La bleue et la rouge (Pv:Doutzen)

La pauvre petite policière ne savait plus où donner de la tête devant cette tentatrice qui se dandinait devant elle. Olga aurait pourtant cru que son numéro d’urophilie l’aurait fait fuir, mais, en réalité, tout ça semblait n’avoir fait que l’exciter davantage, réveillant probablement chez la femme quelques fantasmes. Commençant à comprendre que rien n’arriverait à détourner Olga de son objectif, Sophia, tendue au maximum, avoua alors qu’elle craignait que les Yakuzas n’attaquent le manoir. Olga se mit à glousser, et se retourna alors, arrachant de la vision de Sophia ses fesses, ce cul parfaitement moulé dans du latex. Tout en roulant sensuellement des hanches et en faisant claquer ses talons sur le sol, la femme fatale s’approcha de la belle blonde, qui était déstabilisée, et caressa sa joue d’une main. Doutzen, elle, qui entendait les bruits autour d’elle, continuait à soupirer et à gémir, se dandinant sur place.

La main d’Olga caressa donc la joue de la femme, et elle colla son corps au sien, venant plaquer Sophia contre le mur, ses lèvres proches des siennes.

« Ma chère, les Yakuzas n’attaqueront jamais une villa située en plein milieu de la ville. Doutzen est en sécurité ici... »

Elle sourit encore, et posa sa main sur la hanche de la femme.

« Vous avez un très beau corps, vous savez... Une femme musclée et athlétique. Vous vous entretenez bien, je suis sûre que vous êtes très endurante au lit... »

Olga sourit encore, et embrassa alors la femme. Elle remonta sa main, et serra ses doigts sur sa nuque, tout en continuant à se coller contre son corps, et prolongea le baiser. Elle ne le cesserait que si Sophia viendrait à la repousser... Mais arriverait-elle à le faire ? Ça, Olga allait vite être fixée là-dessus...

Oh et puis merde à la fin, qu'est ce que je fais ici à hésiter devant ce jolie petit lot? Au pire, même si les rivaux attaquent, j'aurais le temps de partir. De toute manière, Doutzen est solidement attachée et ne pourra pas partir sans que je le vois. Olga me plaque contre le mur et je sens son odeur si enivrant alors que mon coeur explose alors que Olga expose ses idées. Elle explique que les Yakuzas n'attaquent pas en plein centre ville, ce qui n'est pas tellement vrai mais bon soit, je ne suis plus trop en état de réfléchir, le corps de la Russe me rendait folle. Elle me complimente et me caresse encore et encore quand soudain, elle m'embrasse.

- Mmmmh...

Je me relaxe sous son baiser et sous son insistance, je suis impuissante et sans défense, elle a enfin eut ce qu'elle voulait et je ne m'y oppose pas. Mon corps frisonne et mon bas du ventre se fait envahir pas des millions de papillons. Je craque dans un soupir de bonheur et je laisse sa langue prendre possession de ma bouche, je colle mon corps au sien.

- Olga, je suis en service... Je ne peux pas... Aaaaah...

Eh ben Sophia, si tu voulais être crédible, tu repasseras...

Olga esquissa un léger sourire, très pervers, devant la remarque de la jeune policière. En service... La réponse d’Olga fusa directement, son corps restant près du sien :

« Justement, c’est encore mieux comme ça... » gloussa-t-elle.

Sophia essayait encore, tant bien que mal, de vainement rester à tout ce qu’elle sentait. Olga insista donc, et l’embrassa encore, posant ses mains sur ses hanches, les caressant. La femme avait un joli corps, musclé, puissant, agréable, délicieusement attirant. Oh oui, cette femme prenait soin de son corps, Olga le sentait, tout comme elle sentait aussi sa grande frustration. Cette femme n’avait pas satisfait son corps depuis bien trop longtemps, et l’idée de coucher avec une policière, dans son bel uniforme... Voilà qui ne manquait pas de stimuler la jeune femme !

