Bowser n’avait tout simplement pas pu se retenir. Il avait joui bien plus rapidement que prévu, mais... C’était tout de même Peach en face !
Peach !! Depuis combien d’années Bowser rêvait de l’avoir là, face à lui ? Sa Princesse ? Combien de plans avait-il élaboré, de stratégies, d’invasions, juste pour pouvoir la capturer, et la faire sienne ? Son excitation était à la hauteur de sa frustration, et justifiait en grande partie la taille de sa queue, et son érection. Mais, au-delà de ça, il y avait aussi sa nature particulière. Bowser était un très puissant dragon, massif, virulent, et le sexe allait en conséquence. Sa queue était donc toujours bien dressée, et il observait sa chérie. Le dragon avait déposé sur elle sa marque, une belle couche de sperme, un sperme chaud et assez collant, gluant. Il déglutit doucement dans sa bouche en voyant la délicate Peach se frotter ses beaux petits yeux, dégageant du foutre, et ne chercha même pas à le retirer. Sa queue caudale, elle, continuait à caresser sa culotte, avec une série de picots, de délicates pointes, qui ondulaient entre ses cuisses. Sa queue se crispa d’ailleurs doucement sur place devant le spectacle de sa Peach, tellement en chaleur qu’elle n’arrivait même plus à parler. Bowser ressentait son odeur, une délicieuse odeur de mouille qui venait titiller les narines, tandis que la jeune femme, comme absente, gémissait encore.
Tout ce que Bowser avait envie, c’était de la prendre, mais... Comme dit précédemment, le dragon voulait faire de Peach sa femme, pas une chienne qu’il détruirait en la violant énergiquement. Or, il suffisait de voir
la différence de gabarit entre les deux pour comprendre que, aussi gourmande soit sa précieuse poupée, il se devait encore de bien la préparer. Fort heureusement, le dragon venait de jouir, de sorte qu’il avait les idées suffisamment claires, et retira alors sa queue, avant de caresser avec sa main la douce joue de Peach. Une joue chaude, tendre, douce... Ses gros doigts serrèrent quelques mèches de cheveux, avant qu’il ne se mette à parler.
«
Allez, ma Peach d’amour... Couche-toi sur le dos, grrrr... »
Un grognement qui se voulait le plus affectueux possible, et il regarda Peach obtempérer, se coucher devant lui. Bowser sentit des flammes se liquéfier dans sa gorge, et l’observa encore, sans rien dire, fasciné par ce spectacle, par ce corps magnifique. Oh, sa Peach, sa Peach !! Si belle, si parfaite ! Bowser se pencha alors en avant, tombant sur ses cuisses, et écarta avec ses grosses mains les jambes de Peach, le plus possible, et serra délicatement, précautionneusement, sa fine culotte trempée. Il tira alors dessus, et la fit doucement glisser le long de ses jambes, sentit cet élégant morceau de tissu, fin et précieux, qu’il souleva finalement du bout des doigts. Tenant la culotte devant lui, le dragon la renifla lentement, savourant cette magnifique odeur de mouille, ce qu’il ne manqua d’ailleurs pas de signaler, en regardant encore sa Peach d’amour.
«
Peach mouille... Peach mouille pour Bow... Pour Bowser ?! »
Cette information agit comme un véritable coup de fouet sur son cœur, tant cette idée était...
Excitante ! Oh, Bowser devait vraiment se retenir pour ne pas la prendre là, comme ça, tant sa queue lui faisait mal ! Mais non, il fallait la préparer... Il retourna donc se pencher sur ses jambes, écartant ces dernières, puis son corps massif se courba en avant, jusqu’à approcher ses lèvres de sa chatte trempée. Bowser avait pris soin de laisser plusieurs Koopas l’épiler avant, et les avait bien entendu tués ensuite, car seul lui pouvait voir Peach nue. Il lécha alors sa fente rose, crispant ses doigts sur sa peau, cette peau qui restait d’une douceur infinie.
Sa grosse langue reptilienne lécha donc sa chatte, remontant dessus, laissant sa bave dessus, et il continua ainsi à la lécher, grondant doucement, se frottant sur elle.
«
Peach, hmmm... »
Il se régalait de ses soupirs, et se délectait surtout de sa délicieuse mouille. Bowser cherchait ensuite à glisser sa langue en elle, à l’enfoncer
dans sa fente intime, afin de récolter le plus possible de ce nectar, ce liquide intime dont il était déjà en train de devenir fou. Mais quoi de moins surprenant à ça ? Il avait
enfin l’occasion de faire l’amour à Peach ! Pour Bowser, c’était le plus gros fantasme de sa vie qui se réalisait en ce moment ! Alors, il comptait évidemment savourer
longuement, très longuement, le corps parfait de Peach...