An American Family [PV]

Ashley Sanders était très impatiente à l’idée de revoir son grand-père, Michael Sanders. La mère d’Ashley, Rebecca, avait élevé seule sa fille, sans jamais vraiment lui dire ce qui était arrivé à son père. Ashley avait ainsi passé ses premières années à la ferme de Grand-Père, une petite ferme perdue dans l’Iowa. Sa mère et elle vivaient à la capitale de l’Iowa, Des Moines, et il leur fallait quelques heures pour rejoindre la ferme. Papy, comme l’appelait simplement Ashley, tenait une exploitation agricole où Ashley avait grandi, avant de rejoindre Des Moines pour le travail. Elle avait emmené Ashley avec elle, mais, à défaut d’un véritable père, Ashley avait toujours vu en Papy un substitut paternel. De plus, elle aimait beaucoup la vie à la campagne, et y allait donc régulièrement, et presque toujours lors des vacances scolaires.

Du haut de ses seize ans, Ashley avait donc rejoint Papy pour les vacances de Noël. Elles allaient fêter Noël avec Papy, ce qui ravissait beaucoup Ashley ! Mais, avant ça, Rebecca devait rester encore à Des Moines, où elle avait beaucoup d’heures supplémentaires à son travail. Ashley n’était toutefois nullement inquiète, et avait donc pris le bus depuis Des Moines jusqu’à la plus proche gare routière de la ferme de Papy, qui la reçut dans son pick-up. Elle lui raconta le contenu de sa semaine, qu’elle avait eu d’excellentes notes.

« Je devrais avoir les félicitations pour ce trimestre ! » rayonnait Ashley.

Elle avait un téléphone portable, écrivant à ses copines. Ashley avait eu ses premières floraisons il y a de cela des mois, et elle était maintenant une jeune adolescente avec un corps mûr, proportionné. Elle indiqua donc à son grand-père, quand il le lui demanda, que les garçons commençaient à lui tourner autour, mais qu’elle n’avait pas de petit-copain. En fait... Ashley cherchait surtout à savoir qui était vraiment son père, mais sa mère refusait toujours de lui dire. Et Papy ne voulait rien lâcher non plus ! Ashley s’était imaginée quantité d’idées folles. Son père pouvait être un simple camarade de promotion qui l’avait abandonné dès qu’il avait mis en cloque sa copine (car Rebecca avait eu Ashley alors qu’elle était au lycée), mais elle l’imaginait aussi être une espèce d’espion, de guerrier protecteur mort au combat... Le truc, c’est que sa mère ne lâchait pas le morceau ! Les deux se disputaient parfois, mais Ashley restait, somme toute, une élève assez studieuse, et très disciplinée... Même si sa mère avait appris par inadvertance qu’un garçon, Peter, lui tournait autour, et que sa jeune fille n’y était pas totalement insensible.

La ferme de Papy apparut ensuite à l’orée d’une forêt. Elle était assez isolée, avec un silo, plusieurs hangars, des champs, un poulailler... Avant, il y avait beaucoup de personnel à l’intérieur, mais, avec la crise, son grand-père travaillait seul, embauchant parfois des intérimaires. Ashley l’aidait aussi quand elle venait là, dans la mesure de ses moyens. Elle savait traire les quelques vaches laitières, par exemple.

Grand-Père lui fit donc passer une bonne journée à travailler avec lui, mais c’était surtout le lendemain qu’Ashley allait faire une découverte. Les vêtements dans la penderie de sa chambre étaient trop petits pour elle, car elle avait gagné un léger tour de poitrine. Elle se rendit donc dans une autre chambre, avec une penderie plus grande, où il y avait les anciens habits de sa mère... Mais, tandis que la jeune fille cherchait, elle tomba sur une grosse boîte.

*Qu’est-ce que c’est que ça ?*

Espérant y trouver une tenue quelconque, elle l’ouvrit sans se méfier... Et écarquilla les yeux en voyant, à l’intérieur, un assortiment d’objets incongrus, une série de sex toys, de strap-ons, de vibromasseurs, et de harnais en latex, avec des cordes... Incrédule, Ashley observait cette surprenant collection en n’y comprenant rien.