Olga rompit donc son baiser, un sourire moqueur sur les lèvres, et remonta ses mains, venant malaxer les seins à travers l’uniforme de la femme, sans tenir compte de ses éventuelles protestations.

« Là, voilà... Pourquoi vouloir lutter, Sophia ? Personne n’en saura rien... Et puis, il faut attendre que Doutzen termina son exercice, alors... Soit tu attends dehors, soit tu attends avec moi, et tu seras aux premières loges pour l’interroger aussi longtemps que tu le souhaites ! »

Comment refuser ? Olga était en train de la prendre à son propre piège ! Elle attrapa alors d’elle-même les poignets de Sophia, et posa autoritairement les mains de la policière sur son fessier, avant de lui sourire malicieusement :

« Là, comme ça, les mains posées ici... Alors, ne me dis pas que tu n’as pas envie de palper ce que tu sens, hm... ? » minauda-t-elle encore.

Résister, résister... Voilà qui allait être dur pour Sophia !

Sophia, mais qu'est ce que tu es en train de faire? Le manque de sexe ne t'avait jamais mis dans en état pareille avant... il faut dire que cette Olga est une fameuse allumeuse de première... Et... merde, ses baisers sont sensuels et si chauds... Aaah... Tu as raison... Baises la bien... Olga me demande pourquoi je résistais encore. Bonne question, peut être ma conviction de policière et la dignité de l'uniforme... Et puis, je suis dans le manoir d'une famille mafieuse, ma carrière peut en prendre un sacré coup si on me découvre nue ici. Je suis en feu et plus rien ne compte à part lui sauter dessus afin de coucher avec elle. Sans attendre, Olga attrape mes mains pour les mettres sur ses fesses et je les malaxe directement. Je deviens folle de plus en plus.

- Y a pas que tes petites fesses que je veux palper...

Mon ventre brûle de plus en plus et je sens l'humidité percer ma culotte déjà bien trempée par cette chaleur. Je deviens rouge et mon souffle se fait saccader, j'ai envie d'elle et Doutzen est occupée par ses jouets. J'ai trop envie... Je la veux...

- Mmmh...

Un petit soupire avant d'embrasser à pleine bouche la russe sexy, je fourre ma langue au plus loin, telle une lionne, j'ai attrapé ma proie et je la serre contre moi. Lorsque le baiser se brise.

- Je te veux... ici et maintenant...

Face à Olga, la détermination de Sophia était en train de s’ébranler. Comment lutter contre une telle femme, si belle, si appétissante, si joueuse ? Sophia succombait à ses pulsions, et avoua à la Russe, non sans la faire sourire, qu’il n’y avait pas que ses « petites fesses » qui la tentaient. Olga sourit malicieusement, et se mordilla doucement les lèvres.

« Toi, ma chérie, tu sais comment me parler... »

Doutzen était toujours attachée à ses liens, couinant encore. Olga attrapa Sophia par la main, et rejoignit le lit de la jeune fille. C’était un lit assez grand, permettant à Doutzen de s’étaler, mais qui comprenait aussi quelques subtilités, comme des sangles le long des barreaux. Difficile, dès lors, de croire que ce lit ne pouvait servir qu’à dormir ! Mais ça, les petites surprises, Olga les réservait pour la suite. Pour l’heure, elle poussa Sophia, et la policière s’affala sur le lit, rapidement rejointe par Olga. La jeune blonde n’avait même pas eu le temps de retirer son uniforme qu’Olga se pressait contre elle, plaquant sa bouche contre la sienne, ses lèvres se mélangeant aux siennes, son corps se frottant langoureusement contre le sien.

Olga rompit ensuite le baiser, et sourit encore :

« Alors, Madame-la-Policière va punir la vilaine Olga ? »

Autant dire qu’à l’idée de se taper une belle policière comme ça, Olga salivait sur place. En fait, on pouvait même se demander si ce n’était pas une sorte de fantasme. Qui n’aurait pas envie de coucher avec une telle femme ? Ou de jouer au fantasme de la voleuse et de la policière ?

