, avant d’aller la frapper au ventre. Un coup plus surprenant que douloureux, qui fit cligner Tsukino des yeux. Elle sourit ensuite doucement, mielleusement, et, nullement inquiète, nota juste que la femme avait visiblement la capacité de rendre son corps plus élastique. Mais, pour elle, difficile de se concentrer, car Chibi continuait à la baiser énergiquement. La queue massive de Chibi rentra d’ailleurs lourdement dans le sexe de Fujiko, déformant ses parois, formant une bosse à hauteur de son bas-ventre. Chibi n’avait même pas vu cette scène. Yeux clos, elle haletait, elle grognait, tout en continuant à baiser la jeune femme. Ses mains s’étaient posées sur ses hanches, et elle imposait un rythme de plus en plus soutenu, n’épargnant rien à sa proie.

« Han putain, bordel !! »

Fujiko continuait à haleter, et se mit même à hurler, tant la douleur devait croître en elle. Tsukino, quant à elle, se rapprocha encore de la femme, et récupéra son bras, qui avait retrouvé sa dureté naturelle, puis le remit tant bien que mal contre la sangle, et appuya ensuite sur un bouton. Au lieu d’avoir une simple sangle, d’autres sangles apparurent alors sur les deux bras, les enfermant finalement dans des sortes de bras métalliques remontant jusqu’aux épaules.

La jeune lycéenne avait beau se débattre, elle était comme un poisson hors de l’eau, incapable de repousser les deux F-Girls. Chibi grognait encore, tandis que Tsukino commentait cela.

« Tu disposes de plus de talents que je ne le pensais, Fujiko… Mais ça ne fait rien, ma belle. Au bout du compte, tu finiras comme toutes nos esclaves. »

Le dressage par le sexe intense était une chose redoutable, car le sexe avait une capacité indéniable d’aliénation, un pouvoir de faire oublier tout ce que vous étiez au profit d’un plaisir préhistorique et sauvage. Mais, dans le cas de Fujiko, Tsukino allait mettre toutes les chances de son côté. Les capteurs témoignaient du plaisir que Fujiko commençait à ressentir, ce qui fut pour Tsukino l’occasion de lui injecter une nouvelle substance, en plantant une seringue dans son cou. La seringue répandit un liquide verdâtre, tandis que Tsukino avait sur les lèvres un sourire pervers, qui était tout, sauf encourageant.

« Ce liquide va t’empêcher de jouir, ma chérie… Chibi a beau être impatiente, crois-moi, elle ne va pas jouir si rapidement… Et ensuite, ce sera à mon tour ! Tu vois, ma belle ? Tu ne peux pas lutter contre l’inéluctable. Le plaisir va croître en toi… »

Tsukino se déplaça encore, et récupéra un autre produit, une sorte de flacon noirâtre.

« Il  va aussi falloir que je m’occupe de tes seins, ils sont bien trop petits pour ton corps… »

La F-Girl revint vers elle, et ouvrit le flacon, puis répandit sur ses seins ce liquide noir, une sorte de slime qui se colla à ses seins. Elle prit son temps, consciente que Fujiko ne pouvait plus se débattre.

« Tes seins vont grossir au fur et à mesure que le plaisir va se diffuser en toi, je suis curieuse de voir jusqu’à quel point ils vont grossir… »

Et la torture sexuelle continuait !