Qu’est-ce que tout ça fichait ici ? Dans l’ancienne chambre de sa mère ?!

Même si il atteignait presque désormais les soixante-dix ans, Michael Sanders était loin de l'archétype du grand-père oisif, qui se contentait de regarder la télé dans son fauteuil. Il avait été un fermier toute sa vie, et le resterait jusqu'à sa mort, inconcevable donc pour lui de prendre une "retraite", d'autant que dans sa ferme, tout était déjà là pour qu'il ne se sente pas oppressé par son activité qui le passionnait toujours autant. Il y avait donc cette facette là de Michael Sanders, un fermier sans trop d'histoires, qui avait fondé une petite famille et qui s'occupait de ses bêtes et de ses cultures...et il y avait celle que bien peu de gens connaissaient.
Pour autant qu'il s'en souvienne, et depuis que la puberté l'avait frappé à l'adolescence, Michael avait toujours été un pervers, et bien au delà de ce que la plupart des gens pouvaient considérer comme étant un pervers. L'âge n'avait absolument pas atténué sa libido, pas plus qu'il ne s'était "calmé" sur ses multiples fantasmes. Il avait eu de la chance de se marier à une femme, Jane, qui avait pu le suivre dans ses délires, dont certains qui auraient valu au couple un aller simple pour la prison. Ils avaient toutefois toujours été très prudents, y compris lorsqu'ils avaient inclus leur propre fille, Rebecca, formant ainsi une sorte de trio incestueux qui avait à son actif bon nombre de perversions...et il était temps maintenant pour la plus jeune génération de rejoindre les rangs du "harem" de Michael.

En cette approche des fêtes de fin d'année, Ashley Sanders, la petite fille de Michael, venait comme à chaque congés scolaires passer quelques semaines dans la ferme de son grand-père. Rebecca sa mère devait les rejoindre quelques jours plus tard, à cause d'impératifs professionnels, et Michael allait donc se trouver pendant quelques jours seul avec sa petite-fille. Rien d'étonnant jusque là, Ashley avait passé une partie de son enfance dans cette même ferme, à une période où Jane était encore vivante, et Ashley était très proche de son grand-père, qui le lui rendait bien en étant aussi volontiers un confident.
Ashley n'avait en réalité aucune idée de la vérité et de la réalité, à savoir que Michael n'était pas seulement son grand-père...mais aussi son géniteur, et que ce dernier avait l'intention d'initier sa petite-fille aux plaisirs de la chair personnellement, tout comme il avait pu le faire avec Rebecca à l'époque, en la rendant enceinte au passage. C'était toutefois seulement maintenant que Michael commençait à voir Ashley d'un point de vue sexualisé, maintenant qu'il savait qu'elle avait ses règles, qu'elle avait un vrai corps de femme...et qu'indéniablement, ses camarades devaient commencer à lui tourner autour.
Il était donc temps, car seul son Papy aurait l'honneur de lui prendre sa délicate virginité, et ces vacances étaient l'occasion parfaite !

Rien ne pressait toutefois, Michael avait l'intention d'attendre l'arrivée de sa fille pour avoir son assistance lors de l'initiation de sa petite-fille, tout comme Rebecca avait été à l'époque guidée par Jane, lorsque Michael lui avait fait l'amour pour la première fois. Toutefois...et bien on ne pouvait pas nier que la jeune génération se faisait de plus en plus fouineuse et débrouillarde. Si la première journée se passa sans encombres, car Michael et Ashley travaillèrent beaucoup à la ferme, la deuxième était l'occasion de se reposer un peu, et pendant que Michael faisait la sieste...Ashley s'était faufilée dans l'ancienne chambre de sa mère.
Chambre qui était adjacente à celle du vieil homme, qui avait le sommeil léger, autant dire que la présence d'Ashley dans une pièce voisine ne manqua pas de le réveiller. Il s'apprêtait à parler, mais quelque chose l'en empêcha...une intuition ? Au lieu de ça, il se leva avec précautions et entama une lente marche silencieuse jusqu'à la porte de la pièce où se trouvait Ashley, qui était restée légèrement entrouverte.

