Soirée privée [PV]

La lune est clairement visible dans le ciel au-dessus de la forêt de laquelle sortent deux femmes blondes. L'une est plus âgée que l'autre de quelques années même si on remarque clairement qu'un lien de parenté les unis. Toutes les deux portent une tenue affriolante qui ne laisse planer aucun doute sur la façon dont elles désirent passer leur soirée. Elles sont chaudes et il ne suffirait qu'une étincelle pour les faire exploser. Jenny, la mère, porte un un haut violet qui dévoile entièrement son dos et une partie de sa généreuse poitrine ainsi qu'une minuscule jupe jupe qui ne cache qu'une partie de son derrière rebondi et potelé. Ses cheveux sont soigneusement coiffés sous la forme d'une queue de cheval et d'une mèche qui lui tombe sur la gauche du visage. Sa chère et entendre fille, Kitty, n'est pas en reste avec un uniforme scolaire coquin qui aurait plus sa place dans un film porno que dans une soirée d'Halloween. Sauf si on parle d'une soirée arrosée et uniquement constituée d'adultes. Ses jolies et adorables couettes lui procurent un effet innocent.

« M'Man, t'es sûre que la soirée est organisée ici ? Parce que je vais pas pouvoir me retenir autrement. »

Tout en discutant avec sa mère, Kitty se mord les lèvres en se passant une main sous sa jupe. Elle en retire deux doigts humide qu'elle porte à sa bouche pour les lécher. L'envie dégouline de son regard. Elle veut se faire prendre, ici et maintenant.

« Mmmmn ! J'ai pas touché une bite depuis une semaine. C'était ta condition pour m'emmener avec toi. »

« Retiens-toi un peu, ma chérie. Et pour te répondre, oui, c'est bien dans cet hôpital isolé qu'aura lieu la soirée. Mon information est sûre. »

Un sourire coquin, la pulpeuse mère de famille emboite le pas et s'avance jusqu'aux portes de verre qui servent d'entrée à cet immense bâtisse qui semble vide depuis l'extérieur. Cela ne les arrêtera pas car elles sont venues rencontrer une de leurs nouvelle idole : le docteur Caldo. Les films amateurs de qualité au Japon qui mettent en vedette des femmes à pénis ne sont pas nombreux. Et la grande majorité sont des fakes. Qui aime se toucher devant une femme équipée d'accessoire et de faux sperme quand on peut en avoir une vraie ? Kitty, incapable de se retenir lance d'ailleurs le sujet.

« J'arrive pas à oublier ce film dans lequel elle a tourné avec Magdalena. Je suis pas branché porno en général, mais là... Putain ! »

Kitty risque de s'arracher une lèvre si les deux femmes n'arrivent pas rapidement à destination. Dans sa tête défilent les image du porno amateur où apparaissent Magdalena et Caldo la femme au pénis surdimensionné. Elle s'imagine à la place de Magdalena, se faisant dévorer les seins, s'empalant sur cette énorme verge dans diverses positions...
De la bave lui coule des lèvres sans qu'elle ne le remarque.

« Kitty, ton lang... Ah ! Chuuuut ! » Les deux jeunes femmes, après avoir visité plusieurs étages de l’hôpital et qui étaient sur le point de perdre espoirs entendent des gémissement au loin. L'info était bonne et elles sont sur le point de le vérifier.

« Ma chérie, ta patience sera récompensée ce soir. Prépare toi à passer une nuit inoubliable. »

Sans aucune hésitation dans ses gestes, Jenny attrape la main de sa fille et fonce vers la source de ces sons.

Il est rare que des soirées s'organisent dans des hôpitaux ou d'autres établissements médicales, plus souvent, c'est en dehors qu'au sein de ceux-ci, réputation oblige. Mais qu'est-ce qui est normal à Seikusu ? Rien, surtout pour ma clinique aux mille secrets, comme j'aime l'entendre.

C'est le cas de cette nuit, une soirée spéciale que j'ai organisée moi-même pour fêter les deux ans de l'établissement. Une fête banale pour le commun des mortels, mais une occasion rêvée pour que la démone que je suis puisse souiller d'avantage d'humains. J'ai même fait en sorte d'inviter les plus belles femmes de mes connaissances pour qu'elles puissent connaître la véritable Luxure grâce à mes démons insatiables, les serviteurs d'une princesse sadique et perverse.

