C'était une vilaine sirène que j'avais avec moi. Elle me caressait la queue, source d'un plaisir non négligeable, mais je lui rendais bien la pareille. Enfin, au niveau du plaisir. Je jouais sur sa poitrine mais aussi dans son sexe, le pénétrant de mes doigts habiles pour la caresser de l'intérieur. Elle appréciait ça, je le sentais, mais elle voulait sans doute autre chose. Elle tira alors sur ma queue, la douleur se transformant en plaisir. Je la lâchais légèrement sous le coup de la surprise mêlée à l'envie. Elle était expérimentée, cela se sentait, mais je voulais en apprendre encore et encore plus. Elle se tourna alors, se mettant ainsi face à moi, collant tout son corps au mien. Et le pire c'est qu'elle commençait à se frotter, faisant monter en moi l'excitation comme la pluie dans le pluviomètre lors d'intempéries. Elle m'intima alors de prendre mon souffle, ce que je fis sans hésiter. Elle m'embrassa alors langoureusement, et je répondis à son baiser avec autant de fougue qu'elle. Elle se frottait toujours, la coquine, et nous enfonçait peu à peu dans l'eau. Je ne lâchais pas ses lèvres, comprenant alors pourquoi je devais prendre mon souffle. C'était une grande première pour moi de le faire dans l'eau, mais cela ne me dérangea pas. Elle éloigna alors sa bouche de la mienne, nos langues se quittant. Je retenais toujours mon souffle, avec facilité. J'étais une démone après tout, j'avais une endurance plus accrue qu'une humaine, et cela se voyait bien. En quelques secondes, elle s'était éloignée et je la sentis revenir se coller à moi, mais par derrière. Elle se tenait contre moi exactement comme je m'étais positionnée avec elle avant, et je sentais que j'allais pouvoir m'amuser. Je n'avais pas peur de me noyer, la sirène me permettrait de survivre, j'en étais persuadée. Alors elle pris la parole :
C'est mieux si on inverse les rôles non ? Toi avec ta queue, tu peux toujours me stimuler même prisonnière de mes bras...
Et nous plongions pour la descente ultime. Je n'avais pas peur, j'avais hâte de découvrir ça. On glissait doucement vers le fond de l'eau, je ne bougeais pas et je ne disais rien. J'avais, je ne sais pas pourquoi, confiance en cette sirène qui allait me faire vivre une partie de jambes en l'air mémorable. L'eau serrait ma tenue, elle en profita même pour venir malaxer mon sein avec une main, torturant mes tétons. Je me retenais de gémir, mais mes grimaces parlaient pour moi. J'en avais envie, vous n'imaginez pas à quel point. Ses doigts se promenaient sur mes cuisses, avec une tendresse qui me surprit, mais sans jamais satisfaire mon envie qu'elle me pénètre de ses doigts. J'aurais voulu lui demander, mais je ne pouvais pas. Elle était maline, elle jouait avec moi et le pire c'est que j'adorais ça. Ma cyprine coulait sur mes cuisses, je savais qu'elle le sentirait, mais je m'en foutait. Elle m'embrassa alors, la nuque et le cou, et alors je laissais échapper un gémissement. L'air manquait un peu dans mes poumons mais j'en avais assez pour tenir encore un moment. Elle prit la parole, dans mon oreille, susurrant de sa voix de sirène :
Tu vas sentir l'excitation grandir... grandir encore et encore au fur et à mesure que l'oxygène s'envolera... Ta perception ne sera plus la même, l'adrénalyne boostera ton plaisir et t'offrira un orgasme puissant, ma succube chérie...
En parlant, sa main alla se poser sur ma queue caudale et la caressant. Je me tortillais légèrement, sous le coup du plaisir. Elle savait ce qu'elle faisait, elle était vraiment une déesse du sexe. Et, rapidement, je sens son index se glisser sur la totalité de ma fente. Je ne pus m'empêcher de laisser ma tête tomber en arrière, sous le plaisir qu'elle me procure. Elle le fait tournoyer autour de mon bouton de rose, qui est bien sensible, alors que son majeur j'enfonce en moi pour s'y abandonner en des vas-et-vient qui me font tourner la tête. C'est tellement bon de faire ce genre de choses sous l'eau... Pour ma part, je venais titiller son entrée avec le bout de ma queue. Je ne faisais que la frôler, la faisant languir, mais rapidement ce petit jeu m'ennuya. Alors j'appuyais légèrement sur sa vulve, la pointe de ma queue venant légèrement se glisser en elle sans aller très loin. La forme n'était pas idéale pour se loger dans l'intimité d'une femme, mais je sus ce que j'allais faire. J'attrapais, avec ma queue, une herbe non loin. Rigide, assez grosse, elle serait parfaite. Je l'agitais un peu dans l'eau pour la nettoyer des saletés, avant de l'enfoncer vivement dans l'antre de la sirène. c'était donnant-donnant, et je faisais de mon mieux pour lui procurer du plaisir. Ma queue agitait l'herbe dans sa chatte, le bout de cette fameuse herbe venant de temps à autres chatouiller son clitoris. Mais, malgré tout, je restais soumise à elle, et je lâchais un gémissement qui vida mes poumons...