*Qu'est-ce que...Oh...*

Comment Michael pu conserver son sang-froid en se rendant compte qu'Ashley avait mis la main sur les affaires "privées" de sa mère, il ne se l'expliquait pas...enfin si. Au lieu d'être effrayé comme n'importe qui de censé, le vieil homme s'en trouvait au contraire être...excité, très excité même. Il tâchait de contrôler sa respiration, qui se faisait plus lourde alors qu'il se sentait peu à peu bander dans son pantalon tout en observant la belle jeune femme qu'était devenue Ashley, et qui était en train de regarder, et même fouiller dans la ribambelle de sextoys et de tenues sexy que sa mère utilisait jadis avec son grand-père. Mais surtout, dans le fond de cette boîte, il y avait une petite collection de DVD soigneusement dissimulés sous toute cette pile, dont un qui, si Ashley mettrait la main dessus, ne manquerait pas d'attirer son attention.
"La conception d'Ashley" était le titre, marqué au feutre sur le disque, et il y avait un petit téléviseur avec un lecteur DVD intégré dans cette chambre...

Confuse, Ashley regarda cette boîte sans trop comprendre. Oh, elle n’était pas encore totalement naïve en matière sexuelle ! Elle avait assez entendu les garçons du lycée parler de leur « machin » pour avoir eu l’occasion, grâce à Internet, mais aussi grâce à ses amies, de se renseigner un peu là-dessus. De fait, il était assez fréquent qu’elles parlent entre elles de la taille du sexe de tel ou tel garçon de l’école. De plus, Ashley avait connu la puberté, cette période où ses soutiens-gorges devenaient trop étroits pour contenir une poitrine qui lui semblait devenir énorme, et où elle devait régulièrement s’occuper de ce qu’il y avait entre ses cuisses. Pour autant, la jeune femme restait encore assez prude, relativement chaste, et ne s’attendait donc nullement à trouver dans la chambre de sa mère ces... Ces trucs ! Elle attrapa un vibromasseur violet avec des picots, rougit encore, et le reposa ensuite rapidement, comme s’il était infecté par un quelconque virus.

*Mais c’est dingue, qu’est-ce que ça fout là ?!*

Est-ce que tout cet équipement avait appartenu à sa mère ? Impossible ! Mais pourquoi Papy collectionnait les sex toys ? Elle n’y comprenait rien, et ses doigts glissèrent ensuite sur un étrange objet moulant, qui cliqueta sous ses doigts. Surprise, elle le releva, l’attrapant par les encolures, et fronça les sourcils en le contemplant. C’était une sorte de harnais en cuir, avec plusieurs boucles. Elle l’observa silencieusement, essayant de comprendre son fonctionnement... Et vit alors un drôle d’objet situé dessous.

Un DVD.

Elle reposa le harnais sur le sol, et attrapa le DVD. Le boîtier était vierge, sans jaquette, mais avec un étrange titre, écrit au feutre, qui interpella la jeune femme :

« La Conception D’Ashley »

Ce titre ne manqua pas de la faire furieusement rougir, et son premier réflexe fut d’ailleurs de rejeter le boîtier. Elle regarda alors nerveusement derrière elle, s’attendant à voir Papy débarquer... Mais il n’y avait qu’elle. Soit Papy dormait, soit il était en train de nourrir les vaches. Ashley réalisa alors qu’elle avait étrangement très chaud, et sentit rapidement, comme dans les bandes dessinées, deux voix contradictoires se battre dans sa tête.

*Repose tout ça, tu ne veux pas savoir à quoi ça a servi !
Tu pourrais enfin voir ton père sur cette vidéo...
C’est un film porno’ ! Comment peux-tu croire que ta mère aurait filmé ses ébats, et que ce DVD se soit retrouvé dans la ferme de Papy ?
Et tu veux me faire croire que regarder un film porno’ te dérange ? Pas à moi, Ash’ !*

Elle se pinça nerveusement les lèvres. Elle avait déjà vu un film porno’, oui... Involontairement, et elle n’avait d’ailleurs guère aimé ça. Mais la perspective de pouvoir voir son père... Si ce DVD était là, c’était peut-être pour éviter qu’Ashley ne tombe dessus à l’appartement ? Sa mère savait très bien qu’Ashley était une petite fouinarde ! À Noël, elle devait ruser à chaque fois pour que sa fille ne trouve pas ses cadeaux ! Il n’y avait donc rien d’impossible à ce qu’elle ait dissimulé un tel trésor derrière une pile de sex toys. Dans l’esprit embrumé d’Ashley, tout ça était sûrement une stratégie, un plan, pour éviter que sa fille ne mette la main dessus !