La pièce où sont prévues les festivités se trouve tout au fond de l'hôpital, dans les sous-sols même, loin des oreilles des patients. Enfin, sauf quand on s'y approche par les escaliers, on peut entendre certains gémissements qui prouvent bien que les invitées sont en train de connaître le vrai sens du mot "plaisir".

Alors que les femmes invitées se font souiller par tout mes démons, je suis assise sur un trône, en plein milieu de cette orgie, complétement nue et ma trique dressée à son maximum, logée entre mes gros seins. L'odeur de foutre m'enivrant, enrobant cette pièce aux lumières rouges tamisés, l'ambiance sonore me nourrissant, des claquements de peaux, des hurlements de chiennes en extase, accompagnés des grognements bestiaux et paroles salaces des démons.

Toutes ces auras perverses me nourrissent et me comblent sans qu'on ne me touche. Cependant, une sensation me fait revenir de cette transe que je raffole, me faisant regarder la porte d'entrée directement avec un sourire pervers, sentant de la grande perversion s'approcher de nous.

La porte s'ouvre et laisse place à deux belles blondes aux atouts généreux et des auras de traînées comme les humains savent faire de mieux. D'ailleurs, ces deux femmes tombent, directement sur un minotaure qui sodomise une brune à lunettes en la tenant dans ses bras. Son corps penché en arrière alors qu'il la tient par le cul, rien qu'en regardant les bourses de ce monstre, on ne peut qu'imaginer la bite qui est loger en cette femme, qui demande toujours plus.

Je me lèche les lèvres en matant les deux blondes, dont je sens qu'elles sont sur le point de craquer et de se jeter dans cette orgie. Chaque pas qu'elles font, remet plus de spermes sur leurs chaussures. Elles peuvent se dire qu'elles sont dans un rêve et c'est le cas, un rêve bien réel ou un paradis pour les salopes tels que ces deux femmes.

Tiens, tiens.... Ne seraient-ce pas deux intrus dans ma soirée privée ?

La porte se referme violement et se verrouille sans que personne n'y touche. Mon sourire s'étend tandis qu'on se matte toutes les trois.

J'allais vous dire que c'est dommage pour vous car vous êtes piégées avec moi jusqu'à ce que je décide quand est ce que vous pourriez partir, mais...

Mon regard se pose sur la fille, caressant toutes les courbes de son corps rien qu'avec mes yeux. Ceux-ci deviennent de plus en plus envoûtant envers elle alors que je fais subir pareille à la mère juste après.

Mais pour vous... c'est plutôt "heureusement", n'est ce pas ?

Les sons et les lumières sont désormais clairement visibles devant elle et proviennent d'une grande pièce. On peut entendre les râles de plaisir et les chairs qui s'entrechoquent à des mètres de distance. Il n'y a nulle doute sur ce qu'il se passe là-bas. Cela n'empêche pourtant pas les deux blondes d'avancer dans sa direction, ignorant ce qu'elles sont sur le point de découvrir.
Plus calme que sa fille, Jenny prend les devants et se penche pour jeter un œil au spectacle pervers et lubrique au possible qui se joue sous ses yeux ébahis. Beaucoup de femmes seraient choquées ou écœurées en voyant cela, mais pas elle. Prendre et donner du plaisir est l'un des seuls bonheur de son existence. Bonheur qu'elle partage avec sa fille chérie qui est toute aussi cochonne qu'elle une fois lancée.

Dans cette immense pièce où des créatures que l'on ne trouve généralement que dans les livres ou films de récits fantastiques tringlent brutalement des femmes qui expriment leur plaisir sous les jurons de leurs amants se trouve un siège ressemblant à un trône. Y siège dessus une femme aux formes généreuses et à l'organe masculin presque aussi volumineux qu'elle. Même si ce membre défiant les lois de la nature attire leur regard un temps, une ombre les pousse à diriger leur attention ailleurs.
Un minotaure est en train d'enculer sauvagement et sans répit une pauvre petite brunette à lunettes avec les poings en l'air que tient la créature imposante. Le seul support qui l'a maintient suspendue en l'air est l'appendice surdimensionné et couvert de veines de ce monstre. Les testicules de la bête sauvage sont chacun aussi gros que la taille de sa partenaire... ou victime. A en juger par le sentiment d'extase qui déforme son visage, la jeune femme n'est pas du tout forcée à pratiquer cette sodomie bestiale.