« Garde l’uniforme... Au moins pour le moment, ma beauté, il te va à ravir ! » soupira-t-elle ensuite.

Je suis totalement sous le charme de Olga, cette nymphomane russe me rend folle et excitée, et dans de temps, je serais en train la baiser. Elle me dit que je sais lui parler en même temps, vu son corps, il serait fort dommage de ne se contenter que se son cul. Elle a une gueule de salope pas tentée et des seins parfaits. Elle prend les devant tout en le poussant sur le lit de Doutzen, je tombe à la renverse, sur dos et rapidement la russe me monte dessus, elle me domine de son corps et alors qu'elle grimpe, je defais le premier bouton de la chemise afin d'être plus confortable. Elle me demande de garder mon uniforme, pourquoi pas, le fantasme du policier et du voleur, même pour moi, ce sera une premier en uniforme. Mais trêve de plaisanterie, Olga est au dessus de moi. Je me redresse afin de l'embrasser directement et je cherche sa langue avec la mienne, notre baiser est baveux et lorsque le contact se perd, un filet continue de nous unir l'une à l'autre. Ma culotte est foutue mais je n'ai pas dit mon dernier mot, j'attrape délicatement son bras droit que je plaque contre ma poitrine.

- Et si je commençais?

Avant qu'elle ne réponde, je lui fais un clin d'oeil et je pousse sur ma jambe gauche afin de me déplacer à nonante degrés sur la droite, je passe mon genou droit sous la poitrine d'Olga et comme ça, je peux la basculer sur sa droite, ma gauche à moi, et comme cela, je me retrouve sur elle, à califourchon sur ses hanches. Immédiatement, je l'embrasse à nouveau et cette fois ci, je n'en reste pas là, je m'attaque à son cou et ses oreilles, je passe mes mains dans ses cheveux courts et la mords à ses lèvres entre deux baisers.

Face à Olga, la policière avait fini par se coucher. Et ce n’était pas une fausse policière, comme une actrice incarnant un rôle, ou quelque chose du genre... Non, non, Olga couchait avec une vraie policière, et ce à côté de Doutzen ! Le caractère sexuel de la scène ne lui échappait nullement, et ne faisait d’ailleurs que l’exciter davantage. Couchée sur Sophia, elle sentit cette dernière intervenir brusquement, usant de son corps pour la renverser. Olga se laissa faire, et se retrouva sous Sophia, la policière venant se dresser au-dessus d’elle. Une blonde forte, plantureuse, sensuelle, qui était bien décidée à s’occuper elle-même de cette salope qu’était Olga. La belle Russe n’avait aucune honte à admettre ce qu’elle était : une perverse.

Couchée sur le dos, Olga sourit malicieusement, et se pinçant les lèvres, avant de répondre au baiser de la femme. Sophia, après ce premier baiser, glissa ensuite dans le creux de son cou, embrassant et mordillant sa peau, lui arrachant un long soupir.

« Hmmm... Haaaaa... Oui, Madame la Policière... Punissez bien fort la petite salope insatiable que je suis... Montrez-moi... Montrez-moi ce qu’il en coûte de violer la loi ! »

Elle déplaça ses mains, et les posa sur les fesses de Sophia, palpant ses fesses à travers l’uniforme, les pinçant et les malaxant. Si Sophia prenait les devants, Olga comptait bien, elle aussi, la stimuler comme il le fallait.

« Allez, hmm... Baise-moi ! » intima-t-elle.

Je me laisse aller aux attentes de Olga, même en dessous, la russe se montrait si provocante et jouait avec sur le fantasme police/voleur. Je file dans le creux du cou d'Olga qui gémit et cette dernière palpe sans retenue mes fesses. Je me redresse et écoute ma proie m'ordonner de la baiser. Non mais oh, je la gifle sur le joue gauche.

- Tu te tais, vilaine fille, je décide quand je te baise.

Je me place à ses côtés et me tiens sur mes coudes, je la regarde avec un petit air supérieur, je la pouce doucement du pied gauche avant de soupirer.