La jeune adolescente s’empara donc du DVD, et remit ensuite le harnais, puis referma la boîte, et la remit à sa position initiale. Elle se releva ensuite, toujours aussi nerveuse, et se dirigea vers la sortie. Il n’y avait fort heureusement personne dans le couloir, et elle nota que la porte de Papy était entrouverte, plongée dans la pénombre.

*Ma chambre est éloignée, je n’aurais qu’à m’enfermer à clef pour regarder ça sans me faire surprendre...*

Sur cette idée, Ashley se précipita vers sa chambre, et referma la porte derrière elle. Elle aurait normalement dû la verrouiller, mais, dans la confusion, la jeune fille oublia malencontreusement de le faire. Son cœur battait follement la chamade dans sa poitrine, et elle observa encore le boîtier, puis déglutit, et s’approcha de son ordinateur portable. Elle s’assit sur sa chaise, et ouvrit le lecteur DVD, puis ouvrit le boîtier. Pas de jaquette, pas de manuel, seulement un DVD gravé qu’elle attrapa, et posa dans le lecteur. La jeune femme hésita encore un peu, quelques secondes, puis referma le lecteur.

Très rapidement, une fenêtre miniature s’afficha au milieu de son écran. Ashley se pinça nerveusement les lèvres, et approcha le pointeur de la souris de l’option « Lecture ». La jeune adolescente ferma les yeux, hésita encore un peu... Puis, d’une simple pression du doigt, enfonça le clic gauche.

Son lecteur multimédia s’afficha alors, l’ordinateur ronronna un peu. Il n’y avait pas de menus, pas d’options, mais une image apparut.

Sa mère était là, attachée sur une sorte de curieux objet triangulaire, dans une tenue très érotique en latex, moulante et brillante, tandis qu’un homme mettait sur ses seins des pinces.

« Hmmmm... !! » gémissait Rebecca, sa bouche recouverte par un vêtement.

L’homme ricana en se déplaçant, son corps dissimulé par le contre-champ de la caméra, dont l’objectif se concentrait sur le corps de Rebecca.

« Tu es vraiment une grosse salope, ma chérie ! glissa une voix grave et forte. Je n’arrive pas à comprendre jusqu’où notre éducation a pu échouer à ce point pour avoir une telle traînée...
 -  C’est ma faute, je l’ai beaucoup trop gâtée quand elle était petite, et, maintenant, elle se masturbe dans sa chambre, elle se caresse intimement, et elle s’habille de manière très courte, même devant nous. Je ne sais plus si ma fille est juste une catin, ou s’il s’agit simplement de nous provoquer. »

Les deux protagonistes avaient récupéré des objets. L’homme tenait un martinet, la femme, qui portait également une tenue moulante, un martinet. Ils se tinrent dans le dos de Rebecca, et commencèrent à la battre successivement, le fouet claquant sur son postérieur, le martinet frappant ensuite, faisant hurler Rebecca...

Puis la caméra continua à bouger, et Ashley écarquilla des yeux en voyant le visage de l’homme. Il était plus jeune, moins ridé, mais il ne pouvait y avoir méprise...

...C’était Papy !