« M'Man, regarde là se faire détruire le cul par cette bête. Et ces couilles ! T'as vu ces couilles ? Il va lui cracher dedans tellement fort que le sperme va lui ressortir par la bouche. »

« Kitty, moins fort ! Et arrête de pous- Aaah ! »

Sous la pression des mouvements de Kitty qui a de plus en plus de mal à se contrôler, les deux femmes entrent dans la pièce. A ce même instant, la porte qui se trouve dans leur dos se claque toute seule. Comme si un sort a été jeté dessus ou que quelqu'un est en mesure de la contrôler à distance. Comme hypnotisées, les deux femmes s'avancent vers le milieu de la pièce en direction du trône. Des giclées plus ou moins conséquentes de sperme et de cyprine viennent éclabousser leurs chaussures et leurs chevilles à chaque pas qu'elles effectuent sans que cela ne les dérange. Elles sentent une chaleur monter au plus profond de leur être alors qu'elles n'ont encore rien fait du tout. La vue de ces corps en transe, plongés dans la luxure et les fluides corporels a un effet dévastateur sur leur état mental. Elles se sentent... différentes, comme si tout leur était possible. La femme au pénis est la première à prendre la parole.

J'allais vous dire que c'est dommage pour vous car vous êtes piégées avec moi jusqu'à ce que je décide quand est ce que vous pourriez partir, mais...
Mais pour vous... c'est plutôt "heureusement", n'est ce pas ?

Tout en regardant Kitty qu'elle déshabille du regard avec envie. Elle ne laisse pas sa plantureuse mère en reste qui a déjà une main dans sa jupe pendant qu'elle se mord la lèvre à s'en saigner. La plus perverse et cochonne des deux femmes est clairement la mère derrière son comportement propre sur elle en général. Kitty, elle, est plus impulsive et mignonne.

« Bonsou-Aaaaah ! Bonsoir, docteur Caldo ! Une amie à moi m'a parlé de votre soirée avant de nous montrer votre vidéo avec Magdalen-Nnnnn ! Magdalena Takao. »

L'excitation est palpable chez la mère de famille qui essaie de formuler des phrases complètes tout en continuant de se mordre la lève tout en enfonçant aussi profondément que possible ses doigts au fond de son intimité chaude et humide.

« Ma fille et moi avons plusieurs fois regardé votre vidéo... ensemble. Nous avons déjà tourné avec les hommes les mieux membrés du porno, sauf qu'aucun ne vous égale. »

Alors que sa mère essaie d'expliquer sa situation à la belle femme à la longue chevelure rose et une aura entourée de mystère, Kitty est déjà à genoux en train de baver devant son membre.

« M'man, regarde ! C'est une vraie bite ! Regarde sa taille ! Regarde toutes ces veines, elles sont aussi épaisses que mon petit doigt.
Je peux la lécher ? Juste un peu ? Pitié, j'ai pas baisé depuis une semaine ! »

Tremblant de tout son être à la vue de cette énorme organe, Kitty parvient tant bien que mal à se contrôler. Sa respiration s'accélère, comme ses doigts sous sa petite jupe. Ses yeux sont grands ouverts dans un mélange d'admiration, de crainte et de désir. Incapable de détacher son attention de cette masse indescriptible qui lui fait face.
Elle ne pourra jamais pratiquer une fellation à ce morceau  de viande, elle le sait, pourtant elle ne peut pas s'empêcher d'en avoir envie. Envie de ses sentir ses lèvres et ses dents sur ce gland caoutchouteux. Envie de frotter ses énormes seins dessus. Envie de laisser ses douces mains redessiner l'ensemble de ses veines. Avant de la laisser lui faire tout un tas de choses bien plus excitantes et dégradantes. Profiter de ce sexe et voir ce qu'elle peut en obtenir avant de se faire passer littéralement dessus et de se faire souiller est comme un challenge à ses yeux.

Jenny aussi a envie de se faire malmener, presque autant qu'elle ne désire donner du plaisir à la femme avec qui elle parle.  Son propre plaisir passe par celui-ci de ses partenaires, quitte à se mettre dans des positions parfois folle pour y parvenir. Alors qu'elle reste calme en apparence, de longs filets de cyprine coulent d'entre ses jambes pour éclabousser le sol à ses pieds déjà recouverts de diverses subtsances.