- Dis, je ne vais pas me déshabiller toute seule, si tu me veux, viens me chercher.

Il fait silencieux dans la pièce, à l'exception des gémissements de Doutzen qui devait encore jouir et le son des vibromasseurs qui sont toujours bien calés en elle. Comme j'aimerais jouir aussi fort qu'elle. Ses muscles sont tous crispés et elle est tendue vers l'avant. Et Olga qui allait me mettre à nue. Seul mon ceinturon est enlevé par mes soins afin de savoir où je le pose. Si cela se complique, je sais où chercher pour me servir de moyen de défense.

Allongée contre elle, Olga allait vraiment se faire plaisir. La policière si stricte et si sûre d’elle avait fini par fondre, ses pulsions sexuelles profondes refaisant surface devant le caractère très outrancier de la Russe. Il fallait bien avouer qu’Olga l’emballait bien, et avait agi avec Sophia avec la délicatesse d’un bœuf affamé. Toutefois, elle vit rapidement la policière se montrer relativement dominatrice, l’empêchant de profiter de son corps, la giflant même légèrement, indiquant qu’elle déciderait quand elle la baiserait. Sourire moqueur, et non moins pervers, de l’intéressée.

« À vos ordres, Madame ! » glissa-t-elle sensuellement.

Doutzen, elle, visiblement consciente de ce qui se passait autour d’elle, gémit encore. Elle se tortilla sur place, donnant à Olga des idées supplémentaires. Devant elle, Sophia lui demanda de la déshabiller, mais, juste avant ça, Olga se redresser, s’écarta, et rejoignit Doutzen.

« Puisque c’est elle que tu voulais voir, je pense préférable qu’elle ait un premier aperçu de toi, Sophia... »

Joignant le geste à la parole, Olga retira les écouteurs des oreilles de Doutzen, l’amenant à soupirer, tout en la coupant des sons qu’elle entendait depuis des heures, à savoir des soupirs, des gémissements, des bruits de claquements de chair, entrecoupés de jurons prononcés par Olga, et de musiques sensuelles... Puis les deux mains d’Olga caressèrent le visage de Doutzen, et elle orienta le fauteuil, le tournant pour le placer face au lit, puis commença à retirer le bandeau obstruant son visage.

Se penchant alors vers Doutzen, elle lui murmura dans le creux de l’oreille quelques propos salaces, bien évidemment destinés à stimuler son imagination :

« Il y a une invitée que je dois te présenter, ma chérie... Une femme qui tenait absolument à te voir... »

Léger soupir de l’intéressée, puis Olga embrassa le creux du cou, mordillant sa chair, avant de lui ôter finalement le bandeau. Les yeux de Doutzen papillonnèrent dans leurs orbites, et la belle adolescente couina encore, voyant la policière devant elle. Olga s’écarta alors de Doutzen, et rejoignit Sophia. Les deux femmes étaient désormais debout, et Olga, tout en caressant les hanches de la femme, alla l’embrasser, sensuellement, longuement, fourrant sa langue dans sa bouche. Sophia avait retiré sa ceinture, au grand dam d’Olga, qui adorait adorer le faire elle-même... À défaut, elle commença par palper les fesses de la femme, les pinçant et les malaxant à travers l’uniforme, tout en continuant, bien évidemment, son baiser.

Après avoir palpé ce cul, sa main se déplaça, et elle commença à déboutonner les boutons de la chemise de la femme, tout en allant l’embrasser dans le creux du cou, très curieuse de savoir si le fait d’avoir une spectatrice allait calmer les ardeurs de Sophia... Ou, au contraire, l’enflammer davantage ! Qui sait... Une fois qu’on avait commencé à goûter au fruit défendu, il était difficile de ne pas vouloir continuer à croquer dedans !