La mère d'Ashley n'avait vraiment pas exagérée en avertissant Michael qu'elle était d'une curiosité presque maladive, surtout en ce qui pouvait concerner son père. C'était la raison pour laquelle le vieil homme conservait tous les "souvenirs" compromettants chez lui, là où la jeune fille venait peu souvent, et avait donc peu de chances de tomber par inadvertance sur quelque chose qu'elle n'était pas censée voir. Michael regardait discrètement sa petite-fille fouiner dans le carton des affaires de sa mère, et la vit alors tomber sur ce DVD qu'il avait sauvegardé pour la postérité. Michael s'en souvenait encore de cette fois où il avait baisé sa propre fille sans avoir recours au moindre moyen de contraception, et en ayant même choisi spécifiquement un jour où Rebecca était censée être fertile, peu avant la période de ses règles. Mais ça...ça Ashley n'était pas censée le voir, du moins pas encore, ce qui foutait très concrètement la merde dans les plans de Michael concernant sa petite fille. Il n'avait pas besoin d'attendre d'avantage pour comprendre qu'Ashley allait visionner le contenu de ce DVD, et qu'elle allait donc le transporter jusqu'à sa proche chambre pour le lire sur son pc portable. Que faire ? Michael du réfléchir rapidement avant de retourner discrètement dans sa propre chambre, en évitant méticuleusement les portions du parquet qui avaient tendance à grincer.

*Je crois que je n'ai pas le choix...si elle décide d'ouvrir sa bouche après avoir vu que je suis son père...*

Une vérité qu'Ashley n'était probablement pas encore prête à entendre de suite, mais clairement, Michael n'allait pas pouvoir empêcher sa petite-fille de visionner ce DVD...il allait donc falloir agir vite, et concrètement. Michael fouilla donc dans sa table de chevet, et à son propre soulagement, constata que son matériel d'urgence s'y trouvait, dont un flacon de Chloroforme enroulé dans un chiffon destiné à son usage. Michael transpirait à l'idée de faire ça, ce n'était vraiment pas ce qu'il avait prévu, et ne souhaitait absolument pas faire du mal à Ashley. Même si il était un détraqué sexuel, en dehors de ça il avait toujours été un bon père pour Rebecca, et un bon grand-père pour Ashley...mais si tout ça venait à se savoir, il finirait ses jours en taule.
Armé de son nécessaire, il ressortit en douceur de sa chambre pour se diriger vers celle d'Ashley. La jeune fille avait agi tellement dans la précipitation qu'elle n'en avait pas fermée à clef sa propre porte, ce qui permit à Michael de l'entrouvrir. Ashley était assise en tailleur sur son lit, et semblait choquée par ce qu'elle voyait. Sur la vidéo, c'était un Michael plus jeune de seize ans qui cravachait le cul de Rebecca, mais rapidement la suite vint...celle où Michael prit sa fille en levrette, sans préservatif. Il parlait crûement sur la vidéo, mentionnant bien qu'il allait foutre sa propre fille en cloque, car elle était tellement une salope qu'elle adorait que son propre père l'engrosse.
Le son était assez fort, et Ashley assez choquée et absorbée par ce qu'elle voyait, qu'elle n'entendit pas Michael rentrer très doucement dans la chambre, en se positionnant bien hors du champ de vision de la jeune femme, le chiffon imbibé de chloroforme dans la main. Et quand, sur la vidéo, Michael jouit dans la chatte de Rebecca, Ashley sentirait alors un bras lui entourer la taille et immobiliser ses bras, alors qu'un chiffon à l'odeur forte serait pressée sur son visage.

Chuuuuut....chuuuuuuuut...

Michael la retenait même si elle se débattait, et bien vite les effets somnifères firent leur effet, et il allongea alors délicatement Ashley sur son lit, avant de presser le bouton pause de la vidéo.

Bon...ma chérie, ce n'était pas comme ça que j'imaginais ton initiation, mais on dirait que tu ne me laisse pas d'autre choix.

Même si il était stressé, sentant son coeur battre la chamade, voir sa petite-fille ainsi endormie le faisait bander très dur. Elle avait vraiment un beau visage d'ange, si beau que l'homme s'imaginait déjà lui foutre sa queue entre ses jolies petites lèvres...mais plus tard. Il descendit dans son atelier pour revenir avec le matériel nécessaire. Deux paires de menottes dont il se servit pour attacher les poignets de la jeune femme aux barreaux du lit, des cordages pour lui attacher les jambes. Il ne prit pas la peine de la baillonner toutefois, car personne ne pourrait l'entendre même si elle se mettait à hurler. La déshabiller lui était aussi passé par le crâne mais...non, ça aurait été sans doute de trop, car il allait auparavant devoir lui parler, dès qu'elle se réveillerait.