Comment va se dérouler cette soirée pour nos deux bimbos en chaleur ?

Un frisson me parcourt la peau, assez puissant, la perversité que dégagent les deux femmes me font réagir au centuple. Mes yeux ne cessant de les déshabiller tandis que ma verge pulse d'envie à leur égard, mais je m'arrête un instant sur Jenny, affichant un sourire pervers sur celle-ci.

Dit moi, tu comptes faire semblant longtemps ? Tu n'es pas détendue en te retenant ainsi.

Je pousse un fin rire amusé avant de me lever lentement, approchant de la fille à genoux très sensuellement. Le bout de mes ongles griffant doucement la chair de mes hanches, fait pour enfanter, et remontant pour dessiner le contour de ma lourde poitrine, pointant d'envie salace et monstrueux.

Alors que j'arrive face à Kitty, dont je caresse sa chevelure dorée, lui présentant ma trique devant son visage lubrique, je dépose un tendre baiser sur le coin des lèvres de Jenny pendant que mon autre main lui arrache son violet, libérant sa grosse poitrine de ce tissu excitant.

Voilà qui est bien mieux, une tenue meilleure pour toi. Aimes-tu voir ta fille dans cet état, qu'elle soit aussi salope rien que pour ma bite qui vous rend si... bouillante ?

Je viens à l'oreille de Jenny, lui murmurant sensuellement, pendant que ma main libre se glisse sous la jupe de celle-ci, lui empoignant le cul dans un claquement brut, mon majeur s'enfonçant dans son petit trou étroit pour la doigté allégrement.

D'ailleurs, comblé, une princesse équivaut à une récompense. Si vous y parvenez, vous porterez tout deux mes enfants... ce qui veut dire que je viendrais très souvent vous voir pour mieux vous remplir.

Aprés ces paroles sensuelles, je lui mordille le lobe alors que j'approche Kitty de ma verge, lui collant ses lévres pulpeuse à la base. Je lui autorise clairement à me la goûter pendant que je chauffe d'avantage sa mère en lui léchant le cou, posant quelques morsures dessus avant de saisir une de ses grosses mamelles pour le pétrir ardemment.

Pour ce qui est de votre amie qui vous a conseillé de venir ici, je vous dirai de regarder... Sur le coté gauche du trône..

En effet, leur amie, bien qu'elle soit sûrement perverse, se retrouve dans une situation plutôt délicate et digne d'un gang-bang des Enfers. Elle est entourée d'une quinzaine de créatures, plus massives les unes que les autres, suçant deux à tour de rôle tout en se faisant engrosser par les autres. Brutaliser, remplis comme couvertes de foutre, on ne sait depuis combien de temps elle est là, mais cela fait certainement un moment et, son visage étant en ahegao, elle n'est plus dans la réalité, l'esprit brisé.

Pendant que la mère regarde et, peut-être la fille, je leur tends une pilule chacune, d'un rose vif. Deux toutes petites boules qui paraissent inoffensives, mais vu que c'est moi qui les ai fait à partir de mon sang.

Prenez ceci et les choses vont commencer directement. Il s'agit d'un aphrodisiaque très puissant pour libérer son esprit..

Ces pilules varient selon les personnes et les aura de ceux-ci. Plus la personne a peu d'envie sexuel, plus elle devient nymphomane. Par contre, plus elle est perverse, plus ses pensées sont tournés que vers le cul et "déverrouille" leur véritable potentiel sexuel. Cela risque d'être très vite hard avec ces deux blondes dont leur fantasme est ma personne, un bon "viol" consentant pour ma part.

La créature étrange qu'est le docteur Caldo quitte alors son trôle pour s'approcher des deux jeunes femmes. Son énorme phallus est toujours aussi proche du visage de Kitty, sauf que celle-ci se retrouve avec la main de l'autre femme sans sa chevelure pendant qu'elle arrache le haut de sa mère d'un seul geste.

« Kyaaaa ! » couine la blonde, d'une manière si innocente pour son âge. Elle ne devait pas s'attendre à ça. Son énorme poitrine se met à rebondir sous le geste de sa partenaire du soir.