Je ne sais plus trop bien si j'étais dans un piège ou alors si je suis réellement en train de baiser avec des suspectes de grand banditisme mais bordel que c'est bon. Je pousse un grognement lorsque Olga me lâche pour rejoindre Doutzen toujours attachée au siège. Se trmoussant devant moi, Olga me garde en haleine de son beau cul bien à vue et surtout si ferme, j'ai envie de le manger sans laisser de miette et sans laisser la moindre chance à la russe de pourvoir s'en sortir sans jouir. La dominatrice comme à détacher la gamine et pour moi pas de doute possible, Doutzen allait venir jouer avec nous, chouette chouette chouette, j'ai faim. Mon vagin est bouillant et l'envie de glisser mes doigts dans ma culotte afin de me donner un peu de plaisir me traverse la tête avant de voir le beau visage de Doutzen. Pas mal, une gueule d'ange avec des yeux de belle petite salope, je vais pas être déçue. Doutzen se rapproche de moi et, en posant ses mains sur les hanches, elle m'embrasse chaleureusement et je sens les mains de Olga sur mes fesses. Je suis prise en deux et je n'ai pas envie de me défendre, je suis toute à elles. Je soupire encore entre deux baisers et Olga commence à me déshabiller doucement. D'abord ma chemise qui tombe l'instant d'après au sol, suivis de mon soutien gorge, je suis torse nue devant une Doutzen qui a faim de sexe. Ma bouche se colle à la sienne dans une embrassade plus vorace, plus affamé, où ma langue va envahir la bouche de la jeune femme. Un bruit visqueux et humide se fait entendre alors que ma langue danse avec celle de mon opposée. Je suis à la merci de Olga, elle a joué et elle m'a gagnée facilement.

Sophia était à elles, et Olga sourit. La policière réalisait-elle qu’elle venait de se damner ? Elle embrassa fiévreusement Doutzen, qui se jeta sur elle, car Olga, en la détachant, le lui avait ordonné. Et elle s’était damnée, car la scène était évidemment filmée. Or, Doutzen était une mineure. Autant dire que, si les supérieurs de Sophia voyaient ce film, la jeune policière serait limogée instantanément. Mais bon, c’était de bonne guerre. Il était complètement suicidaire de se jeter à pieds joints dans le refuge de la Mafia russe. Et, tout ce que la Mafia voulait pour fonctionner, c’était corrompre des agents de l’économie réelle… Comme les policiers. Et là, Olga savait que Sophia serait piégée.

« Hmmm… »

Doutzen avait passé plusieurs heures sur cette chaise, longuement torture, et, même si elle avait beaucoup joui, Olga se débrouillait toujours pour qu’elle sorte de ces séances encore plus affamée, sexuellement parlant, qu’en y entrant. Et là, ça avait marché à merveille, surtout quand Doutzen avait appris qu’elle avait une invitée. Et quelle invitée ! Elle ignorait qui était cette femme, mais ça n’avait très certainement pas empêché la jeune femme de lui sauter dessus, de l’embrasser goulûment, de fourrer sa langue dans sa bouche, et de palper ses seins.

Sophia et Doutzen s’embrassèrent ainsi longuement, le corps en latex de la jeune blonde se frottant contre celui, torse nu, de Sophia. Puis les mains gantées de Doutz’ déboutonnèrent son pantalon, et elle caressa la culotte de la femme.

« Hîhî, tu es toute trempée ici… »

Olga se racla alors la gorge, et se rapprocha… Avec un nouveau jouet sur son corps, à savoir une ceinture-gode équipée sur son corps. Sa queue artificielle pointait vers son invitée.

« Madame-la-Policière a l’air d’avoir très soif… Te voir l’a beaucoup excité, ma chérie ! »

Les yeux de Doutzen s’illuminèrent à cette annonce, et elle embrassa encore la femme.

« C’est vrai, ça ? Vous m’avez trouvé une partenaire exquise, Maîtresse… »

La belle Russe à la tenue arachnéenne sourit malicieusement, se rapprocha encore, grimpant à son tour sur le lit, visiblement prête à pénétrer énergiquement la jeune Sophia…