Retrouver son père biologique était quelque chose d’important pour Ashley, une véritable arlésienne qui l’avait amené à fouiller l’appartement de sa mère avec insistance. Elle était très curieuse, et ne supportait pas que sa mère ne lui dise pas la vérité… Tout comme Papy.  Ashley avait toujours été convaincue que son grand-père en savait bien plus sur son père qu’il n’avait jamais osé l’admettre. Et, plus ceux-ci refusaient de parler, et plus elle avait continué ses recherches. Ashley ne s’était jamais attendue à une histoire rocambolesque, et s’attendait plutôt à ce que son père soit une erreur de jeunesse de sa mère, un poivrot qui l’avait engrossé quand elle était adolescente… Mais le fait est qu’il s’agissait de son père, et qu’elle estimait donc avoir le droit de savoir ! Ashley s’attendait à tout… Sauf à ça. Elle avait tremblé en voyant ce DVD, s’attendant enfin à avoir des informations sur son passé… Mais, au lieu de ça, elle était en train de voir Papy forniquant avec sa mère ! Les yeux écarquillés, médusés par la stupeur, Ashley voyait sur la vidéo son grand-père prendre en levrette sa mère, tenant d’une main une laisse reliée à un collier de chienne, sa propre mère disparaissant dans une tenue d’une indécence incroyable.

*C’est… C’est impossible, c’est un canular !*

Voilà tout ce qui, en ce moment, arrivait à traverse l’esprit d’Ashley. Elle ne pouvait concevoir que ce qu’elle voyait était réel, et soupçonnait donc une blague, une plaisanterie de mauvais goût… Sauf que la vidéo semblait un peu trop bien faite pour être un trucage. Les caméras devaient être montées sur des trépieds pour fournir différents angles, et elle entendait la voix de son grand-père insulter régulièrement sa mère, son gros sexe disparaissant dans sa chatte trempée. Ashley, bien que toujours vierge, savait quand même à quoi ressemblait le sexe. Ses yeux écarquillés témoignaient de son émoi, à tel point qu’elle n’entendit même pas son grand-père entrer.

Pour l’heure, Ashley n’arrivait pas à faire le lien entre l’intitulé du DVD et son contenu… Comme si, inconsciemment, elle était bloquée, et refusait d’admettre la vérité. Elle n’entendit d’ailleurs même pas son grand-père entrer, fixant l’écran, où ce dernier continuait à bourrer sa mère, qui hurlait comme une petite folle… Puis Papy s’assit sur le lit, et Ashley prit conscience de sa présence… Bien trop tardivement.

« Pa…-Hmmmmm… !! »

D’une corpulence plus importante que la sienne, son grand-père appliqua sur ses lèvres un mouchoir imbibé d’un liquide contre lequel Ashley ne put rien faire. Elle se débattit vainement, en oubliant le film (où sa mère était en train de jouir), avant de sentir ses paupières s’alourdir. Ashley chercha à lutter contre la torpeur qui la saisit, mais ne put guère retarder l’échéance, et s’effondra sur place, fermant les yeux en s’endormant sous l’effet du somnifère…


Le chloroforme ne fit effet qu’une demi-heure, ce qui fut suffisant pour qu’Ashley se retrouve attachée. Elle gémit doucement en se réveillant, et cligna des yeux à plusieurs reprises, regardant nerveusement autour d’elle.

« Mmhh… »

Ashley avait pour habitude, en se réveillant, de bouger les jambes. Et, quand elle constata qu’elle n’y arrivait pas, elle émergea encore. Elle se rappela alors ce qu’elle avait vu, la télévision, le DVD… Et tenta de se relever. Les menottes cliquetèrent sur ses poignets, et elle hurla de peur, avant d’écarquiller les yeux.

« Au secours !! Libérez-moi, AU SECOURS !! » s’exclama-t-elle, totalement paniquée.