« Oui, Kitty et moi aimons prendre du plaisir ensemble avec les même partenaires parfois. La voir à l’œuvre contribue souvent à ma propre excitation. »

Sa phrase à peine terminée, une autre surprise lui arrache un gémissement. « Mnnnnnn... » Le majeur de Caldo vient de s'enfoncer dans son rectum sans aucune forme d'avertissement. Même si l'anal n'a plus de secret pour elle aujourd'hui entre la sodomie et la double pénétration qu'elle pratique régulièrement, sa rondelle reste encore parfaitement serrée pour offrir du plaisir à ceux qui veulent en profiter.

Le passage sur le fait de tomber enceinte la choque, surprend, même fait assez peur. Elle ne tient pas à tomber enceinte, surtout d'une femme avec un pénis. Comment expliquer aux gens, à son mari en particulier, si elle met au monde un garçon qui aurait la même particularité physique que Caldo ? Car son mari ne faisait qu'un petit 10cm en pleine érection. Mais la partie où ce cher docteur viendrait les remplir de sperme atténua la chose. L'excitant même terriblement. Sentir sa main sur son gros sein, titillant son téton légèrement dressé en le pinçant par moment a raison de son hésitation petit à petit.

Kitty, elle, est toujours à genoux devant Caldo en attendant de pouvoir se mettre à l’œuvre. Perdue dans son propre plaisir à se caresser la poitrine d'une main pendant que celle qui redessinait les veines de la grosse verge était maintenant dans son intimité, elle sent quelque chose de lourd sur ses lèvres. Caldo venait d'y presser légèrement son gland, comme pour lui donner son accord de jouer avec. Les yeux pleins d'étoiles, son souffle se fait de plus en plus lourd pendant que de la bave coule d'entre ses lèvres alors que sa bouche est légèrement entrouverte d'excitation. Elle veut sa bite, elle veut se faire ouvrir la gorge par cet énorme appendice. Sauf qu'elle a également peur de ce qui pourrait se passer si elle se laisser aller à le sucer.
Ces deux sentiments s'affrontent en elle...

Alors que la futanari leur indique la présence de leur amie qui est déjà recouverte du sperme de la bonne dizaine de créature qui continue de la baiser par tous les trous débordant de liquide blanchâtre, elle leur donne une pilule rose à avaler. Celle-ci est censée les libérer de toutes leurs craintes et appréhension. Vu le nombres de créatures fantastiques qui sont présentes ici en plus de leurs verges qui défient les lois de la nature, un petit plus ne pourrait pas faire de mal pour les détendre, pensent-elles. Les deux femmes avalent alors le petit bonbon en même temps. Puis... vient l'explosion ! Une explosion de chaleur qui les dévore de l'intérieur.

« Aaaaaah ! », « Mnnnnn ! », un puissant orgasme prend les deux femmes qui se mettent à jouir si fort qu'une flaque de mouille se forme entre les pieds de Kenny et les cuisses de Kitty qui était à genoux devant Caldo. Elles ignorent de quoi étaient composés ces pilules, mais ses effets sont réels. Jenny se tourne alors vers Caldo pour l'embrasser à pleine bouche en lui pinçant le téton aussi fort qu'elle peut en frottant sla paume de son autre main sur son gland. Elle le frotte alors avec frénésie pendant plusieurs secondes jusqu'à provoquer l'apparition de son liquide pré-éjaculatoire. Ses doigts alors le relai pour récupérer cette substance légèrement blanchâtre et l'essuie sur le mamelon de Caldo avant de venir le nettoyer avec sa langue. Goulument, sa bouche s'approche de ce superbe gobe de chair ferme et le suçote une fois à son contact. « Mnnnn ! »
Elle continue alors encore plusieurs secondes avant de rejoindre sa fille qui se contentait de caresser cette longue colonne de chair.

« M'man, on lui montre notre technique ? », « Oui, ma chérie, je suis sûre qu'elle va adorer. », « Génial, je prends la gauche !».

Les deux femmes, désormais à genoux devant leur partenaire approchent doucement leurs visages de cette verge. Chacune de leur côté, parfaitement synchrone...  elles l'hument à pleine narines dans un premier temps. Puis y déposent un baisir exactement au même endroit mais de chaque côté. La précision chirurgicale de leurs mouvements est troublante. Elles ne mentaient pas quand elles disaient prendre du plaisir ensemble avec le même amant et elles le prouvent à la futanari qui adore ce qu'elle voit.

Les deux blondes lèvent alors les yeux, toujours en même temps, pour croiser le regard de leur partenaire avant de laisser glisser leurs langues le long de se hampe pour finir chacune sur une de ses couilles. La langue déjà bien gluante, elles lèchent d'abord ces deux gros sacs de sperme pour les recouvrir de salive avant de commencer à les sucer en les prenant dans leurs bouches quelques secondes. Puis les recrachent en laissant échapper un PFWAAAA !, puis recommencent. Ces grosses boules sont d'ailleurs brûlantes et leur font un peu mal à la langue, mais elles ne ressentent pas de douleur. La sensation de douleur est là, mais semble bloquée. Poussées par un sentiment d'euphorie et d'invincibilité, elles continuent leur besogne en tirant cette fois sur les couilles pendantes de Caldo en maintenant toujours leurs regards dans le sien pour jauger ses réactions.

À peine cette drogue surnaturelle gobée, la situation dérape en ma faveur, causant un puissant orgasme sur les deux blondes en rut. Rien que l'odeur de la cyprine, mêler à leurs cris d'extase, me rende folle et l'envie de les briser monte à grande vitesse. Elles ne sont pas prêtes de partir d'ici et loin de se séparer de moi.

Je n'ai même pas le temps de dire quoi que ce soit, mes lèvres se faisant agressées par les pulpeuses de Jenny dans un baiser sauvage et brûlant de Passion. Cette étreinte m'empêche de gémir à pleine voix quand elle me pince douloureusement mon téton dur et rosée, ce qui fait bien ressortir mon coté masochiste et mouiller mon intimité, encore caché par mes testicules.

Je suis ravie et bien chaude à présent, au point où du pré-sperme sort déjà de mon gland, recouvrant allégrement les doigts de la mère qui me lave le sein. La perversité de cette action me rend d'avantage bouillante de désir, mais elles n'en ont pas finis de me mettre dans tout mes états. Je n'ai même plus le temps de perdre pied qu'elles sont toutes deux à genoux, discutant d'une technique propre à elles.

Une technique ? Mmmmh... Vous êtes aussi intéressantes que... bandantes... Han !

Des frissons parcourent ma peau d'un coup, je ne perds pas une miette de ce qu'elles me font avec une synchronisation de rêve pour tous membres virils, je ne peux même pas me retenir de gémir fortement quand elles me sucent les couilles et sursauter à chaque fois qu'elles relâchent ceux-ci brusquement.

Mon bassin commence à se mouvoir sensuellement, dû au plaisir qu'on m'offre, mes mains s'accrochant à leurs chevelures pour les faire continuer leur traitement pervers. Pendant plusieurs minutes, elle les laisse faire, les regardant à tour de rôle, réfléchissant à qui va prendre la première.

Soudain, mon regard s'arrête sur Kitty et, entre des gémissements sensuels, je craque, relevant Jenny d'un coup pour lui faire s'asseoir sèchement sur mon trône tandis que je mets Kitty à quatre pattes. Une position étrange, peut on se dire au début, mais plus compréhensible quand je me mets sur un genou, le buste face à Jenny et le bassin à Kitty, prenant la peine de placer les jambes de la mère sur les accoudoirs, m'ouvrant un accès à cette chatte dégoulinante.

J'espère que ta chatte est tout aussi délicieuse que tes lèvres et que ta fille sait tout aussi bien gober de la bite comme elle mouille telle une chienne.

Je crache sur la chatte de Jenny, amenant Kitty à avaler ma verge en la tenant par les cheveux pour pénétré lentement sa gueule jusqu'à la garde avant de la laisser montrer ses talents. Pendant ce temps, j'entretiens cette vulve trempée avec des coups de langue rapides sur ces lèvres délicieuses avant de remonter pour englober son clito et le sucer fortement, secouant ma tête, tout en enfonçant brusquement mon majeur dans son cul.

Mes yeux bleus ne lâchent pas ceux de Jenny, mes pupilles sont entièrement dilatées depuis que j'ai goûté à sa mouille, j'en bave même d'avantage. En une fraction de seconde, je change totalement de tactique, ouvrant grand la gueule pour entourer toute la chatte et l'aspirer en mode ventouse, secouant et tirant ma tête pour accentuer les effets.

Alors que je suis bien subjugué par cette chatte délicieuse, Kitty ne semble pas me laisser de répit, me faisant gémir puissamment malgré que ce soit étouffer. Elles sont extrêmement douées pour arriver à me mettre dans tous mes états en si peu de temps, mais il est temps de le faire hurler et qui de mieux que Jenny pour commencer. Tandis que je lui suce la chatte comme une gourmande, baveuse et experte, et j'en rajoute une couche en y enfonçant ma langue serpentine dedans, me mettant à la baiser avec sans ménagement, tournoyant, allant et venant frénétiquement tout en buvant la mouille qui s'amasse dans ma mâchoire.

Une grande majorité d'hommes aime quand une femme se soumet à leur seul et unique plaisir avant d'aller plus loin. Bien entendu, beaucoup préfèrent imposer cette sensation de domination afin de se sentir plus viril, plus puissant et capable de pousser la femme qui partage ce moment avec eux à faire tout ce dont ils ont envie sans qu'elle ne râle ou peste. Grâce à leur longue et fructueuse expérience sur plusieurs années, les deux blondes ont fini par découvrir que même si masser les testicules d'un homme ne lui procurera pas forcément du plaisir, ce geste alimentera cependant ce sentiment de supériorité vis à vis de sa partenaire. Alors avoir deux femmes qui se mettent à votre service en jouant avec des bourses décuple cette sensation de façon exponentielle. Certains de leurs anciens partenaires se sentaient même pousser des ailes lorsque la mère et la fille partageaient un même homme. Alors pourquoi cela serait différent chez Caldo ? Son anatomie a beau être particulière, certains aspects de l'esprit humain ne changent pas.

En plus de faire grimper l'excitation de leur partenaire, les deux salopes en chaleur qui remuaient le cul en gobant chacune une couille assez volumineuse pour remplir leur bouche, prenaient du plaisir dans ce genre de pratique. Elles aiment le sperme, que cela soit après qu'un homme se soulage en elles ou qu'un autre les recouvre de cette substance visqueuse et chaude. Alors titiller les couilles qui vont les fournir en liquide blanchâtre dont elles ne peuvent se passer est la moindre des choses à leurs yeux.

Les divers bruits de succion et autres gémissements indiquaient qu'elles prenaient autant de plaisir à avaler et recracher ses énormes boulettes de viande. Un traitement délicieux dont elle se délectaient durant plusieurs minutes avant que Caldo ne plonge son regard dans celui de Kitty qui en faisait autant dans l'autre sens. Celle-ci s'attendait... Espérait être choisie pour se faire prendre la première car c'était son unique objectif. Son corps entier la brûlait, bien plus que d'habitude. Probablement suite à l'ingestion de cette pilule magique. Et la plus jeune était sur le point de se faire baiser, mais pas de la manière désirée.

Caldo attrapa Jenny pour la faire monter sur son trône les cuisses écartées, chacune posée sur un des accoudoir. Comme si elle était en plein rendez-vous chez le gynécologue. La mère ne se sentait pas très à l'aise car elle ne savait pas ce qui l'attendait, même si se faire prendre sauvagement de cette façon ne l'aurait nullement dérangée. Un plaisir dont elle devra se passer momentanément.

« Docteur Caldo, que faites-vous ? Je ne sais pas si je... Aaaaaaahn ! Oh seigneur ! Ce que c'est bon ! »

Caldo se mit à cracher sur la chatte déjà humide de sa partenaire. Un geste si simple qui avait pourtant pour effet d'exciter plus qu'à l'accoutumée la mère de famille en chaleur dont l'abstinence et la pilule rose rendaient folle.

« Aucun homme n'a critiqué mon minou jusqu'à maintenant. Mais n'hésitez pas à le goûter pour le découvrir. Pareil pour Kitty, elle n'a jamais dit non à une bite, même trop grosse pour elle à première vue. »

Alors que sa propre mère prenait ses aises sur le trône en gémissant fort suite aux caresses buccales de Caldo qui commençait à lui dévorer la moule, celle-ci se faisait mettre en position pour bouffer littéralement le sexe surdimensionné de sa maîtresse d'un soir. Un sexe beaucoup trop gros pour sa bouche et sa gorge d'ailleurs car elle eut beaucoup de mal à s'y adapter.

« Mmmfffff ! Pfwaaa ! Bien sûr que je peux gober ta bite ! Trois mecs m'ont déjà fait avaler leurs triques ensemble car je le leur ai demandé de le faire. Il faut juste que... tu m'aides ! Aide-moi à bouffer ta queue dégueulasse ! »

La bite volumineuse s'enfonça difficilement dans la gorge de Kitty alors que Caldo semblait tirer de toutes ses forces sur sa crinière blonde. Que sa partenaire s'étouffe au bout de sa longue trique ne semblait pas la déranger... Ou alors elle était trop absorbé pour le remarquer vu qu'elle devait offrir son attention à deux nymphomanes en chaleur comme rarement dans leur vie. Jenny hurlait son plaisir en tenant ses cuisses écartées avec ses mains pendant un cunnilingus mémorable. Ce préliminaire basique l'excitait déjà assez pour lui provoquer un orgasme si ce plaisir devait durer sur plusieurs minutes. Un orgasme qui fut encore plus difficile à retenir quand le majeur long et fin de sa partenaire s'inséra brutalement dans son fondement.

« Kuuuuh ! Pas mon cul ! Pas sans prévenir ! Vous allez me faire jouir ! Stoooopp ! Je vais devenir folle ! »

Son corps tenait difficilement en place sur le trône, conservant son équilibre uniquement grâce à la tête de Caldo qui lui broutait le gazon comme une morte de faim. Alternant entre léchouilles et puissantes aspirations sur ses lèvres et son bouton gonflé. Jenny n'a jamais été une femme fontaine et pourtant sa chatte ressemblait plus à un robinet ouvert incapable de se refermer qu'à un vagin. Garder le contact visuel tenait plus de la torture qu'autre chose. Chaque millimètre de sa peau la démangeait, demandait à être caressée, léchée, sucée.

Plus bas, Kitty continuait sa besogne en avalant cette énorme queue qui lui déformait la gorge sans répit. Des deux, Kitty était connue pour être la meilleure dans le domaine de la fellation. Que cela soit pour sa technique de langue ou sa capacité à avaler des queues de toutes les tailles et épaisseurs. Sucer ne lui procure que peu de plaisir, préférant avaler du sperme ou s'en faire asperger le visage. Sentir ce liquide lourd et chaud sur son visage quand la quantité est là.
La petite pute insolente et vulgaire n'avait pas la possibilité de parler entre les coups de hanches brutaux, les tirages de cheveux et le fait qu'elle toussait sur cette bite à chaque fois qu'elle tentait de reprendre sa respiration. Caldo se moquait bien de son état après tout. Ce n'était de toute façon qu'une question de temps avant qu'elle ne soit en état de sucer cette sadique sans avoir besoin de son aide. Un délai qui se réduisait à chaque seconde car voilà qu'elle parvenait à s'enfoncer le visage si fort sur cette queue pendant que le bassin de l'hermaphrodite ondulait car ses couilles venaient s'écraser sans son coup dans de vulgaires bruitages humides.

« Qu'est-ce que c'est ? Non, ce n'est pas une langue ! Aaaaah ! »

Alors que sa fille se fait bourrer la tête par leur unique partenaire, Jenny enchaînait les orgasmes plus haut. Elle en avait même oublié qu'elles étaient deux, le plaisir occupant l'intégralité de son esprit. La chose qui se promenait dans sa chatte tenait plus du tentacule que de la langue.

« Vous allez me faire jouir ! Putain ! Je jouis encore et encore ! Pourquoi ? Je n'ai jamais ressenti ça avant ! »

Complètement en transe, incapable de réfléchir, les mains de Jenny lâchent ses cuisses pour se saisir de la tignasse de Caldo et la forcer à faire pareil qu'avec sa fille. Toutes ses forces étaient réunis dans ses doigts pendant qu'elle pressait sur son crâne avant un dernier orgasme qui fit jaillir une énorme quantité de mouille en l'air.

« Aaaaaaaah ! Putaaaiiiinnn ! Ma chatte me brûle ! »

Sous l'effet de la prise de sa mère, Kitty se retrouva aussi dans une mauvaise posture car la bite qu'elle aspirait et nettoyait sur toute la longueur en la bouffant et mordillant par moment se mit à gonfler d'un coup sec dans sa gorge. A un tel point qu'elle aurait pu déformer définitivement la pauvre adolescente si elle n'avait pas l'habitude de morceaux de ce calibre.